On fait tous le parallèle entre la période de la seconde guerre mondiale et l’époque présente. Si, jour après jour, cette comparaison se justifie, alors ceux qui connaissent l’histoire savent ce qui attend l’islamisme et particulièrement l’Iran nazie. Si la fin de ce régime honni réjouira tous les démocrates, cependant les temps qui nous attendent ont de quoi faire frémir les plus optimistes d’entre nous.
Ainsi, si nous serons des Israéliens ‘’chanceux’’, ma famille et moi-même passeront, en un instant, de l’état de touristes béats sur les plages de la Cote d’Azur ou de Miami à l’état d’apatrides à la recherche d’un toit dans un nouveau pays d’accueil. Une seule bombe nucléaire est, paraît il, nécessaire à la destruction de mon pays et de six millions de Juifs Israéliens. Chiffre fatidique, il semblerait.
Si nous seront des Israéliens moins ‘’chanceux’’, alors peu nous importera l’état de la Perse et de tout autre pays ayant signé un « pacte d’amitié » avec ses dirigeants. Par ce fait, l’occasion sera ainsi donnée à la planète entière de vérifier si l’Etat d’Israël possède ou non la technologie nucléaire complète. Ce que chaque Israélien, en son for intérieur, espère bien évidemment.
Au vu de ce cataclysme qui s’annonce, les ‘’bien pensants’’ se tourneront, alors, vers les ‘’alliés’’ et leur demanderont pourquoi ont ils permit à un régime nazi de se doter de ces moyens guerriers, en se souvenant de leur refus, déjà, de bombarder les rails menant à Auschwitz dans les années 40 ? Ils s’indigneront de ces puissances, France en tête, qui préférèrent la défense de leurs intérêts mercantiles à celle des valeurs universelles et hurleront, à nouveau, « plus jamais ça ». La belle jambe que cela nous fera.
Les Juifs de la Diaspora devront, quant à eux, se préparer à leur nouvel état de citoyen de seconde ordre, et devront endurer les nouvelles lois scélérates qui ne manqueront pas d’apparaître ici et là, souffrir les expulsions, les conversions forcées, les pogroms, les autodafés, les vols, les viols etc.… Jusqu’au moment où le « machin », qui aura d’ici là un nouveau nom, les autorisera, par une résolution et dans l’objectif d’apaiser la mauvaise conscience internationale suite à un massacre ‘’hors norme’’, à faire renaître l’Etat d’Israël sur la terre de leurs pères. Car, il est une évidence, le peuple juif est têtu et continuera à répéter, à chaque occasion, « l’année prochaine à Jérusalem ».
Ce texte peut être une fiction et la déraison d’un auteur en mal de sensations. Mais au vu des faits et gestes de la communauté internationale, le sixième sens (qui affecte presque chaque juif de par l’expérience acquise au travers de l’histoire de son peuple) interpelle ce qui sert à réfléchir. L’analyse qui en sort affirme la certitude d’une catastrophe internationale si rien n’est entrepris pour l’éviter.
Y a t-il un espoir ? Rien n’est moins sûr.
Ainsi, si nous serons des Israéliens ‘’chanceux’’, ma famille et moi-même passeront, en un instant, de l’état de touristes béats sur les plages de la Cote d’Azur ou de Miami à l’état d’apatrides à la recherche d’un toit dans un nouveau pays d’accueil. Une seule bombe nucléaire est, paraît il, nécessaire à la destruction de mon pays et de six millions de Juifs Israéliens. Chiffre fatidique, il semblerait.
Si nous seront des Israéliens moins ‘’chanceux’’, alors peu nous importera l’état de la Perse et de tout autre pays ayant signé un « pacte d’amitié » avec ses dirigeants. Par ce fait, l’occasion sera ainsi donnée à la planète entière de vérifier si l’Etat d’Israël possède ou non la technologie nucléaire complète. Ce que chaque Israélien, en son for intérieur, espère bien évidemment.
Au vu de ce cataclysme qui s’annonce, les ‘’bien pensants’’ se tourneront, alors, vers les ‘’alliés’’ et leur demanderont pourquoi ont ils permit à un régime nazi de se doter de ces moyens guerriers, en se souvenant de leur refus, déjà, de bombarder les rails menant à Auschwitz dans les années 40 ? Ils s’indigneront de ces puissances, France en tête, qui préférèrent la défense de leurs intérêts mercantiles à celle des valeurs universelles et hurleront, à nouveau, « plus jamais ça ». La belle jambe que cela nous fera.
Les Juifs de la Diaspora devront, quant à eux, se préparer à leur nouvel état de citoyen de seconde ordre, et devront endurer les nouvelles lois scélérates qui ne manqueront pas d’apparaître ici et là, souffrir les expulsions, les conversions forcées, les pogroms, les autodafés, les vols, les viols etc.… Jusqu’au moment où le « machin », qui aura d’ici là un nouveau nom, les autorisera, par une résolution et dans l’objectif d’apaiser la mauvaise conscience internationale suite à un massacre ‘’hors norme’’, à faire renaître l’Etat d’Israël sur la terre de leurs pères. Car, il est une évidence, le peuple juif est têtu et continuera à répéter, à chaque occasion, « l’année prochaine à Jérusalem ».
Ce texte peut être une fiction et la déraison d’un auteur en mal de sensations. Mais au vu des faits et gestes de la communauté internationale, le sixième sens (qui affecte presque chaque juif de par l’expérience acquise au travers de l’histoire de son peuple) interpelle ce qui sert à réfléchir. L’analyse qui en sort affirme la certitude d’une catastrophe internationale si rien n’est entrepris pour l’éviter.
Y a t-il un espoir ? Rien n’est moins sûr.
Mr Perez,
RépondreSupprimerJ´ai cru comprendre que vous êtes français ayant émigré en Israël.
Supposons comme vous que le pire arrive et qu´Israël devienne "inhabitable" pour vous et les vôtres : n´est ce pas malhonnête de vous considérer comme "apatride" et au cas où vous devriez vivre en France, utiliser cette expression de "citoyen de second ordre" ?
A Anonyme (un nom ou un prénom aurait prévalu )
RépondreSupprimerDans mon texte, il ne s'agit pas de ma personne ou des miens, mais plus précisément du cas de chaque Israélien, qu'il soit Français ou non.
Quant au qualificatif de "citoyen de second ordre" c'est exactement la qualité de chaque juif à travers la planète avant le renouveau d'Israël.
Si je me trompe, que l'on me corrige.
Victor PEREZ