mercredi 18 juillet 2012

Le mensonge étalé sur les murs new-yorkais


Une campagne pro-palestinienne, initiée par le «Comité pour la Paix en Israël et en Palestine» va s’afficher, en grand, dans le métro de New York. Une cinquantaine de stations vont être couverts de panneaux publicitaires dévoilant quatre cartes de la « Palestine ». Des cartes apposées les unes auprès des autres et qui exposent, à croire ces panneaux, un rétrécissement graduel de sa superficie s’étalant de l’année 1946 à 2010. Sur le côté est indiqué : « 4,7 millions de Palestiniens sont classés par l'ONU en tant que réfugiés ».


Que de mensonges en si peu de place !

A analyser la carte de gauche, la première réaction est de s’interroger sur le nom indiqué ? Y avait-il alors sur ce territoire une entité nationale nommée « Palestine » qui lui aurait permis, de nos jours, de colorier de sa couleur revendicative la quasi-totalité du pays ? Y avait-il un peuple pouvant se prévaloir, à lui seul, de cette nationalité ? Cette contrée n’était-elle pas, alors, administrée, sous mandat onusien, par la Grande-Bretagne car étant une région délivrée de la colonisation centenaire turque ? Cette région était-elle si réduite ou devrait-elle comprendre, encore à la date indiquée de 1946, le Royaume Hachémite de Transjordanie venant juste d’obtenir son indépendance sur un territoire à l’est du Jourdain et s’étalant sur quatre fois plus que celui attribué au peuple juif en 1948 ? Un pays de Transjordanie devenu Jordanie et octroyé aux musulmans habitant la région, alors que le reste situé à l’ouest de cette rivière, devait revenir à l’Etat d’Israël restant à créer.

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Tout cela ne sera pas indiqué sur cette première carte !

La deuxième carte affiche le plan de partition voté par l’ONU le 29 novembre 1947. Un plan de partition jamais reconnu et ni admis par le monde musulman. Un refus catégorique non rappelé au bon souvenir du lecteur et qui a vu l’Etat d’Israël naissant perdre près d’un pourcent de sa population, contrarier le projet de voir ses citoyens juifs jetés à la mer et conquérir des nouveaux territoires.

mercredi 11 juillet 2012

Le devoir d’information de Catherine Nayl


TF1 a donc diffusé quelques minutes des entretiens entre les policiers du R.A.I.D et Mohamed Mehra lors du siège de son appartement. Un dialogue qui a eu lieu après les tueries de soldats français d’origine maghrébine et de civils parce que juifs à Montauban et Toulouse. La voix d’outre tombe du forcené a évidemment fait hurler chez les familles des victimes. A tel point qu’une enquête judiciaire a été diligentée pour violation du secret de l’instruction qui, pour le moins, n’a guère fuité dans les médias sur la cause pour laquelle ce ‘’jeune’’ s’était sacrifié. A savoir la conquête islamique de la planète.

Selon Catherine Nayl, directrice de l’information du groupe, ces extraits contenaient « des informations très importantes sur la façon dont les hommes du raid ont négocié jusqu'au bout pour que Mohamed Mehra se rende ». « Nous l'avons fait en conscience parfaite de ce que cela pouvait avoir comme valeur informative ».


Il n’y a pas ici d’intérêt à polémiquer pour savoir si l’audimat a primé le devoir d’informer et le respect des familles des victimes mais plutôt d’insister sur le manque d’informations noté par ailleurs.

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Voici une toute petite liste de cette carence :

- TF1, comme d’ailleurs la quasi-totalité des autres médias français, n’a pas trouvé, lui non plus apparemment, de « valeurs informatives » dans la version de Philippe Karsenty qui accuse France 2 et Charles Enderlin d’avoir diffusé une « mise en scène » de l’assassinat de Mohamed A-Dura par l’armée israélienne. Articles, pétition, procès en Première instance, en Appel et en Cassation n’ont pas plus incité ce groupe télévisuel à diffuser l’un des deux documentaires démentant la version officielle sur le sujet de la journaliste allemande Esther Shapira diffusés, cependant, outre-rhin.

dimanche 8 juillet 2012

L’antisémitisme, une valeur en hausse


Nul de nos jours ne peut, sans se couvrir de ridicule, assurer que l’aggravation de l’antisémitisme en France et en Europe n’est pas due à l’inculpation systématique de l’Etat juif dans le moindre évènement du conflit proche-oriental. A force de charger la mule du Sionisme en l’accusant de « coloniser, d’apartheid, de tortures, de génocider,… », les soutiens inconditionnels de ce pays que sont les communautés juives de par le monde en paient le prix. Meurtres, bastonnades, insultes et autres saccages de synagogues en sont les stigmates.

Supposant que la dose n’était pas suffisante, d’autres ont ajouté au sordide. Sous couvert de lutte contre l’islamisation, la narration à charge de l’Etat d’Israël est disputée dorénavant par la condamnation du Judaïsme. Ainsi, le rituel de la cacherout est blâmé au nom de la défense des animaux. Ceux-ci, exigent les procureurs, doivent être assommés avant d’avoir la gorge tranchée afin qu’ils ne subissent aucune douleur.

Précaution qui aurait pu être louable si ceux qui prohibent cette façon millénaire d’abattre les bovins avaient autant de commisération envers tous les autres animaux.

Ainsi, nul de ces athéistes forcenés, n’a jamais élevé la voix ni le stylo pour condamner la chasse, sport qui occasionne très souvent de lentes agonies du gibier. Ni la pêche au filet asphyxiant lentement les poissons. Les milliers de requins agonisants au fond de l’eau après avoir eu l’aileron sectionné par le pécheur ne les touche guère plus. Le frétillement des crustacés sur l’étal du marchant attendant le chaland est toujours, pour ces protecteurs des bovins, signe de fraicheur et non pas celui du sursaut de la mort prochaine.

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Aucun de ces exemples, ni d’autres, ne sensibilisent les détracteurs de ce rite juif. Seul celui-ci est digne du combat qu’ils livrent. Les vaches, veaux et moutons ont bien de la chance.

Autre rite dénoncé comme « barbare », celui de la circoncision. Le prétexte étant une ‘’mutilation irréversible’’ exécutée sans l’avis de l’enfant encore mineur.

vendredi 6 juillet 2012

Faillite intellectuelle de la France et de l’Europe


Il ne se passe plus un seul jour en France sans que l’antisémitisme frappe. De l’insulte « sale juif » proférée à tout va, aux agressions contre des jeunes ou rabbins, en passant par le recouvrement de mezouzot de particuliers par des excréments, le saccage de synagogues, de livres saints voire le meurtre de Juifs, ce pays dit des Droits de l’homme s’enfonce dans un antisémitisme chronique. Un antisémitisme que les médias et hommes politiques refusent d’imputer clairement à leurs véritables auteurs musulmans. Une haine pourtant justifiée, par ceux-ci, par la défense de la « Palestine », ce pays encore imaginaire mais toujours installé comme ‘’victime’’ de la  ‘’barbarie israélienne’’ par les médias et la politique arabe du pays.

Ainsi, par une majorité des deux tiers, treize états membres pour, six contre et deux abstentions, le Comité du patrimoine mondial (CPM) de l'UNESCO a inscrit l'Église de la Nativité de Bethléem sur sa liste en tant que site ‘’palestinien’’. Voilà donc un peuple pas encore âgé de cinquante années à la tête d’un patrimoine daté de plusieurs siècles. Une arnaque rendue possible par le vote, entre autre, de la présidence socialiste française qui par la bouche de l’ambassadeur français Daniel Rondeau a qualifié ce vote comme « conforme à la ligne politique de son pays qui soutint l'entrée de la Palestine à l'UNESCO en octobre dernier ».

Une ‘’ligne politique’’ qui est passé outre l’avis du Conseil international des monuments et des sites (qui conseille le CPM) qui n’avait pas jugé « que les conditions décrivant les dommages, ou dangers graves, que court l’église de la Nativité, (…), soient pleinement remplies, et son état ne correspond pas à des conditions d’urgence qui exigeraient que le Comité du Patrimoine Mondial prenne des mesures immédiates pour préserver ce bien. »

Une inscription qui n’avait donc rien d’urgent mais qui passera, sans aucun doute, aux yeux des défenseurs de la « Palestine » comme une ‘’réparation’’ d’un préjudice puisque soutenu par la France, un pays qui compte au niveau international. Ainsi, une nouvelle goutte anti-israélienne est venue se rajouter aux nombreux autres faux griefs précédemment installés dans la mémoire collective. Une facture qui s’alourdit et qui appelle à la vengeance envers la communauté juive, soutien inconditionnel de cet état d’Israël ‘’destructeur de lieux saints’’ entre autres.

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Lors des dernières législatives, les Français de l’étranger ont élu leurs représentants à l’Assemblée parlementaire. Daphna Poznanski-Benhamou, élue PS dans la huitième circonscription comprenant l’Etat d’Israël, a remercié au soir de son élection ses électeurs et a assuré qu’elle appuiera « (…) l’indispensable  réorientation de l’Europe vers plus de démocratie et de solidarité ». 

De religion Juive et de nationalité israélienne chacun pouvait croire qu’un changement de ton allait s’opérer.

dimanche 1 juillet 2012

Qu’est-il arrivé à Riposte Laïque ?


Il y a quelques années Riposte Laïque s’est créé dans l’objectif de combattre l’islamisation rampante de la France, voire au-delà de ses frontières. Une bataille noble et un danger que refusait de considérer les élus en place quelques soient leurs tendances politiques. Une démission qui a permis à l’Islam de s’étendre jusqu’à s’imposer dans divers domaines à d’autres que musulmans, voire à exiger une modification des mœurs et coutumes du pays. Cela, sans même une consultation du peuple. Chaque citoyen, conscient du problème, se sentait alors solidaire peu ou prou de cette association.

Sauf, que celle-ci, depuis peu, vire vers un combat politique peu reluisant. Voire malodorant.

Ainsi il en est du combat contre la ‘’hallalisation’’ de la filière animale ! Les abattoirs, pour des raisons pratiques et monnayables, se sont mis à tuer les animaux selon le rituel musulman. Ce qui a conduit un grand nombre de cantines scolaires à ne proposer que des repas hallal, ou encore les supermarchés à vendre une viande qui finançait directement le culte de l’Islam. Cela sans aucune information préalable envers les consommateurs.

Un abus que Riposte Laïque tente de corriger. A tel point qu’elle associa le rite juif à ses critiques (comme pour se laver de tout soupçon de racisme) qui, comme chacun sait, en plusieurs siècles de présence en cette belle région de France, n’a jamais cherché à imposer ses us et coutumes à qui n’en voulait point ni à se faire financer autrement que par ses membres !

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Mieux ! Elle se mit à combattre tout abattage de bovins autrement que par étourdissement au nom du bien-être de l’animal. Une loi qui remplacerait dans les faits celles qui seraient de provenance divines et condamnerait les croyants de différentes religions à adopter l’athéisme alimentaire local. Une loi qui permettrait toutefois de cuire son homard encore frétillant, ou de consommer des pattes de grenouilles sectionnées de leur vivant.

Une attitude qui rappelle de très près l’intolérance actuelle de l’Islam.