mercredi 27 avril 2011

Antisémitisme et délégitimation d'Israël en Belgique

Petite vidéo résumant parfaitement les raisons du renouveau de l'antisémitisme en Belgique. Raisons également valables pour le reste de l'Europe.


Merci à http://philosemitismeblog.blogspot.com/ pour cette vidéo.

dimanche 24 avril 2011

Les propagandistes de la peur

Ceux désireux de connaître le schéma de pensée des adeptes de la gauche défaitiste israélienne se doivent de lire le dernier article de Stéphane Juffa intitulé « Etat de Palestine : alerte rouge ! (info # 012304/11)». En quelques mots : la coalition « Netanyahu, Lieberman, Ovadia Yossef » (sic) soutenue par « Des voix (…) d’écervelés à l’extrême droite et chez les Edennistes » met à mal Israël aussi bien sur le plan sécuritaire que sur le plan international.

La caricature avancée ici devant induire, dans la réflexion, du lecteur un manque certain de modérés autour et parmi ces derniers.

Et si cela s’avère insuffisant, le mensonge servira d’appui : «Si Netanyahu n’avait pas brutalement interrompu les négociations de paix commencées sous Olmert et Livni, et qui s’acheminaient en direction d’un traité viable pour l’Etat hébreu, Israël n’en serait pas à combattre quasi seule et le dos au mur ».

Il ne faut vraiment pas avoir peur du ridicule pour affirmer que Benjamin Netanyahou a « interrompu » les négociations ou encore que les discussions d’Olmert et de Livni avec l’Autorité palestinienne aboutiraient a un « traité viable ».

Pour ceux ayant de la mémoire, il sera aisé de se souvenir que Mahmoud Abbas avait fait siennes les exigences d’Obama concernant un gel total de toutes les constructions dans les implantations avant toute reprise des négociations, avait auparavant refusé de reconnaître Israël comme état du peuple juif ou encore d’abandonner son exigence d’un droit au retour de centaines de milliers de « réfugiés » au sein de ‘’l’entité sioniste’’.  

Ce qui n’empêche nullement le rédacteur en chef du site de la Mena d’affirmer sans rougir que « l’abandon par les Palestiniens du droit au retour était déjà acquis lors de la négociation Livni-Erekat !
 » !

D’autres méthodes sont usuellement utilisées par ces propagandistes de la peur. Celle, entre autres, d’affirmations que nul ne peut prouver mais qui frisent l’indécence intellectuelle. «(…) il convient d’ajouter la proposition qu’avait produite Barack Obama, contre un gel de trois mois des constructions dans les implantations, qui garantissait à l’Etat hébreu le droit de conserver son armée sur le Jourdain afin de contrôler, notamment, la nature des importations en direction de l’Etat de Palestine à naître ».

Si le doute sur cette proposition us est léger, on imagine mal cependant comment les ‘’Palestiniens’’ auraient accepté ce fait acquis. A savoir, l’armée israélienne sur leurs terres alors que les dirigeants de l’AP se refusent à toutes présences de concitoyens juifs, voire même de soldats de religion juive dans toute force internationale appelée à cette surveillance !

Encore des faits, pourtant martelés publiquement, que Juffa préfère ignorer.

vendredi 22 avril 2011

Cinq conditions minimales et incontournables pour une ‘’Palestine’’

On ne peut douter plus longtemps ! Reconnaître un état de ‘’Palestine’’ est devenue une urgence absolue ! C’est ce qu’il paraît, à voir l’activité diplomatique européenne poussée par la France, l’Angleterre et dans une moindre mesure l’Allemagne. Mahmoud Abbas ne s’est d’ailleurs pas trompé en se rendant à l’Elysée récemment pour encourager ce pays à tirer l’Europe vers cet objectif sans qu’il soit lui-même contraint à des négociations et donc à des concessions.

Il n’en reste pas moins, selon un porte-parole britannique, que si « rien n’est écarté de la table en ce qui concerne une reconnaissance en septembre (…) nous ne spécifions pas, non plus, quelles conditions pourraient être nécessaires, ou suffisantes, pour le reconnaître, ni, bien sûr, pour ne pas le reconnaître – nous aurons encore à examiner tous les facteurs pertinents à ce moment-là ».

L’administration américaine quant à elle, si elle se refuse à une légitimation pure et simple, pense imposer d’ici peu un plan de paix contenant des concessions de part et d’autres. Ce qui déplaît fortement au Président de l’Autorité palestinienne car déjouant le plan d’éradication par étape de l’état d’Israël.

De son côté, Benjamin Netanyahou envisage de tenir un discours devant le congrès américain sur sa vision de l’avenir de cette région. Il se doit donc de préciser le point de vue israélien quant à un éventuel état pour les ‘’Palestiniens’’ ainsi que les conditions minimales et incontournables pour ce faire.    

La première des conditions que le premier ministre israélien devra marteler à cette occasion doit être une reconnaissance pleine et entière par le monde musulman de l’état d’Israël comme foyer du peuple juif.

La  seconde sera d’exiger le rejet de tout droit au retour de ‘’réfugiés palestiniens’’ au sein de l’état juif.

La troisième sera une surveillance israélienne, et non internationale, des frontières de ce nouvel état. Les échecs nombreux des ‘’soldats de la paix onusienne’’ confirmeront la nécessité d’une telle demande.

La quatrième sera que la ‘’Palestine’’ en devenir ne soit pas judenrein.

Enfin, la cinquième condition devra être celle d’une affirmation de la fin du conflit et de toutes revendications ultérieures.

jeudi 14 avril 2011

L’identité perdue de Zeev Sternhell

Si l’on avait un doute sur la finalité de la gauche, Zeev Sternhell dans un article publié dans Haaretz et traduit par La Paix Maintenant, le lève, indirectement, sans ambigüité. Dans l’article intitulé « L’anachronisme d’Israël », il condamne la loi parlementaire récemment votée autorisant des communes de petite importance en Galilée et dans le Néguev à maintenir les commissions d’admission destinées à examiner les candidatures d’éventuels nouveaux résidents.
  
Ce qui le gène dans cette loi est qu’il s’agit, évidemment, d’une juridiction aidant les communes dont les habitants sont juifs et désirent rester entre soi. Sauf scoop de dernière minute, celles dont les citoyens sont musulmans et désirent sauvegarder leur identité ne lui causent, apparemment, aucun souci moral. Car la loi, n’étant en rien discriminante, autorise les commissions d’admission dans tous villages de moins de quatre cents personnes.

Mais de cette précision il n’en parlera pas !

L’important pour lui est de blâmer le désir de quête et de défense d’identité d’une très large majorité du peuple juif. Là est le véritable problème de conscience de « l’historien des droites françaises et de leur idéologie » qu’il voit ‘’appliquée’’ dans chaque coin de l’état juif.

Cette condamnation, sans appel, cache, en fait, son refus de voir Israël, au niveau national, choisir ses citoyens et protéger, ainsi, sa majorité juive. Un choix condamné par l’idéologie fétide qui l’inspire et qui réclame « un état démocratique de tous ses citoyens ». Oublieux, par cela, de la nécessité de plus en plus croissante d’un refuge pour le peuple juif.

A preuve, sa charge contre « la droite extrême et cléricale (qui) est aux mannettes » et qu’il compare à celle d’Europe : 

«Mais les racistes ne sont pas là-bas aux affaires. Ils n’y sont qu’une minorité infréquentable aux yeux de la gauche, mais aussi à ceux de larges parties de la droite libérale».

Si l’on n’est point étonné de voir cet individu qualifier tout opposant à son idéologie nauséeuse de «raciste», ou encore de ne jamais lire qui représente à ses yeux la droite libérale en Israël, l’analyse de ses écrits ci-dessus est confirmé lorsqu’il moque la conduite des partis religieux israéliens :

«Qu’aurions-nous dit si, dans l’un des pays catholiques de l’Europe occidentale, les chefs de l’Église dirigeaient les partis politiques et contrôlaient des pans entiers de la politique nationale ? Comment aurions-nous réagi si le dirigeant d’un parti politique, ministre important de surcroît, embrassait la main d’un cardinal vêtu de sa toge et s’empressait ensuite d’exécuter ses ordres dans le domaine public ? Comment aurions-nous accueilli l’information selon laquelle, pour pouvoir prétendre à l’une des fonctions les plus importantes du pays, chef de la Sécurité intérieure, l’accord du clergé était nécessaire ?»

mercredi 13 avril 2011

Qu’adviendra t-il suite à l’AG annuelle onusienne de 2011 ?

A entendre les observateurs et politiques israéliens de gauche, l’Assemblée générale prochaine de l’ONU sera un « désastre » pour l’état d’Israël. La reconnaissance de la ‘’Palestine’’ dans les « frontières de 1967 » sera, paraît-il un « tsunami politique » pour l’état juif qui sera, alors, considéré légalement comme ‘’occupant’’.

D’où la décision de Benjamin Netanyahou, selon le quotidien de gauche Haaretz, d’envisager des concessions pour tenter de contrer la résolution à venir. Des concessions qui seront, de toute façon, jugées insuffisantes par l’Autorité palestinienne.

Admettons, pour l’exercice, que ce nouvel état soit, finalement, reconnu par la communauté nationale. Pourrait-on alors concevoir que l’Onu, et à travers cette organisation les Occidentaux ‘’épris’’ de justice, de droits de l’homme et de valeurs universelles, exige un retrait israélien sans autres formalités et accepte, par exemple, l’idée d’un état judenrein ?

Est-il imaginable qu’il soit dit que la vieille ville, et donc le premier lieu saint du judaïsme, passe aux mains ‘’palestiniennes’’ et ne sois plus d’accès libre aux Juifs ?  Est-il concevable que la sécurité de l’état juif soit entre les mains du Hamas entre autres ? Est-il plausible de voir exiger, de surcroît, d’Israël un couloir unissant les deux rives de la ‘’Palestine’’ ?

Sauf à prendre parti ouvertement contre l’état juif, et donc faire acte d’antisémitisme, ces quelques questions non exhaustives démontrent que suite à cette décision onusienne, la seule démarche réaliste restera encore la négociation directe. Et au vu du gain majeur ‘’palestinien’’ obtenu par cette résolution, la communauté internationale sera donc contrainte de se pencher sérieusement sur les revendications israéliennes afin que la ‘’Palestine’’ ne soit plus un « territoire occupé ».

A commencer par les frontières définitives, qui devront être « sûres », et les grands blocs d’implantations. Les Israéliens seront alors en force pour exiger leurs pleines propriétés au grand dam des ‘’palestiniens’’ qui s’y refusent. En effet, qui s’avisera d’exiger le démantèlement de villes comme Ariel contenant plusieurs milliers d’habitants ?

La sécurité ne saurait, quant à elle, être confiée à d’autres qu’aux Forces de Défenses Israéliennes. Les forces internationales, s’étant retirées de la bande de Gaza en courant en 2007 ou se montrant incapables d’empêcher le Hezbollah de se réarmer, confirmeront cette nécessité vitale pour la pérennité de l’état juif.

Tout retrait territorial d’Israël sera également conditionné à une déclaration admettant la fin du conflit, par sa reconnaissance comme état du peuple juif et par l’abandon de l’exigence d’un retour de « réfugiés » en son sein. Qui s’avisera, là encore, d’imposer à l’état juif une immigration forcée ? De surcroît de plusieurs dizaines de milliers d’individus, étrangers à la culture du pays et revanchards !

On le voit, au moins sur tous ces sujets, les ‘’Palestiniens’’ devront céder s’ils désirent jouir librement de leur état. Ce qui sera, alors, considéré comme un échec par l’oumma au vu de leur refus permanent de l’existence d’un état à caractère juif.

Ne doutons pas que les ‘’Palestiniens’’ tenteront, face à ce dilemme, de pousser les puissances à contraindre Israël, par des sanctions, des résolutions et des procès à la cour international de se retirer tout simplement. Une troisième intifada pourra même être envisagée pour ce faire.

vendredi 8 avril 2011

La cause du MRAP

Le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples trompe ses lecteurs, ses membres, ses sympathisants et ses donateurs sur sa finalité par son aversion avérée et systématique à l’encontre de l’état d’Israël. Une animosité qui a du mal à se cacher et qui, au final, pousse le mrapiste, et au delà, dans les bras de l’antisémitisme. Son dernier communiqué sur le conflit proche-oriental, daté du 24 mars et ‘’s’inquiétant’’ de la « tragique escalade de violence au Proche Orient » l’illustre sans difficulté. 

On peut y lire que cette association « condamne les bombardements des forces militaires israéliennes qui, dans la nuit entre lundi 21 mars et mardi 22 derniers, ont frappé des objectifs civils (…) qui ont causé la mort de 8 Palestiniens, dont 4 enfants. Ces actions constituent des crimes de guerre dont l’Etat d’Israël devra répondre devant les juridictions compétentes ».

De prime abord, ce qui n’est pas dit ici, concerne les tirs de mortiers des jours précédents de la part des ‘’palestiniens’’ de la bande de gaza, pourtant relatés par une dépêche de l’AFP. Le samedi 19 mars « les Brigades al-Qassam avaient tiré une cinquantaine d’obus sur le territoire israélien ». Détail dissimulé qui interdit au mrapiste de se faire sa propre idée et qui autorise l’agence de presse française à qualifier les bombardements israéliens de «représailles».

D’autre part, l’accusation de « crimes de guerres » a, quant à elle, ici toute sa saveur depuis que Richard Goldstone a remis en cause son rapport par un article signé de sa main et paru sur le Washington Post du 1er avril. L’état des Juifs n’a donc pas commis d’actes aussi répréhensibles lors de l’opération Plomb durci et le Mrap, ni nul autre, ne détient de preuves tangibles quant à l’intentionnalité israélienne actuelle de meurtres à l’égard de civils ‘’palestiniens’’.

Cette accusation, faute de correction à ce jour sur le site de l’association, n’est donc rien d’autre que de la diffamation.

La suite du communiqué ne vaut guère mieux.

« Le MRAP condamne également les tirs de roquettes de mercredi 23 mars au matin sur le sud d’Israël, (…et) l’attentat à la bombe commis près de la principale gare routière de Jérusalem le mercredi 23 mars qui a fait un mort et une trentaine de blessés. ».

Tel que présenté, il est suggéré entre les lignes qu’il s’agit de représailles à l’action des forces israéliennes. Mais là n’est pas le pire !

mardi 5 avril 2011

Stéphane Hessel et Charles Enderlin font la paire

Richard Goldstone assure, suite au rapport définitif de la commission d’experts indépendants de l’ONU qui s’est basée sur quatre cents enquêtes israéliennes, «qu’il n’y a pas eu de politique intentionnelle de cibler des civils». Exit, en conséquence, toutes accusations de « crimes de guerre » à l’encontre de l’état d’Israël et donc toutes condamnations.

Ce que s’était empressé de faire Stéphane Hessel, dans son opuscule à trois euros, en s’indignant « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c'est insupportable. Hélas, l'Histoire donne peu d'exemples de peuples qui tirent les leçons de leur propre histoire ». Ce réquisitoire, antisémite car s’en prenant à un peuple dans sa globalité, fut fondé uniquement sur le rapport de ‘’l’expert’’ onusien qui, ce jour, n’a plus sens.

Va-t-il s’indigner de s’être indigner trop tôt ? Va-t-il suspendre son soutien à un boycott anti-israélien qu’il justifiait par cette charge dorénavant sans légitimité onusienne ? Nul ne s’engagera pour le moment à répondre par l’affirmatif.

En revanche, pour ce qui concerne le Hamas et la confirmation de ses crimes de guerre commis à l’encontre des Israéliens car « ses roquettes ont été tirées intentionnellement et d’une manière indiscriminée sur des cibles civiles » (dixit Goldstone), il est aisé de douter que Stéphane Hessel s’irritera de ce fait et qu’il continuera, à l’opposé, à comprendre les terroristes ‘’palestiniens’’ qui subissent « une forme d’exaspération ». Une position allant à l’encontre de la défense des valeurs et des droits de l’homme qu’il prétend incarner.

C’est ainsi que l’icône Stéphane Hessel, sauf à se désavouer publiquement et rapidement, écornera un peu plus l’image du ‘’sage’’ qu’il prétend être.
   
Autre ‘’icône’’ du journalisme, Charles Enderlin analyse sur son blog la réaction de « L’Israël officiel » qui « pavoise » à propos de cette même rétractation. Outre que nul autre que lui ne s’étonnerait qu’un accusé, d’autant plus lorsqu’il l’est systématiquement, se réjouisse de voir son innocence reconnue, ce propagandiste affirme, sans la moindre preuve ni aveux de Richard Goldstone, que ce dernier a subi des pressions de la communauté juive : « Dans sa synagogue, en Afrique du Sud, on ne voulait pas l’appeler à la Torah lors de la Bar Mitzva de son petit fils ». Aïe ! Aïe ! Aïe !

dimanche 3 avril 2011

La correction de Richard Goldstone face à la presse francophone

Le juge sud-africain mandaté par le Conseil des Droits de l’homme pour commettre un rapport sur l’opération militaire « Plomb durci » sur Gaza en 2008-2009  s’est rétracté et a démenti les conclusions de son propre rapport dans une libre opinion parue dans le Washington Post  du 1er avril. Il en sort incontestablement que les « civils n'étaient pas intentionnellement la cible » d’Israël et, par conséquence, que ce pays est innocent de toutes imputations de crimes de guerre.

Soit l'accusation centrale de ce rapport. Un réquisitoire qui, au vu de sa gravité, avait, alors, fait la une des médias pendant plusieurs jours sans discontinuer.

Dans cette même chronique, Richard Goldstone rappelle en revanche, « que les crimes qui auraient été commis par le Hamas ont été intentionnels ».

Autre renseignement d’importance devant logiquement faire la une de ces mêmes médias.

Cependant, deux jours plus tard, le quidam lambda attend toujours la parution de ces nouvelles dans son média préféré. Seuls quelques uns d’entre eux ont abordé le sujet et de façon détournée.

Ainsi, Le Figaro a titré : « Nétanyahou attaque le rapport Goldstone ». Titre qui néglige la rétractation du chef des experts onusiens et laisse supposer que le chef du gouvernement israélien n’a toujours pas digéré le rapport accusateur. Intitulé coiffant une dépêche de Reuters dont on a du mal à comprendre la rétractation du juge sud-africain.

Dépêche reprise par L’Express.fr, Yahoo France, LaProvence.com, Le Nouvel Obs., La Tribune, et Parisnormandie.fr. et chapeautée de la même façon.

RFI, quant à lui, diffuse sa propre dépêche intitulée « Le juge Goldstone atténue ses critiques contre Israël ». Toujours coupable mais moins que précédemment ?

Euronews affirme de son côté qu’« Israël veut faire oublier les accusations de crime de guerre à Gaza ». L’art et la manière de faire oublier le sujet principal.