Il ne subsiste point de doute, qu’il existe aujourd’hui une volonté désespérée des soutiens palestiniens de présenter le monde juif -et non seulement les Israéliens- comme extrémistes, mêmes si pour cela sont nécessaires des contorsions à la vérité historique, des omissions volontaires et/ou des mensonges.
Pour mémoire, les enquêtes journalistique (sic) de l’Express et de Marianne, les fameux rapports (re sic) du MRAP ou les caricatures du quotidien Le Monde établissant le parallèle entre les juifs « ultra-orthodoxes » et les fanatiques musulmans criminels contre l’humanité.
ARTE n’est pas en reste dans ce combat antisémite qui se cache.
Le précédent article intitulé « ARTE et le TERRORISME » a démontré que l'allégation de la première partie du documentaire en quatre volets sur « les visages du terrorisme » suggérant l’Irgoun comme détenteur du triste brevet de la nouvelle forme de combat nommée ‘’TERRORISME’’ n’était qu’affabulation. Cette fable a d’ailleurs été réaffirmée en fin de la quatrième partie du film, comme pour mieux en attribuer aux juifs la paternité de l’origine des malheurs de notre planète puis l’accusation d’en être la cause pour le refus du partage (re re sic) de Jérusalem et de ses lieux saints.
Dans le 3ème volet, ayant pour titre évocateur « Le fanatisme religieux » toute une série de contorsions, de raccourcis historiques et mensonges placent, pour le téléspectateur, le peuple israélien dans un combat religieux et non tout simplement existentiel.
L’histoire de ces « terrorismes » débuterait - si l’on en croit les auteurs du documentaire- au début des années 70, autrement dit dès la prise de contrôle de la Judée, de la Samarie et de Gaza par les Israéliens. L’oubli de la mention des attaques incessantes subies par ces derniers, les obligeants à une guerre défensive des six jours est volontaire. Supprimez ce contexte et vous vous trouvez devant de « faibles Palestiniens » impatients simplement d’un pays qu’ils (nous le savons) n’ont pas voulu créer avant 1967.
Pour accréditer cette thèse, l’attentat en 1980 contre cinq personnalités Palestiniennes - dont le maire de Schem (Naplouse) Bassam Shakaa- puis le massacre en 1994 de 29 fidèles musulmans à Hébron sont extraits de la naphtaline et ont servi, selon l’auteur, d’amorces aux vagues infinies de violence palestinienne qui ont suivi, notamment celle du Hamas. Ces deux seuls attentats juifs ( qui répondaient à d’autres agressions sanglantes) seraient donc les causes de l’échec des accords d’Oslo.
Pour parfaire cette conception du conflit, les deux parties sont dénommées distinctement ; les juifs sont des « extrémistes » alors que le Scheik Ahmed Yacine est le « leader spirituel du Hamas » et Abdel Aziz Rantissi un « dirigeant du Hamas ». La charte de cette organisation terroriste (reconnue ce week-end comme telle par l’Europe), avec son projet d’une Palestine du Jourdain à la mer, autorise probablement l’auteur du documentaire à y trouver la spiritualité de son leader et l’honorabilité de son porte-parole. (Pour l’anecdote, la chaîne étant diffusée également en Allemagne, « leader » et « dirigeant » sont traduit par führer).
Mais le plus ridicule dans ce documentaire n’est cependant pas la somme de toutes ces escroqueries intellectuelles, mais l'imputation de la responsabilité du déclenchement de l’Intifada armée à Ariel Sharon, alors dans l’opposition, pour avoir seulement foulé le 28 septembre 2000 « l’esplanade des mosquées ».
Ainsi, par ces distorsions alignées les unes après les autres, les milliers de morts et de blessés de ces trois dernières années sont à mettre au crédit des Israéliens et par conséquent du monde juif. Ce qui explique ensuite le « sentiment d’injustice » subi par le monde musulman et sa « soif de vengeance planétaire ».
ARTE, pour avoir diffuser ce documentaire épousant parfaitement sa ligne éditoriale, doit être tenu co-responsable de la haine anti-juive et anti-israélienne qui se développe doucement mais sûrement en France.
Ce mois ci est garni d’anniversaires ; le 11 (attentat contre les tours jumelles), le 13 (signature des accords d’Oslo), le 29 (début de l’Intifada armée).
Une vigilance sur tous ces sujets traités par nos médias est fortement recommandée.
Pour mémoire, les enquêtes journalistique (sic) de l’Express et de Marianne, les fameux rapports (re sic) du MRAP ou les caricatures du quotidien Le Monde établissant le parallèle entre les juifs « ultra-orthodoxes » et les fanatiques musulmans criminels contre l’humanité.
ARTE n’est pas en reste dans ce combat antisémite qui se cache.
Le précédent article intitulé « ARTE et le TERRORISME » a démontré que l'allégation de la première partie du documentaire en quatre volets sur « les visages du terrorisme » suggérant l’Irgoun comme détenteur du triste brevet de la nouvelle forme de combat nommée ‘’TERRORISME’’ n’était qu’affabulation. Cette fable a d’ailleurs été réaffirmée en fin de la quatrième partie du film, comme pour mieux en attribuer aux juifs la paternité de l’origine des malheurs de notre planète puis l’accusation d’en être la cause pour le refus du partage (re re sic) de Jérusalem et de ses lieux saints.
Dans le 3ème volet, ayant pour titre évocateur « Le fanatisme religieux » toute une série de contorsions, de raccourcis historiques et mensonges placent, pour le téléspectateur, le peuple israélien dans un combat religieux et non tout simplement existentiel.
L’histoire de ces « terrorismes » débuterait - si l’on en croit les auteurs du documentaire- au début des années 70, autrement dit dès la prise de contrôle de la Judée, de la Samarie et de Gaza par les Israéliens. L’oubli de la mention des attaques incessantes subies par ces derniers, les obligeants à une guerre défensive des six jours est volontaire. Supprimez ce contexte et vous vous trouvez devant de « faibles Palestiniens » impatients simplement d’un pays qu’ils (nous le savons) n’ont pas voulu créer avant 1967.
Pour accréditer cette thèse, l’attentat en 1980 contre cinq personnalités Palestiniennes - dont le maire de Schem (Naplouse) Bassam Shakaa- puis le massacre en 1994 de 29 fidèles musulmans à Hébron sont extraits de la naphtaline et ont servi, selon l’auteur, d’amorces aux vagues infinies de violence palestinienne qui ont suivi, notamment celle du Hamas. Ces deux seuls attentats juifs ( qui répondaient à d’autres agressions sanglantes) seraient donc les causes de l’échec des accords d’Oslo.
Pour parfaire cette conception du conflit, les deux parties sont dénommées distinctement ; les juifs sont des « extrémistes » alors que le Scheik Ahmed Yacine est le « leader spirituel du Hamas » et Abdel Aziz Rantissi un « dirigeant du Hamas ». La charte de cette organisation terroriste (reconnue ce week-end comme telle par l’Europe), avec son projet d’une Palestine du Jourdain à la mer, autorise probablement l’auteur du documentaire à y trouver la spiritualité de son leader et l’honorabilité de son porte-parole. (Pour l’anecdote, la chaîne étant diffusée également en Allemagne, « leader » et « dirigeant » sont traduit par führer).
Mais le plus ridicule dans ce documentaire n’est cependant pas la somme de toutes ces escroqueries intellectuelles, mais l'imputation de la responsabilité du déclenchement de l’Intifada armée à Ariel Sharon, alors dans l’opposition, pour avoir seulement foulé le 28 septembre 2000 « l’esplanade des mosquées ».
Ainsi, par ces distorsions alignées les unes après les autres, les milliers de morts et de blessés de ces trois dernières années sont à mettre au crédit des Israéliens et par conséquent du monde juif. Ce qui explique ensuite le « sentiment d’injustice » subi par le monde musulman et sa « soif de vengeance planétaire ».
ARTE, pour avoir diffuser ce documentaire épousant parfaitement sa ligne éditoriale, doit être tenu co-responsable de la haine anti-juive et anti-israélienne qui se développe doucement mais sûrement en France.
Ce mois ci est garni d’anniversaires ; le 11 (attentat contre les tours jumelles), le 13 (signature des accords d’Oslo), le 29 (début de l’Intifada armée).
Une vigilance sur tous ces sujets traités par nos médias est fortement recommandée.
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