Des journalistes
israéliens de différents médias se sont rendus, il y a peu, au quartier général
de l’Autorité Palestinienne à Ramallah pour interviewer son Président
Mahmoud Abbas.
Exercice de relation publique pour celui qui se présente la
paix plein la bouche lorsqu’il s’adresse aux occidentaux mais laisse entrevoir
sa haine du juif lorsqu’il s’adresse à ses semblables.
Lors de cette interview
destinée à mettre à mal le gouvernement israélien, il a été interrogé, une nouvelle
fois, sur son refus de reconnaître l’Etat d’Israël entant « qu’état
juif », rappelant que celui-ci « n’avait pas demandé à l’Egypte et
à la Jordanie de le reconnaitre comme Etat juif », et répétant qu’« Israël
peut aller à l’ONU et se définir lui-même de la manière qu’il souhaite ».
Outre que l’Onu a autorisé
le renouveau d’un « état juif » dans la résolution 181 de 1947,
les journalistes israéliens sont-ils si sots pour n’avoir pas indiqué que le peuple
israélien ne lui demande nulle autorisation de définir sa nation comme il entend
mais que celui-ci n’accordera jamais une « Palestine » à un ‘’peuple’’
qui lui refuse ce même droit ?
A savoir, une acceptation
pleine et entière de la solution de deux états pour DEUX peuples, confirmant ainsi
la fin du conflit... ou rien !
Etait-il si pénible, d’autre
part, de signifier que ni l’Egypte et ni la Jordanie n’avaient et
n’ont l’intention de peupler l’état juif par l’immigration de centaines de
milliers de leurs citoyens, cela au nom d’un ‘’droit de retour’’ de descendants
de ‘’réfugiés’’ qui n’existe que dans l’imaginaire musulman et nullement dans
la loi internationale ?
Il aurait été alors
intéressant d’étudier la réaction de Mahmoud Abbas face à cette simple
réalité ! Celles de ses proches ainsi que celles de la rue n’auraient pas été
moins captivantes !
Analyse qui a été
éliminée du débat israélien par le silence des journalistes qui ont, semble
t-il, une nouvelle obligation déontologique à savoir, celle de gober des
couleuvres !
Une autre précision utile
à la compréhension du conflit aurait été dévoilée si l’un des journalistes, refusant
le diktat du politiquement correct, s’était amusé à réclamer du Président de
l’AP la citation exhaustive des lois internationales attribuant les « frontières
de 1967 », un « état judenrein », construit sur un
territoire où vécut le peuple juif jusqu’au nettoyage ethnique de 1948 exécuté
par la Jordanie, Jérusalem-est comprenant la veille ville comme « Capitale »
de cet état à naître, et même ce « droit au retour » cité plus
haut !
Certainement instructive
aurait été la réponse de ce fieffé menteur car nulles lois n’attribuent, à
ce jour, le moindre grain de sable au ‘’peuple palestinien’’. Peuple dont nul
ne peut, par ailleurs, conter son passé historique au-delà de 1967.
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La dernière demande d’un
journaliste intègre aurait été celle de questionner le Président (à vie) de l’AP
sur les ‘’passés différents’’ des peuples jordaniens et ‘’palestiniens’’ avant
le premier partage de la Palestine mandataire de 1946 ? ‘’Passés distincts’’
censés légitimer aux yeux de l’opinion mondiale la création d’un deuxième état
pour les Arabes de la Palestine mandataire restés sur la rive ouest du Jourdain !
L’impossibilité d’y
répondre aurait mis à mal les prétentions ‘’palestiniennes’’, voire la vie de
ce journaliste téméraire mais, oh combien, imaginaire !
En ce jour de commémoration du camp d'Auschwitz ces journalistes eurent été inspirés, si ils avaient interrogé Abbas sur la thése négationniste, qu'il avait soutenu à Moscou en 190.
RépondreSupprimerVous avez parfaitement raison.
RépondreSupprimer1.La Déclaration Balfour de 1917 prévoyait la création d'un Etat Juif en Palestine.
2.Le Mandat sur la Palestine attribué par la SDN en1920 à la Grande Bretagne comprenait
aussi la Transjordanie .
3.Ce territoire, devenu le Royaume Hashemite de Jordanie ,fut donné en cadeau au Roi Abdallah par le Gouvernement de Sa Gracieuse Majesté pour le récompenser de son soutien aux Anglais dans la guerre contre l'Empire Ottoman où les Juifs n'eurent pas le droit d'habiter.
4. C'est donc la partie à l'Ouest du Jourdain qui fut appelée "Palestine" et divisé à son tour en un Etat Juif et un Etat Palestinien arabe par le Partage voté par les Nations Unies le 29 Novembre 1947 et accepté par 33 voix en faveur,13 voix contre et 10 abstentions.
5. Le Juifs acceptèrent cette Résolution mais pas les pays Arabes qui attaquèrent l'Etat d'Israël le lendemain de la proclamation de son indépendance le 14 mai 1948 avec 5 armées.
6. Malgré la victoire d'Israël et le cessez le feu et signature d'un accord établissant les LIGNES D'ARMISTICE (et NON DES FRONTIERES) qui s'ensuivit Israël a été agressé plusieurs fois depuis (en 1956 Campagne du Sinai),1967 ( Guerre des Six Jours) ,1973 (Guerre du Kippour),1982,1986 (Guerres du Liban) 2008-9, 2012, 2014 ( Campagnes militaires à Gaza en réaction aux attaques contre Israël parle Hamas et autres Organisations terroristes palestiniennes, les "Chartes" de l'OLP et du Hamas proclamant la "libération de TOUTE la Palestine , les attaques de terroristes contre des civils Israéliens(qui se produisent presque chaque jour) et considérés par beaucoup de média Occidentaux comme des victimes et non des assassins en inversant les faits, ISRAËL EST ACCUSE' PAR CES MEDIA ET PAR PLUSIEURS
RESPONSABLES POLITIQUES OCCIDENTAUX ET DE PAYS MUSULMANS( où leurs populations subissent
les pires violences et les Droits de l'Homme sont constamment bafoués) D'ÊTRE LE RESPONSABLE
DE CETTE SITUATION ET DE NOMBREUSES AUTRES FAUSSES AFFIRMATIONS ET CALOMNIES ,DE SUBIR DES
PRESSIONS POLITIQUES ET DES SANCTIONS ECONOMIQUES DE LA PART DE RESPONSABLES DE L'UE ET DES
USA ET MALHEUREUSEMENT AUSSI DE CRITIQUES DE JUIFS DE LA GAUCHE ISRAELIENNE ET AUX USA EN PARTICULIER SANS OUBLER LES FANATIQUES DU NETUREI KARTA ET DES EXTREMISTES RASSISTES ANTI-
CHRETIENS ET ANTI-MUSULMANS QUI TERNISSENT L'IMAGE D'ISRAËL.
C'est beau l'histoire ! Et on fait quoi maintenant ?
RépondreSupprimerSe sortir de cette situation ubuesque demanderait un effort que personne ne veut faire. Et donc, on s'invective, on s'accuse de tous les maux, on essaye de faire durer pour que l'autre baisse ses demandes. Sans fin donc !
Personne ne veut la paix et la guerre continuera. La communauté internationale a aussi ses responsabilités.
Joseph
Joseph,
RépondreSupprimerC'est beau la morale à deux sous !
Faut-il qu'Israël accepte un ''droit de retour'' de millions d'étrangers pour mieux faire la paix...et disparaître ?
Accepter une "Palestine" ...judenrein ?
Donner le Mont du temple comme troisième lieu saint de l'Islam ...alors qu'il est saint que depuis 1967 ?
Au lieu de poser des questions "ingénues" pousser vos dirigeants à cesser d'appuyer la propagande antisémite musulmane. C'est comme cela que la paix adviendra et que des Joseph cesseront d'être des moutons de Panurge.
"Faut-il qu'Israël accepte un ''droit de retour'' de millions d'étrangers pour mieux faire la paix...et disparaître ?"
RépondreSupprimerVoilà un bel exemple ! N'avançons pas, c'est plus sûr....
Joseph
Joseph,
RépondreSupprimerEntre deux maux il faut choisir le moindre. Simple logique.
Le moindre serait de négocier ce non retour, et de laisser les territoires qui n'appartiennent pas à Israël.
RépondreSupprimerMais ça, c'est trop difficile.
Joseph
Joseph,
RépondreSupprimerDémontrez moi que vous autre chose qu'un lobotomisé.
Indiquez moi quelle(s) loi(s) oblige(nt) Israël à négocier ce "droit au retour" mais aussi à qui appartiennent les "territoires qui n'appartiennent pas à Israël".
Ne me sortez pas votre avis, lequel je m'en moque, mais les textes de lois et les preuves indiscutables de la propriété légale et/ou historiques.
J'en rigole d'avance.
Avez vous des lois, des textes, qui donnent la Cisjordanie à Israël ?
RépondreSupprimerJe ne parle pas bien sûr de textes religieux, qui n'ont aucune valeur. En plus, toutes les religions, ou sectes, viennent de la région.
Joseph
Joseph allias Martine,
RépondreSupprimerMerci de m'avoir confirmer votre impossibilité à me démontrer la propriété "palestinienne".
Ces territoires étant entre les mains d'Israël il n'y a donc aucune raison légale ou logique de les quitter.