lundi 30 mars 2015

« Au nom du Temple » : Une nouvelle charge anti-israélienne de Charles ENDERLIN

A l’occasion de la diffusion par France 2 de son documentaire tiré de son livre « Au nom du Temple », Charles Enderlin répond aux questions de Télérama . Un documentaire censé expliquer aux téléspectateurs « les raisons de la quatrième victoire de Benjamin Netanyahou » et un correspondant permanent à Jérusalem décrit comme ne s’écartant « jamais de son rôle d'observateur sans concession de la société israélienne ».

De quoi faire rire et sourire jaune tout véritable quidam, honnête intellectuellement et connaisseur du conflit, à la lecture de tant de mensonges et d’absurdités dites par ce ‘’professionnel’’ !


Suivent donc quelques corrections :

- « Mais la perspective de Naftali Bennet à la tête d'un ministère de l'Education constituerait un choc pour la gauche israélienne, sachant que le précédent ministre de l'Education, du Likoud, organisait tout de même des excursions dans les colonies, notamment à Hébron… ».

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Outre que les parents avaient alors le choix de refuser cette excursion pour leurs enfants, il ne s’agissait pas de visiter la « colonie » de Kiryat Arba sise aux côtés de Hébron, ou toutes autres, mais le tombeau des patriarches où sont enterrés Abraham, Sarah, Isaac, Rébecca, Jacob et Léa

Pèlerinage sur un lieu saint qui ne peut que choquer cette gauche dont on se demande encore ce qu’elle peut bien faire au sein d’un peuple qui revendique fièrement dans sa grand majorité son Judaïsme ?

- « Oui, sur l'Etat palestinien, ils sont, à peu de chose près, sur la même ligne. Avigdor Libermann (Israël notre maison) veut bien d'un Etat palestinien mais essentiellement pour se débarrasser de la population arabe israélienne car il veut ‘’deux Etats ethniquement homogènes’’ ».

Chacun y verra dans cette affirmation la solution de deux états pour deux peuples.

Mais Charles Enderlin étant un « observateur sans concession » selon ses pairs, chacun s’étonnera de ne jamais l’avoir entendu, lors d’un quelconque reportage, renseigner ses téléspectateurs sur la revendication de l’Autorité palestinienne de se « débarrasser » de la population juive afin de créer une « Palestine » judenrein ? Ni sur son exigence d’un Etat d’Israël binational car se devant de recevoir des centaines de milliers de descendants des « réfugiés » ? 

Là encore deux états certes, l’un étant exclusivement pour les arabes, le second devant se transformer petit à petit en un énième état musulman accordant les droits aux minorités que chacun sait.

Par ses silences répétitifs et le choix de ses mots, aux yeux de la gauche fétide représenté par le ‘’pro’’ de France 2 Avigdor Liebermann est un donc extrémiste et Mahmoud Abbas un grand ‘’pacificateur’’ !

- « Une seule fois, en 2009, après le fameux discours au Caire de Barack Obama, il a prononcé les mots « Etat palestinien » mais en y ajoutant des conditions inacceptables »

Quelles sont-elles ?

- Reconnaissance d’Israël comme étant l’état nation du peuple juif, une « Palestine » totalement démilitarisé, abandon de la revendication du ‘’droit au retour’’ des descendants des « réfugiés » au sein même de l’Etat d’Israël et la sécurité de celui-ci restant entre ses propres mains.

Inacceptables ces conditions ? Chacun en conclura l’objectif réel de Charles Enderlin à défendre autant les ‘’Palestiniens’’ !

- « Difficile, parce que le discours de Netanyahou, totalement sécuritaire, est fondé sur la peur. Il veut faire peur et il a réussi en déclarant que la politique de la gauche et du centre amènerait les islamistes aux portes de Jérusalem ».

C’est un ‘’pro’’ qui l’affirme ! Ceux qui croiront un instant à la possibilité de voir le Hamas et/ou le Hezbollah parmi tant d’autres organisations ‘’charitables’’HamasHH s’installer en Judée et en Samarie sont donc des imbéciles et influençables au possible !

mardi 24 mars 2015

La mauvaise foi de Barak Obama

« Nous ne pouvons simplement pas faire comme si ces propos n’avaient jamais été prononcés ou ne soulevaient pas des questions sur l’engagement du Premier ministre à atteindre la paix à travers des négociations directes », a déclaré, lors de la dernière conférence de J Street, Denis McDonough, secrétaire général de la Maison Blanche, évoquant les déclarations « troublantes » de Benjamin Netanyahu.

« Les enfants palestiniens méritent le même droit d’être libres sur leurs terres que les enfants israéliens sur les leurs », a-t-il poursuivi, conviant le prochain gouvernement israélien à montrer, avec des actes et pas seulement des mots, un « engagement sincère » envers une solution à deux Etats.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Pour ce qui est des ‘’actes et engagements sincères’’ de la part de l’Autorité palestinienne (AP) envers une solution à deux états pour DEUX peuples chacun repassera ! Que les enfants israéliens soient libres mais sous la menace terroriste constante est un détail qui importe peu, semble t-il, au Président US.

Voire pas du tout si l’on reprend l’entretien de Benjamin Netanyahou donné au site NRG dans son intégralité et que l’on analyse ce qui y est dit : 


Question : « Une partie des électeurs est indécise entre le Foyer juif et le Likoud. Vous avez dit que le discours de Bar-Ilan n’est pas pertinent. Je veux que nous avancions. Est-ce, comme le dit Bennet (…) Si vous êtes Premier Ministre il n’y aura jamais d’état palestinien ?

Réponse : Je pense que celui qui voudra établir un état palestinien et se retirera de nos terres aura juste céder du terrain face aux attaques terroristes des islamistes radicaux contre Israël. C’est la réalité qui s’est installée ces dernières années. Celui qui ne comprend pas cela enfonce sa tête dans le sable. La gauche le fait. Elle enfonce sa tête dans le sable à chaque fois. Quant à nous, nous sommes réalistes. Nous savons, je pense que tout le monde comprend aujourd’hui que le sujet est de savoir qui composera le prochain gouvernement. Nous ne plierons pas. Nul n’aura concentré tous ces efforts contre moi si nul ne pensait que j’étais un frein. Ils comprennent cela. On a fait face à des pressions énormes. On a fait face et on continuera.

Question : Mais si vous êtes Premier ministre un état palestinien ne verra pas le jour ?

Réponse : C’est exact ! » 

- Pouvons-nous, nous autres simples lecteurs, à l’instar de Barak Obama simplement faire comme si ces propos de prudence n’avaient jamais été prononcés lors de l’interview par le Premier ministre réélu ?

- Pouvons-nous ignorer la mauvaise foi du locataire de la Maison blanche lorsqu’il sélectionne uniquement ce qui sert son antipathie ?

- Pouvons-nous, en conséquence, refuser de nous interroger sur l’engagement réel du Président us à atteindre une paix digne de ce nom ? 

Après six années de mandat, toujours désireux d’un premier succès en politique étrangère, il n’a toujours pas obtenu de l’AP la simple reconnaissance de l’Etat d’Israël comme étant celui du peuple juif !

- Pouvons-nous ignorer, de surcroît, la réalité géopolitique de cette région à l’instar de ce président qui rêve tant à un accord sur le nucléaire avec l’Iran ? 

Au grand dam de son principal allié mais aussi des pays sunnites de la région !

- Pouvons-nous, au final, ignorer le fait qu’il se sert de l’organisation d’extrême gauche J.Street, qui s’affiche ‘’pro-Israël et pro-paix’’, afin de mieux diviser le peuple juif et desservir son foyer ancestral ? 

Une association qui, au contraire de l’AIPAC, ne soutient pas l’Etat d’Israël quel que soit son gouvernement, voire refuse que le Premier ministre Benjamin Netanyahou parle au nom du peuple juif.

lundi 23 mars 2015

Benjamin Netanyahou se doit de conserver la faveur de l’opinion américaine

Chacun se doute bien que si les dirigeants européens s’étaient contentés de rester des médiateurs intègres et non des entremetteurs intéressés, le conflit israélo-arabe se serait éteint de lui-même. Les pays arabes ont su jouer intelligemment de la haine contre les Juifs qui sévit en ce continent depuis des siècles. 

Le narratif mensonger d’un « peuple palestinien » est donc une mystification qui, par ses répétitions incessantes, est devenue une réalité.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

De nos jours, Barak Obama dit envisager réévaluer le soutien des USA envers l’Etat d’Israël, notamment à l’Onu lors d’une énième résolution sur le conflit, au prétexte ténu que Benjamin Netanyahou s’est dit, pendant la campagne électorale, ‘’contre toutes cessions de terre qui facilitera les actions terroristes des islamistes radicaux contre les Israéliens’’.

La bande de Gaza étant le parfait exemple ! Le Liban sud le deuxième.


Le prix Nobel de la paix 2009 a donc décidé d’envenimer un peu plus le conflit avant son départ sans retour de la Maison blanche. Reste au Premier ministre réélu le devoir de s’adresser, au plus tôt, à l’opinion américaine tel qu’il l’a fait lors de son discours au congrès afin de la conserver intacte. 

Un discours qui a eu du succès dans l’opinion us et qui a rappelé, entre autres choses, quelques principes élémentaires :

« Avant la levée des restrictions, le monde doit exiger trois choses de l’Iran : Premièrement l’arrêt de son agression contre ses voisins du Moyen-Orient. Deuxièmement cesser de soutenir le terrorisme dans le monde entier. Et troisièmement cesser de menacer d’anéantir mon pays, Israël le seul et unique État juif »

Des demandes de bon sens partagées par nombres de pays voisins de l’Etat d’Israël et qui n’ont toujours pas été ingurgitées par Barak Obama.

Des exigences facilement transposables au conflit du Proche-Orient afin de permettre la création de la « Palestine » :

- Que les ‘’Palestiniens’’ cessent définitivement leur agression militaire et diplomatique contre leur voisins juifs.

- Que les ‘’Palestiniens’’ reconnaissent le droit du peuple juif à leur état sur la terre de leurs ancêtres.

- Que les ‘’Palestiniens’’ acceptent que leur futur état soit totalement démilitarisé.

- Que leurs frontières internationales soient sous la garde de l’Etat d’Israël pour quelques bonnes décennies.

- Que les ‘’Palestiniens’’ renoncent définitivement au ‘’droit de retour’’ des descendants des « réfugiés » au sein de l’Etat du peuple juif.

vendredi 20 mars 2015

Israël n’est pas une république bananière

« Ha am rotsé chinouï ». « Le peuple veut le changement ». C’était le slogan de ceux qui n’avaient comme programme que l’échec électoral de Benjamin Netanyahou. Le peuple les a bien plantés en réélisant triomphalement le Premier ministre sortant. 

Ce qui a déçu Itshak Herzog et Tsipi Livni qui auront, ainsi, tout le temps de décider qui commencera la rotation à la tête de l’opposition de la prochaine Knesset.

La déception fut aussi le lot de consolation de l’administration de Barak Obama qui s’est tant investie dans la chute de Benjamin Netanyahou et de son camp !


Pour ce, le porte-parole de la Maison Blanche, Josh Earnest, a indiqué que les États-Unis pourraient revoir leur stratégie d’alliance automatique avec l’Etat d’Israël, lors des différents votes aux Nations unies, en raison de la volonté du chef du Likoud de revenir sur la solution de deux États pour deux peuples exprimée lors des dernières heures de la campagne.

« L’action des États-Unis à l’ONU se fonde sur le principe qu’Israël s’engage à encourager la voie de deux Etats pour deux peuples. Si les autorités israéliennes rompent ce principe, alors de notre côté, nous pourrions revoir notre alliance stratégique avec l’État Hébreu ». 

« Pour le moment rien n’a été décidé mais les propos de Benjamin Netanyahou nous autorisent à réfléchir à un changement de position ».

De prime abord chacun saisira que rechercher l’accord de l’Autorité Palestinienne à cette même solution, deux états pour DEUX peuples, n’est toujours pas la priorité de cette administration. Mais quand bien même une résolution au Conseil de Sécurité imposerait les « frontières de 1967 » et Jérusalem-est comme Capitale de la « Palestine » judenrein, qui peut croire que les Israéliens respecteraient cet oukase ? 

Une résolution qui serait, de fait, une adaptation du « droit international » à la nécessité anti-israélienne du moment. Ce qui serait une première qui ne solutionnera, en rien, le conflit !

Cette résolution qui annulerait la 242, qui - elle-même - n‘a jamais été respectée par le monde arabe devant donner des frontières « sûres » à l’Etat du peuple juif, serait, en effet, une source d’ennuis judiciaire pour celui-ci. L’Europe, forte de sa défense des ‘’droits de l’homme’’, tentera bien d’appliquer en complément plusieurs sanctions à cet état ‘’indiscipliné’’ tout en escamotant, autant que faire se peut, le souvenir des Juifs boycottés sur son sol il y a seulement quelques décennies.

Sanctions qui inciteront l’état juif à rechercher d’autres partenaires vers l’Asie et l’Afrique.

Sur le plan militaire, nul n’osera attaquer une démocratie, de surcroît, si bien équipée et aussi efficace.

Comme on peut le constater, peu d’effets découleront de cette nouvelle stratégie us abandonnant son principal et meilleur allié au Proche et Moyen-Orient. Si l’on y ajoute l’amitié indéfectible du peuple américain, on peut largement douter que le Président Barak Obama, désireux de rester dans l’histoire, ait la possibilité d’un tel abandon ni même, le cas échéant, de prendre ou autoriser à l’échelle internationale des sanctions.

mercredi 4 mars 2015

Benjamin Netanyahou digne fils spirituel de W. Churchill

En 1938 l’Angleterre et la France ont signé les accords de Munich. Si ceux-ci avaient comme objectif d’assurer la Paix mondiale, chacun connaît ce qui s’en suivit. Plutôt que mettre un terme à la crise des Sudètes, ils permirent à l’Allemagne nazie de mesurer la faiblesse des puissances du moment puis d’agir selon son propre agenda.

Edvard Beneš, président de la Tchécoslovaquie d’alors, n’y fut pas convié, Neville Chamberlain et Edouard Daladier ne désirant pas, sans doute, se voir reprocher leur trahison ni autoriser quiconque à faire échec aux ‘’superbes accords’’ en préparation.

On eût aimé parallèlement qu’un ou plusieurs Juifs aient alors une audience internationale afin de préciser et rappeler l’antisémitisme ambiant de l’époque !


Le Premier ministre israélien a tenu son discours devant la quasi-totalité des élus américains. Rien de particulier n’est à noter hormis qu’il est ce Juif avec une aura que beaucoup jalouse ou qui effraie. A tel point que le Président Obama a tout fait pour le déconsidérer connaissant d’avance les points de l’accord qu’il compte signer avec l’Iran

Un contenu qui, semble t-il, s’oppose aux conditions minimales que peut accepter l’Etat d’Israël et qui mettra, à terme, l’état du peuple juif en grand danger.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Ainsi, l’Iran se verra, après une période de transition, autorisé légalement à devenir une puissance nucléaire. Ce qui serait irrémédiablement un appel direct à l’Arabie Saoudite, l’Egypte ou encore la Turquie à s’équiper autant. 

En un mot, le nucléaire à la portée de tout pays qu’il soit fiable ou non !  

Le grotesque étant que cet accord sera accepté par Barak Obama sans qu’il exige auparavant des Ayatollahs d’arrêter leur « agression contre leurs voisins du Moyen-Orient, de cesser de soutenir le terrorisme dans le monde entier, ainsi que de menacer d’anéantir mon pays, Israël, le seul et unique Etat juif », dixit Benjamin Netanyahou.

Trois petites conditions logiques qui, semble t-il pour le Chamberlain américain, sont peu de choses face à la ‘’paix mondiale’’.

Le Premier Ministre a dit son opposition mais surtout la décision israélienne irrévocable, qu’il soit élu ou non, de frapper militairement l’Iran en cas d’avancée vers la bombe nucléaire : 

« le savoir-faire nucléaire sans infrastructures ne vous permets pas de faire beaucoup. Un pilote de course sans voiture ne peut pas conduire. Un pilote sans avion ne peut pas voler. Sans milliers de centrifugeuses, des tonnes d’uranium ou des installations d’eau lourde, l’Iran ne peut pas fabriquer des armes nucléaires ».

L’avantage de ce discours tient dans le seul fait que le congrès américain est une caisse de résonnance mondiale. Ce discours ayant été retransmis dans les principales capitales, voire d’autres, l’opinion publique internationale est désormais informée de l’accord désastreux en préparation ainsi que du refus du peuple juif de se voir cantonner au seul rôle de spectateur de son malheur à venir.

dimanche 1 mars 2015

Barak Obama, prix Nobel de la lâcheté

Chercherait-on une nouvelle démonstration de la lâcheté des puissances occidentales qu’il suffirait de consulter les médias pour la trouver ! Des trahisons censées amener la paix mais qui, généralement, coûte cher à des tiers. 

L’exemple de la Tchécoslovaquie en 1938 est, évidemment, celui qui vient à l’esprit le plus facilement. Un pays trahi et démembré par ceux qui devaient, selon les accords signés, lui assurer une défense contre l’Allemagne nazie.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Une autre lâcheté a été, au sortir de la Shoa, de créer en 1946 la Transjordanie à l’est du Jourdain et sur quatre-vingt pourcent de la région Palestine sans, parallèlement, permettre la même année et par la même décision le renouveau de l’état du peuple juif sur le terrain restant. 

Une vilenie quelque peu rattrapée le 29/11/1947 par une résolution internationale partageant ce territoire devant revenir en 1946, de fait, au deuxième peuple habitant cette contrée. Une faiblesse vis-à-vis du monde musulman que l’Etat d’Israël paie par les guerres qui lui sont encore imposées.

Des conflits ayant mené les puissances à la conclusion que seule une « solution à deux états » mènerait à la paix. Une solution qui, par le détail, adopte les exigences du monde musulman rêvant depuis 1948, par des moyens guerriers ou par pression politique et diplomatique, à l’éradication du seul état juif de la planète.

Une ‘’Palestine’’ nettoyée de la présence des ‘’colons’’ juifs, aux ‘’frontières de 1967’’ qui ne sont que les lignes d’armistice de 1949, Jérusalem-est -comprenant le premier lieu saint du Judaïsme- comme capitale et un Israël état de tous ses citoyens se devant, de surcroît, participer à une ‘’juste solution’’ en ce qui concerne les ‘’réfugiés’’ et leurs très nombreuses descendances.

Un dénouement qui, faute de taper du poing sur la table, révèle la bassesse des puissances de ce monde menées par la peur mais aussi par l’intérêt de soi. Le pétrole, les pétrodollars et le calme dans les banlieues des villes sont des arguments de poids préférables à la pérennité du seul refuge du peuple juif et à une paix véritable dans la région.

De nos jours, c’est le Président des USA Barak Obama, qui personnifie le mieux la lâcheté des grandes puissances. Dès son accession à la Maison Blanche, il a tendu la main à l’Iran dans l’objectif unique de trouver un accord historique devant garantir la nature exclusivement civile et pacifique du programme nucléaire perse. 

C’est ce qui était dit et compris par ses alliés, notamment l’Etat d’Israël premier concerné. D’où l’inaction de celui-ci à l’encontre des sites nucléaires iraniens.

Après les menaces militaires et les sanctions économiques s’avérant inefficaces face à l’intransigeance des Ayatollahs, les pays du 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) s’apprêteraient à signer un accord laissant aux mains de l’Iran des milliers de centrifugeuses nécessaires pour la fabrication de l’arme atomique.

Cet accord qui, selon les promesses us, devait lever les craintes de l’Etat d’Israël mais aussi celles des nombreux pays sunnites de la région se révélera n’être, de fait, qu’une admission formelle de l’Iran au sein du club très fermé des pays possédant l’arme atomique.

Un pas qui sera franchi probablement dès que les missiles intercontinentaux perses permettront d’atteindre les USA afin de les dissuader, le moment venu, de toutes représailles.

Les négociations entre les tarés d’Allah et les pays du 5+1 ont finalement révélé une nouvelle lâcheté occidentale. Un monde préférant fermer les yeux sur une intention clairement affichée plutôt qu’entreprendre une action armée limitée.

Plus d’une dizaine d’années de sanctions et de résolutions sous le chapitre VII ouvrant la voie à une intervention militaire n’ont pas fait renoncer la théocratie islamique.