vendredi 20 janvier 2017

Donald J. Trump doit imposer le caractère juif de l’Etat d’Israël

Nul ne peut dire que la paix concernant le conflit proche-oriental est à portée de main. Cela, malgré que la planète ‘’amie’’ ait prodigué, pendant plusieurs décennies, des conseils à l’allié israélien, voté des résolutions et même des condamnations incroyables envers celui qui a « colonisé » la « Palestine » dénommée jusqu'à la résolution 181 Judée et Samarie !

Celui-ci, refusant de se suicider, est tout de même prêt à des concessions douloureuses qui permettraient la naissance d’un énième état musulman vivant en paix auprès de la nation du peuple juif. 

Objectif inacceptable pour les tarés d’Allah qu’ils aient pour nom, entre autres fascistes, Fatah, Hamas, Hezbollah ou Iran.


Il est donc temps que le Président Donald J. Trump impose cette paix afin que les ‘’Palestiniens’’ et leurs ‘’frères’’ goûtent pleinement la défaite et ne rêvent plus à l’éradication de l’Etat d’Israël. Le parler vrai et la réalité devront donc balayer la politique politicienne et le narratif mensonger ayant permis l’éclosion d’un peuple ayant comme seul visée la fin de « l’entité sioniste ».

D’ici quelque jours, l’ambassade US sera, semble t-il, transférée de Tel-Aviv vers Jérusalem. Si cela est un premier point positif, la déclaration que cette ville est et restera la Capitale une et indivisible de l’état juif doit accompagner ce déplacement.

Le second point doit s’attarder sur l’exigence ‘’palestinienne’’ d’un « droit au retour » au sein même de l’Etat d’Israël de « réfugiés » héritant de ce titre de père en fils. S’il faut trouver une solution à ces individus, rejetés mécaniquement par leurs pays de naissance, celle-ci doit exclure totalement une quelconque immigration dans l’état juif.

L’état à naître devra opter pour un régime démocratique tel que connu dans le monde occidental. Un homme une voix. La tutelle internationale garantira le respect de cette exigence, quitte à en prendre le contrôle dès un écart observé.

Autre point crucial, la « Palestine » ne sera pas judenrein. Les Israéliens vivant dans le territoire attribué à ce nouvel état auront le loisir de vivre, s’ils le désirent, entant que citoyens. Nul nettoyage ethnique ne sera toléré.

lundi 16 janvier 2017

La France, puissance internationale ? La bonne blague !

Lors d’un entretien, accordé à la chaîne française France 3 , le Ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a assuré que le déplacement de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem « (…) serait extrêmement lourd de conséquences (...) Quand on est président des États-Unis, sur cette question on ne peut pas avoir une position aussi tranchée, aussi unilatérale, il faut chercher à créer les conditions de la paix ».

« Je crois que Donald Trump sera dans l'impossibilité de le faire » a t-il ajouté !


Chacun s’interrogera donc sur les lourdes suites attendues si le Président élu us tiendra parole ?

- Les Israéliens rompraient-ils les liens diplomatiques avec les USA ou tout autre pays ? Nul ne l’imaginerait !

- Envahiraient-ils l’ambassade us comme l’ont fait les Iraniens en 1979 ?

- Initieraient-ils une terreur menaçant la communauté internationale ?

- Refuseraient-ils toutes négociations de paix ?

Rien de tout cela !

Les seuls effets nuisibles faisant écho à cette volonté us, souhaitée depuis fort longtemps par les deux chambres parlementaires, ne pourront être que les réactions violentes venant de la part des ‘’palestiniens’’ et du monde arabe, coutumiers de la menace, de l’intimidation, du chantage, plutôt que du dialogue et de la paix.

Une réalité qui explique la situation catastrophique actuelle des pays rattachés à cette civilisation !

Mais le plus nauséeux de ce constat est le réflexe de ce ministre français, d’avance apeuré à l’idée d’un monde arabe mis devant le fait accompli d’une Jérusalem juive ! Un ministre ayant un maroquin dans le gouvernement d’un état qui se targue d’être la cinquième puissance mondiale.

Une nation qui n’a de cesse, depuis plusieurs décennies, d’être ‘’courageusement’’ en pointe dans le combat anti-israélien au nom d’une politique arabe tout en se prétendant « ami » de l’Etat d’Israël !

Une ‘’puissance’’ ayant voté récemment en faveur de résolutions de l’Unesco attribuant les lieux saints du Judaïsme à l’Islam et incapable de rappeler que le peuple juif a plus que des droits sur Jérusalem mais pareillement en Judée et Samarie !

Une soumission totale qui rappelle étrangement la conduite française lors d’une autre époque à l’égard des juifs, l’Etat d’Israël étant devenu de nos jours, à son tour, le juif des nations.

vendredi 13 janvier 2017

Eliminer, coûte que coûte, Donald J. Trump

Le 8 novembre 2016 l’homme d’affaire Donald J. Trump a été élu Président des USA. Résultat qui fut un coup terrible pour Hilary Clinton, le parti Démocrate et Barack Hussein Obama qui fit campagne comme pour un suffrage le concernant directement.

Depuis cette date, il ne se passe pas une journée sans une tentative désespérée de lui reprendre cette victoire !

Homme dangereux pour la gauche

Il n’a suffit que de quelques jours pour qu’une demande de recomptage des voix ne soit exigée et obtenue. Vérification qui attribua, au final, des bulletins de votes supplémentaires au président élu !

Après ce revers est venue une tentative de corrompre les grands délégués chargés de confirmer le résultat. Une pétition dans ce sens a obtenu près de cinq millions de signataires.

Vint ensuite l’affirmation et la répétition jusqu’à plus soif d’un piratage des Usa par la Russie. L’horrible de ce fait n’étant pas trop, semble t-il, cet espionnage par lui-même, mais seulement qu’il ait favorisé Donald J. Trump lors de la campagne électorale.

Tout cela ne suffisant pas pour le faire chuter, un dossier comprenant des accusations à charge, que nul ne peut prouver, a été diffusé dans la presse. L’essentiel de celui-ci serait une vidéo compromettante, détenue par le Kremlin, permettant l’exercice d’un chantage direct sur le Président élu.

Gageons que, là encore, cela s’avérera mensonger !

Au delà de ces faits très peu respectueux de l’esprit de la démocratie, il est désormais inévitable de s’interroger sur le motif d’une telle hargne à vouloir empêcher l’élu de présider ? Qu’elle est donc la réelle motivation de ce lynchage publique d’un homme qui, jusqu’à preuve du contraire, a toutes ses facultés intellectuelles et un casier judiciaire vierge ?

Ses frasques, son langage, son excès de richesse ou son manque d’expérience politique ne peuvent être des réponses suffisantes et correctes. Si cela était, alors peu d’être humain pourraient diriger les USA ni tout autre état !

La seule réponse logique étant que le programme prôné par celui-ci est probablement ressenti comme un véritable danger pour l’ordre établi.

mercredi 11 janvier 2017

Transfert de l’ambassade us à Jérusalem

Le nouveau Président des USA Donald Trump a, selon celle qui a dirigé sa campagne électorale Kellyanne Conway, comme « priorité absolue » de déplacer l’ambassade américaine de Tel-Aviv vers Jérusalem, reconnaissant, de fait, cette ville comme la Capitale de l’Etat d’Israël.

C’est dit et répété à tel point que l’Autorité palestinienne commence à réagir !

Le Président (à vie) de celle-ci, Mahmoud Abbas, a écrit à différents dirigeants, dont ceux de la Russie, de la Chine et de l'Union européenne, les appelants à ne pas « épargner leurs efforts » pour contrer un tel déplacement.

Il a également prévenu Donald Trump que ce déménagement représentait une « ligne rouge » pour les ‘’Palestiniens’’ : « Toute déclaration ou prise de position qui remet en cause ou modifie le statut de Jérusalem est une ligne rouge, et nous ne l'accepterons pas ».

Saëb Erekat, Secrétaire générale de l’Olp, a averti que si les Etats-Unis transposaient leur ambassade à Jérusalem, cela « détruirait les perspectives de paix », prédit une colère publique qui entraînera la fermeture de toutes les ambassades américaines du monde arabe, que l’Organisation de libération de la Palestine annulera sa « reconnaissance de l’Etat d’Israël »  ainsi que tous les accords déjà signés avec ce pays et, enfin, qu’il démissionnera.

D’autres pays, tel la Jordanie, ont exprimé la même vision ! Elle a le mérite d’être claire. Il y aura du grabuge !

Non pas tant pour cause d’un transfert d’une ambassade mais bien que Jérusalem ne soit reconnue comme une ville juive et la Capitale du pays honni et voué à l’éradication.

Des paroles en l’air ?

Deux choix s’annoncent donc pour le Président élu :

- Un transfert de l’ambassade et plusieurs pays musulmans s’enflammeront. On peut supposer qu’il y aura des manifestations géantes devant les ambassades us, voire que celles-ci soient envahies et détruites, et que quelques gouvernements rappelleront leurs ambassadeurs, ou même désigneront les diplomates américains persona non grata.

Quelques attentats sont mêmes à envisager ainsi que les pressions de pays ‘’amis’’, telle la France, assurant le ‘’tort’’ causé à la paix, jamais obtenue jusqu’à présent !

Sans oublier l’état juif qui subira un énième assaut de la barbarie ‘’palestinienne’’ très vite maitrisé par Tsahal.

- La deuxième solution serait, sous la pression, d’annuler directement ou par voie détournée ce transfert tant annoncé depuis 1995 par les deux chambres parlementaires us. Ce renoncement serait la signature de la lâcheté occidentale, particulièrement us, et une sacrée victoire pour ce monde musulman si désireux d’islamiser la planète.

mardi 10 janvier 2017

L’Etat d’Israël jeté en pâture

Le quinze janvier prochain doit s’ouvrir à Paris une conférence internationale sur le Proche-Orient, avec quelque 70 pays, pour réitérer le soutien de la communauté internationale à la solution à deux Etats, israélien et palestinien.

Réunion politique dénoncée par le Premier ministre israélien mais tout de même maintenue.

L'avenir tracé de la France

Ce qui a aussitôt fait sortir du bois une flopée d’anciens ambassadeurs français assurant, lors d’un appel publié par Le Monde -éternel complice, que « « La France doit reconnaître l’Etat palestinien avant qu’il ne soit trop tard ».

Tous les poncifs menant le lecteur ignare et/ou antisémite à supporter cette demande ont été utilisés : « Terres palestiniennes », « siège de Gaza », « mainmise grandissante sur Jérusalem », « mépris du droit international » ou encore, mais liste non exhaustive, « gouvernement au nationalisme religieux » !

Ce qui conduit très logiquement les signataires à s’interroger ingénument : « L’Etat palestinien peut-il encore résulter d’une négociation bilatérale ? ».

La réponse coulant de cette ‘’réflexion’’ ne peut être que non !

Cependant, tout quidam, refusant la lobotomisation ambiante et obligatoire, s’interrogera sur les refus ‘’palestiniens’’ des deux propositions de paix émises par Ehud Barak en l’an 2000 et par Ehud Olmert en 2008 ?

Qu’a-t-il manqué alors que les ‘’Palestiniens’’ réclament aujourd’hui ?

Les « frontières de 1967 », exigées de nos jours, ont été quasiment, sinon totalement offertes alors, la « décolonisation » devenant ainsi inévitable, mais aussi le partage de Jérusalem, y compris le Mont du temple mis sous tutelle internationale.

Qu’espèrent donc obtenir le gouvernement français et les pétitionnaires de plus de ce qui a été proposé par ces deux Premiers Ministres ?

-Pour tout quidam honnête intellectuellement rien de plus !
-Pour ceux connaissant les méandres de la politique arabe française faisant le jeu de l’Autorité palestinienne et de ses mandataires antisémites, sera ainsi obtenu un état reconnu quasi internationalement, certes sur le papier mais sans négociations directes et surtout sans concessions majeures ‘’palestiniennes’’ pour une paix digne de ce nom !

Tel l’abandon d’un « droit de retour » de millions de « réfugiés » au sein de l’Etat du peuple juif.

Ce qui conduira, par la suite, un futur gouvernement français, docile à cette même politique arabe, et ces mêmes tristes ambassadeurs à requérir des sanctions envers l’état juif qui refuse, encore et toujours, le « droit international » !

Voilà exactement ce à quoi joue cette France encouragée par des élections qui approchent. L’électeur antisémite est à flatter !

« Un encadrement international s’impose donc dans lequel la France, amie des Israéliens et des Palestiniens, doit être au premier rang. L’initiative diplomatique qu’elle a prise est essentielle et doit être soutenue par tous les Etats responsables, proches ou lointains, désireux de définir les conditions d’une paix juste et durable ».

Interdiction de rire !