lundi 30 décembre 2013

L’antisémitisme de Dieudonné…et celui de tous les autres

Si Dieudonné est actuellement à la Une de tous les médias mais aussi de l’agenda du gouvernement français c’est pour la simple raison qu’il personnifie dorénavant le fléau de l’antisémitisme. Il devient en effet très difficile d’ignorer et de cacher que son ‘’humour’’ est des plus hostile envers l’unique peuple juif. Les ‘’bonnes consciences’’ se dépêchent donc de le montrer du doigt aux fins uniques de détourner le regard du public de leurs propres turpitudes.

En effet, peu de médias, de politiques, d’intellectuels et d’Ongs peuvent se targuer d’avoir prévenu que l’antisionisme est le paravent de l’antisémitisme, lequel, chacun s’en souvient, a toujours mené à des atrocités envers le Juif. Ces derniers ont, au contraire, participé à ce qu’est devenue la France et au-delà l’Europe. Un remake de l’esprit qui prévalait dans les années trente du siècle passé.

Je vous invite à lire ou relire quelques textes écris il y a quelque années, dénonçant cette connivence avec Dieudonné.

Nul ne peut dire qu’il ne savait pas !





L’année 2014 sonnera-t-elle enfin le tocsin ? Peu y croiront.

Malgré tout, Bonne année civile 2014.

mardi 24 décembre 2013

Jésus et le palestianisme

Il n’y a pas de Noël célébré par l’Autorité palestinienne sans que soit rappelé, d’une façon ou d’une autre, que Jésus était un ‘’palestinien’’. Une propagande pour ignares devant desservir « l’entité sioniste » et interpeller le monde au sujet des ‘’souffrances’’ subies par un ‘’peuple spolié de sa terre’’. Un endoctrinement poussant l’absurde à ne plus être ridicule tant la haine du peuple juif est grande.

Cependant, la réalité ne se laisse pas effacer si facilement !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Il n’y a pas une figurine, une représentation de Jésus crucifié de par le monde où ne sont pas inscrites les quatre lettres suivantes : INRI

Un acronyme dont sa première trace archéologique remonte au IVe siècle avec l'inscription conservée à Rome dans la Basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem. Le Titulus Crucis, qui est une relique exposée depuis 1492 dans cette cathédrale et serait, selon la tradition catholique, un morceau de l’écriteau placé au-dessus de la tête de Jésus lors de sa crucifixion, reprend pour l'Église catholique l'inscription dans sa formulation en latin. Les Églises orthodoxes, quant à elles, reprennent l'abréviation INBI pour les Grecs et INЦI pour ceux des slaves qui écrivent en cyrillique.

Elle figure sur quasiment toutes les représentations de la Crucifixion.

Un acronyme qui signifie « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs ». Une phrase inscrite par les romains sur la croix et représentant l’acte d’accusation devant le condamner à être exécuté en tant que criminel politique.





Il y aurait même plusieurs écrits de Pères de l'Église qui indiquent dans plusieurs passages que Jésus serait le descendant direct du Roi David, Juif lui aussi mais pas encore ‘’palestinien’’, et qu'ainsi l'expression « roi des juifs » désignerait sans ironie son hérédité.

La propagande nauséeuse ‘’palestinienne’’ poussera t-elle le grotesque jusqu’à affirmer, un jour, que les mosquées Al-Aqsa et Omar sont les œuvres du Roi David, poursuivies par son fils Salomon et reconstruites par Hérode, tous évidemment ‘’palestiniens’’ ?

Au train où vont les choses, il ne faut pas en douter !

lundi 23 décembre 2013

Le nouveau pays rêvé par B.D.S. et ses soutiens

Dans un communiqué commun reproduit par L'International Solidarity Movement (ISM), « L’Ambassade de l’Etat de Palestine en République d’Afrique du Sud et  B.D.S. Afrique du sud » tentent de stopper l’effet négatif qui a résulté de la position publique de Mahmoud Abbas concernant le boycott de l’Etat d’Israël. Celui-ci ayant déclaré lors de la cérémonie d’adieu à Nelson Mandela n’être en faveur que du seul boycott des produits fabriqués dans les « colonies » israéliennes. Suite aux protestations qui ont suivi, cette déclaration tente d’apaiser la colère suscitée.

Faut-il conseiller alors au Président de l’Autorité palestinienne de sortir dorénavant couvert, vu que l'an dernier, celui-ci avait déjà « provoqué une vague d'indignation parmi les Palestiniens lorsqu'il a déclaré à la télévision israélienne qu'il renonçait au droit des réfugiés palestiniens à revenir chez eux » ? Dixit ISM.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Dans cette note, on y apprend, entre autres choses, que les commentaires de Mahmoud Abbas « semblent avoir été sortis de leur contexte et mal interprétés par quelques membres des médias et du lobby israélien. Certains journalistes et lobbyistes israéliens ont rapporté que le Président Abbas, lors d'une conférence de presse sud-africaine, a dit qu'il est opposé au boycott international. Ceci est faux ».

Mais aussi que « Les responsables et les dirigeants palestiniens respectent et soutiennent le droit de la société civile palestinienne d'initier et de mener des campagnes BDS mondiales contre Israël comme moyen d'obtenir les droits inaliénables du peuple palestinien, parmi lesquels le droit suprême à l'auto-détermination ».

Ne pouvant pour des raisons diplomatiques prôner ouvertement le même boycott que celui que la ligue arabe a instauré le 2 décembre 1945 contre les marchandises qualifiées alors de « sionistes » ou de « juives », l’Autorité palestinienne ne se privera pas pour autant des gains que pourrait obtenir la campagne de Boycott, Désinvestissements et de Sanctions (B.D.S). L’un des gains recherché n’étant autre que le « droit de retour » de millions de « réfugiés » au sein, même de l’Etat d’Israël.

Un ‘’droit’’ que, pourtant, nulle loi internationale n’avalise et qui par le jeu démographique ferait disparaître très rapidement l’état du peuple juif pour le remplacer par un énième pays gouverné, probablement, par la Sharia ou y servant de référence.

Un nouveau pays musulman dans lequel, à l’instar de tous les autres, les minorités n’auraient plus de droits et qui pousserait celles-ci à immigrer sous des cieux plus égalitaires et libres. Le peuple juif redevenant ainsi apatride et de nouveau sans protection face aux dictatures.

Un nouveau pays dans lequel les renommés scientifique, médicale, informatique, technologique, militaire et autres, ne seraient plus rien suite à l’immigration évidente des chercheurs israéliens.

Un nouveau pays qui apercevrait le désert s’étendre de nouveau à l’instar de la bande de Gaza purifiée de toute présence juive, mais également, là encore, des pays musulmans frontaliers, voire plus lointains.

Un nouveau pays qui restaurera la place de la femme, forcément soumise à l’homme et aux mœurs d’un autre âge.

Un nouveau pays dans lequel l’homosexualité sera absente !

Etc.…

mercredi 18 décembre 2013

La messe anti-israélienne dite et redite par Laurent Zecchini

La haine de l’Etat d’Israël ne se cache plus ! Tout doit faire ventre, autrement dit montrer l’état juif comme la réincarnation du mal. Dans un énième article diffusé, évidemment, dans le quotidien Le Monde et intitulé « En Israël, un système de détention pour les immigrés africains illégaux » Laurent Zecchini s’en donne à cœur joie.

Sa vision de l’état juif se confirme. Le « racisme » de celui-ci n’est plus à débattre, il est confirmé.

La preuve ? « les députés israéliens ont décidé de créer un double régime, qui s'appliquera dans un premier temps aux quelque 1 700 immigrés africains qui sont détenus dans une prison de sinistre réputation »

« double régime », « sinistre réputation »…Une véritable démocratie se conduirait-elle ainsi ? Pas à sa connaissance !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

D’ailleurs, nous rappelle t-il, « Le 16 septembre, la Cour suprême avait décidé à l'unanimité de ses membres que la loi permettant d'incarcérer sans jugement pendant trois ans des migrants illégaux était inconstitutionnelle. Elle bafouait une autre loi garantissant ‘’ la dignité humaine et la liberté’’ ».

Un pays dont « Plusieurs commentateurs ont en revanche souligné que les Noirs en Israël, qu'ils soient migrants clandestins ou juifs originaires d'Ethiopie, pâtissent du racisme ». 

Auraient-ils oublié les Arabo-israéliens si souvent défendus dans les colonnes du quotidien ?

Des commentateurs lesquels incluent certainement la journaliste israélienne vivant au sein des ‘’Palestiniens’’ Amira Hass qui établit dans le quotidien Haaretz « un parallèle entre l'Afrique du Sud de l'apartheid et l'attitude des autorités israéliennes envers les Palestiniens ».

Une publication qui dans son éditorial affirme que l’Etat d’Israël « sous le leadership de M. Netanyahou, où la ségrégation, les législations racistes et la discrimination sur la base de la nationalité, se développent quasiment sans entraves, ne peut pas dire qu'il respecte l'héritage de Mandela, pas plus qu'il ne peut joindre la famille des nations dont les valeurs primordiales sont la lutte pour l'égalité et le combat contre le racisme ».

lundi 16 décembre 2013

Scénario de Paix pour l’Etat d’Israël

Emmanuel Navon, dans un article publiée par le site en ligne I24news et intitulé « La comédie du processus de paix », a évoqué les trois canevas israéliens possibles pour le jour d’après la fin des négociations actuelles : le statu quo permanent, l’annexion et un désengagement unilatéral. Un accord de paix définitive n’est pas même envisagé.

Au vu des exigences irréalistes de l’Autorité palestinienne, nul de sensé ne le lui reprochera !

Trois visions donc du futur immédiat de l’état juif mais un seul qui approcherait au plus prés de l’attente de paix de la majorité du peuple israélien. Celui d’une séparation définitive des ‘’palestiniens’’, à savoir le désengagement unilatéral,

Au vu du résultat du précédent retrait effectué dans la bande de Gaza, chacun imaginera aisément la levée de boucliers en contre. C’est oublier un peu vite que cette expérience servira de modèle à ne pas suivre !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

L’Etat d’Israël, bien sûr, ne se retirera pas aux « frontières de 1967 ». Jérusalem ne sera pas divisée et restera la capitale une et indivisible qu’elle est actuellement. Les grands blocs d’implantations seront annexés. Tout comme la vallée du Jourdain permettant, de la sorte, à Tsahal de poursuivre la surveillance de la frontière jordanienne et d’y intervenir dès que nécessaire. Les contours du nouvel état seront donc dessinés unilatéralement, concrétisés par une clôture hermétique et contrôlée. Ils attribueront ainsi à la « Palestine » la souveraineté qu’elle recherche si ‘’avidement’’ sur un territoire s’étendant sur la majeur partie de la Judée et la Samarie mais aussi les autonomies politique et économique.

Ce retrait s’effectuerait sur une période transitoire de quelques années permettant aux autorités israéliennes de gérer au mieux le rapatriement des israéliens demeurés au sein du territoire abandonné mais également de construire la sécurité du pays. La « Palestine », malheureusement devenue judenrein, quant à elle, devra se préparer à cette indépendance forcée.

Un plan qui serait, au préalable, soumis à un référendum israélien qui, à n’en pas douter, sera autorisé par une très large majorité.

Si celui-ci ne sera pas, effectivement, la panacée à la haine qui entoure l’Etat d’Israël il sera néanmoins un pansement sur un conflit interminable, l’objectif dissimulé de l’Ouma étant l’éradication de tout état juif dans la région.

dimanche 15 décembre 2013

Michel Bôle-Richard et Edwy Plenel tels de vulgaires Dieudonné

C’est dans la rubrique « idées » du quotidien Le Monde que le ‘’journaliste’’ Michel Bôle-Richard (MBR) a lancé son ‘’cri d’alarme’’ : « Nelson Mandela est mort mais l'apartheid est toujours vivant ». Non pas en Afrique du Sud mais…en Israël. Quand celui-ci a une idée, il ne la lâche pas. Il faut dire qu’il a un livre à vendre à ce sujet, et toute publicité gratuite se prend, quand bien même au mépris du respect et de l’image d’un pays démocratique qui fait envie. Il est vrai qu’il n’a pas beaucoup d’effort à faire, le terreau anti-israélien étant très bien implanté en France. Un terreau qui s’adonne dorénavant à l’antisémitisme et qui tente de le dissimuler derrière la condamnation d’une politique.

L’article le sait et satisfait tous les critères requis pour une large diffusion !

« L’apartheid vit toujours sous une forme non codifiée, non légalisée mais bien réelle, notamment en Israël ». « Qui peut nier qu'il ne s'agit pas d'une réalité en Israël actuellement ? Depuis des années, les dirigeants occidentaux exigent régulièrement qu'il soit mis fin à la colonisation, aux destructions des maisons palestiniennes, aux brutalités de l'armée, à la fin du blocus de Gaza, à la libération des prisonniers politiques sans obtenir le moindre écho des autorités israéliennes ».

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Des imputations graves, mais qu’en est-il réellement ?

- « fin de la  colonisation » N’est-ce pas là le geste qu’a fait en 2005 l’état juif dans la bande de Gaza ? La suite chacun la connaît, sauf apparemment cet idéologue gauchiste si avide à blâmer le Juif !

- « destructions des maisons palestiniennes » évidemment construites illégalement sur des terres administrées par le droit israélien ou les accords d’Oslo et décidées par la cour de justice du pays. Des signes patents et incontestables de tout système régit par l’apartheid !

- « brutalités de l’armée » que bon nombre de peuples à travers la planète échangeraient bien avec celles qu’ils subissent en leur chair.

- « fin du blocus de gaza » que l’Onu juge dans un rapport interne légitime et qui, concrètement, empêche le Hamas, groupe terroriste reconnu comme tel, de s’armer pour tuer du juif. Encore un détail pour le journaliste.

- « prisonniers politiques » qui n’existent pas en Israël. Les milliers de prisonniers ‘’palestiniens’’ le sont pour raison de terrorisme et nullement pour leur opinion. Seule l’opinion malsaine de MBR les a transformés en prisonniers politiques.

En somme des accusations gratuites !

« Le gouvernement de Benyamin Netanyahou poursuit la mise en place du plan Prawer visant à sédentariser les Bédouins du Néguev qui, depuis des temps immémoriaux vivent en nomades, afin de faire de la place aux colons ».

Apparemment l’aménagement du territoire n’est pas un droit régalien de l’Etat d’Israël. Et les habitants juifs de ce pays sont et resteront des « colons », quand bien même ils souhaitent se développer sur leur territoire tracé par les « frontières de 1967 ». Des limites encore reconnues par la gauche fétide si l’en en croit sa propagande. Mais le Juif… a-t-il réellement le droit à un territoire ? Qui douterait que MBR est pour le « droit au retour » de millions de « réfugiés » au sein même de l’état juif ?

Cela, évidemment, uniquement au nom de la justice !

« Que faut-il conclure de la toute récente enquête de l'OCDE qui souligne qu'un Arabe sur deux vit sous le seuil de la pauvreté alors que le pourcentage est de un sur cinq pour les Juifs ». 

La conclusion est certainement qu’il faut lever la quasi interdiction faite aux femmes arabes de travailler et l’encouragement aux Juifs religieux (Haredim) à étudier moins. Dans les deux cas les autorités israéliennes sont conspuées dès lors qu’elles s’immiscent dans ces affaires de traditions. Jouer alors de ces mentalités pour illustrer un rapport défavorable à la communauté arabe prouve uniquement l’hostilité de l’auteur à l’encontre de l’Etat d’Israël, du Sionisme et des Juifs tel un Dieudonné condamné à maintes reprises pour antisémitisme.

« Depuis 1948, date de la création d'Israël, aucune ville ni village arabe n'ont été construits alors que la population a été multipliée par dix et que 600 municipalités juives ont été créées ». Où s’est donc réfugié le surplus de cette population qui s’est accrue ? Soit leurs communes se sont agrandies, soit ils cohabitent paisiblement dans les 600, et plus, municipalités qui ont été crées ! Chacun doutera fort qu’il y ait actuellement plus d’un million de sans abri ! Pas même le journaleux n’osera cette affirmation stupide !

Ni celle d’assurer que les ‘’victimes arabes’’ de cet « apartheid » dénoncé se sont expatriés !

« Plus d'une trentaine de lois-cadres ‘’discriminant directement ou indirectement les citoyens palestiniens d'Israël’’ ont été répertoriées par Adalah, une organisation de défense des droits de l'homme ». Des lois-cadres jamais citées, leurs évocations devant suffire, et des israéliens de confession musulmane d’office affublés de la nationalité ‘’palestinienne’’. Méthode qui effarera tout gauchiste, MBR en tête, si quelque quidam se permet d’affubler les musulmans français de, par exemple, « citoyens algériens de France » !

Faut-il en rajouter ?

Autre compère mais même hostilité systématique contre l’état juif. Edwy Plenel a reconnu s’être trompé en attribuant une fausse lettre à Nelson Mandela qui conclue à l’apartheid israélien. Dans son article explicatif, il n’en innocente pas moins  les « Palestiniens, lesquels, dans cette histoire dramatique dont l’origine est le génocide européen contre les Juifs, ne sont pas les agresseurs, mais bien plutôt les opprimés ».

vendredi 13 décembre 2013

Les valeurs selon le gauchiste Edwy Plenel

Chacun connaît le propagandiste d’extrême gauche et directeur du site Médiapart, Edwy Plenel. Un individu doté de la certitude de la culpabilité de l’Etat d’Israël en ce qui concerne le conflit proche-oriental. Gageons que le jour où ce pays arrivera à vivre en paix avec son voisinage, celui-ci trouvera bien d’autres accusations à porter à son encontre ! On ne peut donc être étonné d’entendre dans sa chronique matinale sur France culture intitulée « Le Monde selon Edwy Plenel » une ode à la gloire de Nelson Mandela devant, nécessairement, desservir l’Etat juif.

Un monde où l’inversion de la réalité devient un modèle à suivre et l’utilisation de faux légitime!

C’est depuis la Jordanie que, dans sa diatribe journalière, celui-ci affirme qu’il se bat « pour la valeur de notre métier », le journalisme, « et donc pour la valeur de la démocratie ». Chaque quidam est, en conséquence, à l’écoute de ce combat annoncé !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Nelson Mandela a dit, pour justifier ses actes violents passés, nous relate Plenel, que « la lutte armée est parfois nécessaire, c’est toujours l’oppresseur non l’opprimé qui détermine la forme de lutter. Si l’oppresseur utilise la violence l’opprimé n’aura d’autres choix que de répondre par la violence »

Si bien sûr l’oppresseur est, dans l’esprit de Plenel, l’Etat d’Israël, comment explique t-il alors l’oppression exercée sur ce pays à la date de sa création ? N’est-ce pas du refus de sa renaissance sur une petite partie de sa terre ancestrale par le monde musulman qu’est né ce conflit ? N’est-ce pas par la guerre de légitime défense de 1967 qu’est né, à son tour, le problème ‘’palestinien’’ ? L’opprimé juif de 1948 et de 1967 avait-il d’autres choix que de répondre par la violence à la guerre pratiquée et professée contre lui ?

Sauf à se suicider, bien sûr que non !

A ces menues questions Edwy Plenel n’y répondra pas car les réponses seraient contraires à sa doctrine malodorante. Il ne dialoguera pas plus sur le refus, encore actuel, de l’Autorité palestinienne d’admette que l’Etat d’Israël soit le pays du peuple juif. L’exigence du retour de millions de « réfugiés palestiniens » en son sein étant le ‘’juste droit’’ devant cacher l’objectif de son éradication.

Un ‘’humanisme’’ que, semble t-il, il  partage au vu de son silence assourdissant sur le nœud du conflit !

La valeur du journalisme et de la démocratie recherchée, paraît-il, par ce journaliste ne le poussera donc pas jusqu’à la quête de LA vérité. 

Pas même à respecter la déontologie du métier.

jeudi 12 décembre 2013

Le caractère juif de l’Etat d’Israël serait-il en perdition ?

L’Etat d’Israël vit sous les menaces d’éradication depuis son renouveau en 1948. Au vu de la situation régionale, voire internationale, nul ne doute que ce pays en a encore pour quelques bonnes décennies avant de pouvoir goûter à une paix authentique. De part ses moyens intellectuels et militaires, aucune incertitude sur sa pérennité physique n’est fondée. Ce qui ne peut être, en revanche, certifié quant à sa pérennité culturelle, spirituelle, philosophique !

Israël n’a eu de raison d’être que par la nécessité pressante de devenir le refuge du peuple juif en perpétuel danger dans les siècles passés! Le restera-t-il encore de longues années ? Sera-t-il encore un état juif ? Un immense point d’interrogation se pose !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Le monde se voit actuellement comme un village multiculturel, lequel a comme unique bible celles des droits de l’homme. Une ‘’religion’’ partagée par bon nombre de partis israéliens, du centre jusqu’à la gauche extrême.

Ainsi, face au mariage juif plurimillénaire, d’aucuns opposent le mariage civil ainsi que le mariage homosexuel. Jusqu’alors rejeté, la pression devient telle qu’il sera bientôt impossible de s’y opposer. Et indubitablement, si l’union unisexe est ratifiée, la gestation pour autrui s’impose. C’est ce que la Ministre de la santé Yaël German a dernièrement proposé.

D’autres ‘’droits de l’hommistes’’ désirent réformer la conversion au Judaïsme. Certains désirent que le transport public fonctionne également les jours de repos, fériés ou non, au nom, bien sûr, du droit de circuler pour ceux qui ne sont pas possesseurs de véhicules à moteurs. D’aucuns encore exigent, au nom de leurs droits de citoyens, la vente libre du Hametz pendant la fête de Pessah (pâques juive).

Autre sujet de discorde nationale, la liste n’étant pas exhaustive, celui concernant le droit des clandestins de s’installer en Israël. Certaines ‘’bonnes âmes’’, leur bible en main, se hâtent de saisir la Cour suprême afin d’obtenir l’annulation de la nouvelle loi récemment votée et devant favoriser leur départ du pays.

Devant autant de ‘’générosités’’ et de ‘’droits’’ à distribuer, il est de plus en plus difficile d’oser défendre les droits de la société. Ceux qui organisent le bien être de l’ensemble de la société, sa défense mais surtout le vivre ensemble autour du projet sioniste d’un état basé sur la culture, les traditions, l’histoire et la religion juives.

mercredi 11 décembre 2013

Jean Pierre Elkabbach, moteur du politiquement correct anti-israélien

Jean-Pierre Elkabbach a interviewé, au micro d’Europe N°1, Michel Sapin, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social. L’entretien a bien sûr porté sur le chômage qui ne finit plus de monter quoi que les responsables politiques français en disent. L’étonnant est donc de voir ce journaliste, en toute fin d’émission, donner son avis sur l’absence des Président et Premier ministre israélien à la cérémonie d’adieu à Nelson Mandela.   

Un avis qui n’a d’autre objectif que de salir l’Etat d’Israël et qui, par la bande, justifie la haine envers celui-ci et tous ses soutiens, juifs principalement.

« On observe tous les chefs d’état présents à Johannesburg ce matin. Moi je voudrais dire que Shimon Pérès et Bibi Netanyahou ne sont pas à Johannesburg. Israël n'a pas toujours combattu l'Apartheid, ils ont peut-être honte d'y aller. Mais ils ont trouvé un argument qui est comique à la limite du ridicule, je me permets de le dire, le voyage est trop cher. Voilà ! (…) C’est une affirmation parce qu’il y avait longtemps que j’avais envie de le dire et que je l’entends pas ».

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Il faut se souvenir que la propagande antisémite des années 70 et 80 garantissait, alors, les ‘’liens étroits’’ entre les deux régimes, réduisant ainsi l’israélien à n’être qu’une pâle copie de l’africain du sud. J.P. Elkabbach en a gardé les stigmates anti-israéliens !

A croire ce qu’il s’empresse de rappeler, chacun supposera que si l’Etat d’Israël avait alors combattu l’apartheid, la fin de ce régime serait advenu plus tôt. On ne prête qu’aux riches dit le dicton. Le journaliste a évidemment oublié tous ces pays puissants, la France en tête, ayant beaucoup tardé à l’allumage. Ceux-ci n’ont apparemment pas eu honte d’y aller, et la France n’ayant pas peur du ridicule s’est même octroyé les moyens financiers d’affréter deux appareils. L’un pour Hollande le deuxième pour Sarkozy.  

Sur tout cela, J.P. Elkabbach se fera très discret !

On ne pourra donc qu’être abasourdi par son désir de pointer le seul Etat d’Israël et son regret de ne pas entendre d’autres condamnations à son encontre !

Si de nos jours le nom d’Itshak Rabin (z’’l) lui est évoqué, nul ne doutera, car pétri de politiquement correct, qu’il rappellera publiquement sa vision de paix et son prix Nobel. Il passera sous silence, si l’on lui prête une mémoire, le fait que cet homme prestigieux fut Premier ministre de 1974 à 1977 et n’avait alors nullement rompu les liens avec le régime d’apartheid. Shimon Pérès, autre prix Nobel, fut, en ce temps, son ministre des Affaires étrangères. 

Deux héros de la ‘’bien-pensance’’ anti-israélienne, car en faveur d’un état ‘’palestinien’’, complices de l’apartheid ? Osera t-il soutenir cette stupidité ?

Deux hommes que l’ont retrouve d'ailleurs à la tête de l’état à plusieurs reprises jusqu’en 1991, date officielle de la fin de l’apartheid.

La véritable condamnation radiophonique d’Elkabbach concerne, en fait, seulement Benjamin Netanyahou qui a renoncé à y aller car « le voyage est trop cher ». Excuse, semble t-il, devant aider à camoufler la ‘’honte’’ qu’il ressentirait. Serait-il possible que la mémoire du journaliste ait flanché jusqu’au point d’effacer que son premier mandat a débuté en 1996 ? Nelson Mandela était alors Président de l’Afrique du Sud.

Quel honte peut-il donc ressentir ?

lundi 2 décembre 2013

Barak Hussein Obama, l’erreur de casting

Dès sa première élection, Barak H. Obama s’est vu adoubé par tous ceux qui se définissent comme ‘’pacifistes’’, en opposition aux ‘’guerriers’’ qui soutenaient Georges W Bush. De ce fait il s’est vu remettre en 2009, par le comité du prix Nobel, celui de la Paix, sans pour autant avoir démontré ses capacités ou l’avoir déjà instaurée en quelque lieu sur la planète. Et quel est le meilleur endroit sur terre pour faire ses premières armes, sinon le conflit israélo-arabe ? Cette carence le vit donc exiger publiquement la fin immédiate de la « colonisation » israélienne. Ce qui encouragea le Président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à ne plus rien faire, sinon à attendre que le fromage lui tombe directement dans le bec !

Ce qui fut une erreur, et le premier échec us !

Bloqué sur ce conflit, il lui était plus aisé de retirer ses troupes d’Irak. On ne compte plus depuis le nombre de morts ! Autre échec !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Le retrait militaire de l’Afghanistan annoncé pour 2014 se précise ! Les Talibans se lèchent déjà les babines. Le président afghan actuel, Hamid Karzaï, sentant le vent tourner, a déjà annoncé le rétablissement de la lapidation pour cause d’adultère. Le ‘’progrès’’ est donc en marche ! Merci B.H.O !

Les peuples iranien, égyptien ou encore syrien peuvent également témoigner de l’ardeur ‘’pacifiste’’ du président us !

Le dernier essai en date de Barak H Obama est d’avoir permis et signé les ‘’accords de Genève’’ avec l’Iran. Ce pays annonce déjà, à tout va, son intention de poursuivre l’enrichissement de l’uranium, la construction du réacteur à l’eau lourde d’Arak, voire celle d’une nouvelle centrale nucléaire dès 2014 avec l’aide russe.

Toutes choses évidemment hors accord négocié à Genève !

Mais que nul ne s’y trompe ! L’Iran ne franchira pas le seuil de l’impatience occidentale, et particulièrement celle de l’Etat d’Israël ! En revanche, il s’équipera de tout ce qui lui permettra d’être en position de devenir, dès sa décision prise, un pays doté de l’arme nucléaire. Nul, évidemment parmi les ‘’puissances’’ occidentales n’oseront s’opposer à ces exigences de peur que l’Iran décide de devenir, d’ors et déjà, un pays …doté de l’arme nucléaire !

C’est l’histoire du vilain canard à qui l’on ne peut rien refuser sauf à endurer sa terrible colère. C’est ainsi que l’Iran deviendra une puissance de la terreur que nul n’ose plus affronter sauf à empirer la situation. Pas même l’administration Obama !