La Ligue Internationale Contre
le Racisme et l’Antisémitisme (Licra) a obtenu un renouvellement de son partenariat avec le Ministère de l’Education nationale français pour trois ans.
Coopération incluant une formation des enseignants ainsi qu’une intervention
dans les écoles.
Au moment où cette association a édité il y a quelques mois un
livre dénommé « 100
mots pour se comprendre contre le racisme et l’antisémitisme »,
cette convention met un peu de baume au cœur des démocrates et laisse croire à
une réelle volonté politique de combattre, enfin, l’antisémitisme croissant.
C’était sans compter sur les
islamogauchistes tel Pascal Boniface, ceux de l’UJFP (L’Union Juive
Française pour la Paix), ou encore de l’AFPS (L’Association France
Palestine Solidarité) et leur haine tenace de l’Etat d’Israël !
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Ces antisionistes de mauvais renoms se font un souci d’encre au sujet de cette collaboration et de la promotion de l’ouvrage qui serait « un très mauvais coup porté à la laïcité, au ‘’vivre ensemble’’ et à la lutte contre le racisme dans notre pays ».
Rien de moins ! ‘’Analyse’’
effectuée après la lecture des réalités vérifiées et vérifiables rapportées par
la Licra et donc ramenant le narratif mensonger et antisémite dominant dans la
population à sa juste mesure. Pas bien haut !
A parcourir, par exemple, le
point de vue de Pascal Boniface sur cette alliance intitulé « La
Licra, son livre contre le racisme et l’antisémitisme : un prêche partial
pro-israélien » l’objectif de cette ‘’inquiétude’’ devient tout
de suite plus claire ! Le livre de la Licra étant une grosse pierre
dans leur jardin antisioniste, il leur faut démolir ce livre, voire pousser à
l’annulation de l’accord passé.
C’est ainsi que, d’entrée, le Directeur
de l’Iris assure que « La volonté de donner un visage positif
d’Israël est nette ».
Quelle horreur ! Israël et positif associés ?
Im pos sible !
La preuve : « Des
élèves qui auraient fait un peu d’histoire pourraient s’interroger sur qui
fut à l’origine de guerres en 1956, 1967 et 1982. ». Chacun devant
comprendre semble t-il, par ces trois dates énoncées, l’esprit belliqueux de ce
petit pays déclarant des guerres à qui ne lui plaît pas !
Mais ceux qui, effectivement, ont
étudié ces trois guerres ne peuvent que mépriser une telle interrogation !
A bien lire entre les lignes, chacun comprendra que le citoyen israélien aurait
dû accepter l’étranglement économique égyptien (1956), l’invasion du pays par quatre
armées voisines (1967) et renoncer à ce que les habitants du nord vivent en
paix et non plus sous les missiles libanais (1982) !
Dans l’option contraire, il est
automatiquement fauteur de guerre ! A n’en pas douter, Pascal Boniface
aime le Juif soumis ou mort ! Le Juif s’y refusant, il ne peut donc être
po si tif.
Autres citations de sa prose propagandiste :
« aucun mot sur l’occupation,
les check points, la répression ou la colonisation, pour ne pas parler du
blocus de Gaza ». Notons qu’il ne réclame pas non plus l’écriture dans
le livre des raisons légales et logiques ayant mené à cette situation.
Cette carence
dans l’objectif évident de rendre l’image du Juif toujours plus négative !
S’il mentionne que dans le livre
est écrit « Quant au racisme, s’il existe hélas autant en Israël que
dans d’autres pays, celui-ci tombe sous le coup de la Loi (p.94) » il
assure aussitôt que : « C’est oublier un peu rapidement les
multiples déclarations de l’extrême-droite israélienne ou les manifestations où
l'on crie "mort aux Arabes" ».
En quoi ces agissements, tombant effectivement
sous la loi israélienne, peignent tout un pays ? Les multiples
déclarations d’une certaine gauche et les manifestations où l’on crie « mort
aux Juifs » décrivent-elles la France en un pays
antisémite ? Bien sûr que non !
On continue :
« Mais rien sur les
attentats des extrémistes juifs pour faire partir les Britanniques avant la
création d’Israël ». Extrémistes pour extrémistes, les résistants à
l’Allemagne nazie des ‘’extrémistes’’ ? Les Algériens ayant fait déguerpir
les Français…des ‘’extrémistes’’ ? Assurément non ! Mais pour une
certaine gauche antisémite, les Juifs s’en étant pris pourtant exclusivement à
l’armée britannique ont été des « extrémistes » !
Gageons que leurs descendants le
sont et le resteront ad vitam aeternam encore à ses yeux !
Dans le paragraphe concernant ‘’les
énormes oublis’’ du livre, il s’indigne que le terme « réfugiés », musulmans cela va de soi, n’apparaît pas.
Qu’aurait-on
pu rajouter si ce n’est que la situation de ces personnes est due, tout simplement,
à la guerre déclenchée en 1948 par leurs frères pour éradiquer l’idée même d’un
état pour le peuple juif ?
En ce qui concerne, en revanche, les réfugiés
juifs de cette même guerre, le rappel et l’ajout du nettoyage ethnique effectué
par l’armée jordanienne à la mode hitlérienne en Judée et en Samarie ne sont cependant pas réclamés
par Pascal Boniface.
Après s’en être pris à la
positivité du livre à l’égard de l’Etat d’Israël, Pascal Boniface
s’interroge quant à savoir si l’un des rédacteurs, Robert Redeker,
« est réellement bien placé pour participer à un outil pédagogique de
lutte contre le racisme » lui qui a écrit, dans Le Figaro du 19
septembre 2006 : « "Le Coran est un livre d’inouïe violence"
; l'islam est "une religion qui, dans son texte sacré même, autant que
dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine" ; Mahomet est
"un chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et
polygame" » ?
On cherche encore ce qui est faux
dans cette prose !? Ce procureur systématiquement antisioniste ne le dira
point faute, bien sûr, de preuves contraires ! Mais cependant, n’étant pas
à une contradiction prés, il assurera dans le même paragraphe que « Les
menaces reçues par Redeker sont inadmissibles. Chacun doit exprimer sa
solidarité pour dénoncer de telles menaces »… qui viennent, ne l’oublions
pas, d’adeptes de cette religion.
D’oubli en oubli, il ne se
privera pas de conclure son point de vue médiocre en assurant que : « Ses
auteurs ont manifestement choisi de privilégier la défense d’Israël à la lutte
contre le racisme et l’antisémitisme. C’est leur libre-choix. Que
l’Éducation nationale le cautionne officiellement est beaucoup plus discutable,
et risque plus de faire monter les tensions que de susciter de l’apaisement ».
C’est pourtant avec de tel ‘’expert’’que la France sombrera, de plus en plus, dans l’antisémitisme.
Le texte de l’UJPF et la lettre
de l’AFPS à la Ministre de l’éducation sont de la même eau nauséeuse. Une eau qui, à
la mode de Roland Dumas, traque la moindre « influence juive »
qui participerait au combat contre l’antisémitisme et à la réhabilitation de l’Etat
d’Israël.
Dans les textes de ces deux
associations antisémites est rappelé que l’accès au livre de la Licra
sur le Portail national des professionnels de l’éducation (eduscol) a été
supprimé.
Un point pour eux et une démonstration de plus que l’antisémitisme a encore
un bel espoir de croissance dans ce que fut la patrie des droits de l’homme.
Quoi qu'on fasse et dise, cette République française est atteinte d'une gangrène septicémique d'un antisémitisme latent cultivé par les islamogauchistes, falsificateurs historiques du Proche-Orient.
RépondreSupprimerOn aime bien dans les officines islamogauchistes sanctifier la " prêche pro-squatters arabes " d'Abou Ammar tout en aliénant celle pro-sioniste.
On aura beau leur démontrer que c'est défensivement qu'Israël a toujours contré les tentatives d'éradication territoriales sionistes de la part d'arabes revendicateurs d'un territoire pour un peuple inventé.
Tout sera peine perdue si ces informations historiques ne parviennent pas à ceux qui sont en âge du questionnement et jugement en recherche de vérité, c'est à dire dans les établissements d'enseignement.
Tout en espérant que le professorat ne soit pas déjà atteint de cette gangrène septicémique islamogauchiste.
En quoi Boniface est-il un « Expert » ? Je vous avoue être un tant soit peu circonspect sur l’emploi de ce vocable pour le désigner. Qu’est-ce qu’un « Expert » ? Est-ce une personne qui « réfléchit » ou fait fonctionner son intelligence pour analyser une situation, de manière objective, impartiale, et honnête, ou bien est-ce une personne qui, devant une situation donnée, met en œuvre ses propres filtres idéologiques dans le but de faire coller une réalité à sa pensée ? Dans le cas de Boniface, il me semble qu’on est plus dans la deuxième définition que dans la première. Pour cette personne, la réalité, les faits, tout ce qui est tangible et démontrable n’a pas valeur. Seul compte ce qui peut alimenter son moulin "antisioniste", au mépris de toute vérité, quitte à occulter, déformer ou même inventer des événements pour les faire aller dans le sens de sa vision pervertie par la plus infâme des médecines: l’idéologie. Et comme il se pose en « Expert », personne ne conteste son roman. Avant la Shoah, il y a eu également beaucoup « d’experts » pour monter les peuples contre les Juifs…le poids des mots. On connait la suite…
RépondreSupprimerNon, décidément, j’ai beaucoup de mal à supporter ce Boniface, qui sévit depuis bien longtemps (trop) dans le microcosme des idéologues qui ont fait de l’anti « sionisme » leur fonds de commerce et leur métier. Comme je l’avais déjà écrit une fois, ça paye, et bien, en plus ! Qui connaîtrait Boniface si ses positions étaient un peu moins pathologiquement « antisionistes » ? Quel journal ou quelle TV en ferait son consultant « Expert » sur les questions du PO ? Il est un des principaux vecteurs de cette pensée nauséabonde, reprise en chœur par tous les médias, qui tend à faire de chaque citoyen israélien (Juif bien sûr, les autres ne comptent pas ou sont des victimes de « l’apartheid israélien » qui n’existe que dans son pauvre cerveau malade), voir, par extension de chaque Juif ne désirant pas la mort d’Israël, un émule d’Hitler, et bien entendu, coupable par essence de tous les malheurs du monde. Sous couvert, évidemment, de la « légitime critique de la politique fasciste et colonialiste du gouvernement », et ce, quel que soit le dit gouvernement ou ses initiatives. Et pour se faire, il utilise sa soi-disant « pertinence » d’analyse, se retranchant derrière son statut « d’Expert » sur les questions géopolitiques. Mais n’importe quel personne un tant soit peu honnête, et qui cherche vraiment à comprendre la situation a infiniment plus de connaissances sur ce conflit, et en a une vision plus juste, et certainement plus honnête que cet individu. Alors, utiliser ses « capacités » intellectuelles pour ânonner sans cesse les mêmes conneries, ou pire, se conduire sciemment comme un imposteur dont le but n’est pas une analyse objective des faits, mais une infâme bouillie rédigée sous l’emprise de la drogue dure idéologique, n’est pas à mes yeux une preuve « d’intelligence ». Boniface est un imposteur, un faussaire, quelqu’un qui a certainement de sa personne et de ses « idées » une très haute opinion qu’il ose présenter comme « vérité » absolue et non contestable. Mais dans le fond, il n’est rien d’autre qu’un individu qui a trouvé dans cette voie une manière d’assurer grassement ses fins de mois sans trop user ses neurones. Et puis les "clients" de son "institut" ne payent certainement pas pour avoir des analyses objectives... Si n’importe quel « expert » se permettait de reprendre ses articles en y remplaçant le terme « palestinien » par « israélien » et réciproquement, ce même Boniface et toutes les hordes anti « sionistes » hurleraient au racisme, et avec raison, vu la teneur de ces « analyses ». Essayez, je l’ai déjà fait plusieurs fois, un traitement de textes et « replace all », vous verrez le résultat, c’est édifiant et…monstrueux de bêtise et de racisme. Mais qui se souviendra de Boniface ? Sa carcasse sera depuis longtemps digérée par les vers qu’Israël continuera à exister… pauvre de lui, je comprends son ressentiment !
Eric
Eric,
SupprimerMerci pour cette analyse que je partage entièrement.
A titre indicatif j'ai mis le terme expert entre guillemets.