Le Ministre français des Affaires étrangères, dans une interview donnée au quotidien à fort tirage Yediot Arahonot, insiste sur l’amitié qu’il aurait pour Israël. « Je suis un grand ami d’Israël, je souhaite la paix, et je me suis battu pour cela de longues années » ; « J’aime la démocratie israélienne » ; « Ne vous méprenez pas quant à vos amis. La France est l’amie d’Israël, et si la sécurité d’Israël est menacée, nous serons à ses côtés ».
Si de telles phrases de prime abord peuvent séduire, le reste de l’entretien apporte le doute quant à leur vraisemblance.
Il en est ainsi lorsqu’il aborde le rapport Goldstone. Bernard Kouchner nous rappelle alors que la France a demandé aux ‘’Palestiniens’’ de revoir le texte qu’ils ont déposé à Genève. Suite au refus de ces derniers, « (…) nous n’avons pas participé au vote. La deuxième fois, nous nous sommes abstenus lors du vote sur le transfert du rapport à l’Assemblée générale de l’ONU ».
S’opposer de front à sa majorité systématiquement anti-israélienne aurait eu à n’en point douter, pour la patrie des droits de l’homme, une autre allure. Peut-on alors, suite à cette attitude, spéculer un court instant que la France opposera son véto, au Conseil de sécurité, lors de toutes tentatives de transmission du dossier au Tribunal Pénal International ? Evidemment que non !
Mais le pire est à venir : « Notre position est claire, nous avons toujours dit que nous voulions qu’il y ait du côté israélien une commission d’enquête indépendante. Ce n’est pas que nous adoptons une position inamicale, mais que, face à de telles accusations, cela me semble normal. Qui plus est, c’est dans l’intérêt d’Israël ».
Ainsi, si à l’avenir, quelque individu mandaté par le Conseil de droit de l’homme, dont chacun connaît son intégrité en la matière, enquête -par exemple- sur le sang d’enfants chrétiens récupérés par les Juifs pour faire du pain azyme, ou que Tsahal prélèvent des organes humains pour les vendre sur des ‘’Palestiniens’’ assassinés dans cet objectif, et que des témoignages corroborent de telles accusations sans pour autant amener de preuves formelles, Israël devra mener des enquêtes judiciaires ‘’dans son propre intérêt’’.
La charge de la preuve étant dorénavant en ce qui concerne Israël à sa charge et non plus à celle de ses procureurs.
La suite est à l'avenant. Au rappel du journaliste de la qualification de ce rapport de « récompense au terrorisme » par le gouvernement israélien, Bernard Kouchner cite la position française quant à l’opération « Plomb durci » : « (…) nous nous sommes opposés à l’entrée de l’armée israélienne dans Gaza et nous l’avons dit à l’époque, en tant qu’amis. Si des amis ne se parlent pas franchement, ce ne sont pas de véritables amis. Nous avions dit de manière très claire que ce n’est pas bon pour l’image d’Israël dans le monde ».
S’il est vrai qu’un conflit n’est jamais bon pour l’image d’un pays démocratique, nul ne peut douter que les dizaines de roquettes par jour lancées sur le territoire israélien n’étaient point appréciées par les citoyens de ce pays. ‘’L’ami’’ d’Israël ne se pose même plus la question à ce sujet.
On recherche, par ailleurs, désespérément ne serait-ce qu’une démarche diplomatique française, dans ces quatre dernières années, entreprise aux fins de faire cesser les tirs de missiles du Hamas contre les civils et constituant, pour le moins, des crimes contre l’humanité. Des preuves de ces faits, Israël en possède des milliers -entreposées dans quelques dépôts de Sdérot- et que Bernard Kouchner a ôté de sa mémoire.
Si malgré de tels propos ‘’amicaux’’ la France doit être encore considérée comme un pays ami, les déclarations de son ministre ne viennent pas moins confirmer toute la saveur du célèbre adage demandant à D… de nous préserver de nos amis.
Si de telles phrases de prime abord peuvent séduire, le reste de l’entretien apporte le doute quant à leur vraisemblance.
Il en est ainsi lorsqu’il aborde le rapport Goldstone. Bernard Kouchner nous rappelle alors que la France a demandé aux ‘’Palestiniens’’ de revoir le texte qu’ils ont déposé à Genève. Suite au refus de ces derniers, « (…) nous n’avons pas participé au vote. La deuxième fois, nous nous sommes abstenus lors du vote sur le transfert du rapport à l’Assemblée générale de l’ONU ».
S’opposer de front à sa majorité systématiquement anti-israélienne aurait eu à n’en point douter, pour la patrie des droits de l’homme, une autre allure. Peut-on alors, suite à cette attitude, spéculer un court instant que la France opposera son véto, au Conseil de sécurité, lors de toutes tentatives de transmission du dossier au Tribunal Pénal International ? Evidemment que non !
Mais le pire est à venir : « Notre position est claire, nous avons toujours dit que nous voulions qu’il y ait du côté israélien une commission d’enquête indépendante. Ce n’est pas que nous adoptons une position inamicale, mais que, face à de telles accusations, cela me semble normal. Qui plus est, c’est dans l’intérêt d’Israël ».
Ainsi, si à l’avenir, quelque individu mandaté par le Conseil de droit de l’homme, dont chacun connaît son intégrité en la matière, enquête -par exemple- sur le sang d’enfants chrétiens récupérés par les Juifs pour faire du pain azyme, ou que Tsahal prélèvent des organes humains pour les vendre sur des ‘’Palestiniens’’ assassinés dans cet objectif, et que des témoignages corroborent de telles accusations sans pour autant amener de preuves formelles, Israël devra mener des enquêtes judiciaires ‘’dans son propre intérêt’’.
La charge de la preuve étant dorénavant en ce qui concerne Israël à sa charge et non plus à celle de ses procureurs.
La suite est à l'avenant. Au rappel du journaliste de la qualification de ce rapport de « récompense au terrorisme » par le gouvernement israélien, Bernard Kouchner cite la position française quant à l’opération « Plomb durci » : « (…) nous nous sommes opposés à l’entrée de l’armée israélienne dans Gaza et nous l’avons dit à l’époque, en tant qu’amis. Si des amis ne se parlent pas franchement, ce ne sont pas de véritables amis. Nous avions dit de manière très claire que ce n’est pas bon pour l’image d’Israël dans le monde ».
S’il est vrai qu’un conflit n’est jamais bon pour l’image d’un pays démocratique, nul ne peut douter que les dizaines de roquettes par jour lancées sur le territoire israélien n’étaient point appréciées par les citoyens de ce pays. ‘’L’ami’’ d’Israël ne se pose même plus la question à ce sujet.
On recherche, par ailleurs, désespérément ne serait-ce qu’une démarche diplomatique française, dans ces quatre dernières années, entreprise aux fins de faire cesser les tirs de missiles du Hamas contre les civils et constituant, pour le moins, des crimes contre l’humanité. Des preuves de ces faits, Israël en possède des milliers -entreposées dans quelques dépôts de Sdérot- et que Bernard Kouchner a ôté de sa mémoire.
Si malgré de tels propos ‘’amicaux’’ la France doit être encore considérée comme un pays ami, les déclarations de son ministre ne viennent pas moins confirmer toute la saveur du célèbre adage demandant à D… de nous préserver de nos amis.
kouchner AMI d israel , non je ne le pense pas , ceux sont des juifs comme lui qui font le plus de mal a israel pour plaire a ces 7 millions de magrebins qui terrorise sa france
RépondreSupprimerrobert haim dit
RépondreSupprimerque D.... nous preserve de nos amis ,de mes ennemis je m'en occupe
vous etes loin du compte Mr.Victor perez,;7 millions X 2 sinon plus et qui coutent combien a la securite sociale,alloc.familisles
et chomage,VICHY et son ministre kouchmerde faraient mieux d'aller vivre quelque temps a Gaza ou avec Abbas qui vous coutent aussi la peau des fesses a force de baisser la culotte.