samedi 21 février 2015
La Licra attaquée par Pascal Boniface et ses pairs
La Ligue Internationale Contre
le Racisme et l’Antisémitisme (Licra) a obtenu un renouvellement de son partenariat avec le Ministère de l’Education nationale français pour trois ans.
Coopération incluant une formation des enseignants ainsi qu’une intervention
dans les écoles.
Au moment où cette association a édité il y a quelques mois un
livre dénommé « 100
mots pour se comprendre contre le racisme et l’antisémitisme »,
cette convention met un peu de baume au cœur des démocrates et laisse croire à
une réelle volonté politique de combattre, enfin, l’antisémitisme croissant.
C’était sans compter sur les
islamogauchistes tel Pascal Boniface, ceux de l’UJFP (L’Union Juive
Française pour la Paix), ou encore de l’AFPS (L’Association France
Palestine Solidarité) et leur haine tenace de l’Etat d’Israël !
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Ces antisionistes de mauvais renoms se font un souci d’encre au sujet de cette collaboration et de la promotion de l’ouvrage qui serait « un très mauvais coup porté à la laïcité, au ‘’vivre ensemble’’ et à la lutte contre le racisme dans notre pays ».
Rien de moins ! ‘’Analyse’’
effectuée après la lecture des réalités vérifiées et vérifiables rapportées par
la Licra et donc ramenant le narratif mensonger et antisémite dominant dans la
population à sa juste mesure. Pas bien haut !
A parcourir, par exemple, le
point de vue de Pascal Boniface sur cette alliance intitulé « La
Licra, son livre contre le racisme et l’antisémitisme : un prêche partial
pro-israélien » l’objectif de cette ‘’inquiétude’’ devient tout
de suite plus claire ! Le livre de la Licra étant une grosse pierre
dans leur jardin antisioniste, il leur faut démolir ce livre, voire pousser à
l’annulation de l’accord passé.
C’est ainsi que, d’entrée, le Directeur
de l’Iris assure que « La volonté de donner un visage positif
d’Israël est nette ».
Quelle horreur ! Israël et positif associés ?
Im pos sible !
La preuve : « Des
élèves qui auraient fait un peu d’histoire pourraient s’interroger sur qui
fut à l’origine de guerres en 1956, 1967 et 1982. ». Chacun devant
comprendre semble t-il, par ces trois dates énoncées, l’esprit belliqueux de ce
petit pays déclarant des guerres à qui ne lui plaît pas !
Mais ceux qui, effectivement, ont
étudié ces trois guerres ne peuvent que mépriser une telle interrogation !
A bien lire entre les lignes, chacun comprendra que le citoyen israélien aurait
dû accepter l’étranglement économique égyptien (1956), l’invasion du pays par quatre
armées voisines (1967) et renoncer à ce que les habitants du nord vivent en
paix et non plus sous les missiles libanais (1982) !
Dans l’option contraire, il est
automatiquement fauteur de guerre ! A n’en pas douter, Pascal Boniface
aime le Juif soumis ou mort ! Le Juif s’y refusant, il ne peut donc être
po si tif.
Autres citations de sa prose propagandiste :
« aucun mot sur l’occupation,
les check points, la répression ou la colonisation, pour ne pas parler du
blocus de Gaza ». Notons qu’il ne réclame pas non plus l’écriture dans
le livre des raisons légales et logiques ayant mené à cette situation.
Cette carence
dans l’objectif évident de rendre l’image du Juif toujours plus négative !
S’il mentionne que dans le livre
est écrit « Quant au racisme, s’il existe hélas autant en Israël que
dans d’autres pays, celui-ci tombe sous le coup de la Loi (p.94) » il
assure aussitôt que : « C’est oublier un peu rapidement les
multiples déclarations de l’extrême-droite israélienne ou les manifestations où
l'on crie "mort aux Arabes" ».
En quoi ces agissements, tombant effectivement
sous la loi israélienne, peignent tout un pays ? Les multiples
déclarations d’une certaine gauche et les manifestations où l’on crie « mort
aux Juifs » décrivent-elles la France en un pays
antisémite ? Bien sûr que non !
On continue :
« Mais rien sur les
attentats des extrémistes juifs pour faire partir les Britanniques avant la
création d’Israël ». Extrémistes pour extrémistes, les résistants à
l’Allemagne nazie des ‘’extrémistes’’ ? Les Algériens ayant fait déguerpir
les Français…des ‘’extrémistes’’ ? Assurément non ! Mais pour une
certaine gauche antisémite, les Juifs s’en étant pris pourtant exclusivement à
l’armée britannique ont été des « extrémistes » !
Gageons que leurs descendants le
sont et le resteront ad vitam aeternam encore à ses yeux !
Dans le paragraphe concernant ‘’les
énormes oublis’’ du livre, il s’indigne que le terme « réfugiés », musulmans cela va de soi, n’apparaît pas.
Qu’aurait-on
pu rajouter si ce n’est que la situation de ces personnes est due, tout simplement,
à la guerre déclenchée en 1948 par leurs frères pour éradiquer l’idée même d’un
état pour le peuple juif ?
En ce qui concerne, en revanche, les réfugiés
juifs de cette même guerre, le rappel et l’ajout du nettoyage ethnique effectué
par l’armée jordanienne à la mode hitlérienne en Judée et en Samarie ne sont cependant pas réclamés
par Pascal Boniface.
Après s’en être pris à la
positivité du livre à l’égard de l’Etat d’Israël, Pascal Boniface
s’interroge quant à savoir si l’un des rédacteurs, Robert Redeker,
« est réellement bien placé pour participer à un outil pédagogique de
lutte contre le racisme » lui qui a écrit, dans Le Figaro du 19
septembre 2006 : « "Le Coran est un livre d’inouïe violence"
; l'islam est "une religion qui, dans son texte sacré même, autant que
dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine" ; Mahomet est
"un chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et
polygame" » ?
On cherche encore ce qui est faux
dans cette prose !? Ce procureur systématiquement antisioniste ne le dira
point faute, bien sûr, de preuves contraires ! Mais cependant, n’étant pas
à une contradiction prés, il assurera dans le même paragraphe que « Les
menaces reçues par Redeker sont inadmissibles. Chacun doit exprimer sa
solidarité pour dénoncer de telles menaces »… qui viennent, ne l’oublions
pas, d’adeptes de cette religion.
mardi 17 février 2015
Benjamin Netanyahou, nœud gordien pour l’Europe
Depuis près d’une quinzaine d’années
les Juifs européens peuvent très difficilement affirmer qu’ils sont encore des
citoyens à part entière. Leurs inquiétudes allant de la négation absolue d’un antisémitisme
d’origine musulmane, par les autorités publiques les médias ou encore les ongs,
jusqu’aux meurtres d’individus pour la simple raison de leur judaïté, ceux-ci s’interrogent
dorénavant quant à un départ définitif de ce continent.
Il est vrai que vivre
la peur au ventre de prendre la direction de Jérusalem allongé entre
quatre planches n’a rien pour enchanter ! Tant qu’à faire, plutôt partir
vers l’Etat d’Israël debout, en famille, joie et projets d’avenir pleins
le cœur !
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C’est certainement le choix qu’auraient
fait Yoav Hattab, Yohan Cohen, Philippe Braham et François-Michel
Saada (z’’l) s’ils avaient eu cette option en janvier dernier lorsqu’ils se trouvaient dans la supérette
Hyper Cacher de la porte de Vincennes à Paris.
Pour compenser la carence à assurer la protection due à chaque citoyen et surtout étouffer leur complicité indirecte
dans l’accroissement de la nouvelle judéopathie musulmane à travers l’Europe,
les autorités publiques françaises ont organisé une marche nationale le onze
janvier à laquelle étaient conviés tous les dirigeants des pays démocrates,
voire pas tel le Qatar, l’Algérie et les Emirats arabes unis.
Un seul a été prié de ne pas s’y rendre, Benjamin Netanyahou, Premier
ministre de l’Etat d’Israël, pays renaissant de ses cendres en 1948 dans l’objectif
d’être le refuge du peuple juif.
Devant l’entêtement de celui-ci à
marcher, entre autres, en mémoire de ces quatre Juifs, le Président français a
cru devoir inviter Mahmoud Abbas, président à vie de l’Autorité
palestinienne, entité qui célèbre l’assassinat d’israéliens en indemnisant les
familles de ceux qui se font attraper ou en nommant des rues, squares et stades
au nom des terroristes.
Mahmoud Abbas souriant lors de la manifestation du 11/01/2015
Comment imaginer alors que François
Hollande, fort de ces ‘’menus’’ détails, ne puisse pas spéculer qu’un mois
plus tard la Synagogue de Copenhague soit prise pour cible par Omar Hamid
El-Hussein, un musulman d’origine…‘’palestinienne’’ ?
dimanche 15 février 2015
Edwy Plenel, régisseur autoproclamé de la ‘’conscience’’ publique
Le fondateur du site d’extrême
gauche Médiapart a été l’invité de l’émission C à vous de France 5 pour parler de Soumission
le nouveau livre de Michel Houellebecq.
A voir la mine déconfite et la
rage d’Edwy Plenel chacun comprendra qu’apercevoir l’auteur de ce livre à
grand succès dans les médias, notamment publics, n’est pas pour lui plaire. Michel
Houellebecq étant, selon ses dires, un ‘’raciste antimusulman’’ les médias
devraient lui être interdits.
Le jour malheureux où l’extrême
gauche sera au pouvoir c’est un aller simple au camp de rééducation qu’il
recevra !
Il en sera de même pour les
journalistes qui « sans aucune conscience » laissent dire, tel
un ‘’vulgaire’’ Alain Finkielkraut, que « l’Islam est un
problème de civilisation ».
Une opinion « islamophobe » dixit ce ‘’directeur
de conscience’’ qui refuse que l’on traite du manque d’intégration de l’Islam
à la civilisation occidentale.
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« Je suis journaliste (…)
la définition de notre métier c’est de s’occuper d’information d’intérêt public
qui sont des faits sur le présent pour faire comprendre le présent »
assure t-il !
Gageons que si le sujet du livre
était…au hasard…Israël…il aurait eu la ‘’conscience’’ de laisser de côté les
faits pour poursuivre la désinformation qui caractérise si bien le média en ligne
qu’il dirige. Ceci aux fins d’installer un peu plus, dans l’esprit du téléspectateur,
son ‘’œuvre’’ antisioniste si mortelle pour tant de citoyens de confession
juive.
Ce n’est donc pas pour rien que Michel
Houellebecq, très averti sur le conflit israélo-arabe, assure que « des
gens comme Besancenot ou Plenel, enfin ceux qui ont développé cette
construction aberrante qu’est l’islamogauchisme » ont « désigné
Israël comme ennemi ».
Le ‘’comique’’ de la situation se
trouve cependant ailleurs. Dans la citation qu’il fait, dans l’émission, de « l’article
dix-huit de la déclaration universelle des droits de l’homme qui nous fonde nous
journalistes car nous sommes au service de la démocratie : Toute
personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, ce droit
implique la liberté de changer de religion (…) »
On aurait tant aimé que la
liberté de changer de religion ou d’apostasier l’Islam, jusqu’à ce jour
puni de mort dans les pays musulmans, soit, au moins, agréée par l’Islam de
France. Edwy Plenel n’en fera pas même un tout petit cheval de
bataille au nom de cette ‘’démocratie’’ qu’il dit défendre !
vendredi 13 février 2015
Eyal Arad : "Tuer Bibi"
Eyal Arad est un israélien qui, à l'écouter, ne cherche que le bien
de l'Etat d'Israël. Pour ce faire, il organise une campagne publique anti-Bibi
qui, à ses yeux, est « mauvais pour Israël ».
Le seul hic est que son ''soutien'' à
ce pays n’est rien d’autre qu’une affaire personnelle. Une haine qui remonte à
la fin des années 80.
La vidéo ci-dessous est un
reportage effectué par Aroutz 10.
Quelques phrases si gentiment prononcées
par Eyal Arad :
« Je veux le descendre totalement »
« Venez qu’on le tue »
« Cela devient maintenant le sport national. On hait
Bibi ».
mercredi 11 février 2015
Le ‘’pro-israélisme’’ de Charles Enderlin et de J Street contre Netanyahou
Nul n’ignore plus les idées politiques
de Charles Enderlin censé, selon la déontologie de la profession, informer
objectivement les téléspectateurs de France 2 sur le conflit
israélo-arabe. Un penchant net à gauche, évidemment camouflé au plus grand
nombre. Une sympathie pro-‘’palestinienne’’ qui pousse de plus en plus d’individus
vers le rejet de l’Etat d’Israël et de ses soutiens juifs.
De fait, un ‘’journaliste’’
israélien, vivant en ce pays et qui se refuse à comprendre le bon sens menant
ses concitoyens.
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Dans un texte au titre désabusé « Les
Israéliens veulent Netanyahou » il reprend à son compte, entre autres fadaises, ce qu’a écrit il y a peu Rogel
Alpher dans Haaretz, auteur par ailleurs d’une chronique symptomatique
de cette gauche fétide assurant qu’« Israël est ma maison,
mais je ne peux plus vivre ici ».
Tout un programme !
« Une majorité
d’israéliens, écrit Alpher, glorifie son armée, vénère la mémoire de
l’Holocauste, soutient la poursuite de la colonisation, s’oppose – pour une
raison ou une autre - à un accord avec les Palestiniens, et favorise le
renforcement de l’identité nationale religieuse de l’état ».
Quelle est donc cette raison non
explicitée mais si gênante pour l’idéologie qui mène ces deux ‘’journalistes’’
engagés ? Simplement l’exigence d’une totale capitulation israélienne !
A savoir, un retour aux « frontières
de 1967, Jérusalem capitale de la Palestine, et une juste solution pour les descendants
des réfugiés au sein de l’état du peuple juif ». Sans oublier le
nettoyage ethnique des Juifs « colons » de la Judée et
de la Samarie et la prise de risque sécuritaire suite au retrait de Tsahal
des frontières avec la Jordanie.
De quoi sérieusement inquiéter
les Israéliens désireux, quant à eux, de poursuivre leur vie en tant que Juifs
dans le pays de leurs ancêtres et installer la droite aux commandes pour
longtemps ! Constat épouvantant sérieusement les tenants de cette gauche
capitularde et désireuse du pouvoir.
Une gauche dans laquelle se
trouve pareillement J Street, association américaine se présentant comme
‘’pro-israélienne’’.
Là encore, tout un programme !
Cette Ong a lancé une pétition « Je suis un Juif. Bibi ne parle
pas pour moi » visant à
sensibiliser l'opposition au discours du Premier ministre Benjamin Netanyahu
au Congrès le 3 mars prochain. Une protestation faite en raison que le Premier
ministre israélien n’a « aucun mandat pour parler au nom
des Juifs des États-Unis ».
Elle aurait réuni, à ce jour,
vingt mille signatures.
Ce qui est très peu pour prétendre
pétitionner au nom des cinq millions de Juifs américains ! Mais aussi de
tous les autres Juifs des autres diasporas soucieux de l’avenir de l’Etat
d’Israël, conscients de l’animosité de Barak Obama et de la
dangerosité de l’accord prévu avec l’Iran sur ses centrales nucléaires.
Tout cela serait bien risible si Jeremy
Ben-Ami, Président de cette association, n’avait écrit il y a peu une lettre destinée aux membres du Congrès us. Une missive réclamant « pour le
bien de la relation israélo-américaine que le Premier ministre Netanyahu
reporte son prochain discours au Congrès après les élections israéliennes ».
A lire cette missive, la seule
objection à la visite « est la possibilité que le discours sera utilisé
pour faire avancer la campagne de Netanyahu. Comme le clip vidéo ci-joint le
montre clairement, c’est exactement ce qui est arrivé à la dernière élection
israélienne il ya deux ans lorsque le Likoud de Netanyahu a utilisé son
discours au Congrès 2012 comme base pour une campagne publicitaire ».
mardi 10 février 2015
Dame censure loge chez Times of Israël
La
naissance d'un nouveau média est toujours un espoir pour ceux qui veulent
transmettre ou expliquer leurs idées. Quand Times Of Israël,
version française, sollicita certains d'entre nous et en accepta d'autres, il ne
fit pas exception à la règle.
La
mise à disposition d'une plateforme de blogging, par définition la forme la
plus libre d'expression, par ce média, nous fit croire qu'il serait possible de
communiquer et de diffuser par ce canal nos idées au plus grand nombre.
Toute
la panoplie des nobles sentiments de circonstances constitua un florilège de
principes qui se voulaient immuables mais qui, très rapidement,
s'avérèrent foulés du pied.
Ainsi,
l'indispensable équité dans la mise en avant du panel des bloggeurs fut dès le
départ un vœu plein de piété tant furent systématiquement mis en avant les
auteurs et articles répondant à l'idéologie du diffuseur. Mais alors pourquoi
se prévaloir d'une diversité d'opinion si ce n'est pas pour aller au bout de
cette démarche ?
Que
penser de l'évolution de la plateforme quand, au début, la représentativité de
toutes les idées fut plus ou moins respectée et que très vite on vit
s'installer un "éditorialement correct" pétri de morale enfantine et
de poncifs immatures, flattant l'égo souvent déplacé des matons du site ?
Ce
qui est le comble pour un bloggeur dont la raison d'être est d'être impertinent
!
Le
pire se produisit quand la censure, la vraie, s'installa par le biais d'une
validation des textes. Cette validation pouvant s'accompagner d'une censure
réelle de propos entiers dénaturant la réflexion de l'auteur. Allant parfois
jusqu’au refus de publication sur simple allégation d’un amalgame entre
« Islam » et « terrorisme », voire sans qu'aucune vulgarité
ou diffamation ne le justifie, mais juste par le fait du prince ou de la
princesse.
Or
il est bon de rappeler qu'un bloggeur n'est pas un journaliste, que la démarche
d'un média mettant a disposition une plate forme de blogging a un objet
mercantile, la création de trafic internet, et que la contrepartie pour ce
média de cette source de revenu est la plus totale liberté laissée a ceux qui
ne demandent pas de contrepartie financière.
En
censurant nos propos et en nous soumettant à une
ligne éditoriale qui n'est pas la nôtre, le Times Of Israel a
rompu le pacte nécessaire qui dicte les règles du blogging, et a établi un lien
pervers où les bloggeurs ne sont
plus tout a fait bloggeur et pas du tout journalistes.
Or
si nous sommes bloggeurs nous devons jouir de la plus parfaite liberté
d'écriture, au moins dans le fonds du sujet, et nous jouerons notre rôle avec
notre enthousiasme et nos idées, si nous devons être soumis à une censure ou à
une ligne éditoriale alors nous devenons des journalistes qui doivent être
rémunérés pour leur travail !
C'est
pour avoir oublié cela que le Times Of Israel transforme une
idée de liberté en pensée unique, où le politiquement correct autoproclamé sert
de morale universelle au service d'une idéologie.
S'il
est des notions que l'on peut galvauder à loisir ou tordre par intérêt, la
liberté de pensée d'un auteur n'est pas négociable et nous ne négocierons pas.
Allez au bout de votre démarche et assumez-en
les vraies raisons. Ne prétendez pas défendre ce que vous n'êtes manifestement
plus. Avouez-vous au service d'une idéologie et sélectionnez alors vos
bloggeurs en conséquence au lieu de vous draper dans une illusion de
pluralisme que vous ne respectez pas.
Nous
attendons, en conséquence, l’expulsion de votre plateforme des bloggeurs libres
et impertinents qui ne vous ont pas encore quitté afin de mieux illustrer notre
propos.
Nous
appelons aussi tous les bloggeurs de Times of Israel à prendre
conscience de ce qui est en train de se jouer et de prendre leurs
responsabilités.
Sacha
KRIVITZKY, Jean-Pierre LLEDO, Lucien
OULAHBIB, Serge SALFATI, Victor PEREZ
dimanche 8 février 2015
L’antisémitisme avéré de l’islamogauchisme
La gauche, au sens large du terme, n’a
plus à prouver son penchant envers l’Islam. Une sympathie que chacun trouve
aisément dans quasiment chaque média, Ong et/ou politique. Pour une partie grandissante
de cet islamogauchisme, sa générosité envers l’antisémitisme n’est plus, non
plus, à démontrer.
Pour le moins, pour ceux qui savent lire entre les lignes.
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Il est vrai que cette haine est
encore juridiquement punissable et mal vue par l’opinion. Quelques faux-semblants
sont donc, pour le moment, encore nécessaires jusqu’à ce qu’elle se
répande à en devenir naturelle !
Dans une tribune diffusée par le
journal à la collaboration exemplaire Libération, et intitulée « France
Télévisions - Sodastream : un partenariat qui doit cesser », les signataires écrivent
entre autres choses : « Sodastream (…) projette de transférer
cette usine en 2015 dans le Néguev, sur des terres volées aux Bédouins de
cette région, qui y vivent depuis le VII siècle ».
Sous le sous-titre « LES
BÉDOUINS MENACÉS », ils assurent encore que « Quotidiennement
attaqués, expulsés de leurs terres ancestrales et victimes de nombreuses
discriminations, ces derniers sont de plus en plus menacés par la politique
israélienne de judaïsation du Néguev, qui impose leur transfert et leur
sédentarisation forcés. Le village d’Al Araqib dans le Néguev, détruit 80 fois
par l’armée israélienne, illustre tristement cette politique dirigée contre les
Palestiniens du Néguev.»
Rien de moins ! Des
accusations devant contester toute propriété juive et rejeter le droit régalien
de l’Etat du peuple juif souverain d’aménager son territoire selon ses besoins.
« Terres volées aux Bédouins » ?
Dérobées à l’individu ou au groupe en tant qu’ethnie ?
Ces nomades par
excellence n’ayant aucun titre de propriété personnel à faire valoir, ce serait
donc uniquement à la tribu bédouine, éparpillée au-delà même des frontières de l’Etat
d’Israël, qu’il faudrait, pour que la ‘’justice’’ islamogauchiste soit
rendue, réattribuer le Neguev !
Chacun imagine donc facilement que,
dès lors la ‘’Paix’’ advenue, ce nouveau grief servira l’antisémitisme perdurant.
La dénonciation de ‘’l’abus d’une Judaïsation de cette région’’, se situant pourtant
au sein des frontières admises de l’Etat d’Israël, finement évoquée ici
confirmant la condamnation de cette possession israélienne !
Ceux qui pousseront la curiosité
à lire ou à relire la résolution 181 créant un état avec toutes ses prérogatives
et de surcroît juif comprendront aisément la haine de l’Etat d’Israël
que porte cet appel à France Télévisions.
Mais celle-ci va beaucoup plus
loin !
Elle est dans la question que
tous les signataires de cette tribune, ainsi que leur sympathisants, ne se
poseront jamais : A savoir, quelle et où se trouve la terre du peuple juif ?
Une interrogation qui indiffère totalement
les auteurs de cet appel à France Télévisions.
jeudi 5 février 2015
L’alliance entre la gauche et l’Islam, une triste réalité !
Si l’on cherche des affinités et
des accointances entre une certaine gauche et l’Islam on en trouvera
aisément dans l’interview qu’a donnée le journaliste Dominique Vidal à OummaTv. L’idéologie
trouvant toutes les excuses à cette foi et à ses adeptes fleurie dans toute sa
splendeur dans les réponses de celui qui se dit « ne pas être Charlie ».
Malgré les circonvolutions de ses explications chacun comprendra que pour ce
propagandiste la liberté d’expression a des limites et que chacun se doit à une
« éthique de responsabilité ».
Dès lors que celle-ci touche à l’Islam
bien sûr ! D’ailleurs, on cherchera en vain cette
moralité dès lors que les propos aborderont dans le même entretien, par
exemple, l’Etat d’Israël et ses institutions !
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Pour le journaliste du Monde
Diplomatique il n’y aurait en France que « quelques dizaines
de jeunes dits djihadistes ».
Chacun est, bien sûr, censé lui donner
crédit de ces affirmations, sa profession l’obligeant à une déontologie. Comme
vérifier ses sources et ne pas prendre parti.
Des impératifs qui ont fait long
feu !
Sur BFMTV le trois février dernier le juge antiterroriste Marc Trévidic a assuré
qu’il y a « des opérations antiterroristes toutes les semaines
ces derniers temps », mais « nous n'avons pas assez
d'enquêteurs ». « On a repéré tellement de djihadistes qu’on
n’a pas assez d’officiers de police judiciaire pour les arrêter ! »
L’un des deux est donc un menteur.
Chacun jugera !
A la question « la
radicalisation des jeunes djihadistes est-elle attisée par les interventions étrangères
au Proche-Orient. » Dominique Vidal soutient que « c’est
exact » mais il faut y rajouter deux autres facteurs : ‘’le poids
et la profondeur du bilan du colonialisme ainsi que l’apartheid social en France’’.
Des facteurs qui interrogent quant
à son honnêteté intellectuelle !
Chacun s’étonnera en conséquence que
l’Algérie soit, près de cinquante-trois années après son indépendance, toujours
l’exemple par excellence de la démonstration de l’échec d’un ‘’colonialisme’’ occidental
passé, cela malgré la richesse pétrolifère de ses terres.
D’autres pays, auparavant
sous domination étrangère et sans richesse dans le sol, auraient pu être cités,
démontrant de la sorte le peu d’intérêt à accorder à cette excuse. L’Etat d’Israël
en est un ! Sa pleine réussite en est le parfait contre-exemple. Modèle
qui confirme que la radicalisation de certains musulmans est due par une
certaine lecture du Coran et de ses coutumes et non pas par la faute, encore et
toujours, de l’occident.
‘’L’apartheid social’ a aussi son
côté comique. Tout quidam se questionnera quant aux raisons qui ont vu toutes
les autres communautés vivant en France, sans exception, ne pas se
radicaliser à l’instar des musulmans ? Facteur qui n’a donc d’autre
objectif que l’excuse et qui permettra évidemment d’autre méfaits, aussitôt ‘’justifiés’’
là encore par cette doctrine fétide !
Le troisième élément déclencheur
de la radicalisation serait les interventions militaires des occidentaux dans
le monde musulman, lorsque ce ne sont pas ses absences.
Une communauté
musulmane française qui regarde « Les deux cents mille morts en Syrie
sans que la communauté internationale ne bouge le petit doigt », qui
subit « les horreurs de Daesh (…) » et qui voit « en
Palestine à Gaza cet été l’armée israélienne commettre des crimes de guerre et
des crimes contre l’humanité extrêmement graves ».
Si l’on comprend que le peuple
juif, au vu de son petit nombre, ne se soit pas radicalisé après les meurtres
de Juifs parce que Juifs, l’on saisit mal le calme de l’immense monde chrétien
au vu des milliers de meurtres, de viols, de pillages et d’expulsions de ses
membres par les tenants d’un Islam barbare ?
Que pourrait expliquer cette
différence d’attitudes si ce n’est, là encore, une certaine lecture de l’Islam
permettant cette radicalisation ?
mardi 3 février 2015
Sophie Aram et l’Islam
Sophie Aram est une comédienne.
Il suffit, pour s’en persuader, de la voir vivre ses chroniques. Mimiques, sourires,
froncement des sourcils appuient le sujet du jour choisi. Dans l’émission ‘’Spécial Islam’’ du Petit
Journal de Canal + elle a souhaité répondre à Philippe Tesson
qui a affirmé sur Europe 1 que les terroristes « sont musulmans »
car se revendiquant de l’Islam.
Ce qui lui a, aussitôt, valu la
suppression de sa chronique hebdomadaire dans Le Point et désagrément qui n’arrivera pas à Sophie
Aram sur France Inter car totalement respectueuse du politiquement
correct !
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Un alignement qui l’oblige à énoncer
dès le début de son texte que ‘’ces musulmans’’ sont pour elle « certaines
personnes se revendiquant de l’Islam ».
Sauf à être stupide, n’est-ce pas
déjà faire ainsi l’amalgame entre cette religion et les terroristes ? N’est-ce
pas, de la sorte, valider le fait que cette confession autorise une lecture assassine ?
Philippe Tesson a-t-il dit autre chose ?
Qui d’autre que les ‘’alignés’’
a compris qu’il parlait alors de TOUS les musulmans ?
A trop vouloir innocenter LES
musulmans, ce politiquement correct interdit toute correction préventive et
installe les musulmans ‘’modérés’’ dans une position très inconfortable.
Une situation qui, intellectuellement,
juxtapose à chaque fois les terroristes se revendiquant de cette religion de ‘’paix,
d’amour et de tolérance’’ aux chrétiens « qui mènent des actions violentes
contre le droit à l’avortement » et aux Juifs « ayant craché
sur une fillette de huit ans au prétexte que sa jupe n’était pas assez longue ».
Des actions et des crachats qui n’ont
à ce jour coûté aucune vie, bien au contraire de ceux qui, selon Sophie
Aram également, se revendiquent de l’Islam !
Un énième abus de langage que la
chroniqueuse assume et qui l’autorise à garantir au public qui l’écoute béatement
que ces derniers ne représentent qu’une « minorité d’activistes
violents ».
Une minorité qu’elle n’ose, évidemment,
chiffrer mais que chaque quidam, un tantinet matheux, évaluera à quelques
millions d’individus ayant une certaine lecture de cette religion.
Ce qui fait
beaucoup !
Une quantité qui ne doit pas, sauf
à prendre le risque d’être catalogué comme « raciste » et
poursuivi au tribunal du politiquement correct, permettre au simple quidam inquiet
d’exiger que les dérives de l’Islam et de ses adeptes ‘’s’en
revendiquant’’ soient condamnées et rejetées par la majorité musulmane ‘’modérée’’ !
Le meilleur de sa chronique fut
atteint lorsqu’elle pensa très fort à tous les croyants, musulmans notamment, pour
qui « la religion est un choix qui n’engage qu’eux-mêmes, un choix
intime, (…des croyants) qui respectent le droit de croire ou non, de pratiquer
ou non, le droit de chacun d’aimer qui il veut, voire de l’épouser et ce
indépendamment de sa préférence sexuelle ».
Exit donc les condamnations de l’apostasie,
du mariage libre, ou encore de la liberté sexuelle que prévoit la sharia !