Vidéo de Im Tirsou, concernant l'invention du "peuple palestinien" en s'appuyant sur des faits historiques, qui déplaît à Facebook qui l'a censuré.
Victor PEREZ
Contre l'idéologie, le sectarisme et la bêtise... La parole libre
mercredi 29 décembre 2021
jeudi 2 août 2018
Palestine, Etat du peuple juif
Une interview posthume de Golda Meïr (z"l), alors Première Ministre de l"Etat du peuple juif, qui remet les pendules propagandistes et antisémites à l'heure.
mercredi 4 avril 2018
L'Islam de toujours !
Quelques grands penseurs penchés sur l'Islam, comme chacun le sait religion "d'Amour, Tolérance et Paix" mais grand fléau du XXI ème siècle.
vendredi 4 août 2017
Procréation gay ?
Les défilés de Gay Pride
vont bon train sur la planète ! Récemment à Jérusalem. Joies et
revendications sont les deux mamelles nourricières de ceux qui vivent une
sexualité à part. L’une de leurs doléances est la procréation. Avoir des
enfants étant le propre de l’homme comme de la femme, rien d’étonnant à
celle-ci !
Sauf si l’on considère
les droits bafoués de l’enfant ainsi né.
Pierre et Jacques
sont deux homosexuels bien dans leur tête. Mariés depuis quelques années, ils
décident, enfin, d’avoir des enfants. Le hic étant qu’aucun d’eux ne pouvant en
porter, il leur faudra donc trouver une mère porteuse qui s’effacera
définitivement après l’accouchement.
Chose promise et faite
une fois que Pierre ait donné son sperme et quelques centaines de billets
pour cela.
L’enfant né est un joli
petit garçon dénommé Alain. Il est donc le fils, sur le papier, de Pierre
et de Jacques.
Quelques mois
passèrent, l’envie d’un nouvel enfant devint de plus en pus ardente. Cette
fois-ci, c’est Jacques qui donnera son sperme à une mère couveuse
anonyme et différente de la précédente.
L’enfant né est une
jolie petite fille prénommé Madeleine. Elle est donc, elle aussi, la
fille, sur le papier, de Pierre et de Jacques. Et la sœur d’Alain.
Les années passèrent et
les deux frères et sœurs devinrent de très beaux adolescents. Tellement, qu’ils
se plurent et décidèrent, comme leurs deux papas, de se marier.
L’inceste étant
encore interdit par la loi, les deux amoureux, pourtant génétiquement étranger
l’un à l’autre, pourront-ils se marier ?
Rien n’est moins sûr !
Seule une loi, voire une autorisation juridique pourra permettre leur union.
Ceci dit, des hétéros
créés par des homos, cela risque de faire désordre !
Le temps faisant son
lit, les deux amoureux décidèrent de se séparer. Ils restèrent toutefois amis,
et frères vu qu’ils ont les même parents, papa Pierre et papa Jacques.
lundi 31 juillet 2017
Réponse à l’antisioniste Shlomo Sand
Lorsque l’on veut
assassiner son animal, on affirme l’excuse qu’il a la rage. Pour assassiner l’idée du Juif libre sur sa terre, Shlomo Sand, soutenu par le site d’extrême
gauche systématiquement hostile à l’Etat du peuple juif (d’autres diraient
antisémite), s’attèle à démontrer l’inéquation entre antisionisme et antisémitisme
affirmée par le Président Emmanuel Macron.
Dans une lettre ouverte
et intitulée « L’historien
israélien Shlomo Sand remet en place Macron concernant son amalgame entre
“anti-sionisme” et “antisémitisme” », l'ancien professeur d’histoire
contemporaine à l’Université de Tel Aviv [qui a démontré dans le passé un
certain talent pour mélanger l’histoire et le folklore, notamment sur la réalité
historique de la tribu Khazar juive ignorant l’écrasant consensus historique
qu’elle n’avait jamais existé (dixit le Professeur Moshe
Sluhovsky, président du département d’histoire et de l’école d’histoire
de l’Université hébraïque de Jérusalem)], tient à prouver à « l’inculte
Macron » qu’existent de nombreux Juifs antisionistes pas antisémites.
Mais quid d’une ‘’démonstration’’
sans d’abord une attaque contre le Premier ministre israélien, légitime représentant
de la majorité israélienne et donc du peuple juif ?
« Pour être
tout à fait franc, j’ai été plutôt agacé par le fait que vous ayez invité
Benjamin Netanyahou, qui est incontestablement à ranger dans la catégorie des
oppresseurs, et ne saurait donc s’afficher en représentant des victimes d’hier ».
Nul n’aurait, évidemment,
demandé à Sand ou à Plenel de représenter, en cette triste commémoration
de la rafle du Vel d’Hiv, le peuple juif ! Pour un ‘’historien’’
désireux d’asseoir son raisonnement, mélanger politique et histoire déconsidère
d’avance ses propos si avides de déconstruire l’équation présidentielle « L’antisionisme…
est la forme réinventée de l’antisémitisme » qu’ils
qualifient facilement l’auteur.
« Chacun de nous
peut se prononcer sur le point de savoir si le projet de créer un Etat juif
exclusif sur un morceau de territoire ultra-majoritairement peuplé d’Arabes, est
une idée morale ».
C’est bien cette ‘’immoralité’’
que le monde musulman dénonce et que les antisémites reprennent à leur compte.
La ‘’moralité’’ de Sand & Co se serait contentée de voir les Juifs
apatrides ou dhimmis sur la terre de leurs ancêtres.
« Un enfant
né d’un viol a bien le droit de vivre, mais que se passe-t-il si cet enfant
marche sur les traces de son père ? ».
Ainsi, la renaissance de
l’état du peuple juif sur une toute petite partie de la Palestine mandataire
serait un « viol » ! Être contre le droit à l’autodétermination
du peuple juif tout en étant farouchement en faveur de l’indépendance d’un
peuple que nul n’avait, alors en 1948, recensé, n’est-il pas simplement de l’antisémitisme ?
Oublier, par ailleurs, que ce même peuple d’arabes a reçu 80% du mandat anglais,
soit plus de cinq fois ce que reçut le peuple juif en 1948, c’est faire montre
soit d’une profonde inculture soit d’une omission intéressée.
L’intérêt de celle-ci
est évident !
« traces de son
père » ? Cet enfant aurait-il dû avoir honte du désir de celui
qui le mit à l’abri des nombreux antisémites qui sévirent alors, mais aussi
renoncer à se défendre face aux multiples agressions des antisémites que Shlomo
Sand défend aujourd’hui ? Où serait cet enfant de nos jours, et Shlomo
Sand lui-même, si les amis de ce dernier l’avaient emporté ?
Il est vrai qu’à la ‘’charge’’
de cet enfant, celui-ci n’a pas, contrairement à Sand, remplacé sa
fierté d’être pleinement Juif et Israélien par une idéologie fétide !
« Et vint
l’année 1967 : depuis lors Israël règne sur 5,5 millions de Palestiniens, privés
de droits civiques, politiques et sociaux ».
Ce ‘’règne’’ s’est-il
fait sur simple décision israélienne ? L’Egypte, la Syrie et
la Jordanie n’avaient-ils pas comme projet antisémite de jeter les
Juifs à la mer ? L’Etat d’Israël n’avait-il pas demandé au roi de la
Transjordanie de ne pas prendre part dans ce sinistre projet ?
Quant aux « droits
civiques, politiques et sociaux » dont les arabes dits ‘’palestiniens’
seraient privés, il faut être sacrément antisioniste pour ignorer que ceux-ci n’ont
jamais posséder la nationalité israélienne et ne dépendent que de l’Autorité
palestinienne.
Par ailleurs, quelle sorte d’historien peut oublier, si
aisément, les trois non de Khartoum de la Ligue arabe, ainsi que
le double refus de 2000 et 2008 de l’Autorité palestinienne à la
paix et donc à la création d’un pays pour ce peuple inventé en 1967 ?
mercredi 24 mai 2017
Lire correctement les actes de Trump, trop difficile pour les ‘’experts’’
Si l’on se base sur l’avis
des ‘’experts’’ qui foisonnent dans les médias, y compris israéliens, l’enseignement
que chacun en tire est, tel le titre du quotidien Le Monde, « Le
grand flou de Donald Trump sur le conflit
israélo-palestinien » ! Autrement dit, incapables de déchiffrer sa politique mais également
de parfaites mauvaises fois ils l’accusent d’un ‘’grand n’importe quoi’’ comme ils
le font pour tout autre sujet.
Est-ce vraiment le cas ?
Pas vraiment si l’on reprend dans l’ordre ses propres gestes mais aussi ses déclarations
et pas celles qu’on lui a mises dans la bouche.
Lors de la conférence
de presse en février 2017 dans la capitale américaine, face à Benjamin
Netanyahou, Donald J. Trump a déclaré un mois après sa prise de
fonction : « Je regarde la solution à deux Etats, à un Etat, et si Israël et
les Palestiniens sont contents, je suis content avec ce qu’ils préfèrent ». Analysé tout simplement, le Président US sera satisfait de la solution que l’Etat d’Israël
choisira, car sans celui-ci rien ne se fera.
Plus finement observé, il appelle
les ‘’Palestiniens’’ a trouvé un terrain d’entente et à ne rien espérer de la
communauté internationale. Ce qui défrise les ‘’experts’’
autoproclamés si habitués à ce que celle-ci dicte les conditions de la ‘’paix’’
à l’état du peuple juif !
Lors de la conférence
de presse commune du trois mai, toujours à Washington et face cette
fois-ci au Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, Donald
J. Trump a indiqué qu’« Il ne peut y avoir de paix durable si les
dirigeants palestiniens ne condamnent pas à l’unisson les appels à la
violence et la haine ».
Requête logique si l’on
sait que la Paix ne va pas de pair avec la guerre.
Enfonçant le clou de la
violence ‘’palestinienne’’, et certainement pour complaire aux ‘’experts’’ ne
comprenant rien au conflit israélo-arabe, Donald J. Trump a déclaré le
vingt et un mai lors d’un voyage dans la capitale de l’Arabie Saoudite
que « Le Hamas et le Hezbollah sont des organisations terroristes
».
Arrivé dans l’Etat d’Israël
le lendemain, il s’est dépêché, une kipa sur la tête, d’aller prier au Mur
des Lamentations, rappelant ainsi à la planète et aux instances internationales,
le lien intangible entre ce lieu, le Judaïsme et le peuple juif.
Au cours d’une visite
rapide à l’Autorité palestinienne dans la ville de Bethlehem, il
a rappelé indirectement à Mahmoud Abbas ce qu’il lui avait précédemment
déjà dit lors de leur dernière rencontre : « On ne peut pas avancer
vers la paix et parallèlement financer le terrorisme. La paix ne viendra
pas dans une sphère où la violence est financée et récompensée ».
jeudi 11 mai 2017
Les réseaux sociaux et la pensée unique
Les réseaux sociaux, à
en croire le politiquement correct, donnent dans la désinformation qui conduit
à la propagande et facilite l’influence, forcément, néfaste à la collectivité. Activité
qu’il faut donc bannir pour le ‘’bien-être’’ de la société entière.
Le hic étant de savoir
qui sera le juge impartial qui décrétera l’information fausse ?
Dans l’attente de
trouver cet oiseau rare, Facebook a annoncé dans un rapport publié le vingt-sept avril « avoir pris des mesures contre 30 000
faux comptes » en France depuis le treize avril dernier, soit dix
jours avant le premier tour de l’élection présidentielle.
Sont-ils, à coup sûr,
tous faux ? « Désormais, nous sommes capables de détecter des faux
comptes de façon plus efficace. Nous n’évaluons plus le contenu lui-même,
mais nous basons sur des modèles comportementaux pour détecter plus
facilement ces faux comptes. Par exemple, nos systèmes peuvent détecter le partage
répété du même contenu, ou encore une augmentation des messages envoyés »
Partager un même
contenu et réagir à celui-ci, trop au goût de Facebook, peut donc
conduire à la fermeture d’un compte tout à fait réel !
Toujours à poursuivre
la ‘’fake news’’, le quotidien Le Monde, toujours si prompts à protéger
le faible citoyen, a créé l’outil Décodex pour, dit-il, « (...) aider à vérifier les informations qui circulent
sur Internet et dénicher les rumeurs, exagérations ou déformations ».
Là encore le juge
impartial est quémandé !
Ainsi, la vérification sur
le Décodex des sites Médiapart, l’Humanité, Libération,
Le Monde ou encore Le Monde Diplomatique indiquera : « N’hésitez
pas à confirmer l’information en croisant avec d’autres sources ou en remontant
à son origine ».
C’est le moins que l’on puisse dire à propos de
ces médias ! Sembler honnête ne peut que rehausser le prestige de cet instrument
qui n’a pas vocation à cracher sur les confrères défendant, mordicus, le
politiquement correct !
Quels regrets que ce
dispositif n’ait pas été imaginé plus tôt dans le temps ! Il aurait évité
bon nombre de réelles fake news conduisant aux pires atrocités.
Ainsi les masses, qui
ne possédaient pas encore de réseaux sociaux, adoraient la chasse aux sorcières
et les bûchers. Sans l’aide de ces fameux réseaux, les pogroms avaient un
certain succès surtout lorsqu’il fallait piller les biens des victimes. Les turcs
s’étaient réunis dans leur haine de l’arménien. Quelques années plus tard, les
Allemands trouvèrent le juif fautif de leur mauvaise situation.
On pourrait multiplier
les exemples presque à l’infini pour finir par s’interroger quant à l’origine
de cette aliénation des peuples qui n’avaient, sur le moment, rien trouvé à redire sur
ces atrocités car par trop endoctrinés par le politiquement correct du moment !
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