jeudi 31 mars 2011

Qu'auriez-vous fait à leur place ?

Ci-dessous une vidéo en caméra cachée, en deux parties, sur le supposé "racisme" israélien. Des caméras installées dans une station service, laquelle a un vendeur refusant, pour la séquence, de servir, publiquement et mordicus, les arabes. 

L'enseignement tiré de ces situations instruit quant à l'accusation permanente d'un "apartheid" israélien.

Un enseignement qui permet à tout israélien d'être fier d'être partie prenante de cette nation. Car 53 % d'entre les consommateurs de cette station ont condamné le vendeur, 42 % ont ignoré cet abus et seulement 5% l'ont appuyé.

Vidéo en  hébreu sou-titrée en anglais.




Jean Daniel et ses oppositions juive et israélienne

Le fondateur du Nouvel Obs. ne supporte pas que l'on puisse douter de sa « solidarité avec les victimes » israéliennes. A tel point qu’il a jugé bon de l’affirmer dans un de ses points de vue qu’il a intitulé « Israël, Israël ». « Penser que je puisse être indifférent aux dernières victimes israéliennes des attentats du Hamas, c'est encore une fois me faire injure » !

En général, dit-il, il ne répond jamais aux « lettres injurieuses » qu’il « provoque » et qui sont anonymes. On peut donc en déduire que l’écriture de ce billet est dû à une ou plusieurs lettres accusatrices, probablement publiques, qu’il ne pouvait laisser sans réponses.

Attitude qui laisse apercevoir une certaine vérité que Jean Daniel Bensaïd a du mal à accepter.

Une vérité basée, somme toute, sur l’analyse de quelques faits bien précis.

Comme, par exemple, son soutien à sa fille Sarah Daniel lors de la parution d’un article qui attestait que « Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens sont systématiquement tuées par leur propre famille. Ici, le viol devient un crime de guerre, car les soldats israéliens agissent en parfaite connaissance de cause». Accusation, évidemment, jamais démontrée.

Ou, encore, sur son appui à Charles Enderlin et son scoop sur « l’assassinat » de Mohamed Al-Dura par les soldats israéliens, mais aussi sur son parfait silence, contraire à la déontologie, concernant la thèse étayant une version toute différente et nuisant à son protégé.

Ou, enfin et sans que cette petite liste soit exhaustive, sur son support à l’association JCall qui atteste la « faute morale » israélienne et « l’illégitimité » du gouvernement actuel. Pas moins !

Trois petits exemples qui démontrent que le journaliste Jean Daniel a laissé la place au propagandiste et à l’idéologue qui vivent en lui.

Un doctrinaire de cette gauche fétide qui s’étonne, dans son précédent point de vue intitulé « Israël dans la tourmente », qu’il «n'y avait pas en Israël même une jeunesse en révolte contre Messieurs Netanyahou et Libermann » comme il y en a dans quelques pays arabes.

dimanche 27 mars 2011

JCall tel qu’en lui-même

JCall a des doutes et s’interroge. « Les Juifs de Diaspora peuvent-ils critiquer Israël ? ». René Schwok, membre de JCall et professeur de Sciences Politiques et de Relations Internationales à l’Université de Genève, y répond.

Chacun se doute déjà de sa réponse !

« Par conséquent, tous les citoyens du monde, y compris les Juifs de Diaspora, ont le droit de s’exprimer publiquement sur la situation régnant à Jérusalem-Est, en Cisjordanie et sur le Golan. Le respect dû à la seule démocratie du Moyen-Orient s’arrête tout simplement aux limites de sa souveraineté ».

Autrement dit, dans les limites de ses frontières. Mais quelles sont-elles ?

Ce professeur cite trois résolutions indiquant, selon lui, quels territoires ne sont pas reconnus comme devant être sous la souveraineté israélienne. Les résolutions « 242, 338 et 1397 du Conseil de Sécurité qui, toutes, rappellent que ces territoires ont été occupés en 1967 et qu’ils ne lui appartiennent pas ».

Si la résolution 338 appelle en 1973 au cessez-le-feu et à des négociations en vue « d’instaurer une paix juste et durable au Moyen-Orient », et la 1397 reconnaît en 2002, pour la première fois, l’état de ‘’Palestine’’, la 242 appelle, quant à elle et depuis 1967, au retrait DE territoires dans la version originale anglaise et non pas de la totalité des territoires comme l’indique la traduction française.

Nuance fondamentale permettant que l’état juif se retrouve non plus à l’intérieur des frontières établies par la ligne d’armistice de 1949 mais d’autres qui seront « sûres et reconnues » une fois la paix advenue.

Ce qui indique clairement que les frontières sont à négocier et non établies comme le suppose René Schwok qui se révèle être, pour le coup, un partisan de la lecture ‘’palestinienne’ de cette résolution.

Posture gravissime lorsque l’on s’affiche pro-israélien ! D’autant plus lorsque l’on considère Jérusalem-est, et donc la vieille ville, comme territoire ‘’occupé’’. Une région où se situe le premier lieu saint du Judaïsme et ayant permis aux générations d’aspirer à la reconstruction du pays perdu.

Attitude encore plus pitoyable lorsque l’on sait que la 242 exige également et sans ambigüité « respect et reconnaissance de la souveraineté de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région, et leur droit de vivre en paix ».

Autrement dit le respect et la reconnaissance du caractère juif de l’état d’Israël, et donc un abandon définitif de toute exigence d’un « droit au retour », en son sein, de « réfugiés palestiniens ».

vendredi 25 mars 2011

Charles Enderlin nous prend pour des simplets.

La réaction unanime et désapprobatrice de la «presse communautaire locale», comme il la désigne, suite au silence des médias francophones sur le massacre d’Itamar a fâché tout rouge son auteur. A savoir, l’envoyé permanent de France 2 à Jérusalem Charles Enderlin. D’où l’écriture d’un autre billet de justification intitulé « Je prends en otage » expliquant, entre autre choses, comment fonctionne une rédaction.

« Il y a une hiérarchie dans l’information. Un patron de journal télévisé doit gérer un temps d’antenne limité et, selon l’importance de l’actualité décide quoi diffuser : un reportage ou une brève en fonction de critères bien établis, voir ignorer tel ou tel événement »

On ne peut effectivement lui reprocher le fonctionnement interne de sa rédaction. Ni, par ailleurs, comprendre sa défense de celle-ci, sinon comme moyen de justifier ses propre attitude et interprétation quant à l’information proche-orientale.

D’autant plus lorsqu’il écrit dans son papier « temps d’antenne limité » ! Une raison assassinant l’intellect de tout quidam exigeant un droit à l’information objective et donc neutre.

Chacun aura en conséquence relevé, par cette raison évoquée, l’excuse de France 2 quant au silence sur l’Affaire Mohamed Al-Dura et notamment sur les positions exprimées publiquement par Philippe Karsenty. Des argumentations et des raisonnements innocentant l’armée israélienne de ce ‘’meurtre’’ et ‘’contrariant’’, par leurs précisions et la quasi adhésion des nombreux auditeurs et spectateurs de ses conférences internationales, la direction de France télévision dans sa décision, prise en commun avec le CRIF, de commettre une commission d’enquête à ce sujet.

Un ‘’silence’’ qui dure depuis plus de dix années et qui balaie l’excuse du temps d’antenne limité.

Un mutisme que l’on retrouve, également, au sujet de l’appel interjeté par Karsenty suite au procès que cette chaîne lui a intenté pour motif de diffamation. Une victoire due à la qualité de sa démonstration et de sa bonne foi.

On ne peut donc qu’être interloqué de cette censure qui se cache et du refus de cette chaîne de remplir sa mission. Celle d’informer, qui selon tout dictionnaire signifie : donner des informations, communiquer une nouvelle.

Mais là ne s’arrête pas la ‘’colère’’ de Charles Enderlin.

vendredi 18 mars 2011

Charles Enderlin et la défense de la presse coûte que coûte

L’envoyé permanent de France 2 à Jérusalem est, d’abord et avant tout, un membre à part entière de la caste journalistique censée nous informer. La défense de celle-ci doit donc être absolue, quitte à tordre le bon sens et l’intelligence du lectorat. Et son dernier texte intitulé « La tuerie d’Itamar et les chaînes de télévision » (1) le démontre.

Sur son blog, Charles Enderlin s’en prend aux « autorités israéliennes » et à « de nombreux blogueurs » qui accusent « notamment France 2 de ne pas avoir diffusé de reportage sur Itamar ». La raison de cela étant, selon lui, le « tremblement de terre/Tsunami/crise nucléaire au Japon. » auxquels « la plupart des chaînes généralistes européennes y consacrent la quasi totalité de leurs journaux et passent à la trappe par manque de temps la plupart des autres sujets aussi importants soient-ils ».

En conséquence, la ‘’malveillance’’ des autorités et blogueurs israéliens ne peut être qualifiée autrement que comme « une nouvelle campagne de diffamation contre les médias internationaux » !

De la part d’Enderlin fallait-il s’attendre à une autre conclusion ? Celle d’un peuple israélien paranoïaque qui voit des complots partout sauf en son sein !

Cependant, à y regarder de plus près, certaines questions s’imposent quant à savoir si les « médias internationaux » mènent une campagne anti-israélienne comme le démentent les idéologues, véritables pairs d’Enderlin.

Faut-il rappeler de prime abord que peu de médias, francophones pour ne parler que de ceux là, ont parlé de ces meurtres et encore moins diffusé les photos des victimes ? Difficile de croire que sur leur nombre incroyable, aucun n’a trouvé une à deux minutes ou quelques lignes pour en informer leur lectorat comme il se doit ! Comme il est rude d’admettre également que, lorsque faisant leur ‘’métier’’, se soient des « colons » qui furent assassinés et non pas une famille, dont un nourrisson de trois mois !

Ce qui dénote, pour le moins, une furieuse partialité et confirme que les médias désireux d’innocenter les ‘’Palestiniens’’, donc anti-israéliens, n’auraient pas couvert ni employé un autre vocabulaire au sujet de ce crime ignoble.

Coïncidence donc ? A voir !

La question de l’anti-israélisme de ces médias se pose d’autant plus, que lors de la même semaine les autorités israéliennes arraisonnèrent le bateau Victoria qui contenait cinquante tonnes d’armes destinées aux Hamas. Les journalistes de ces mêmes « médias internationaux » furent invités à venir filmer l’armement exposé au port d’Ashdod. Le hic étant, que la plupart d’entre eux, pour des raisons d’attente et de sécurité ‘’exagérées’’, décidèrent de rebrousser chemin et d’ignorer leur devoir d’information. Ces mêmes ‘’journalistes’’ qui n’hésitent cependant pas à braver le danger et à exiger des autorités israéliennes un laisser passer lors de tout conflit.

Un ‘’palestinien’’, forcément « civil » et « assassiné » par les Juifs… ça c’est une information ! N’est-ce pas Charles ?

Leur lectorat a donc été une nouvelle fois ménagé face à une information nuisant aux ‘’Palestiniens’’. Pas mêmes les images et photos prises par les médias israéliens ne lui ont été diffusées !

Ce qui justifie pleinement l’interrogation, voire confirme l’anti-israélisme des « médias internationaux » et déconsidère un peu plus, si cela est encore possible, l’envoyé permanent (hélas) de France 2.

Une problématique que Charles Enderlin ne dénonce évidemment pas dans son texte. Ce dont il préfère informer ses lecteurs, est la rumeur ‘’palestinienne’’ qui coure et qui assure que le meurtrier d’Itamar est un thaïlandais employé par la famille Fogel. Un ‘’assassin’’ qui aurait -selon la police- visité auparavant la maison voisine -qui se révéla vide de tout occupant- avant de commettre son méfait.

mardi 15 mars 2011

La Voix de la Palestine mieux que le quotidien Le monde

Pire que le quotidien Le Monde et ses pairs ?  C'est possible. (cliquez sur les images).





Noms et âges de trois des cinq ''extrémistes'' :  Yoav 11 ans, Elad 3 ans et Hadass Fogel 3 mois.

Les Sionistes les forment de plus en plus tôt.

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Article évidemment censuré sur Lepost.fr dès lors que l'on touche au quotidien de ''référence''. Lire à ce sujet Requiem pour le site Lepost.fr

dimanche 13 mars 2011

Marine Le Pen et les Juifs

Frédéric Haziza entendait interviewer la dirigeante du Front national Marine Le Pen sur la fréquence juive et le temps d’antenne de la station Radio J. Dès son annonce, un tollé communautaire est venu argumenter que c’était légitimer le FN et lui ôter ses oripeaux d’épouvantail politique largement mérités, acquis par Jean Marie Le Pen et tous les barons du parti adeptes du révisionnisme, du négationnisme et de l’antisémitisme.

En conséquence, l’entretien fut annulé et la censure recouvrit ses droits.

Le politiquement correct sévissant en Europe a donc encore marqué des points et le verbe a été une fois de plus bafoué. Car, à réfléchir, nul n’a jamais vu le FN manifester sous les drapeaux du Hezbollah et du Hamas, aux côtés de manifestants levant le drapeau israélien orné du svastika avant de le brûler en criant « mort à Israël », « mort aux juifs ».

Nul ne peut non plus prétendre que ce parti, reconnu pourtant comme antisémite, s’est joint à l’appel du boycott de l’état juif, qu’il soit politique, commercial, culturel ou sportif, ni qu’il organise des semaines contre « l’Apartheid israélien » !

Et pourtant, on a pu apercevoir, en réaction à l’invitation de la Présidente du Front National, de bonnes ‘’consciences’’ juives s’organiser pour qu’aucune voix juive n’aille au FN lors de la présidentielle de 2012, sans qu’elles n’aient jamais appelé auparavant à condamner le vote aux partis de gauche, du PS au NPA. Des partis qui s’empressent de manifester contre Israël à toute occasion ou participent à des actions illégales au regard de la loi ou immorales au vu de l’histoire du peuple juif.

Tel, pour ne parler que de quelques élus les plus connus, Elisabeth Guigou appelant au boycott des produits manufacturés dans les « colonies ». Hubert Védrine votant en 2002 une condamnation d’un massacre imaginaire de Djénine en tant que ministre des Affaires étrangères. Ou encore Michel Rocard affirmant en Egypte que la création d’Israël fut une « erreur historique ». Voire, pour ne pas oublier l’UMP, Nicolas Sarkozy participant, au Conseil de sécurité, au jeu anti-israélien des résolutions soutenues par des régimes antisémites aux mains pleines de pétrole et de pétrodollars.

Des individualités qu’aucune ‘’bonne conscience’’ juive n’ose appeler à leurs censures ni à se battre, avec une même fougue, pour leurs assurer les échecs électoraux mérités. Un silence au nom d’un politiquement correct qui voit, au final, les instances de la communauté juive prises au piège en lieu et place d’imposer, face à tous, la défense d’une démocratie forte des valeurs universelles et des droits de l’homme. Un quasi mutisme qui absout la politique arabe faute de reconnaître publiquement que les différents partis de l’échiquier politique, du FN au NPA, se valent dans leur anti-israélisme.

jeudi 10 mars 2011

Y a-t-il une alternative à Benjamin Netanyahou ?

A entendre les opposants de l’actuel gouvernement israélien, le blocage du processus de paix est de sa seule responsabilité. Soit pour la raison d’avoir exigé l’impossible, tel que le laisse entendre l’ex-députée d’extrême gauche Zahava Galon qui se passe, quant à elle, de la reconnaissance de la légitimité de l’état juif, soit pour son refus de geler une nouvelle fois les constructions dans les implantations. Ce qui ‘’empêcherait’’ les dirigeants de l’Autorité palestinienne de revenir à la table des négociations, dont on peut bien se demander l’intérêt si l’on prend en compte le refus total de toutes concessions de Mahmoud Abbas.

Certains, des adversaires politiques de Benjamin Netanyahou, soutiennent que le bien du pays exige qu’il dissolve la coalition actuelle, se débarrasse des ‘’extrémistes’’ qui la composent et forme un nouveau gouvernement avec le parti de centre gauche Kadima. Sans pour autant préciser quelle doit être la base commune entre ces deux partis ! Car, si l’on connaît plus ou moins les positions du Likoud sur Jérusalem, le ‘’droit au retour des réfugiés palestiniens’’, les frontières et les besoins sécuritaires d’autant plus importants que le monde arabo-musulman s’effondre, on doute fortement que le parti de Tsipi Livni puisse renier ses positions d’alors, lors des discussions d’Annapolis en 2008, et s’inscrire, sur ces mêmes sujets, en porte-à-faux vis-à-vis de la majorité du peuple israélien. On ne voit pas ici ce que ce parti apporterait de plus à l’édification de la paix.

Sauf à imaginer une capitulation israélienne aux exigences irréalistes de la communauté internationale aux basques de l’AP et que le parti Kadima ne pourrait soutenir face à ses propres électeurs.

On peine à imaginer en conséquence quelle peut-être l’alternative à la politique actuelle !

Si donc une nouvelle coalition avec ce parti semble pour le moins improbable, il est légitime de s’interroger quant à ses autres alliés éventuels lors d’une nouvelle élection que ce parti remporterait.

Le Shass, réunissant plus d’une dizaine de députés lors de chaque scrutin, fut éconduit par Tsipi Livni pour cause d’exigences pécuniaires exorbitantes lors de la formation du gouvernement en 2008. Il est donc difficile d’imaginer une alliance entre ces deux partis, sauf à imaginer que l’un ou l’autre se fourvoie. Pour celle qui veut se faire passer pour ‘’Mme propre’’, cela serait d’un mauvais effet sur les électeurs.

Idem pour le parti de Judaïsme Ha torah n’imaginant pas le pouvoir sans subsides à ses écoles.

Le parti Israël-Beiteïnou, réunissant actuellement quinze députés, est considéré par les membres de Kadima comme un parti « d’extrême droite », voire « fasciste ». L’alliance, là encore, est fortement improbable.

L’alliance avec le parti d’extrême gauche Meretz, trois élus actuellement et certainement moins dans la prochaine Knesset, causera une certaine gêne à l’aile droite du parti Kadima. D’où le doute d’un partenariat.

De même pour la dizaine de députés arabes que l’on n’imagine guère assis à la table du gouvernement présidé par Tsipi Livni.

Idem pour les partis Union nationale et Maison juive opposés à tout idée d’un état ‘’palestinien’’.

Le parti travailliste quant lui, fort de ses sept élus actuels, sera le seul parti ayant vocation à cette coalition avec le nouveau parti d’Ehud Barak Astmaout s’il obtient quelques élus.

mardi 8 mars 2011

Regard sur ''l'Apartheid'' israelien.

Pour connaître le regard malveillant de ceux qui accusent Israël de racisme. Un petit film comparant les ''mérites'' de l'Apartheid sud-africain d'alors et ceux de l'état juif de nos jours.


Merci à Europe-Israël.org pour cette vidéo.

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Article également censuré sur le site Lepost.fr pour le motif suivant:

"Le motif de retrait de votre article est : Propos publicitaire

La publication de contenus (textes, videos, images) dans l’unique but de promouvoir un produit, un service, une entreprise ou une organisation, n’est pas autorisée par la charte du site" (sic)!

Ainsi, une contre-argumentation opposée à l'affirmation de racisme de l'état juif est considérée comme de la publicité, et probablement l'état d'Israël comme un produit à promouvoir !!!!!!!!!!!!

Nul doute ne demeure quant au degré de surveillance de l'expression publique en France. La pensée manichéenne est imposée et le politiquement correct triomphe.

Lire sur le même sujet Requiem pour le site Lepost.fr.

lundi 7 mars 2011

Le B.D.S. et ses soutiens sont-ils antisémites ?

Roger Waters, ancien chanteur et bassiste du célèbre groupe des Pink Floyd, a donné une interview à la chaîne Al-Jazzera dans laquelle il a affirmé, entre autres choses, que « l’état d’Israël expulsait les ‘’Palestiniens’’ du Néguev et de Jérusalem-est » (1) et que « le mur de séparation est illégal, immoral et épouvantable» (1).

Des allégations qui laissent pantois tout individu quelque peu connaisseur du conflit, qui démontrent pour le moins la superficialité de son approche et expliquent le choix de la chaîne qatarie anti-israélienne pour leurs diffusions.

C’est ainsi, que pour disqualifier le chanteur, il suffit de rappeler que le Néguev est une région qui fut attribuée à l’état d’Israël naissant et n’est pas une région de conflit, que les bédouins y vivant sont des israéliens loyaux à l’état et que les destructions des maisons illégales entrainant des expulsions, tout comme celles de la Capitale concernant les ‘’Palestiniens’’, ne se font qu’en accord de la loi et des mandats de la Justice.

Pour ce qui concerne la clôture de sécurité, on peut être étonné que son jugement relatif à ‘’l’illégalité‘’ ne soit basée que sur le seul avis consultatif et politique du Tribunal de La Haye, que ‘’l’immoralité’’ ne prennent pas en compte la finalité de sa construction qui n’est autre que le retour de la sécurité -démontrée depuis- et que ‘’l’épouvante’’ ressentie oublie celle éprouvée par les Israéliens face aux meurtres barbares des civils innocents.

Si on ne peut reprocher au fondateur de Pink-Floyd d’avoir des idées tronquées sur le conflit, on ne peut l’excuser -étant un symbole- de faire des ‘’analyses’’ publiques où seul ressort systématiquement le ‘’tort’’ d’Israël. Possédant les moyens intellectuels de s’informer, il nous faut donc nous interroger sur l’automatisme, voire le calcul de son argumentation qui se révèle être au final une hostilité envers le peuple juif. Un raisonnement biaisé qui surfe  tout à fait sur l’air du temps anti-israélien, pouvant certes lui ramener quelques dizaines de milliers de fans supplémentaires mais aidant surtout à une ‘’prise de conscience’’ sur l’état « raciste et d’apartheid » que serait l’état juif.

‘’Qualités’’ qui seules expliquent, apparemment, son soutien à la campagne internationale du mouvement Boycott, Sanctions et Désinvestissement contre Israël. Un mouvement (2) qui n’a rien à envier à Roger Waters quant aux clichés et mensonges servis dans sa charte pour expliquer sa raison d’être et qui servent des sentiments, pour le moins inamicaux à l’égard du peuple juif, menant indubitablement vers une délégitimation de l’état du peuple juif.

dimanche 6 mars 2011

Plan de paix ‘’décent’’

Une cinquantaine de leaders de la communauté juive américaine a été invitée à la Maison Blanche par le Président Barak Hussein Obama. Selon le journal Jewish Telegraphic Agency ce dernier aurait affirmé que « le Président de l'Autorité Palestinienne souhaite laisser une empreinte dans l'histoire en édifiant l'état ‘’palestinien’’, et qu'il serait prêt à accepter une offre décente si elle se présentait ».

Il est donc intéressant de s’interroger sur ce que peut contenir un plan de paix ‘’décent’’ que Mahmoud Abbas parapherait. Par ses positions publiques et répétées il est aisé de le savoir.

Ainsi, les frontières réclamées seront basées sur la ligne d’armistice de 1949. La vieille ville de Jérusalem, hormis le quartier juif et le Mur des Lamentations, serait partie prenante de la capitale ‘’palestinienne’’ Al-Qods. La « solution juste pour les réfugiés », réclamée lors de toutes négociations, impliquerait un droit de retour au sein même d’Israël.

Le Président US aurait ajouté lors de cette même réunion, « les Palestiniens ne sont pas convaincus que le gouvernement Netanyahou soit sérieux au sujet des concessions territoriales ». Il aurait pu y ajouter ceux le précédent, car ceux-ci n’ont pas également satisfait les revendications des dirigeants ‘’palestiniens’’.

Mais au-delà des gouvernements, le peuple israélien disposant du droit régalien de nommer ses dirigeants, est-il prêt à contenter les demandes ‘’palestiniennes’’ et faire les concessions nécessaires à la paix ?

Si une majorité est acquise aux frontières s’alignant peu ou prou sur la ligne verte, aucune ne se dessine pour le reste. Le ‘’droit au retour des réfugiés’’ au sein même du pays est un casus belli. Seul un dédommagement en faveur de ceux ayant laissé un bien pourra être considéré. Pour ce qui est de la ville Jérusalem, si une majorité se dessine lentement pour la séparation des quartiers arabes, l’avenir de la vieille ville ne pourra être ailleurs qu’entre les mains du peuple juif ou, au mieux, d’une administration commune.

Des concessions israéliennes donc, capables de réunir une majorité du peuple et permettre ainsi la venue d’une paix raisonnable si attendue. Accommodements appelant, à contrario, l’examen de ceux que les dirigeants ‘’palestiniens’’, corrompus, corrupteurs et actuellement illégitimes car non élus par leur peuple, sont prêts à faire au nom de cette paix.

vendredi 4 mars 2011

Antisémitisme dans les pays musulmans

Les peuples arabes sont en ébullition. Ils ont en partage le désir de balayer leurs gouvernants, voire de les juger, les condamner et les pendre en guise de ‘’remerciements’’ pour tous les services rendus à leurs patries depuis plusieurs décennies. C’est ainsi que l’on a vu l’effigie colorée du Président égyptien, Hosni Moubarak, suspendue à une grue sur la place Tahir. Une caricature parmi de nombreuses autres, incluant une étoile de David et indiquant, à ceux saisissant le message, la responsabilité et la complicité du peuple juif dans la déchéance de l’Egypte par la gabegie et le détournement des richesses.


Une association dont nul au plus haut niveau de l’état n’a encore blâmé et que chacun en ce pays trouve, semble t-il, logique.

Autre pays et même désir. Le peuple tunisien s’est débarrassé du potentat Ben Ali par des manifestations, dont l’une d’elle est passée près de la Grande Synagogue de Tunis. Des manifestants ‘’pacifiques’’ s’en prenant au despote en criant, entre autres choses, « mort aux Juifs » ou « Ô Juifs souvenez-vous de Khaybar, l’armée de Mahomet reviendra ».


Des ‘’espoirs’’ certes condamnés par le gouvernement intérimaire en place et une partie de la population mais qui démontrent l’antisémitisme ambiant.

Le peuple libyen a, quant à lui, un peu plus de mal à se débarrasser du fou qui le gouverne depuis plus de quatre décennies. Ce qui n’empêche nullement les parties de s’accuser des pires péchés à leurs yeux. C’est ainsi que l’on a pu entendre, d’une part, le « Guide Suprême de la Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste » -lors d’une intervention télévisée- assurer que « Nous avons combattu contre des insurgés armés, comme ceux qui se sont battus contre les tanks israéliens à Gaza », et d’autre part voir les insurgés le qualifier de sioniste ou de juif et tamponner ses caricatures de l’étoile de David.

Le Yémen voit, pour l’instant, son Président tenir bon et refuser de quitter le pouvoir comme le lui ordonne son peuple. Ali Abdallah Saleh, contesté par des manifestations populaires depuis le 27 janvier, a accusé Israël et les Etats-Unis d'orchestrer la révolte arabe, lors de déclarations mardi 1er mars. Dans un discours à l'Université de Sanaa, il a affirmé qu'il y avait « une salle d'opérations à Tel-Aviv dont l'objectif est de déstabiliser le monde arabe (…) et qui est dirigée par la Maison Blanche ».


Quant aux yéménites, rien encore ne peut leur être reproché à ce stade. Mais les quatre cents juifs encore présents ne démentiront pas l’antisémitisme ambiant.