Sous ses traits
austères, le Président (à vie) de l’Autorité palestinienne (AP) est un
sacré comique. Ne sachant pas par quel bout obtenir l’éradication du seul état
juif de la planète, il a demandé « au Secrétariat Général de la Ligue arabe de nous aider à préparer
un dossier juridique pour intenter une procédure contre le gouvernement
britannique, pour avoir émis la Déclaration Balfour et l’avoir mise en œuvre,
en qualité d’autorité mandataire ».
Car « cette
déclaration maudite (…) a été donnée par ceux qui ne possédaient pas [la
Palestine] à ceux qui ne la méritaient pas », c'est-à-dire au peuple
juif.
Porter plainte contre
cette lettre d’intention de 1917, c’est s’en prendre également à la décision de
la SDN qui a avalisé le 25 avril 1920, lors de la Conférence de San-Remo,
la décision de créer ce foyer juif sur la Palestine du mandat qui s’étalait,
alors, de la Mer Méditerranée à l’Irak.
Mais là n’est pas le
plus risible !
La seule juridiction
compétente pour instruire ce procès serait, en conséquence, la Cour
Internationale de Justice, (CIJ).
A elle s’offrirait
trois jugements éventuels :
Le premier serait d’aboutir
à un verdict conforme aux espérances ‘’palestiniennes’’. L’Etat d’Israël
serait aussitôt effacé de la carte et le territoire serait, définitivement,
remis aux véritables propriétaires.
Il ne restera plus qu’à les trouver !
Exit, pour la recherche,
tous les colonisateurs s’étant abusivement approprié cette région. La Grande
Bretagne en sera exclue mais aussi la Turquie, les Arabes, l’Italie,
la Grèce ou encore l’Iran.
Les seuls à pouvoir
prétendre à une pleine propriété pour y avoir créé leur état, leurs
administrations, leur monnaie, leur drapeau ou encore leur culture ne sont pas
les ‘’palestiniens’’, dont nul n’a, à ce jour, retrouvé un quelconque passé
dans les millénaires précédents, mais le peuple juif qui y vécut plus d’un millier
d’années avant qu’il ne soit déporté à travers la planète par les colonisateurs
successifs.
Une vie si riche dont
on trouve encore trace à ce jour sur ce territoire et un peuple qui, même
minoritaire, y a toujours vécu au fil des siècles et des différentes occupations.
Un verdict, en somme, qui contraindrait dans les faits à reconnaître toute la
légitimité de l’actuel Etat d’Israël, état du peuple juif.
Chacun imaginera alors la
bouffonnerie de cette situation !
La deuxième sentence de
la CIJ serait de confirmer toute la recevabilité de la décision anglaise
reprise par le concert des nations en 1920. Chacun doutera que le ‘’comique’’ Mahmoud
Abbas, dépité par cet arrêt, cesse son combat antisémite et que l’Autorité
palestinienne mais aussi le monde musulman secondé par la gauche internationale, elle aussi antisémite, conviennent, dans la foulée, que l’Etat d’Israël est légal.
Ces trois composantes
étant très peu portées par les jurisprudences qui les desservent.
La troisième possibilité
offerte à la Cour serait de se dire « incompétente ».
Ce qui serait, là encore, une reconnaissance de facto de l’Etat d’Israël
incorporant la Judée et la Samarie telle que la lettre de Balfour
mais aussi la Conférence de San-Remo le laissent entendre.
Bien que tout quidam à
la recherche de la Justice soit tenté de l’inciter à y aller, nul n’imaginera réellement
que l’absurde Mahmoud Abbas s’empressera de tenter ce procès. Sa haine viscérale
du Juif lui conseillant de se retenir.
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1 commentaire:
La manne financière est d'environs 1.2 milliards de dollars par an. En admettant qu'il se limite à 1% ,son "salaire" est d'un millions de dollars par mois. On comprend aisément pourquoi il n'a aucune envie de partir.
Franco
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