Le fameux ‘’camp de la paix’’ doit, ces jours ci, se délecter des « échecs » à répétition de G.W.Bush, chef incontesté du « camp de la guerre ». Déboires en IRAK par l’insécurité qui y règne et son lot quotidien de morts et blessés américains, revers par la démission de Mahmud Abbas ex-premier ministre palestinien ou encore désillusions quant à la fin des Talibans.
« L’assassin Bush » (selon le parti des anti-américains) illustre magnifiquement « l’échec » de la politique des USA, par sa détermination à vouloir « régenter unilatéralement » la planète. Seul un méat culpa de Georges frisant l’humiliation - voire une supplication à l’aide si l’on considère le désir subliminal de tous les commentateurs Français- pourrait éventuellement redorer l’image des USA, et permettre une nouvelle coopération internationale que la France a, depuis fort longtemps, le souhait et l’ambition de diriger.
Coopération qui (à la lecture de la politique du Quai d’Orsay pour le conflit proche oriental) autoriserait Arafat- par l’exigence d’une levée immédiate du boycott imposé par Ariel Sharon- à redevenir le Président élu (sic) avec toutes ses prérogatives, et satisferait les revendications du futur Premier Ministre Ahmed Quoreï (Abou Ala pour les intimes) par une pression agressive sur Israël. A savoir, l’arrêt des assassinats ciblés, la levée des barrages, la fin des destructions de maisons appartenant aux « activistes » Palestiniens, et le retrait de Tsahal des territoires palestiniens.
Et tout cela dans l'expectative de l’envoi d’une force d’interposition armée et de l’organisation d’une conférence internationale revendiquées par Dominique de Villepin, qui amèneront inévitablement la paix en cette région ( ?!?!).
Si le « peuple de m…, paranoïaque et dirigé par un voyou » s’impatiente de cette paix qui tarde, peut on raisonnablement y croire si l’on se réfère au désir persistant de l’éradication d’Israël par les peuples arabes et particulièrement palestinien ? La démission de Mahmud Abbas et son incapacité ou son refus à combattre le terrorisme (et donc son objectif) imposent aux ‘’bonnes âmes’’ anti US cette évidence. Ce qui est déjà (somme toute) une belle réussite pour tous les passionnés de vérité, de démocratie et de paix, comme par exemple le comité Nobel qui dans quelques jours présentera ses excuses publiques pour avoir attribué le prix de la paix du même nom à Yasser Arafat en 1994.
Ce comité qui, en 2002, attribua le prix de la Paix à Jimmy Carter presque par opposition à ‘’ l’aventurisme irakien’’ de G.W.Bush.
Mais y a t’il eu volonté hégémonique et recherches d’intérêts économiques de la part des USA, ou foi en des valeurs démocratiques et résolution à leur défense ?
Que serait l’Irak actuellement, si l’oncle Sam avait cédé à la pression du coq gaulois dressé sur ses ergots de peur de perdre tous ses contrats pétroliers ? Hans Blix et ses inspecteurs onusiens n’étant pas plus futés que l’armée US pour trouver les armes de destructions massives, l’ONU aurait été contrainte de supprimer l’embargo. Sadam Hussein et ses fils auraient alors retrouvé une totale liberté pour en fabriquer et menacer à nouveau les pays voisins, le peuple continuerait d’alimenter les charniers d’opposants, le terrorisme aurait trouvé un pouvoir conciliant à leurs thèses et des moyens financiers et le monde occidental aurait perdu une occasion unique d'établir ses valeurs dans cette région minée par le fondamentalisme islamique.
Pour ses quelques raisons, et malgré la situation quelque peu chaotique en Irak, G.W.Bush et ses ‘’faucons’’ peuvent être satisfaits du résultat.
Le « camp de la paix », par sa recherche insatiable d’échecs US, a porté atteinte aux démocraties.
La France est malheureusement partie prenante de ce camp. L’ardoise devra être réglée.
« L’assassin Bush » (selon le parti des anti-américains) illustre magnifiquement « l’échec » de la politique des USA, par sa détermination à vouloir « régenter unilatéralement » la planète. Seul un méat culpa de Georges frisant l’humiliation - voire une supplication à l’aide si l’on considère le désir subliminal de tous les commentateurs Français- pourrait éventuellement redorer l’image des USA, et permettre une nouvelle coopération internationale que la France a, depuis fort longtemps, le souhait et l’ambition de diriger.
Coopération qui (à la lecture de la politique du Quai d’Orsay pour le conflit proche oriental) autoriserait Arafat- par l’exigence d’une levée immédiate du boycott imposé par Ariel Sharon- à redevenir le Président élu (sic) avec toutes ses prérogatives, et satisferait les revendications du futur Premier Ministre Ahmed Quoreï (Abou Ala pour les intimes) par une pression agressive sur Israël. A savoir, l’arrêt des assassinats ciblés, la levée des barrages, la fin des destructions de maisons appartenant aux « activistes » Palestiniens, et le retrait de Tsahal des territoires palestiniens.
Et tout cela dans l'expectative de l’envoi d’une force d’interposition armée et de l’organisation d’une conférence internationale revendiquées par Dominique de Villepin, qui amèneront inévitablement la paix en cette région ( ?!?!).
Si le « peuple de m…, paranoïaque et dirigé par un voyou » s’impatiente de cette paix qui tarde, peut on raisonnablement y croire si l’on se réfère au désir persistant de l’éradication d’Israël par les peuples arabes et particulièrement palestinien ? La démission de Mahmud Abbas et son incapacité ou son refus à combattre le terrorisme (et donc son objectif) imposent aux ‘’bonnes âmes’’ anti US cette évidence. Ce qui est déjà (somme toute) une belle réussite pour tous les passionnés de vérité, de démocratie et de paix, comme par exemple le comité Nobel qui dans quelques jours présentera ses excuses publiques pour avoir attribué le prix de la paix du même nom à Yasser Arafat en 1994.
Ce comité qui, en 2002, attribua le prix de la Paix à Jimmy Carter presque par opposition à ‘’ l’aventurisme irakien’’ de G.W.Bush.
Mais y a t’il eu volonté hégémonique et recherches d’intérêts économiques de la part des USA, ou foi en des valeurs démocratiques et résolution à leur défense ?
Que serait l’Irak actuellement, si l’oncle Sam avait cédé à la pression du coq gaulois dressé sur ses ergots de peur de perdre tous ses contrats pétroliers ? Hans Blix et ses inspecteurs onusiens n’étant pas plus futés que l’armée US pour trouver les armes de destructions massives, l’ONU aurait été contrainte de supprimer l’embargo. Sadam Hussein et ses fils auraient alors retrouvé une totale liberté pour en fabriquer et menacer à nouveau les pays voisins, le peuple continuerait d’alimenter les charniers d’opposants, le terrorisme aurait trouvé un pouvoir conciliant à leurs thèses et des moyens financiers et le monde occidental aurait perdu une occasion unique d'établir ses valeurs dans cette région minée par le fondamentalisme islamique.
Pour ses quelques raisons, et malgré la situation quelque peu chaotique en Irak, G.W.Bush et ses ‘’faucons’’ peuvent être satisfaits du résultat.
Le « camp de la paix », par sa recherche insatiable d’échecs US, a porté atteinte aux démocraties.
La France est malheureusement partie prenante de ce camp. L’ardoise devra être réglée.
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