Peu doute encore que le
politiquement correct impose sa loi et ses vues à la grande majorité de la
population. Une dictature de la pensée qui, sous couvert de la défense de l’humanité,
disqualifie d’emblée ses opposants en les rangeant dans des tiroirs obscurs conçus
à cet effet. Tous moyens et méthodes sont bons pour ce faire. De larges pans d’hommes
politiques, d’ongs et de médias de gauche s’emploient à son expansion. Ceux de
droite, conditionnés par la crainte n’osent s’élever en contre, voire se mêlent
à la meute si cela peut leur rapporter.
Outre le pénal, le moyen le plus
utilisé est une qualification manifeste qui se veut dégradante. Ainsi les
expressions non exhaustives extrémiste, réactionnaire, radical,
nationaliste, religieux, raciste, associées également à l’adjectif
ultra, sont monnaies courantes et fleurissent dans le débat public.
L’un des sujets le plus peint de
cette manière est l’Etat d’Israël et ce qu’il englobe. Bien que
démocratie exemplaire où le débat est roi, quelque soit le gouvernement en
place il est automatiquement qualifié, selon les circonstances, vigoureusement par
ces termes ou de façon plus modérée. Il n’est jamais, par contre, applaudi pour
ses actions. Sauf lorsqu’elles cadrent avec le politiquement correct, tels les « accords
d’Oslo » et le retrait unilatéral de la bande de Gaza qui coutèrent la
vie à plusieurs centaines d’Israéliens. Un prix que n’est plus prêt à payer la
population. D’où ces infinies condamnations.
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A suivre et à croire cette
dictature de la pensée, il n’existe pas d’extrême gauche en ce pays. Ainsi le
parti Meretz est certifié être de « gauche » et le journal
Haaretz, qui a dans sa rédaction des journalistes anti-israéliens des
plus virulents, comme étant de « référence » et de « centre
gauche ».
Gideon Levy, l’un de
ceux-ci, y a publié récemment un sondage où « Une grande partie de la
population juive d'Israël serait favorable à l'instauration de discriminations
envers ses concitoyens arabes ». Une enquête, bien sûr, reprise
goulument par les médias qui ont titré, par exemple, « Israël
vire à (l'extrême) droite ».
Outre que le quotidien israélien s’est senti contraint de clarifier que le sondage se basait sur
une situation hypothétique d’une annexion future de la Judée et de la Samarie,
le résultat des dernières élections législatives a démontré que l’extrémisme de
droite et le racisme ne sont guère des principales caractéristiques de la
population.
Evidemment, aucun média n’en a
fait un article ! Ce qui ridiculise
les journalistes oublieux de toute idéologie dès lors que cela touche cet état ou
encore les USA lorsqu’ils votent à droite.
Laurence Haim, journaliste
à I-Télé, est une parfaite caricature de cet état de fait. Les deux
vidéos listées ci-dessous en sont la parfaite illustration.
Lors d’un débat concernant la deuxième investiture de Barak Obama, contrant Philippe
Karsenty assurant que le discours du Président US était « naïf »,
celle-ci a assuré que « (…) ce n’est pas à nous journalistes,
certainement de voir si ce que Barak Obama espère faire dans ce deuxième mandat
marchera ou pas ».
Chacun comprendra que le débat est clos et que Philippe Karsenty n’a pas à démythifier son héros en direct.
Pour saisir combien le
politiquement correct est ancré, il faut voir l’attitude hystérique de cette même journaliste au bord des larmes lors de la deuxième
investiture de Georges W. Bush en 2004.
« Vous voyez je pense le fanatisme de ces gens (…) Georges W. Bush va donc, encore une fois, devenir président pendant quatre ans (…) je peux vous dire que j’ai beaucoup d’émotion du fait que Georges Bush va encore devenir président des Etats Unis pendant quatre ans ».
Devant ce niveau d’intolérance
nul ne peut plus douter du manque de déontologie d’une profession qui n’a à ce
jour jamais sévi contre cette militante ni aucun de ses confrères.
INCOMPÉTENCE NOTOIRE DES MEDIAS LA DÉSINFORMATION CONTINUE DE PLUS BELLE ELLE VA CONTINUER MAIS NOUS SOMMES AVEC VOUS AMIS DE LA VÉRITÉ MERCI Victor Perez pour cet article si juste
RépondreSupprimerélisaToulouse
Bonjour Victor,
RépondreSupprimerIl est inutile que je revienne encore une fois sur cette pourriture auto-proclamée "journalistes" qui sévissent en France.
Les écoles de "journalisme" continuent à fabriquer des propagandistes obtus, plutôt bas du plafond, sensés nous éclairer sur les problèmes du monde.
Pire, des amuseurs et des bouffons défilent sur les plateaux de télévision et sont invités dans des certaines stations de radio, pour nous éclairer sur l'état de la planète.
Il faut extirper ce cancer qui ronge les cervelles des torchonistes si l'on souhaite revenir à une information digne de ce nom dans ce pays livré à des policiers de la pensée cadenassée.
J'ai relevé dans un récent sondage, que cette corporation n'est pas en odeur de sainteté chez la plupart des Français :
Les résultats du sondage soulignent également le pessimisme de la population française et sa défiance massive à l'égard la mondialisation, de l'Europe, de la démocratie, des médias, de l'islam et de l'immigration. (Source : Desinfos.com)
Pour finir, Michel Collon et Roland Dumas étaient une fois de plus, les invités d'honneur de Taddeï dans "Ce soir ou jamais".
Pour participer à cette honte médiatique, il faut avoir un cerveau ne fonctionnant pas correctement, équipé d'un logiciel dépassé.
Dans cette émission censée débattre des problèmes du monde, les participants sont choisis selon un critère commun :
Une connerie très proche de l'irrationnel.
Citons les passages plus que récurrents de Hessel, Gisèle Halimi, Esther Benbassa, Vergès... des guignols en tous genres, qui bavassent leurs idioties à deux balles, loin de la raison.
Par contre, des invités Juifs ou Israéliens, y sont interdits de plateau, même Elisabeth Lévy n'est plus invitée. Devinez pourquoi ?
Salutations.
Damran,
SupprimerCela ne me déconcerte plus. La démocratie française, mais pas seulement, est dans un triste état.