dimanche 7 août 2016

Rions de Mahmoud Abbas

Sous ses traits austères, le Président (à vie) de l’Autorité palestinienne (AP) est un sacré comique. Ne sachant pas par quel bout obtenir l’éradication du seul état juif de la planète, il a demandé « au Secrétariat Général de la Ligue arabe de nous aider à préparer un dossier juridique pour intenter une procédure contre le gouvernement britannique, pour avoir émis la Déclaration Balfour et l’avoir mise en œuvre, en qualité d’autorité mandataire ».

Car « cette déclaration maudite (…) a été donnée par ceux qui ne possédaient pas [la Palestine] à ceux qui ne la méritaient pas », c'est-à-dire au peuple juif. 


Porter plainte contre cette lettre d’intention de 1917, c’est s’en prendre également à la décision de la SDN qui a avalisé le 25 avril 1920, lors de la Conférence de San-Remo, la décision de créer ce foyer juif sur la Palestine du mandat qui s’étalait, alors, de la Mer Méditerranée à l’Irak.

Mais là n’est pas le plus risible !

La seule juridiction compétente pour instruire ce procès serait, en conséquence, la Cour Internationale de Justice, (CIJ).

A elle s’offrirait trois jugements éventuels :

Le premier serait d’aboutir à un verdict conforme aux espérances ‘’palestiniennes’’. L’Etat d’Israël serait aussitôt effacé de la carte et le territoire serait, définitivement, remis aux véritables propriétaires. 

Il ne restera plus qu’à les trouver !

Exit, pour la recherche, tous les colonisateurs s’étant abusivement approprié cette région. La Grande Bretagne en sera exclue mais aussi la Turquie, les Arabes, l’Italie, la Grèce ou encore l’Iran.

Les seuls à pouvoir prétendre à une pleine propriété pour y avoir créé leur état, leurs administrations, leur monnaie, leur drapeau ou encore leur culture ne sont pas les ‘’palestiniens’’, dont nul n’a, à ce jour, retrouvé un quelconque passé dans les millénaires précédents, mais le peuple juif qui y vécut plus d’un millier d’années avant qu’il ne soit déporté à travers la planète par les colonisateurs successifs.

Une vie si riche dont on trouve encore trace à ce jour sur ce territoire et un peuple qui, même minoritaire, y a toujours vécu au fil des siècles et des différentes occupations. Un verdict, en somme, qui contraindrait dans les faits à reconnaître toute la légitimité de l’actuel Etat d’Israël, état du peuple juif.

Chacun imaginera alors la bouffonnerie de cette situation !

La deuxième sentence de la CIJ serait de confirmer toute la recevabilité de la décision anglaise reprise par le concert des nations en 1920. Chacun doutera que le ‘’comique’’ Mahmoud Abbas, dépité par cet arrêt, cesse son combat antisémite et que l’Autorité palestinienne mais aussi le monde musulman secondé par la gauche internationale, elle aussi antisémite, conviennent, dans la foulée, que l’Etat d’Israël est légal.

Ces trois composantes étant très peu portées par les jurisprudences qui les desservent.


La troisième possibilité offerte à la Cour serait de se dire « incompétente ». Ce qui serait, là encore, une reconnaissance de facto de l’Etat d’Israël incorporant la Judée et la Samarie telle que la lettre de Balfour mais aussi la Conférence de San-Remo le laissent entendre.

Bien que tout quidam à la recherche de la Justice soit tenté de l’inciter à y aller, nul n’imaginera réellement que l’absurde Mahmoud Abbas s’empressera de tenter ce procès. Sa haine viscérale du Juif lui conseillant de se retenir.

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2 commentaires:

דוב קרבי dov kravi a dit…

Cet article partisan est bien la preuve de la duplicité sioniste.
Les milliers d'artefacts exposés au musée de la Palestine de Bir Zeit témoignent du prestigieux passé multimillénaire du glorieux peuple révélé en 1964.

Anonyme a dit…

La manne financière est d'environs 1.2 milliards de dollars par an. En admettant qu'il se limite à 1% ,son "salaire" est d'un millions de dollars par mois. On comprend aisément pourquoi il n'a aucune envie de partir.
Franco