On ne présente plus celle qui a fait de l’anti Tarik Ramadan son cheval de bataille afin d’atteindre la célébrité. Ce dernier s’épuisant, la voici galopant dorénavant sur le canasson de l’anti-israélisme primaire. Un étalon d’endurance et de ‘’première qualité’’ assurant à son jockey, à coup sûr, réputation ‘’d’expert’’, invitations dans les médias et libres publications ‘’d’opinions’’ devant garantir obligatoirement le statut éternel de bouc émissaire de l’état juif.
Dans une tribune parue dans son quotidien préféré et intitulée « Israël contre Obama », on ne compte plus les contre-vérités de cette dame. La première d’entre elles, est l’affirmation d’un « (…) tournant dans les relations américaines et israéliennes. Sans que l'on puisse encore prédire sa portée ».
Au dire des derniers sondages US, Barak Obama est en chute libre et Israël reconnu de plus en plus comme l’allié le plus fiable de cet état. Ce qui permet de réduire à presque rien la ‘’portée de ce tournant’’ annoncée.
Si l’avenir relationnel US-Israël est confus dans l’esprit de Caroline, le passé est, quant à lui, analysé ‘’scrupuleusement’’ à l’aune d’une phrase anodine mais pleine de sous-entendus : « Force est de constater qu'aujourd'hui, sans doute plus qu'hier, le gouvernement israélien porte la responsabilité du blocage ».
Le gouvernement d’Ehud Olmert avec son intention de partager Jérusalem et d’accueillir un nombre limité de ‘’réfugiés’’, celui d’Ariel Sharon et son évacuation unilatérale de la bande de Gaza, celui d’Ehud Barak acceptant les critères Clinton, ou encore celui d’Itshak Rabin paraphant les « accords d’Oslo » sont donc -selon Mlle Fourest- également « responsables » de la situation actuelle de non paix !
L’Autorité palestinienne (celle d’hier et d’aujourd’hui) par son refus d’abandonner son exigence d’un ‘’droit au retour de réfugiés’’ au sein même d’Israël, de son obligation de reconnaître le caractère intrinsèque de l’état juif -condition sine qua non israélienne-, ou encore de sa négation du lien ente le Judaïsme et le Mont du Temple n’ont évidemment rien à voir avec les divers ‘’échecs’’ des gouvernements israéliens successifs !
Seul « au moins le gel des colonies » permettrait à l’Autorité palestinienne d’être en position de force pour s'autoproclamer « "Etat palestinien" avec l'accord de la communauté internationale », pour normaliser « ses relations avec Israël », et pour négocier « ensuite en position de force avec le Hamas au sujet de Gaza ».
Théorie fourestienne vaseuse si l’on se réfère là encore aux divers refus susmentionnés de l’A.P. que le Hamas, lui-même, approuve.
De la théorie fumeuse aux affirmations assénées par la force d’une certitude, la main de Caroline Fourest ne tremble pas. Ses opinions affirmant que Tsahal est « infiltrée par des militaires orthodoxes combattant au nom de Dieu et non plus au nom de la nation », ou que « La violence disproportionnée avec laquelle l'armée israélienne a répondu au harcèlement des roquettes du Hamas » trahissent une « perte de raison » non pas d’un « Israël (qui) entretient un fanatisme » mais d’une ‘’journaliste’’ en mal de reconnaissance publique et de vedettariat.
Cela se vérifie d’autant plus lorsqu’elle assure, plus loin et le plus sérieusement, que les Etats-Unis ont « une fois de plus dû dégainer leur veto pour empêcher une nouvelle mise en accusation d'Israël à propos du rapport Goldstone sur la guerre de Gaza » sans, pour autant, préciser à ses lecteurs la date d’une telle action, ou lorsqu’elle écrit que « L'illusion d'un choc entre un bloc musulman et un bloc occidental a vécu ».
Des allégations démontrant, si besoin était, que les meilleurs esprits ont aussi besoin d’une nourriture terrestre. Le politiquement correct a donc fourni ce qu’il fallait à Caroline Fourest. A elle de se montrer reconnaissante.
Dans une tribune parue dans son quotidien préféré et intitulée « Israël contre Obama », on ne compte plus les contre-vérités de cette dame. La première d’entre elles, est l’affirmation d’un « (…) tournant dans les relations américaines et israéliennes. Sans que l'on puisse encore prédire sa portée ».
Au dire des derniers sondages US, Barak Obama est en chute libre et Israël reconnu de plus en plus comme l’allié le plus fiable de cet état. Ce qui permet de réduire à presque rien la ‘’portée de ce tournant’’ annoncée.
Si l’avenir relationnel US-Israël est confus dans l’esprit de Caroline, le passé est, quant à lui, analysé ‘’scrupuleusement’’ à l’aune d’une phrase anodine mais pleine de sous-entendus : « Force est de constater qu'aujourd'hui, sans doute plus qu'hier, le gouvernement israélien porte la responsabilité du blocage ».
Le gouvernement d’Ehud Olmert avec son intention de partager Jérusalem et d’accueillir un nombre limité de ‘’réfugiés’’, celui d’Ariel Sharon et son évacuation unilatérale de la bande de Gaza, celui d’Ehud Barak acceptant les critères Clinton, ou encore celui d’Itshak Rabin paraphant les « accords d’Oslo » sont donc -selon Mlle Fourest- également « responsables » de la situation actuelle de non paix !
L’Autorité palestinienne (celle d’hier et d’aujourd’hui) par son refus d’abandonner son exigence d’un ‘’droit au retour de réfugiés’’ au sein même d’Israël, de son obligation de reconnaître le caractère intrinsèque de l’état juif -condition sine qua non israélienne-, ou encore de sa négation du lien ente le Judaïsme et le Mont du Temple n’ont évidemment rien à voir avec les divers ‘’échecs’’ des gouvernements israéliens successifs !
Seul « au moins le gel des colonies » permettrait à l’Autorité palestinienne d’être en position de force pour s'autoproclamer « "Etat palestinien" avec l'accord de la communauté internationale », pour normaliser « ses relations avec Israël », et pour négocier « ensuite en position de force avec le Hamas au sujet de Gaza ».
Théorie fourestienne vaseuse si l’on se réfère là encore aux divers refus susmentionnés de l’A.P. que le Hamas, lui-même, approuve.
De la théorie fumeuse aux affirmations assénées par la force d’une certitude, la main de Caroline Fourest ne tremble pas. Ses opinions affirmant que Tsahal est « infiltrée par des militaires orthodoxes combattant au nom de Dieu et non plus au nom de la nation », ou que « La violence disproportionnée avec laquelle l'armée israélienne a répondu au harcèlement des roquettes du Hamas » trahissent une « perte de raison » non pas d’un « Israël (qui) entretient un fanatisme » mais d’une ‘’journaliste’’ en mal de reconnaissance publique et de vedettariat.
Cela se vérifie d’autant plus lorsqu’elle assure, plus loin et le plus sérieusement, que les Etats-Unis ont « une fois de plus dû dégainer leur veto pour empêcher une nouvelle mise en accusation d'Israël à propos du rapport Goldstone sur la guerre de Gaza » sans, pour autant, préciser à ses lecteurs la date d’une telle action, ou lorsqu’elle écrit que « L'illusion d'un choc entre un bloc musulman et un bloc occidental a vécu ».
Des allégations démontrant, si besoin était, que les meilleurs esprits ont aussi besoin d’une nourriture terrestre. Le politiquement correct a donc fourni ce qu’il fallait à Caroline Fourest. A elle de se montrer reconnaissante.
On ne doit pas en être trop surpris. Caroline Fourest fait partie de ces créatures orwelliennes qui obtiennent d'autant plus facilement la faveur des plateaux et des micros qu'elles pervertissent le sens des mots et jouent le jeu de ceux auxquels elles prétendent s'opposer. Quiconque prend une telle personne pour une vraie féministe, montre déjà par là qu'il est conditionné par la novlangue actuelle.
RépondreSupprimeractuelement pour pouvoir critiquer l'islamisme il faut bien preciser que ce n'est pas pour defendre les juifs.
RépondreSupprimerLe pape fait pareil, sarkozy fait pareil...
Depuis la seconde guerre mondiale, les forces armée alliées avaient deja en leurs temps bien clarifié la question: "on fait la guerre aux nazis pas pour defendre les juifs"...
Et la shoa pouvait tranquilement allé de l'avant sans meme un bombardement de voie ferré...
C'est toujours pareil, et c'est la raison pour laquel les dictateurs et les islamo-fascistes font references aux juifs et à israel: pour pouvoir repondre a la critique pour se mettre du bon coté.
Fourest veut bien clarifier: qu'elle est du bon coté.
Tristesse.
Ce sont toujours les juifs qui payent les conflits entre gens qui ne les regardent pas directement: inter-islamique, inter-arabe, inter-religieux (islam contre chretiens) etc...
ils se font la guerre mais sur une chose au moins ils sont d'accord leurs haine du juifs (ou la conscience qu'il faut proclamer cette haine pour se faire aimer...
quel manque de courage
sentinella europea
Nous l'avions déjà évoqué !
RépondreSupprimerDurban : Madame Fourest se fout du monde ...
http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/archive/2009/03/17/durban-madame-fourest-se-fout-du-monde-alain-rubin.html#comments
@sentinella europea : grosse différence avec le passé, maintenant il y a l'Etat d'Israël, une situation qui autorise les Juifs à prendre en main leur destin
RépondreSupprimerLire le blog en entier, pretty good
RépondreSupprimerComment une prétendue féministe peut-elle singulariser le seul pays au Sud de la Méditerranée, le seul de tout le Proche-et-Moyen-Orient, à accorder aux femmes les mêmes droits qu’aux hommes et les mêmes droits que dans les pays occidentaux ?
RépondreSupprimerComment une prétendue militante pour les droits des homosexuels peut-elle singulariser le seul pays de tout le Proche-et-Moyen-Orient dans lequel les homosexuels ont le droit d’être homosexuels et même, de l’afficher dans la rue de la façon la plus indécente ?
Comment une prétendue défenseuse de la laïcité peut-elle singulariser le seul pays de tout le Proche-et-Moyen-Orient dans lequel toutes les croyances religieuses, et aussi la non-croyance - l’athéisme et l’agnosticisme - sont respectées ?
Comme dirait Sherlock, question alimentaire mon cher Marcoroz.
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