Comme chaque année depuis la
renaissance de l’état du peuple juif le 15 mai 1948, les ‘’Palestiniens’’
fêtent ce jour là ce qui est pour eux une catastrophe, la Nakba. A
cette occasion, le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a
fait des déclarations qui permettent, à ceux qui savent lire entre les lignes,
de jauger de son désir de paix.
Une ‘’paix’’ qui, après analyse,
n’est rien d’autre que celle des cimetières pour les Israéliens.
Extrait du discours tenu :
« Le gouvernement
israélien revient sur les accords et les engagements antérieurs et pose de
nouvelles conditions exorbitantes, comme la reconnaissance de la
judéité de l'Etat d'Israël, et a lancé une course contre la montre pour judaïser
Jérusalem et étendre la colonisation » a déploré ce ‘’partenaire’’
pour la paix.
Tout quidam honnête s’interrogera
donc quant à la qualité du gouvernement israélien qui devra, au final, signer
la paix des braves ? Pourra t-il être le représentant de l’état du peuple
juif ? Sera-t-il le représentant du peuple israélien désireux de voir son
droit universel à un état à sa couleur reconnu par cet ennemi qui prétend à la paix ?
A priori non ! La ‘’paix’’ de
Mahmoud Abbas n’accorde pas ce droit. Ni même de voir la veille ville de
Jérusalem entre les mains du peuple qui l’a construit et vénéré depuis
plusieurs millénaires.
Les Israéliens auront-ils un
quelconque intérêt à signer cette ‘’paix’’ ?
A l’instar du Premier ministre français
Manuel Valls appelant les Israéliens « à prendre le risque de la
paix » les Occidentaux répondront que oui ! Les conseilleurs n’étant pas les payeurs,
nul n’en sera étonné !
Dans un article diffusé par le
quotidien Haaretz, Saëb Erekat, le négociateur en chef de l’Autorité
Palestinienne, y est allé également de sa petite ‘’vérité’’.
« Ce n'est pas à nous de
définir le caractère d'Israël. Mais nous ne permettrons pas qu'un seul
Palestinien soit présenté comme un immigrant ou un intrus sur sa propre
terre ».
Pour cela, il s’appuie sur la
résolution 194 de l’Assemblée générale de l’Onu. Celle-ci n’étant pas habilitée
à émettre autre chose que des vœux, la revendication du « droit de
retour » n’a donc aucune valeur juridique.
Quand bien même l’Etat d’Israël
serait disposé, au nom de la Paix, à y donner un sens, cette résolution ne fait
nullement allusion aux descendants des réfugiés de 1948. Ceux-ci décédant au
fil du temps, ce vœu de l’Onu s’effacera en conséquence d’ici peu.
Les ‘’Palestiniens’’ resteront donc, en regard du droit international, des étrangers en rapport de ce pays !
Persister en revanche à
maintenir cette revendication n’est rien d’autre que le moyen de nuire au droit
du peuple juif de disposer de son état sur la terre de ses ancêtres.
Par ces deux petites citations, nul
ne peut réellement témoigner d’une quelconque volonté de paix de la part de l’Autorité
palestinienne. Une Paix qui verrait deux états pour DEUX peuples vivre en
paix côte à côte.
L’Etat d’Israël se doit
donc d’exiger, avant toute reprise de négociations, sa reconnaissance explicite
comme étant la nation du peuple juif ainsi que l’abandon de TOUTES revendications
sur son territoire.
Toutes façons différentes de procéder ne feront que
retarder l’arrivée de la Paix tant souhaitée par le peuple juif et augmentera
la pression internationale sur celui-ci.
on parle beaucoup des réfugiés arabes de Palestine mandataire, qui furent entre 250 000 et 500 000, mais je pense, qu'Israel et les organisations juives du monde ne font pas assez pour médiatiser le fait, que parrallélement à l'exode arabe palestinien, près de 900 000 juifs furent expulsés ou forcés de quitter les pays Arabes sans un kopeck, et ces exilés furent tous intégrés dont un grand nombre en Israel, donc un exode compense l'autre. De plus, imaginez le nombre de réfugiés, qu' il y aurait de par le monde, si le principe appliqué par l'ONU à l'endroit de Arabes de Palestine mandataire, l'avait été pour tous les exilés depuis la seconde guerre mondiale à nos jours.
RépondreSupprimerC'est toujours le même " modus operandi " de la part des squatters arabes. On prend un mot avec une définition percutante et on le plagie pour lui donner une toute autre définition, dite historique.
RépondreSupprimerL'auteur du concept " Naqba " est un arabe chrétien qui forgea le terme en 1920. C'est ce que rappelait, Antonius, ( arabe chrétien libanais ) dans son livre « Le réveil arabe ».
Il écrivait en 1938, 10 ans avant la proclamation d'indépendance d'Israël :« L'année 1920 porte un nom maudit dans les annales arabes et elle est appelée année de catastrophe " A'ma al-Naqba "».
Au mandat de la SDN confié à la Grande Bretagne après l'effondrement de l'empire Ottoman, la Naqba concept politique dénonçait la séparation de la Syrie et les anciens sandjaks ottomans.
Proclamé le 14 mai 1948, en fin d'après-midi, l'État d'Israël a accédé à son indépendance et sa souveraineté le 15 mai 1948 à zéro heure.
Par la suite, Israël pour donner une connotation protocolaire à l'événement, l'a officialisé par la date juive du 5 du mois d'iyyar, en laissant la date grégorienne ( 15 mai ) récupérée et détournée par les squatters arabes et islamistes qui en ont fait fallacieusement un jour de deuil " Yôm al-Naqba ".