Dans les circonstances internationales actuelles, ce geste fera avancer les intérêts et l’image d’Israël dans le monde. Ce n’est pas une simple étape, ni une étape facile, mais elle présente plus d’avantages que d’inconvénients ». « (…) cela nous permettra de montrer au monde cette vérité simple : le gouvernement israélien souhaite entamer des négociations avec les palestiniens, il prend des décisions pour engager des négociations et est très sérieux dans son intention de promouvoir la paix ».
Ainsi s’est expliqué Benjamin Netanyahou lors de la réunion du cabinet de sécurité israélien concernant le gel des constructions en Judée et Samarie. Un gel qui ne concernera pas Jérusalem-est ni l’accroissement naturel des implantations. Un gel qui a le mérite, dorénavant, d’exister officiellement et qui donne l’occasion à Mahmoud Abbas de descendre de l’arbre où Barak Hussein Obama l’avait suspendu.
Aux dernières réactions de l’Autorité palestinienne cette décision israélienne ne semble pas suffisante pour débuter des négociations de paix.
Pour le premier ministre palestinien Salam Fayyad le gel des constructions est inacceptable sans un gel à Jérusalem-est, que les palestiniens veulent comme capitale de leur futur état.
Pour Nabil Abou Rdeneh, conseiller du président de l'Autorité palestinienne, un gel laissant Jérusalem-Est de côté serait inacceptable : « Toute offre israélienne qui n'inclut pas Jérusalem sera immédiatement rejetée. Aucun Palestinien, aucun arabe ne franchira cette ligne ».
Si au nom des USA, George Mitchell a salué cette décision comme un « développement positif et un pas significatif » pour une reprise des négociations de paix, à contrario, quel sorte de ‘’Palestinien’’, ou d’arabe puisque concerné par le processus de paix, accepterait -lors de véritables négociations- la prédominance définitive d’Israël sur cette partie de la ville, voire tout simplement un partage ?
A l’heure actuelle, nul ‘’Palestinien’’ ne s’avise à envisager une partition de la ville sainte, n’imagine avoir comme concitoyens des Israéliens, n’évoque l’idée d’une reconnaissance du caractère juif de l’état d’Israël et donc celle d’abandonner l’exigence d’un droit au retour de ‘’réfugiés’’ en son sein.
Décisions pourtant minimales que toutes négociations avec le gouvernement de Benjamin Netanyahou impliqueraient de prendre clairement au nom d’une paix juste et durable.
Ce qui pousse l’Autorité palestinienne de tout tenter afin d’éviter cette ‘’confrontation’’.
D’où l’exigence d’un arrêt total de la construction dans les ‘’colonies’’, Jérusalem compris. De la menace d’Abou Mazen de ne pas se représenter lors d’éventuelles élections à venir, et mettre à mal ainsi l’existence administrative de l’AP. De déclarer unilatéralement un état de ‘’Palestine’’. D’en appeler au Conseil de sécurité aux fins d’une résolution onusienne reconnaissant la solution de deux états vivant côte à côte, avec comme frontières celles de 1967 et Jérusalem-est comme capitale ‘’palestinienne’’. Voire d’une reprise d’une troisième intifada.
Cela sans compter d’autres exigences qui viendront en temps utile. Tel un retour des ‘’réfugiés’’ au sein de « l’entité sioniste », puis le droit de la ‘’Palestine’’ d’avoir des accords stratégiques avec qui lui plaît, la maitrise de ses cieux, ou encore une force armée pour la défendre.
Au pays des aveugles le borgne est roi. Le monde occidental se refuse à voir l’évidence d’un refus de toute négociation sérieuse de la part des ‘’Palestiniens’’ soutenus par le monde musulman. Seule une reddition, une défaite, une humiliation sera acceptée.
Le seul hic à cette fin ‘’heureuse’’ est que le peuple juif a encore besoin de ce refuge pour de nombreuses générations.
Ainsi s’est expliqué Benjamin Netanyahou lors de la réunion du cabinet de sécurité israélien concernant le gel des constructions en Judée et Samarie. Un gel qui ne concernera pas Jérusalem-est ni l’accroissement naturel des implantations. Un gel qui a le mérite, dorénavant, d’exister officiellement et qui donne l’occasion à Mahmoud Abbas de descendre de l’arbre où Barak Hussein Obama l’avait suspendu.
Aux dernières réactions de l’Autorité palestinienne cette décision israélienne ne semble pas suffisante pour débuter des négociations de paix.
Pour le premier ministre palestinien Salam Fayyad le gel des constructions est inacceptable sans un gel à Jérusalem-est, que les palestiniens veulent comme capitale de leur futur état.
Pour Nabil Abou Rdeneh, conseiller du président de l'Autorité palestinienne, un gel laissant Jérusalem-Est de côté serait inacceptable : « Toute offre israélienne qui n'inclut pas Jérusalem sera immédiatement rejetée. Aucun Palestinien, aucun arabe ne franchira cette ligne ».
Si au nom des USA, George Mitchell a salué cette décision comme un « développement positif et un pas significatif » pour une reprise des négociations de paix, à contrario, quel sorte de ‘’Palestinien’’, ou d’arabe puisque concerné par le processus de paix, accepterait -lors de véritables négociations- la prédominance définitive d’Israël sur cette partie de la ville, voire tout simplement un partage ?
A l’heure actuelle, nul ‘’Palestinien’’ ne s’avise à envisager une partition de la ville sainte, n’imagine avoir comme concitoyens des Israéliens, n’évoque l’idée d’une reconnaissance du caractère juif de l’état d’Israël et donc celle d’abandonner l’exigence d’un droit au retour de ‘’réfugiés’’ en son sein.
Décisions pourtant minimales que toutes négociations avec le gouvernement de Benjamin Netanyahou impliqueraient de prendre clairement au nom d’une paix juste et durable.
Ce qui pousse l’Autorité palestinienne de tout tenter afin d’éviter cette ‘’confrontation’’.
D’où l’exigence d’un arrêt total de la construction dans les ‘’colonies’’, Jérusalem compris. De la menace d’Abou Mazen de ne pas se représenter lors d’éventuelles élections à venir, et mettre à mal ainsi l’existence administrative de l’AP. De déclarer unilatéralement un état de ‘’Palestine’’. D’en appeler au Conseil de sécurité aux fins d’une résolution onusienne reconnaissant la solution de deux états vivant côte à côte, avec comme frontières celles de 1967 et Jérusalem-est comme capitale ‘’palestinienne’’. Voire d’une reprise d’une troisième intifada.
Cela sans compter d’autres exigences qui viendront en temps utile. Tel un retour des ‘’réfugiés’’ au sein de « l’entité sioniste », puis le droit de la ‘’Palestine’’ d’avoir des accords stratégiques avec qui lui plaît, la maitrise de ses cieux, ou encore une force armée pour la défendre.
Au pays des aveugles le borgne est roi. Le monde occidental se refuse à voir l’évidence d’un refus de toute négociation sérieuse de la part des ‘’Palestiniens’’ soutenus par le monde musulman. Seule une reddition, une défaite, une humiliation sera acceptée.
Le seul hic à cette fin ‘’heureuse’’ est que le peuple juif a encore besoin de ce refuge pour de nombreuses générations.
pour son propre malheur l'occident et hélas les dirigeants israeliens choisissent la voie de munich qui n'évita pas la guerre.
RépondreSupprimerau vérifié des faits chaque concession envers les arabo islamique ne fait que les encouragez dans leurs projets bellicistes.
nous ne devons pas être la tchéquoslovaquie des années 30n; nous sommes seuls et devons nous battre pour survivre