Sari Nusseibeh, président de l’université palestinienne Al-Quds et ancien délégué de l’OLP à Jérusalem, et Ami Ayalon, ancien général de la marine israélienne à la tête du Shin Beth de 1996 à 2000, ont- par une conférence de presse- présenté le 25 Juin à Tel-aviv une initiative commune prénommée « La Voix du Peuple » visant à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien.
Succinctement, ce plan de paix dévoile qu’il y aura deux états pour deux peuples ; les frontières seront l’objet de négociations sur la base de la ligne verte du 4 Juin 1967, des résolutions des Nations Unies et de l’initiative saoudienne ; que nul « colon » ne demeurera en Palestine ; Jérusalem sera une ville ouverte et capitale des deux états où la liberté religieuse sera garantie à tous et où aucune des deux parties n’exercera de souveraineté sur les lieux saints ; le droit au retour des réfugiés ne s’exercera que dans l’état palestinien ; cet état sera démilitarisé ; la fin du conflit sera signé et aucune revendication se subsistera.
Texte simple et concis. Il n’en demeure pas moins que de graves lacunes, concernant les intérêts israéliens, grèvent l’espoir mis dans cette ébauche de paix.
-Quid des réfugiés juifs des pays arabes ? Nuls dédommagements ou reconnaissances de leurs souffrances passées ne sont prévus.
-Quid des Israéliens habitant la Judée, la Samarie ou Gaza ? Est-ce un territoire Judënrein en devenir, comme le sont devenus tous les pays arabes ?
-Quid d’une compensation pour leur départ ?
-Quid des arabes Israéliens ? Garderont-ils leur nationalité et resteront-ils en place?
-Quid des relations de la Palestine avec les pays excluant tous contacts avec Israël ?
-Quid du futur gouvernement palestinien ? Aura-t-il l'impératif d’être démocratique ?
-Quid des opposants Palestiniens à ce plan de Paix ?
Ces quelques questions posées illustrent, à elles seules, la complexité du conflit et la faible marge de manœuvre quant aux discussions.
Pourtant un espoir réel peut naître de cet essai. Cela dépend exclusivement des deux peuples et non plus de leurs responsables. Les idées présentées ont, dans leur ensemble, l’approbation d’une large majorité du peuple israélien. Un soutien ample et net manifesté de leur part dévoilera aux Palestiniens que la Palestine n’est plus un rêve et que la volonté des Israéliens de paix et de co-existence est bien sincère et réelle. Les dirigeants Israéliens, quels qu’ils soient, auront alors quant à eux mandat d’un objectif plus ou moins délimité à atteindre.
Un soutien identique de la part des Palestiniens révélera aux Israéliens que nulles menaces ne demeurent plus quant à leur existence dans la région. Les dirigeants Palestiniens, quels qu’ils soient, auront ainsi des limites à leurs revendications, et le devoir de combattre concrètement les extrémistes dont le seul but est la haine et l’éradication d’Israël.
Reste à savoir dans quelle mesure les sympathisants Palestiniens pourront apporter librement leur appui à cette initiative, sans craindre de représailles de leurs « frères » car considérés comme « collaborateurs » d’un pays honni. Surmonteront ils cette peur afin d’apporter à cette région la paix qu’il manque.
Le sort de cette nouvelle initiative est entièrement entre leurs mains.
dimanche 29 juin 2003
jeudi 26 juin 2003
J’irai cracher sur Le Monde
Quel est donc le combat que mène le quotidien parisien Le Monde ? Ses lecteurs peuvent présupposer que la dénonciation quasi systématique des « colons israéliens » et de la « colonisation » de La Judée et Samarie ainsi que de Gaza est un engagement noble du journal. Que la condamnation méthodique et absolue des actions de Tsahal est une bataille digne de la résistance face aux nazis.
Que la caution du journal à toutes mises à l’index d’Israël est une lutte comparable à celle menée contre l’Afrique du Sud de l’époque et son régime d’Apartheid .
Ces lecteurs peuvent, par ignorance du sujet et/ou confiance dans les rédacteurs de ce torchon, croire à la vilenie de ce peuple Israélien qui se « joue »de la Choa pour mieux atteindre ses objectifs expan-Sionnistes. Pour les autres, les lecteurs curieux et intéressés par ce conflit, ambitionnant une paix pour la région et connaissant le poids des mots usités et le choc des caricatures de Plantu, il en va d’une toute autre appréciation.
Le couple d’envoyés très très spéciaux d’Edwy Plenel en ISRAEL, Stéphanie Le Bars et Gilles Paris, nous ont gratifié, dans les deux dernières éditions, pas moins de quatre articles sur le sujet. Deux reportages sur le « mur (dressé) sur la voie de la paix en Palestine »(1) et « l’aboutissement du projet de colonisation lancé en 1967 »(2), un sur le « dialogue entravé »(3) entre universitaires des deux camps, et le quatrième sur l’arrestation de « Quatre Arabes Israéliens (qui) ont été inculpés de ‘’terrorisme’’ »(4) avec guillemets SVP.
A lire ces papiers, aucuns doutes ne planent plus quant au réel sentiment anti-Israélien et sur les attentes dissimulées de la rédaction du Monde quant à la délégitimation de ce pays et son absorption par la Palestine en état bi-national en devenir.
Toutes les nations au monde ont des frontières, naturelles ou non, surveillées et gardées. Israël, droite et gauche confondues, ont convenu d’une séparation unilatérale des deux peuples, et d’une construction d’un mur au tracé approximatif, approchant la ligne verte de 1967, qui pourra -lors de négociations sérieuses de paix- être modifié le cas échéant.
Après avoir stigmatisés les « colons, la colonisation des terres palestiniennes, la souffrance infligée de ce fait et l’exigence d’un retour à la ligne de séparation de 1967 », ce mur, pour la ligne éditoriale du journal, est « un obstacle majeur à un règlement négocié du conflit[…] parce qu'il sanctuarise la ligne de démarcation de 1967». Ainsi, la « frontière de 1967 » ‘’sanctuarisée’’ par les résolutions onusiennes pour un règlement pacifique du conflit, ne serait pas le remède nécessaire pour l’objectif final de la feuille de route, à savoir « deux états distincts pour deux peuples différents ».
Suit, en conséquence, une litanie consacrant l’inefficacité du mur quant à la protection anti-terroriste, l’attestation des malheurs qui découlent de sa construction pour les Palestiniens, et la volonté politique cachée israélienne pour un « aboutissement du projet de colonisation lancé en 1967 ».
Pour témoignage de toutes ces affirmations, ce « dialogue entravé » d’universitaires des deux camps (sic) qui démontre, déjà, l’échec future de la feuille de route, octroyant la responsabilité pleine et entière à Ariel Sharon et Tsahal de la situation actuelle des Palestiniens.
Gilles Paris, de son côté, insinue que la justice israélienne est aux ordres du gouvernement quand il oppose une responsable de l’enquête, Miri Golan, qui « avait rapidement indiqué qu'il n'existait pas de preuves que le Mouvement islamique ait financé des opérations militaires ou terroristes » et le ministre de la sécurité publique, Tzachi Hanegbi, qui « n'avait pas moins estimé que le Hamas étant une organisation "terroriste", il n'y avait pas de "distinctions à faire entre acheter des explosifs et aider les familles" de kamikazes ou de prisonniers ».
Il faut donc en déduire, qu’un régime qui « ghettoïse » des individus, « entrave » les échanges intellectuels et « organise » de faux procès ne peut être estimable et par conséquent exister. Son ERADICATION -pour ceux qui savent lire entre les lignes- est donc espérée comme résolution finale de ce conflit par la rédaction du journal. La suppression de toutes frontières, et donc l’arrêt de la construction de ce mur, est une condition sine qua non pour cet objectif.
Comment décrire, jour après jour, ce déferlement d’accusations sur ce pays, son peuple, ses soutiens juifs et/ou non juifs, sans leur donner la moindre possibilité d’y répondre? Comment désigner cette exécution journalistique et journalière d’un état démocratique et régie par le droit que d’aucuns envient pour son pays ? A tant d’animosités et de partialités diffusées par ce quotidien, un seul qualificatif répond à cette posture hostile selon les dictionnaires français : ANTISEMITISME
Roger Cukierman avait donc raison d’affirmer l’accointance idéologique brun-vert-rouge. Le Troïskiste Plenel est à la mesure de son appartenance idéologique.
Parions que la prochaine bataille d’Edwy Plenel, et de ses clones, est la revendication du droit au retour des réfugiés Palestiniens en Israël.
Liens des articles pour ceux qui veulent s’écœurer :
(1) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325067-,00.html
(2) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325068-,00.html
(3) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230--325250-,00.html
(4) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325217-,00.html
Que la caution du journal à toutes mises à l’index d’Israël est une lutte comparable à celle menée contre l’Afrique du Sud de l’époque et son régime d’Apartheid .
Ces lecteurs peuvent, par ignorance du sujet et/ou confiance dans les rédacteurs de ce torchon, croire à la vilenie de ce peuple Israélien qui se « joue »de la Choa pour mieux atteindre ses objectifs expan-Sionnistes. Pour les autres, les lecteurs curieux et intéressés par ce conflit, ambitionnant une paix pour la région et connaissant le poids des mots usités et le choc des caricatures de Plantu, il en va d’une toute autre appréciation.
Le couple d’envoyés très très spéciaux d’Edwy Plenel en ISRAEL, Stéphanie Le Bars et Gilles Paris, nous ont gratifié, dans les deux dernières éditions, pas moins de quatre articles sur le sujet. Deux reportages sur le « mur (dressé) sur la voie de la paix en Palestine »(1) et « l’aboutissement du projet de colonisation lancé en 1967 »(2), un sur le « dialogue entravé »(3) entre universitaires des deux camps, et le quatrième sur l’arrestation de « Quatre Arabes Israéliens (qui) ont été inculpés de ‘’terrorisme’’ »(4) avec guillemets SVP.
A lire ces papiers, aucuns doutes ne planent plus quant au réel sentiment anti-Israélien et sur les attentes dissimulées de la rédaction du Monde quant à la délégitimation de ce pays et son absorption par la Palestine en état bi-national en devenir.
Toutes les nations au monde ont des frontières, naturelles ou non, surveillées et gardées. Israël, droite et gauche confondues, ont convenu d’une séparation unilatérale des deux peuples, et d’une construction d’un mur au tracé approximatif, approchant la ligne verte de 1967, qui pourra -lors de négociations sérieuses de paix- être modifié le cas échéant.
Après avoir stigmatisés les « colons, la colonisation des terres palestiniennes, la souffrance infligée de ce fait et l’exigence d’un retour à la ligne de séparation de 1967 », ce mur, pour la ligne éditoriale du journal, est « un obstacle majeur à un règlement négocié du conflit[…] parce qu'il sanctuarise la ligne de démarcation de 1967». Ainsi, la « frontière de 1967 » ‘’sanctuarisée’’ par les résolutions onusiennes pour un règlement pacifique du conflit, ne serait pas le remède nécessaire pour l’objectif final de la feuille de route, à savoir « deux états distincts pour deux peuples différents ».
Suit, en conséquence, une litanie consacrant l’inefficacité du mur quant à la protection anti-terroriste, l’attestation des malheurs qui découlent de sa construction pour les Palestiniens, et la volonté politique cachée israélienne pour un « aboutissement du projet de colonisation lancé en 1967 ».
Pour témoignage de toutes ces affirmations, ce « dialogue entravé » d’universitaires des deux camps (sic) qui démontre, déjà, l’échec future de la feuille de route, octroyant la responsabilité pleine et entière à Ariel Sharon et Tsahal de la situation actuelle des Palestiniens.
Gilles Paris, de son côté, insinue que la justice israélienne est aux ordres du gouvernement quand il oppose une responsable de l’enquête, Miri Golan, qui « avait rapidement indiqué qu'il n'existait pas de preuves que le Mouvement islamique ait financé des opérations militaires ou terroristes » et le ministre de la sécurité publique, Tzachi Hanegbi, qui « n'avait pas moins estimé que le Hamas étant une organisation "terroriste", il n'y avait pas de "distinctions à faire entre acheter des explosifs et aider les familles" de kamikazes ou de prisonniers ».
Il faut donc en déduire, qu’un régime qui « ghettoïse » des individus, « entrave » les échanges intellectuels et « organise » de faux procès ne peut être estimable et par conséquent exister. Son ERADICATION -pour ceux qui savent lire entre les lignes- est donc espérée comme résolution finale de ce conflit par la rédaction du journal. La suppression de toutes frontières, et donc l’arrêt de la construction de ce mur, est une condition sine qua non pour cet objectif.
Comment décrire, jour après jour, ce déferlement d’accusations sur ce pays, son peuple, ses soutiens juifs et/ou non juifs, sans leur donner la moindre possibilité d’y répondre? Comment désigner cette exécution journalistique et journalière d’un état démocratique et régie par le droit que d’aucuns envient pour son pays ? A tant d’animosités et de partialités diffusées par ce quotidien, un seul qualificatif répond à cette posture hostile selon les dictionnaires français : ANTISEMITISME
Roger Cukierman avait donc raison d’affirmer l’accointance idéologique brun-vert-rouge. Le Troïskiste Plenel est à la mesure de son appartenance idéologique.
Parions que la prochaine bataille d’Edwy Plenel, et de ses clones, est la revendication du droit au retour des réfugiés Palestiniens en Israël.
Liens des articles pour ceux qui veulent s’écœurer :
(1) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325067-,00.html
(2) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325068-,00.html
(3) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230--325250-,00.html
(4) : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--325217-,00.html
lundi 23 juin 2003
L’Entité sioniste vous salue bien
Figurez vous que Radio Méditerranée a convié ses auditeurs à une contre manifestation à celle organisée par la communauté juive au parc des expositions de la porte de Versailles. Le patron de cette fréquence, limonadier de son état avec Mecca Cola et engagé dans une répugnance d’Israël et du juif, refuse que se renouvelle une amitié franco-israélienne écornée, entre autre, par cette haine qui suinte quotidiennement de sa fréquence.
Le cordon sanitaire de CRS leur interdisant tout approche et/ou entrave au bon déroulement de cette journée, je m’en vais leur disserter sur la chaleur humaine de la communauté juive et de leurs alliés envers Israël, qu’ils surnomment- par rage- l’Entité sioniste.
D’abord ces stands parfumés par les arômes des produits made in Israël, côtoyant les agences de voyages nous conviant à rejoindre, l’espace de courtes vacances, nos frères et sœurs Israéliens à Haïfa, Tel-Aviv, Jérusalem ou Eilat. Les promoteurs immobiliers nous encourageant à financer la construction du pays du nord au sud en y investissant nos économies, avant de retrouver le stand de l’agence juive pour une immigration familiale future.
Ces stands, encore, de la véritable information, tel qu’ a7fr.com, Primo-europe.org ou encore votre site préféré Guysen.com, qui nous/vous dévoilent jour après jour les forfaitures de nos ennemis, tel celui précité. Et bien sûr, les stands des sauveteurs tels Hatzalah Yosh qui jour après jour sauvegardent l’humanité en sauvant les vies israéliennes.
Ensuite, le spectacle dans une salle devenue trop petite pour accueillir tous les passionnés de la chanson israélienne interprétée par Shirel, Nourrit ou encore Rika Zarai, qui par un petit discours nous illustra l’amitié franco-israélienne, et par son savoir faire nous fit danser et chanter à l’unisson ISRAEL, ISRAEL et encore ISRAEL .
Enfin ces hommes politiques Israéliens ou Français venus célébrer une amitié jamais rompue selon eux. Benjamin Natanayaou, Shimon Pérès, Nicolas Sarkozy, Alain Madelin, Dominique Strauss-Kahn, François Hollande, Nessim Zvilli, François Bayrou, Bertrand Delanoë… Seuls ceux se retrouvant dans l’association brun vert rouge ont raté l’appel du 22 Juin.
Bref, et pour faire court ! 40 000 visiteurs ont fait le déplacement, par une chaleur caniculaire et par un temps estival à préférer les plages de Deauville que la voiture, à air conditionné ou non, dans les embouteillages du périphérique parisien.
Un succès, selon Roger Cukierman, qui en appellera d’autres. Une réussite qui remémorera à tous gouvernements que le juif de ce pays brandi également le drapeau français et chante la Marseillaise sans fautes ni sifflets. Un événement qui prouve que la communauté juive de France n’est pas isolée, et que ses amis sont nombreux et décidés à partager son combat inscrit dans les valeurs de la République.
Une fête qui rappelle aux antisionistes –antisémites – racistes et haineux qu’ils ont du pain sur la planche, et que demain n’est pas la veille de l’oubli d’Israël par ses enfants de la diaspora.
Radio machin chose à encore de belles contre-manifestations à organiser.
Le cordon sanitaire de CRS leur interdisant tout approche et/ou entrave au bon déroulement de cette journée, je m’en vais leur disserter sur la chaleur humaine de la communauté juive et de leurs alliés envers Israël, qu’ils surnomment- par rage- l’Entité sioniste.
D’abord ces stands parfumés par les arômes des produits made in Israël, côtoyant les agences de voyages nous conviant à rejoindre, l’espace de courtes vacances, nos frères et sœurs Israéliens à Haïfa, Tel-Aviv, Jérusalem ou Eilat. Les promoteurs immobiliers nous encourageant à financer la construction du pays du nord au sud en y investissant nos économies, avant de retrouver le stand de l’agence juive pour une immigration familiale future.
Ces stands, encore, de la véritable information, tel qu’ a7fr.com, Primo-europe.org ou encore votre site préféré Guysen.com, qui nous/vous dévoilent jour après jour les forfaitures de nos ennemis, tel celui précité. Et bien sûr, les stands des sauveteurs tels Hatzalah Yosh qui jour après jour sauvegardent l’humanité en sauvant les vies israéliennes.
Ensuite, le spectacle dans une salle devenue trop petite pour accueillir tous les passionnés de la chanson israélienne interprétée par Shirel, Nourrit ou encore Rika Zarai, qui par un petit discours nous illustra l’amitié franco-israélienne, et par son savoir faire nous fit danser et chanter à l’unisson ISRAEL, ISRAEL et encore ISRAEL .
Enfin ces hommes politiques Israéliens ou Français venus célébrer une amitié jamais rompue selon eux. Benjamin Natanayaou, Shimon Pérès, Nicolas Sarkozy, Alain Madelin, Dominique Strauss-Kahn, François Hollande, Nessim Zvilli, François Bayrou, Bertrand Delanoë… Seuls ceux se retrouvant dans l’association brun vert rouge ont raté l’appel du 22 Juin.
Bref, et pour faire court ! 40 000 visiteurs ont fait le déplacement, par une chaleur caniculaire et par un temps estival à préférer les plages de Deauville que la voiture, à air conditionné ou non, dans les embouteillages du périphérique parisien.
Un succès, selon Roger Cukierman, qui en appellera d’autres. Une réussite qui remémorera à tous gouvernements que le juif de ce pays brandi également le drapeau français et chante la Marseillaise sans fautes ni sifflets. Un événement qui prouve que la communauté juive de France n’est pas isolée, et que ses amis sont nombreux et décidés à partager son combat inscrit dans les valeurs de la République.
Une fête qui rappelle aux antisionistes –antisémites – racistes et haineux qu’ils ont du pain sur la planche, et que demain n’est pas la veille de l’oubli d’Israël par ses enfants de la diaspora.
Radio machin chose à encore de belles contre-manifestations à organiser.
vendredi 20 juin 2003
Que D… me garde de mes amis, je me garderais de mes ennemis
Lors de la Phase I de la feuille de route, il est dit distinctement et simplement que les Palestiniens doivent mettre « fin aux actes de violence et de TERRORISME et [faire] des efforts visibles sur le terrain pour arrêter les individus et les GROUPES qui préparent ou commettent des ATTENTATS contre des Israéliens OU QUE CE SOIT et pour les désorganiser et les empêcher d’agir ».
« Les services de sécurité[Palestiniens] entreprennent des opérations suivies, CIBLÉES et EFFICACES en vue de s’attaquer à tous ceux qui se livrent à des ACTIVITÉS TERRORISTES et de DÉMANTELER l’infrastructure et les moyens des TERRORISTES… ».
Ces phrases débutent la feuille de route, qui a été approuvée - rappelons le - par les USA, L’ONU, la RUSSIE et bien sûr par L’EUROPE. Ce qui atteste de leur accord en ce qui concerne toutes les étapes du processus.
En conséquences, il serait logique d’observer l’Europe s’élever et réclamer -sans ambiguïtés- l’arrêt absolu des attentats et de la violence envers les Israéliens, ainsi que des sanctions envers tous individus ou groupes terroristes qui entraveraient la bonne marche de la paix.
De ce fait, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jack Staw, et l’émissaire européen au Proche Orient, Miguel Moratinos, ont proposé - suite aux refus de se plier à la volonté internationale et aux attentats qui en ont résulté- de déclarer le Hamas hors la loi et de cesser tous transferts de fonds à son intention. La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin [ le même qui écrit des lettres à ses ‘’amis Israéliens’’ dans le quotidien Haaretz] a opposé son veto à cette proposition. Grâce à cet ‘’ami’’ le Hamas pourra faire couler encore longtemps le sang juif.
Nul doute, en revanche, que cet ‘’ami’’ bien intentionné rappellera sans retard les contraintes israéliennes de la feuille de route, si Ariel Sharon ne démantèle pas les implantations sauvages et illégales en temps et en heure.
Par ailleurs, le refus de Silvio Berlusconi de rencontrer Yasser Arafat lors de son dernier voyage diplomatique en Israël, a autorisé notre ‘’ami’’ à déclarer que ce boycott n’a pas « satisfait les Européens ». Nul doute que la France « a raté une occasion de se taire » comme le lui a si bien dit le Premier ministre italien. Ce qui préfigure d’une présidence italienne de l'UE agitée dès le 01 Juillet.
Les actions angoissantes de la France envers les démocraties, ses propositions confortant l’islamisme et ses ayatollahs et ses aides directes ou indirectes aux autocraties, peuvent légitimement inquiéter quant à ses actes dans les prises de décisions internationales.
Seule la distance avec ces dirigeants peut garantir les intérêts d’Israël.
Autre pays et autre ‘’ami’’.
12:39 Benyamin Netanyahou s'est entretenu ce matin à Londres avec le Premier ministre Tony Blair et le ministre des Affaires étrangères Jacques Straw, et leur a demandé d'accélérer la construction de la barrière de séparation, qui bloque l'infiltration de terroristes. (Guysen.Israël.News)
Il a expliqué aux dirigeants britanniques, opposés à l'établissement de cette clôture, que grâce à ce mur, les seuls terroristes ayant réussi à sortir de Gaza, étaient les Arabes de nationalité anglaise ayant perpétré l'attentat du Mike's Place à Tel Aviv.
Le commentaire est il nécessaire ?
Une question cependant : Faut il conserver des amis de cette classe ???
« Les services de sécurité[Palestiniens] entreprennent des opérations suivies, CIBLÉES et EFFICACES en vue de s’attaquer à tous ceux qui se livrent à des ACTIVITÉS TERRORISTES et de DÉMANTELER l’infrastructure et les moyens des TERRORISTES… ».
Ces phrases débutent la feuille de route, qui a été approuvée - rappelons le - par les USA, L’ONU, la RUSSIE et bien sûr par L’EUROPE. Ce qui atteste de leur accord en ce qui concerne toutes les étapes du processus.
En conséquences, il serait logique d’observer l’Europe s’élever et réclamer -sans ambiguïtés- l’arrêt absolu des attentats et de la violence envers les Israéliens, ainsi que des sanctions envers tous individus ou groupes terroristes qui entraveraient la bonne marche de la paix.
De ce fait, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jack Staw, et l’émissaire européen au Proche Orient, Miguel Moratinos, ont proposé - suite aux refus de se plier à la volonté internationale et aux attentats qui en ont résulté- de déclarer le Hamas hors la loi et de cesser tous transferts de fonds à son intention. La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin [ le même qui écrit des lettres à ses ‘’amis Israéliens’’ dans le quotidien Haaretz] a opposé son veto à cette proposition. Grâce à cet ‘’ami’’ le Hamas pourra faire couler encore longtemps le sang juif.
Nul doute, en revanche, que cet ‘’ami’’ bien intentionné rappellera sans retard les contraintes israéliennes de la feuille de route, si Ariel Sharon ne démantèle pas les implantations sauvages et illégales en temps et en heure.
Par ailleurs, le refus de Silvio Berlusconi de rencontrer Yasser Arafat lors de son dernier voyage diplomatique en Israël, a autorisé notre ‘’ami’’ à déclarer que ce boycott n’a pas « satisfait les Européens ». Nul doute que la France « a raté une occasion de se taire » comme le lui a si bien dit le Premier ministre italien. Ce qui préfigure d’une présidence italienne de l'UE agitée dès le 01 Juillet.
Les actions angoissantes de la France envers les démocraties, ses propositions confortant l’islamisme et ses ayatollahs et ses aides directes ou indirectes aux autocraties, peuvent légitimement inquiéter quant à ses actes dans les prises de décisions internationales.
Seule la distance avec ces dirigeants peut garantir les intérêts d’Israël.
Autre pays et autre ‘’ami’’.
12:39 Benyamin Netanyahou s'est entretenu ce matin à Londres avec le Premier ministre Tony Blair et le ministre des Affaires étrangères Jacques Straw, et leur a demandé d'accélérer la construction de la barrière de séparation, qui bloque l'infiltration de terroristes. (Guysen.Israël.News)
Il a expliqué aux dirigeants britanniques, opposés à l'établissement de cette clôture, que grâce à ce mur, les seuls terroristes ayant réussi à sortir de Gaza, étaient les Arabes de nationalité anglaise ayant perpétré l'attentat du Mike's Place à Tel Aviv.
Le commentaire est il nécessaire ?
Une question cependant : Faut il conserver des amis de cette classe ???
lundi 16 juin 2003
Appel à la Résistance
Chers amis ! Qu'avez vous fait dernièrement pour Israël ? A ce jour aucune demande particulière ne vous a été adressée, sauf à être un lecteur assidu de notre site et de participer, par vos propres moyens, à la défense de notre maison commune : ISRAËL. C'est ce que je vous demande précisément aujourd'hui.
Le dimanche 22 Juin 2003, au parc des expositions de Paris à la porte de Versailles, le CRIF - avec d'autres associations juives - organise les 12 HEURES POUR L'AMITIÉ FRANCE-ISRAËL. Occasion exceptionnelle pour démontrer notre soutien INCONDITIONNEL à ce petit pays mais si grand par ses actes. Nous y retrouverons les marques israéliennes, les produits israéliens, les chanteurs israéliens, la langue israélienne, des israéliens etc.; il suffira alors d'enlever le toit du parc pour nous retrouver le temps d'une brève journée comme là-bas, dit ! Et cela pour un coût ridicule .
Nous étions 150 000 dans la rue le 7 Avril 2002 pour la manifestation parisienne contre l'antisémitisme et pour Israël. Soyons le 22 Juin 2 fois, 3 fois plus nombreux. Si vous aviez prévu une autre sortie ce jour, annulez la et rendez vous à cette journée ; amenez y votre conjoint, vos enfants, vos parents, vos cousins, vos voisins et autres. Tous serons les bienvenus.
Néanmoins ne nous leurrons pas ; dans cette manifestation, comme les précédentes, nous serons encore une fois entre nous, ou presque. Montrons à nos ennemis notre force. Organisons ce lobby Pro-Israël qui n'existe pas encore mais cependant tant aperçu, pressenti ou découvert par tant des leurs. Montrons leur qu'aucun de leurs actes ne nous fera plier et oublier Jérusalem, Israël, et nos soeurs et frères qui souffrent dans leur chair.
Installons ce LOBBY à des fins politiques et dans le but premier de la défense d'Israël. N'ayons aucun déshonneur des actes de ce peuple ni de son gouvernement actuel ou à venir, ni de son passé. Plaçons ce LOBBY pour notre droit à la critique des critiqueurs systématiques, et à la dénonciation des antisémites de tout bord. Réunissons nous dans les valeurs millénaires représentées par notre deuxième pays ISRAËL. Imposons par ce LOBBY un changement de cette politique française qui a l'honneur ajusté aux contrats signés.
Notre combat à la morale pour lui. N'en rougissons pas.
Le 22 juin je serais à l'entrée du parc, et pointerais les présents. Gare aux absents.
A dimanche sans faute. Merci d'avance.
Le dimanche 22 Juin 2003, au parc des expositions de Paris à la porte de Versailles, le CRIF - avec d'autres associations juives - organise les 12 HEURES POUR L'AMITIÉ FRANCE-ISRAËL. Occasion exceptionnelle pour démontrer notre soutien INCONDITIONNEL à ce petit pays mais si grand par ses actes. Nous y retrouverons les marques israéliennes, les produits israéliens, les chanteurs israéliens, la langue israélienne, des israéliens etc.; il suffira alors d'enlever le toit du parc pour nous retrouver le temps d'une brève journée comme là-bas, dit ! Et cela pour un coût ridicule .
Nous étions 150 000 dans la rue le 7 Avril 2002 pour la manifestation parisienne contre l'antisémitisme et pour Israël. Soyons le 22 Juin 2 fois, 3 fois plus nombreux. Si vous aviez prévu une autre sortie ce jour, annulez la et rendez vous à cette journée ; amenez y votre conjoint, vos enfants, vos parents, vos cousins, vos voisins et autres. Tous serons les bienvenus.
Néanmoins ne nous leurrons pas ; dans cette manifestation, comme les précédentes, nous serons encore une fois entre nous, ou presque. Montrons à nos ennemis notre force. Organisons ce lobby Pro-Israël qui n'existe pas encore mais cependant tant aperçu, pressenti ou découvert par tant des leurs. Montrons leur qu'aucun de leurs actes ne nous fera plier et oublier Jérusalem, Israël, et nos soeurs et frères qui souffrent dans leur chair.
Installons ce LOBBY à des fins politiques et dans le but premier de la défense d'Israël. N'ayons aucun déshonneur des actes de ce peuple ni de son gouvernement actuel ou à venir, ni de son passé. Plaçons ce LOBBY pour notre droit à la critique des critiqueurs systématiques, et à la dénonciation des antisémites de tout bord. Réunissons nous dans les valeurs millénaires représentées par notre deuxième pays ISRAËL. Imposons par ce LOBBY un changement de cette politique française qui a l'honneur ajusté aux contrats signés.
Notre combat à la morale pour lui. N'en rougissons pas.
Le 22 juin je serais à l'entrée du parc, et pointerais les présents. Gare aux absents.
A dimanche sans faute. Merci d'avance.
vendredi 13 juin 2003
Commentaires médiatiques extrémistes
France 2 n’a pas le privilège de la mal information. Ce virus a atteint France Télévision dans son intégralité. A chaque événement proche oriental, l’édition de Soir 3 nous offre une analyse de son responsable de politique étrangère, Christian MALAR. Hier soir, l’islamikaze du bus N°14 A de Jérusalem, lui permit d’investir l’écran de France 3 et d’y ânonner, d’un ton péremptoire, son analyse du jour.
« Tant que Mahmoud ABBAS et Ariel SHARON seront tenus par leurs extrémistes respectifs, la feuille de route n’avancera pas » ; voilà succinctement la conclusion de son exposé.
Le HAMAS, le Fatah, le Djihad islamique, le FPLP, FDLP, les brigades de Yasser ou celles de Yacine (mille excuses pour celles que j’oublie) ont comme but politique l’ERADICATION d’ISRAEL. C’est écrit vert sur blanc dans leurs chartes, bandanas, livres scolaires ou encore drapeaux. Pour preuves de leurs volontés, leurs innombrables meurtres, exécutions, crimes, homicides, infanticides, parricides, matricides qui finiront par refaire, si l’on n’y prend garde, un nouveau génocide.
Nul besoin effectivement d’analyses ‘’Malarienne’’ pour se rendre compte que le Premier Ministre palestinien est bel et bien « tenu » et qu’il n’a guère de moyens de libérer la feuille de route, sauf à souhaiter le renfort d’Ariel SHARON dans son combat contre le terrorisme.
De ce fait, la feuille de route est BLOQUEE.
Là, où je ne pige plus - je vous l’avoue- c’est lorsque que Malar nous affirme que le Premier Ministre israélien est lui aussi tenu par ses extrêmes !?!?!? Les ‘’colons’’ (selon ses propres termes), par leurs oppositions à tout démantèlement de ‘’colonies illégales’’ immobilisent la feuille de route.
L’opposition, des habitants des territoires disputés, à l’évacuation des implantations et la création de la Palestine, bien que quelque peu nerveuse, s’inscrit dans le débat démocratique d’un état régie par le droit. Par ailleurs, c’est faire offense à la démocratie israélienne que de croire qu’une minorité peut bloquer ses institutions. Seuls les journaleux, tel que le pré-cité, imaginent (ou souhaitent ?) une guerre civile entre juifs qui interromprait la route de la feuille. Les Israéliens, en leur grande majorité et bien que sceptiques quant à la volonté des Palestiniens, souhaitent la progression de ce plan de paix.
Pourtant, Christian MALAR, de part la conclusion d’un autre commentaire au sujet de la réunion d’Aqaba le 04 Juin dernier, avait presque réussi à me faire admettre qu’il comprenait enfin les tenants et aboutissants de l’Intifada armée, lorsqu’il compara l’échec des pourparlers de Camp David de l’an 2000 et le devenir plausible de la feuille de route.
« Ehud BARAK avait concédé 95 % des territoires, partagé Jérusalem et … Yasser ARAFAT avait dit NON » ; et ce journaliste de ne pas reconnaître publiquement, devant ses téléspectateurs payants par la redevance, que l’exigence - de l’embastillé de la Moukataa- du droit au retour de près de 4 millions de Palestiniens, ERADIQUERAIT Israël en tant qu’état fait par et pour des juifs.
Les analyses et commentaires des journalistes des différents médias de l’hexagone, réalisées par ignorances, incompétences, inexpériences du terrain géopolitique ou- plus tristement- par antipathies à l’égard du monde juif et donc israélien, aboutissent à des interprétations fallacieuses qui écoeurent tous les mordus de vérités.
On s’étonne ensuite, lorsque Jacques Chirac sermonne- en l’an 2000- du haut du perron de l’Élysée Ehud BARAK sur la foi d’images télévisuelles, ou lorsqu’il prend la tête d’une politique anti-américaine pour contrecarrer ‘’l’impérialisme et la soif pétrolifère’’ de l’hyper puissance US dénoncés par les experts médiatiques.
Pauvre France.
« Tant que Mahmoud ABBAS et Ariel SHARON seront tenus par leurs extrémistes respectifs, la feuille de route n’avancera pas » ; voilà succinctement la conclusion de son exposé.
Le HAMAS, le Fatah, le Djihad islamique, le FPLP, FDLP, les brigades de Yasser ou celles de Yacine (mille excuses pour celles que j’oublie) ont comme but politique l’ERADICATION d’ISRAEL. C’est écrit vert sur blanc dans leurs chartes, bandanas, livres scolaires ou encore drapeaux. Pour preuves de leurs volontés, leurs innombrables meurtres, exécutions, crimes, homicides, infanticides, parricides, matricides qui finiront par refaire, si l’on n’y prend garde, un nouveau génocide.
Nul besoin effectivement d’analyses ‘’Malarienne’’ pour se rendre compte que le Premier Ministre palestinien est bel et bien « tenu » et qu’il n’a guère de moyens de libérer la feuille de route, sauf à souhaiter le renfort d’Ariel SHARON dans son combat contre le terrorisme.
De ce fait, la feuille de route est BLOQUEE.
Là, où je ne pige plus - je vous l’avoue- c’est lorsque que Malar nous affirme que le Premier Ministre israélien est lui aussi tenu par ses extrêmes !?!?!? Les ‘’colons’’ (selon ses propres termes), par leurs oppositions à tout démantèlement de ‘’colonies illégales’’ immobilisent la feuille de route.
L’opposition, des habitants des territoires disputés, à l’évacuation des implantations et la création de la Palestine, bien que quelque peu nerveuse, s’inscrit dans le débat démocratique d’un état régie par le droit. Par ailleurs, c’est faire offense à la démocratie israélienne que de croire qu’une minorité peut bloquer ses institutions. Seuls les journaleux, tel que le pré-cité, imaginent (ou souhaitent ?) une guerre civile entre juifs qui interromprait la route de la feuille. Les Israéliens, en leur grande majorité et bien que sceptiques quant à la volonté des Palestiniens, souhaitent la progression de ce plan de paix.
Pourtant, Christian MALAR, de part la conclusion d’un autre commentaire au sujet de la réunion d’Aqaba le 04 Juin dernier, avait presque réussi à me faire admettre qu’il comprenait enfin les tenants et aboutissants de l’Intifada armée, lorsqu’il compara l’échec des pourparlers de Camp David de l’an 2000 et le devenir plausible de la feuille de route.
« Ehud BARAK avait concédé 95 % des territoires, partagé Jérusalem et … Yasser ARAFAT avait dit NON » ; et ce journaliste de ne pas reconnaître publiquement, devant ses téléspectateurs payants par la redevance, que l’exigence - de l’embastillé de la Moukataa- du droit au retour de près de 4 millions de Palestiniens, ERADIQUERAIT Israël en tant qu’état fait par et pour des juifs.
Les analyses et commentaires des journalistes des différents médias de l’hexagone, réalisées par ignorances, incompétences, inexpériences du terrain géopolitique ou- plus tristement- par antipathies à l’égard du monde juif et donc israélien, aboutissent à des interprétations fallacieuses qui écoeurent tous les mordus de vérités.
On s’étonne ensuite, lorsque Jacques Chirac sermonne- en l’an 2000- du haut du perron de l’Élysée Ehud BARAK sur la foi d’images télévisuelles, ou lorsqu’il prend la tête d’une politique anti-américaine pour contrecarrer ‘’l’impérialisme et la soif pétrolifère’’ de l’hyper puissance US dénoncés par les experts médiatiques.
Pauvre France.
mardi 10 juin 2003
Pro-Sioniste d’abord !
De nos jours, il est de bon ton d’être ‘’Sioniste pro-Palestiniens’’. C’est ce que Patrick Klugman, Président de U.E.J.F., nous assène à longueur de chroniques et d’interviews et espère voir accepté comme politique par le C.R.I.F. dont il vient d’être élu membre.
Si je suis indéniablement sioniste, je ne peux souscrire au souhait de ces juifs français ‘’bien en cour et sous tous rapports’’, qui me font passer, à contrario, pour un extrémiste car non pro-Palestinien. Comment puis je admettre que le démocrate que je suis, sois contraint de soutenir une dictature palestinienne qui, chaque jour, m’étreint le cœur par les enterrements à répétition de mes frères et soeurs israéliens, et qui par son exigence du droit au retour des héritiers des réfugiés de 1948 espère supprimer MON DROIT à une patrie JUIVE construite par et pour des juifs ?
Où sont donc les ‘’Palestiniens Pro-sionistes’’ qui réprouvent les meurtres des 7 israéliens de la semaine passée commis après le lancement de la feuille de route ? Existent t-ils ? Seul Mahmud ABBAS, contraint et forcé par son discours d’Akaba a condamné. Y en a t-il d’autres ? N’y aura t il toujours, et seulement, que des juifs innocents des réalités du terrain pour ‘’comprendre’’ le point de vue palestinien, et qui serviront de tremplin aux innombrables anti-sionistes ?
Où sont les Arabes qui ‘’comprennent’’ le point de vue israélien ? La C.L.E.( Convention laïque pour l’Egalité des droits musulmans de France) participera à la soirée des ‘’sionistes pro- palestiniens’’, qu’elle organise conjointement avec l’UEJF, RCJ et Beur F.M. au Bataclan. Que les membres de cette nouvelle organisation se lèvent et condamnent sans détours les attentats et reconnaissent ISRAEL comme ETAT JUIF. Alors je me ferais une joie de participer à cette fête (ou toute autre) en leur compagnie ainsi que celle d’Elie Barnavie, BHL, Malek Boutih et autres.
D’autre part l’U.E.J.F. a édité il y a peu -aux éditions de la Martinère- un livre pour expliquer le sionisme à ses potes. Le sionisme n’est il pas une évidence qu’il faille, encore aujourd’hui, l’expliquer ? 20 000 km² de terrain pour un ETAT JUIF,ou REFUGE JUIF, contraindront ils les sionistes du monde entier à se justifier à perpétuité ?
Par ailleurs, qui sont ces ‘’potes’’ qui ne comprennent pas le souhait de la communauté juive de par le monde de pouvoir vivre en PAIX, entre soi, et en leur pays ?
Ceux qui manifestent dans les rues de PARIS sous la bannière du HAMAS ou du HEZBOLLAH, criant « mort aux juifs » et/ou les agressant dès que possible ?
-Ceux qui refusent le simple bon sens du gouvernement israélien de vouloir protéger ces concitoyens de tout attentat, et exigent un droit de critique moulé sur l’antisémitisme ?
-Ceux, pour faire court, que Roger Cukierman a reconnu dans l’association brun-vert-rouge ?
Je suis, moi aussi, pour un Etat de Palestine ; mais uniquement lorsque le monde Arabe aura reconnu la judaïté d’Israël. Voici ce que tout juif, qui se dit sioniste, doit réclamer haut, fort et sans cesse.
Bien qu’en faveur de la feuille de route (et encore une fois plein d’espoir) je n’irais pas au Bataclan signer la pétition - lancée par les parrains de cette soirée - pour la soutenir. J’irais, par contre, le 22 Juin 2003 aux ‘’12 heures d’Israël’’ à la porte de Versailles, afin de participer à la démonstration que les juifs français, dans leur grande majorité, sont à l’unisson inconditionnel de leurs frères israéliens. Ce témoignage d’affection prouvera à nos contradicteurs, si cela est nécessaire, que nulles explications du sionisme ni pro-palestinisme ne sont indispensables aux hommes passionnés de démocratie et de paix.
Gageons que Patrick Klugman trouvera sur son chemin quelques sionistes pro-palestiniens pleins de bonnes intentions, mais nullement de musulmans sionistes.
Si je suis indéniablement sioniste, je ne peux souscrire au souhait de ces juifs français ‘’bien en cour et sous tous rapports’’, qui me font passer, à contrario, pour un extrémiste car non pro-Palestinien. Comment puis je admettre que le démocrate que je suis, sois contraint de soutenir une dictature palestinienne qui, chaque jour, m’étreint le cœur par les enterrements à répétition de mes frères et soeurs israéliens, et qui par son exigence du droit au retour des héritiers des réfugiés de 1948 espère supprimer MON DROIT à une patrie JUIVE construite par et pour des juifs ?
Où sont donc les ‘’Palestiniens Pro-sionistes’’ qui réprouvent les meurtres des 7 israéliens de la semaine passée commis après le lancement de la feuille de route ? Existent t-ils ? Seul Mahmud ABBAS, contraint et forcé par son discours d’Akaba a condamné. Y en a t-il d’autres ? N’y aura t il toujours, et seulement, que des juifs innocents des réalités du terrain pour ‘’comprendre’’ le point de vue palestinien, et qui serviront de tremplin aux innombrables anti-sionistes ?
Où sont les Arabes qui ‘’comprennent’’ le point de vue israélien ? La C.L.E.( Convention laïque pour l’Egalité des droits musulmans de France) participera à la soirée des ‘’sionistes pro- palestiniens’’, qu’elle organise conjointement avec l’UEJF, RCJ et Beur F.M. au Bataclan. Que les membres de cette nouvelle organisation se lèvent et condamnent sans détours les attentats et reconnaissent ISRAEL comme ETAT JUIF. Alors je me ferais une joie de participer à cette fête (ou toute autre) en leur compagnie ainsi que celle d’Elie Barnavie, BHL, Malek Boutih et autres.
D’autre part l’U.E.J.F. a édité il y a peu -aux éditions de la Martinère- un livre pour expliquer le sionisme à ses potes. Le sionisme n’est il pas une évidence qu’il faille, encore aujourd’hui, l’expliquer ? 20 000 km² de terrain pour un ETAT JUIF,ou REFUGE JUIF, contraindront ils les sionistes du monde entier à se justifier à perpétuité ?
Par ailleurs, qui sont ces ‘’potes’’ qui ne comprennent pas le souhait de la communauté juive de par le monde de pouvoir vivre en PAIX, entre soi, et en leur pays ?
Ceux qui manifestent dans les rues de PARIS sous la bannière du HAMAS ou du HEZBOLLAH, criant « mort aux juifs » et/ou les agressant dès que possible ?
-Ceux qui refusent le simple bon sens du gouvernement israélien de vouloir protéger ces concitoyens de tout attentat, et exigent un droit de critique moulé sur l’antisémitisme ?
-Ceux, pour faire court, que Roger Cukierman a reconnu dans l’association brun-vert-rouge ?
Je suis, moi aussi, pour un Etat de Palestine ; mais uniquement lorsque le monde Arabe aura reconnu la judaïté d’Israël. Voici ce que tout juif, qui se dit sioniste, doit réclamer haut, fort et sans cesse.
Bien qu’en faveur de la feuille de route (et encore une fois plein d’espoir) je n’irais pas au Bataclan signer la pétition - lancée par les parrains de cette soirée - pour la soutenir. J’irais, par contre, le 22 Juin 2003 aux ‘’12 heures d’Israël’’ à la porte de Versailles, afin de participer à la démonstration que les juifs français, dans leur grande majorité, sont à l’unisson inconditionnel de leurs frères israéliens. Ce témoignage d’affection prouvera à nos contradicteurs, si cela est nécessaire, que nulles explications du sionisme ni pro-palestinisme ne sont indispensables aux hommes passionnés de démocratie et de paix.
Gageons que Patrick Klugman trouvera sur son chemin quelques sionistes pro-palestiniens pleins de bonnes intentions, mais nullement de musulmans sionistes.
jeudi 5 juin 2003
Dur sera le réveil
Le sommet d’Akaba a été un moment très pénible pour tout ceux qui, par anti-sionisme ou antisémitisme, incriminent vaille que vaille l’Etat d’Israël. Affirmer le droit à l’existence de deux pays côte à côte, c’est certifier par ricochet leur échec quant à leur souhaits.
Lors du sommet d’Akaba, le Président US Georges W. Bush a assuré « [qu’]Aujourd'hui les Etats-Unis sont pleinement engagés, et je suis pleinement engagé, à garantir la sécurité d'Israël en tant qu'Etat juif ». Le mot est lâché ; les juifs du monde entier ont un droit manifeste à un ETAT JUIF garanti par la première puissance mondiale et de ce biais par l’Europe, la Russie et l’ONU, tous trois membres du fameux quartet. Ce qui implique, par déduction, que le droit au retour des réfugiés Palestiniens ne s’exercera que dans la Palestine en devenir.
Qui, effectivement, pourrai souscrire à une revendication d’un retour de réfugiés en Israël même, sans comprendre que ce bout de terre accordé au peuple juif est un sauf conduit contre tous les abus à venir à son encontre ?
Hors mis le monde arabe, exclusivement ceux qui, à longueur d’articles considèrent l’Intifada armée comme une ‘’guerre de libération’’ contre ces ‘’colons’’ qui ne valent guère mieux que leurs anciens ‘’bourreaux nazis’’. Les mêmes qui pétitionnent pour le droit de critiquer Israël, comptabilisent sordidement les islamikazes avec leur innocentes victimes, comparent les actes de cette guerre à la Choa, et désignent les terroristes comme ‘’activistes ou résistants’’.
Lors de ce même sommet, le Premier Ministre palestinien Mahmud ABBAS, a réaffirmé « la condamnation par l'Autorité palestinienne du terrorisme et de la violence contre les Israéliens où qu'ils se trouvent »,et a rappelé que de telles méthodes constituent « un grave obstacle à la création d'un Etat palestinien indépendant et souverain ».
Que rajouter à cette confession qui concède le caractère terroriste à l’Intifada armée initiée par son Président et qui, de facto, légitime la réaction de l’Etat d’Israël ? Rien d’autre qu’une assurance de nuls lapsus commis par Mahmud ABBS et l’entendement de Georges W. Bush quant à la déclaration palestinienne: « Le Premier ministre Abbas reconnaît que les crimes terroristes sont des obstacles dangereux à l'Etat indépendant que son peuple veut », soulignant que le Premier ministre palestinien reconnaissait que le « processus pour établir cet Etat passe par des négociations de paix ».
De son côté, Ariel Sharon a indiqué qu’Israël « appuie fermement la vision de deux Etats, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, exprimée par le président George W. Bush dans son discours du 24 juin 2002 ». Icelui - que quelques uns ont souhaité juger pour crimes de guerre, accusé d’avoir déclenché l’Intifada ou refusé de rencontrer - ratifie la vision d’un Etat palestinien en paix avec Israël.
Il ne subsiste plus de doutes quant à l’inquiétude du résultat de ce sommet d’Akaba pour ceux qui ont la délégitimation d’Israël comme objectif. Il ne leur restera plus qu’à soutenir, lors des pourparlers à venir, l’exigence palestinienne du droit au retour des réfugiés au sein d’Israël.
Preuve sera alors faite que le problème palestinien n’est qu’un leurre et que l’antisémitisme perdure.
Lors du sommet d’Akaba, le Président US Georges W. Bush a assuré « [qu’]Aujourd'hui les Etats-Unis sont pleinement engagés, et je suis pleinement engagé, à garantir la sécurité d'Israël en tant qu'Etat juif ». Le mot est lâché ; les juifs du monde entier ont un droit manifeste à un ETAT JUIF garanti par la première puissance mondiale et de ce biais par l’Europe, la Russie et l’ONU, tous trois membres du fameux quartet. Ce qui implique, par déduction, que le droit au retour des réfugiés Palestiniens ne s’exercera que dans la Palestine en devenir.
Qui, effectivement, pourrai souscrire à une revendication d’un retour de réfugiés en Israël même, sans comprendre que ce bout de terre accordé au peuple juif est un sauf conduit contre tous les abus à venir à son encontre ?
Hors mis le monde arabe, exclusivement ceux qui, à longueur d’articles considèrent l’Intifada armée comme une ‘’guerre de libération’’ contre ces ‘’colons’’ qui ne valent guère mieux que leurs anciens ‘’bourreaux nazis’’. Les mêmes qui pétitionnent pour le droit de critiquer Israël, comptabilisent sordidement les islamikazes avec leur innocentes victimes, comparent les actes de cette guerre à la Choa, et désignent les terroristes comme ‘’activistes ou résistants’’.
Lors de ce même sommet, le Premier Ministre palestinien Mahmud ABBAS, a réaffirmé « la condamnation par l'Autorité palestinienne du terrorisme et de la violence contre les Israéliens où qu'ils se trouvent »,et a rappelé que de telles méthodes constituent « un grave obstacle à la création d'un Etat palestinien indépendant et souverain ».
Que rajouter à cette confession qui concède le caractère terroriste à l’Intifada armée initiée par son Président et qui, de facto, légitime la réaction de l’Etat d’Israël ? Rien d’autre qu’une assurance de nuls lapsus commis par Mahmud ABBS et l’entendement de Georges W. Bush quant à la déclaration palestinienne: « Le Premier ministre Abbas reconnaît que les crimes terroristes sont des obstacles dangereux à l'Etat indépendant que son peuple veut », soulignant que le Premier ministre palestinien reconnaissait que le « processus pour établir cet Etat passe par des négociations de paix ».
De son côté, Ariel Sharon a indiqué qu’Israël « appuie fermement la vision de deux Etats, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, exprimée par le président George W. Bush dans son discours du 24 juin 2002 ». Icelui - que quelques uns ont souhaité juger pour crimes de guerre, accusé d’avoir déclenché l’Intifada ou refusé de rencontrer - ratifie la vision d’un Etat palestinien en paix avec Israël.
Il ne subsiste plus de doutes quant à l’inquiétude du résultat de ce sommet d’Akaba pour ceux qui ont la délégitimation d’Israël comme objectif. Il ne leur restera plus qu’à soutenir, lors des pourparlers à venir, l’exigence palestinienne du droit au retour des réfugiés au sein d’Israël.
Preuve sera alors faite que le problème palestinien n’est qu’un leurre et que l’antisémitisme perdure.
mercredi 4 juin 2003
L'épreuve de vérité.
Par quel voie est-on arrivé à certifier mordicus, que les « colonisations juives » interdisent l’instauration d’une paix globale au Proche-orient ? Pendant plus de 32 mois, articles après article, les médias internationaux ont reproché aux Israéliens et à leur Premier Ministre d’être responsables des morts Palestiniens, si ce n’est- par leur entêtement – de leurs propres morts, blessés, orphelins et autres.
Les différentes diplomaties ont reconnu le « tort colonial » israélien envers ce peuple « martyrisé » et admis la « noble cause » palestinienne. Ce qui les a conduit à la feuille de route et, l’obstination du texan Georges W. Bush aidant, on ne parle plus que de la vision d’un état palestinien au coté de l’état d’Israël.
« Je suis le genre d'homme qui fait ce qu'il dit et ce que je dis est que le monde a besoin d'avoir un Etat palestinien libre et pacifique", a indiqué le Président US lors du sommet de Charm El-Cheikh.
"Mon gouvernement va travailler avec toutes les parties concernées pour réaliser cette vision. Je pense que le moment est maintenant venu de travailler pour réaliser cette vision et toutes les parties ont des responsabilités pour réaliser cette vision", a t-il ajouté.
Soit ! Mais reconnaître un état de Palestine c’est admettre de facto un état d’Israël en Paix et en sécurité. Selon le plan de route, la reconnaissance mutuelle doit se faire avant la fin de la première phase en Décembre 2003. Mais de quel reconnaissance parle t-on ? D’un Israël juif ou tout simplement d’un Israël où les juifs pourront cohabiter avec des musulmans devenus majoritaire par l’effet pervers d’un droit de retour ?
D’ors et déjà, les gouvernants d’Egypte, de Jordanie, du Bahreïn et d’Arabie saoudite, en ce même sommet, ont refusé une normalisation avec l’état d’Israël actuel ; ce qui préfigure un avenir de paix douteux avec un état Juif.
Déjà, lors de Camp David en Juillet 2000, Ehud Barak avait admis le principe d’une Palestine « décolonisée », de grandeur égale aux territoires conquis suite à la guerre défensive de 1967, mais refusé tout droit au retour de réfugiés.
Exiger ce droit, c’était avouer la volonté de détruire l’état Juif.. L’excuse des implantations a donc été avancée afin de permettre l’obtention de ce droit par l’initiation de l’Intifada armée.
Stéphanie Le Bars, l’envoyée ‘’très spéciale’’ du quotidien Le Monde- qui par son rédacteur en chef Edwy Plenel assure qu’Israël mène une guerre coloniale - reconnaît implicitement dans un article daté du 02 juin 2003 (1) la principale cause de cette guerre : « les discussions [à Camp David], qui se tiennent sous la houlette de Bill Clinton, le président américain, achoppent notamment sur le problème des réfugiés et de la souveraineté sur les lieux saints ».
Exit donc la justification des implantations pour écarter la pax Clintonienne, et bonjour la révélation d’un refus palestinien d’une existence en cette planète d’un territoire où la culture, la religion et les lois seront faites par et pour des juifs.
Il ne fait pas de doute que, dans un avenir proche lors des discussions à venir, les Palestiniens- et à travers eux les arabes- dévoileront leurs véritables intentions quant au devenir d’Israël. Leur exigence du droit au retour brouillera toutes les analyses des censeurs et procureurs d’Israël qui, s’ils n’y prennent garde, se dévoileront plus anti-israéliens et anti-juif que pro-palestiniens.
Je leur conseillerais d’imiter rapidement cette journaliste, et d’admettre publiquement le droit d’Israël à être un refuge juif pour tous juifs se trouvant en danger sur la planète. Dans le cas contraire, il ne faudra pas hésiter à les désignés publiquement selon leur qualités d’antisémites.
Quant aux Palestiniens, l’acceptation de l’état juif est devenue une obligation internationale pour eux. Dans le cas contraire ils porteront seuls la responsabilité de l’échec et de ses conséquences.
(1) lien de l’article: www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--322367-,00.html
Les différentes diplomaties ont reconnu le « tort colonial » israélien envers ce peuple « martyrisé » et admis la « noble cause » palestinienne. Ce qui les a conduit à la feuille de route et, l’obstination du texan Georges W. Bush aidant, on ne parle plus que de la vision d’un état palestinien au coté de l’état d’Israël.
« Je suis le genre d'homme qui fait ce qu'il dit et ce que je dis est que le monde a besoin d'avoir un Etat palestinien libre et pacifique", a indiqué le Président US lors du sommet de Charm El-Cheikh.
"Mon gouvernement va travailler avec toutes les parties concernées pour réaliser cette vision. Je pense que le moment est maintenant venu de travailler pour réaliser cette vision et toutes les parties ont des responsabilités pour réaliser cette vision", a t-il ajouté.
Soit ! Mais reconnaître un état de Palestine c’est admettre de facto un état d’Israël en Paix et en sécurité. Selon le plan de route, la reconnaissance mutuelle doit se faire avant la fin de la première phase en Décembre 2003. Mais de quel reconnaissance parle t-on ? D’un Israël juif ou tout simplement d’un Israël où les juifs pourront cohabiter avec des musulmans devenus majoritaire par l’effet pervers d’un droit de retour ?
D’ors et déjà, les gouvernants d’Egypte, de Jordanie, du Bahreïn et d’Arabie saoudite, en ce même sommet, ont refusé une normalisation avec l’état d’Israël actuel ; ce qui préfigure un avenir de paix douteux avec un état Juif.
Déjà, lors de Camp David en Juillet 2000, Ehud Barak avait admis le principe d’une Palestine « décolonisée », de grandeur égale aux territoires conquis suite à la guerre défensive de 1967, mais refusé tout droit au retour de réfugiés.
Exiger ce droit, c’était avouer la volonté de détruire l’état Juif.. L’excuse des implantations a donc été avancée afin de permettre l’obtention de ce droit par l’initiation de l’Intifada armée.
Stéphanie Le Bars, l’envoyée ‘’très spéciale’’ du quotidien Le Monde- qui par son rédacteur en chef Edwy Plenel assure qu’Israël mène une guerre coloniale - reconnaît implicitement dans un article daté du 02 juin 2003 (1) la principale cause de cette guerre : « les discussions [à Camp David], qui se tiennent sous la houlette de Bill Clinton, le président américain, achoppent notamment sur le problème des réfugiés et de la souveraineté sur les lieux saints ».
Exit donc la justification des implantations pour écarter la pax Clintonienne, et bonjour la révélation d’un refus palestinien d’une existence en cette planète d’un territoire où la culture, la religion et les lois seront faites par et pour des juifs.
Il ne fait pas de doute que, dans un avenir proche lors des discussions à venir, les Palestiniens- et à travers eux les arabes- dévoileront leurs véritables intentions quant au devenir d’Israël. Leur exigence du droit au retour brouillera toutes les analyses des censeurs et procureurs d’Israël qui, s’ils n’y prennent garde, se dévoileront plus anti-israéliens et anti-juif que pro-palestiniens.
Je leur conseillerais d’imiter rapidement cette journaliste, et d’admettre publiquement le droit d’Israël à être un refuge juif pour tous juifs se trouvant en danger sur la planète. Dans le cas contraire, il ne faudra pas hésiter à les désignés publiquement selon leur qualités d’antisémites.
Quant aux Palestiniens, l’acceptation de l’état juif est devenue une obligation internationale pour eux. Dans le cas contraire ils porteront seuls la responsabilité de l’échec et de ses conséquences.
(1) lien de l’article: www.lemonde.fr/article/0,5987,3218--322367-,00.html
dimanche 1 juin 2003
La voie de la Paix
Après avoir accepté le principe de « la feuille de route » et admis les « concessions douloureuses » qui en découleront, Ariel Sharon dévoile petit à petit son approche des pourparlers à venir, en admettant explicitement et par avance « un partage de la terre » pour la création future de la Palestine, et en constatant une «occupation » néfaste pour le pays, à savoir un assujettissement des Palestiniens se trouvant sur les territoires disputés.
A des fins d’améliorations de la situation entre les deux parties en conflit, quelques mesures prouvant la bonne volonté d’Israël sont annoncées, telle la libération d’une centaine de prisonniers, un redéploiement de l’armée, un permis de travail pour 25 000 Palestiniens, des aménagements de libre circulation pour les membres de l’AP, et un démantèlement d'implantations illégales.
Ariel Sharon, par ces déclarations et gestes et afin d’éviter toutes implications dans un échec éventuel, place Mahmud ABBAS (Abu Mazen) au pied du mur et l’installe d’ors et déjà à la tête de son peuple - de près de quatre millions d’individus - dans un état en devenir; à ce dernier de démontrer sa réelle volonté de paix et donc de reconnaissance d’un état d’Israël juif.
Hors à ce jour, qu’a t’il obtenu en retour de la part des Palestiniens et du monde Arabe ?
Le Premier Ministre palestinien affirme pouvoir obtenir d’ici peu une trêve avec les organisations terroristes, et refuse de renoncer au ‘’droit de retour’’ des descendants des réfugiés de 1948. Cela est peu et promet de rudes négociations voire même une Intifada N°3.
De la part des pays Arabes rien à changé ou presque.
Vendredi 30 Mai à Téhéran, les 57 États musulmans membres de l’OCI ont dans leur déclaration finale rappelé leur solidarité avec la ‘’résistance’’ palestinienne et par conséquences gardé l’espoir secret de maintenir ce conflit en l’état.
L'OCI '' condamne l'occupation continue par Israël des territoires palestiniens et autres territoires arabes, ainsi que sa politique et ses pratiques de répression et (son) terrorisme d'État, (et réaffirme) sa solidarité avec la résistance des peuples palestinien, syrien et libanais contre l'agression et l'occupation( israélienne)''
L’OCI incite "la communauté internationale à prendre des mesures urgentes et efficaces" pour les "droits légitimes du peuple palestinien, notamment son droit à la création de son propre État palestinien indépendant, avec Al-Qods Al-Charif pour capitale".
Estimant ces revendications peu suffisantes, elle demande "l'élimination totale de toutes les armes de destruction massive", elle appelle "tous les États, à commencer par les États nucléaires, à faire pression sur Israël pour qu'il adhère au traité de non-prolifération et place ses structures nucléaires sous le contrôle total de l'AIEA", l'Agence internationale de l'énergie atomique.
L’État d’Israël toléré par cette organisation est, comme exposé ci-dessus, un état dépossédé de tout « territoires arabes » de Jérusalem, de toutes armes défensives désignées pour la cause ‘’armes de destructions massives’’, et tant qu’à faire de religion musulmane à l’aide du ‘’droit au retour’’
Reste t’il après ces positionnements et prises de positions du monde palestinien et arabe quelques espoirs pour la feuille de route et l’installation d’une véritable paix en cette région ?
Seul une volonté ferme et tenace du Président des USA pourra faire admettre au monde musulman la réalité d’un état d’Israël juif. Pour cela, de nombreuses contraintes et mesures de rétorsions seront exigées envers tous les régimes despotiques dont le bouc émissaire israélien garantit leur pérennité, et la Djihad constitue le programme politique. Ce qui sous entend que bon gré ou malgré, de nombreux régimes devront abandonné leurs places à des gouvernements démocrates, et l’islam la politique.
Georges W. Bush aura t’il cette détermination à installer cette paix ? Il semblerai que oui, et seule une défaite électorale en 2004, ou pire un assassinat pourrai l’en empêcher;car ne nous y trompons pas, cette politique américaine ne plait pas aux dirigeants des 57 pays musulmans de la planète.
Seuls les peuples arabes, à l’instar des irakiens, souhaitent sa réussite.
Le peuple israélien également.
A des fins d’améliorations de la situation entre les deux parties en conflit, quelques mesures prouvant la bonne volonté d’Israël sont annoncées, telle la libération d’une centaine de prisonniers, un redéploiement de l’armée, un permis de travail pour 25 000 Palestiniens, des aménagements de libre circulation pour les membres de l’AP, et un démantèlement d'implantations illégales.
Ariel Sharon, par ces déclarations et gestes et afin d’éviter toutes implications dans un échec éventuel, place Mahmud ABBAS (Abu Mazen) au pied du mur et l’installe d’ors et déjà à la tête de son peuple - de près de quatre millions d’individus - dans un état en devenir; à ce dernier de démontrer sa réelle volonté de paix et donc de reconnaissance d’un état d’Israël juif.
Hors à ce jour, qu’a t’il obtenu en retour de la part des Palestiniens et du monde Arabe ?
Le Premier Ministre palestinien affirme pouvoir obtenir d’ici peu une trêve avec les organisations terroristes, et refuse de renoncer au ‘’droit de retour’’ des descendants des réfugiés de 1948. Cela est peu et promet de rudes négociations voire même une Intifada N°3.
De la part des pays Arabes rien à changé ou presque.
Vendredi 30 Mai à Téhéran, les 57 États musulmans membres de l’OCI ont dans leur déclaration finale rappelé leur solidarité avec la ‘’résistance’’ palestinienne et par conséquences gardé l’espoir secret de maintenir ce conflit en l’état.
L'OCI '' condamne l'occupation continue par Israël des territoires palestiniens et autres territoires arabes, ainsi que sa politique et ses pratiques de répression et (son) terrorisme d'État, (et réaffirme) sa solidarité avec la résistance des peuples palestinien, syrien et libanais contre l'agression et l'occupation( israélienne)''
L’OCI incite "la communauté internationale à prendre des mesures urgentes et efficaces" pour les "droits légitimes du peuple palestinien, notamment son droit à la création de son propre État palestinien indépendant, avec Al-Qods Al-Charif pour capitale".
Estimant ces revendications peu suffisantes, elle demande "l'élimination totale de toutes les armes de destruction massive", elle appelle "tous les États, à commencer par les États nucléaires, à faire pression sur Israël pour qu'il adhère au traité de non-prolifération et place ses structures nucléaires sous le contrôle total de l'AIEA", l'Agence internationale de l'énergie atomique.
L’État d’Israël toléré par cette organisation est, comme exposé ci-dessus, un état dépossédé de tout « territoires arabes » de Jérusalem, de toutes armes défensives désignées pour la cause ‘’armes de destructions massives’’, et tant qu’à faire de religion musulmane à l’aide du ‘’droit au retour’’
Reste t’il après ces positionnements et prises de positions du monde palestinien et arabe quelques espoirs pour la feuille de route et l’installation d’une véritable paix en cette région ?
Seul une volonté ferme et tenace du Président des USA pourra faire admettre au monde musulman la réalité d’un état d’Israël juif. Pour cela, de nombreuses contraintes et mesures de rétorsions seront exigées envers tous les régimes despotiques dont le bouc émissaire israélien garantit leur pérennité, et la Djihad constitue le programme politique. Ce qui sous entend que bon gré ou malgré, de nombreux régimes devront abandonné leurs places à des gouvernements démocrates, et l’islam la politique.
Georges W. Bush aura t’il cette détermination à installer cette paix ? Il semblerai que oui, et seule une défaite électorale en 2004, ou pire un assassinat pourrai l’en empêcher;car ne nous y trompons pas, cette politique américaine ne plait pas aux dirigeants des 57 pays musulmans de la planète.
Seuls les peuples arabes, à l’instar des irakiens, souhaitent sa réussite.
Le peuple israélien également.