dimanche 25 septembre 2016

Shana tova ou metouka 5777

Urgent ! Recherchons un artiste pour effacer la haine du juif des cœurs des gouvernants et de leurs peuples systématiquement anti-israéliens, un architecte pour construire la paix avec le monde musulman à la dérive, un professeur de maths pour leur apprendre comment additionner l’Etat juif aux résolutions des problèmes de l’humanité plutôt qu’à le soustraire et enfin un câbleur pour rétablir le courant continu entre le ‘’machin’’ et l’Etat d’Israël.


Que cette nouvelle année 5777 soit porteuse d’un renouveau de l’Onu et la fin de cette « farce morale » qu’elle est devenue, et qu’elle soit pour vous une année de santé, bonheur et d’enrichissement intellectuel et pécuniaire.

vendredi 16 septembre 2016

Appel à nuire à l’Etat d’Israël

JCall soutient un appel lancé aux Juifs du monde entier par cinq cents personnalités israéliennes dont les habituels David Grossman et Amos Oz : « Si vous aimez Israël, vous n’avez plus le droit de vous taire ! ». Un cri « afin de développer une action coordonnée pour mettre fin à l’occupation et bâtir un nouvel avenir, dans l’intérêt de l’État d’Israël et des générations futures ».

JCall, association rassemblant « des citoyens juifs européens et des amis d’Israël qui sont à la fois profondément attachés à l’existence et à la sécurité de l’Etat d’Israël » a répondu présent pour ce « nouvel avenir » basé sur les exigences ‘’palestiniennes’’, à savoir la création d’un état judenrein et ayant, évidemment, Jérusalem-est comme capitale.

Le bureau français de La Paix maintenant, quant à lui, par la plume de son Président Alain Rozenkier, soutient l’initiative « Decision at 50: demanding a referendum for the future of Israel ». La demande d’un scrutin, à l’approche du 50e anniversaire de la Guerre des Six Jours, afin que le peuple israélien puisse s’exprimer sur le choix de la voie à suivre.

A savoir :
– soit un état binational de la mer à la rivière
– soit deux états pour deux peuples.

Deux propositions qui se résument au choix de la corde pour le pendu. Chaque quidam honnête intellectuellement sachant, par avance, que l’Ouma n’acceptera rien d’autre que la fin de toute idée d’un état pour le peuple juif.


Une consultation électorale censée éclairer le gouvernement mais dans les faits restreignant d’autres options telle une confédération israélo-arabe -au régime démocratique, étendue à la Judée, à la Samarie, la bande de Gaza et hors Jérusalem- dans laquelle les deux peuples vivraient en bonne intelligence.

Quitte à consulter le peuple israélien, que cela soit fait sur un large échantillon de propositions prenant en compte, notamment, les droits de l’homme israélien de vivre sur tout territoire de la planète et incontestablement dans le berceau historique du Judaïsme.

Possibilité que ces ONG israéliennes et de la diaspora juive n’imagineraient pas tant le narratif mensonger et antisémite musulman les lobotomise. Des ONG si actives dans ‘’l’intérêt’’ d’Israël mais n’exigeant jamais la preuve formelle du désir ‘’palestinien’’ de vivre en paix aux côtés du foyer du peuple juif.

Des ONG voulant le ‘’bien’’ d’Israël trop souvent contre la volonté de la majorité des Israéliens eux-mêmes. C’est ainsi que la pression internationale qu’elles appellent sans cesse sur ce pays force celui-ci à un refus de compromissions nuisibles pour son avenir, le faisant passer en conséquence pour un pays ‘’criminel’’.

Des ONG si ingrates cependant dans la défense d’autres pays !

dimanche 11 septembre 2016

Après la Shoa, l’épuration des Juifs toujours aussi nécessaire à la ‘’Paix’’ !

Dans une vidéo récemment publiée, le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahou a dénoncé l’exigence de l’Autorité palestinienne et du monde musulman d’une « Palestine » nettoyée de la présence de tout juif. Un état tel que l’aurait souhaité Hitler pour l’Europe, voire plus. Une exigence jamais dénoncée par les puissances occidentales pourtant tant soucieuses des droits de l’homme.

Homme non juif semble t-il !


Suite à ce clip vidéo, l’Afp, jamais en manque de titres racoleurs et anti-israéliens a titré : « Israël : Netanyahu critiqué après avoir parlé de "nettoyage ethnique" ». D’aucuns pourraient croire, à la lecture de ce titre, que l’épuration des arabes de l’Etat juif est proposée, voire en cours ! Cependant, il s’agit d’une exigence ‘’palestinienne’’ jamais abordée dans les colonnes des médias reprenant en chœur cette désinformation permanente.

Une revendication basée sur « l’illégalité des colonies » démontrée, dit-on dans les chancelleries, par le droit international. Lequel ? Nul ne peut le citer. Un diktat qui justifierait, à posteriori, le nettoyage ethnique opéré en 1948 par la (Trans) Jordanie à l’encontre des juifs qui y vécurent depuis des millénaires.

Il a donc suffit que cela soit dénoncé publiquement pour voir accourir la réaction affolée de l’administration US qui a qualifié cette intervention ‘’d'inutile et d'inappropriée’’. « Nous sommes évidement en désaccord avec le fait de qualifier ceux qui s'opposent à la construction de colonies ou les considèrent comme un obstacle à la paix, comme des partisans du nettoyage ethnique des juifs de la Cisjordanie »

Et c’est pourtant le B-A BA de la ‘’Paix’’ imposée de plus en plus à l’Etat juif ! Les villes et villages juifs en Judée, en Samarie mais aussi les quartiers de Jérusalem-est devront être démantelés au nom de cette ‘’paix’’ qui ressemble de plus en plus à une condamnation à mort de l’état juif.

Une ‘’paix’’ qui verrait le juif interdit de tout séjour dans le berceau du Judaïsme, y compris dans sa Capitale historique.

Une ‘’paix’’ qui verrait le juif soumis à l’autorisation de prier sur ses lieux saints.

Une ‘’paix’’ qui installera l’idée que l’épuration de Juifs est permise !

Mais une ‘’paix’’ qui verrait les ‘’faiseurs de paix’’ se congratuler, se partager des prix et le monde musulman obtenir sa revanche !

Il ne restera plus ensuite, à ces derniers, qu’à décider, entre eux, du nombre de « réfugiés » en droit de ‘’retourner chez eux’’, en Israël, état, évidemment, non reconnu comme état du peuple juif et ayant, bien sûr, Tel-Aviv comme Capitale !

Combien d’Israéliens, y compris de gauche, seraient enthousiasmes à l’idée de cette ‘’paix’’ favorisant aussi bien un ‘’peuple’’ encore inconnu en 1967 et n’ayant jamais eu aucun territoire à lui ?

Pas grand nombre !

jeudi 1 septembre 2016

Le ‘’Droit international’’ et l’Etat d’Israël

L’envoyé spécial de l'ONU au Proche-Orient, Nickolay Mladenov a déclaré récemment devant le Conseil de Sécurité : « Soyons clairs, aucune acrobatie juridique ne peut changer le fait que ces postes avancés -- qu'ils soient légalisés selon la loi israélienne ou non (...) -- demeurent illégaux au regard des lois internationales ».

Quelles lois ? Nul ne le saura !

Si l’on s’en tient à cette vérité dominante, à ce discours ambiant, l’Etat d’Israël « occupe » et « colonise » depuis 1967 un territoire qui ne serait pas le sien. Ce qui stupéfiera tout historien sérieux connaissant le passé juif sur celui-ci depuis plusieurs millénaires et jusqu’à l’année 1948, date du nettoyage ethnique entrepris envers ce peuple par la Jordanie. Expulsion qui ne dura que dix-neuf années.

Si historiquement nul ne peut contester ce lien charnel, beaucoup cependant affirment que le Droit international certifie cette « occupation ».

Qu’en est-il exactement ?


La première des lois concernant l’établissement d’un foyer juif national est le Traité de San-Remo adopté par la S.D.N. le 24 avril 1920. Rien dans celui-ci ne limitant son étendue, l'établissement du foyer national pour le peuple Juif est donc bien inclus sur la totalité de la Palestine du mandat, celle-ci s’étendant de la Mer méditerranée à l’Irak et de la Syrie à l’Arabie Saoudite.

Sauf que les intérêts pétroliers de la Grande-Bretagne n’étant plus totalement en phase en 1922 avec ce projet, cette puissance viola sans pudeur cette loi internationale en offrant unilatéralement près de quatre-vingt pourcent de cette région à la tribu d’un des fils de l’Emir de la Mecque, les Arabes locaux n’ayant, semble t-il, aucun droit.

Chacun pourrait donc penser que les vingt pourcent restant seraient attribué au foyer du peuple juif ! C’était sans compter sur le refus absolu du monde arabe qui contraignit la Grande-Bretagne à affirmer, en 1939, que « Le gouvernement de Sa Majesté déclare aujourd’hui sans équivoque qu’il n’est nullement dans ses intentions de transformer la Palestine en un État juif ».

Ainsi est effacé le Traité de San-Remo !

Décision rendue malgré le refus quasi-planétaire énoncé à la Conférence d’Evian de 1938 de trouver une solution aux réfugiés juifs fuyant l’Allemagne et l’Autriche devenus le Grand Reich.

Ce qui a autorisé ensuite les uns à génocider six millions de Juifs sous le silence complice des autres !

Face à ce massacre sans nom, les puissances ne purent faire autrement que de faire voter le 29 novembre 1947 par l’Assemblée générale de l’Onu la création d’un état juif. Cependant, sur une partie restreinte de la rive ouest de la Palestine du mandat. 

Le monde arabe jamais en retard, lui aussi, d’une violation du Droit international décida d’en finir le 15 mai 1948 avec ce dessein en jetant les Juifs à la mer. Ce qui lui valut une sacrée défaite ainsi que l’absorption de centaines de milliers de réfugiés arabes.

D’où la résolution 194 de l’Assemblée générale de l’Onu réclamant, dans son article onze, ‘’le retour des réfugiés dans leurs foyers, et une indemnisation compensant les biens pour ceux décidés à ne pas rentrer’’. Interprétant la loi à leur sauce, d’aucuns exigent aujourd’hui le retour de leurs descendances. Soit plusieurs millions de ‘’Palestiniens’’ gorgés d’antisémitisme.