La Cour suprême
israélienne, par une courte majorité de six juges contre cinq, a validé une loi
refusant définitivement la citoyenneté aux ‘’Palestiniens’’ épousant des Israéliens.
Depuis les « Accords d’Oslo » et jusqu’en 2002 près de cent
trente mille résidents des territoires ont reçu, par leur union, le sésame leur
permettant de s’installer dans le pays tant honni par les leurs. Une
immigration s’apparentant, de fait, à un début de ‘’droit de retour’’ et qui a
permis à certains d’entre eux de commettre l’abject à l’encontre de la
population du pays d’accueil.
Evidemment, les associations et
partis de la ‘’bien-pensance’’ sont aussitôt montés au créneau pour dénoncer cette
Cour qui a « cédé aux pressions de la majorité de droite au
Parlement », et a ainsi « failli à son devoir de défense du
principe d'égalité de tous les citoyens devant la loi et de lutte contre le
racisme ».
Elle a également dénoncé « un
texte discriminatoire » et « une loi dont l'équivalent
n'existe dans aucun État démocratique au monde, qui prive les citoyens d'une
vie de famille en Israël sur la seule base de l'appartenance ethnique ou
nationale de leur conjoint ».
Bref ! « un jour
noir pour les droits de l'homme et la Cour suprême » nous précise L'Association
pour les droits civiques.
Faut-il rappeler que la loi,
établie la première fois en 2003 pour un temps limité, puis renouvelée chaque
année, n’a rien de raciste car ne visant pas une communauté particulière mais l’ensemble
des Israéliens, et qu’il est possible à chacun d’aller vivre où bon lui
semble avec sa moitié comme le rappelle dans ses attendus la haute
juridiction ?
Si les juges ont effectivement
reconnu « le droit à la réunion des familles qui relève du respect des
droits de l’homme », il n’en reste pas moins que ce droit « doit
être restreint en Israël » car, nous rapporte très justement Asher
Dan Grunis, le futur président de la Cour, « la défense des
droits de l'Homme n’est pas une ordonnance pour un suicide national ».
En effet, autoriser le
regroupement familial sans limite dénaturera l’objet même de la renaissance de
l’état juif. Le droit de l’individu d’épouser qui bon lui semble, se trouve donc
opposé au droit de la société à se déterminer selon ses désidératas, voire ses
besoins vitaux.
A savoir, préserver une majorité
juive afin qu’elle puisse se prémunir contre le projet quotidiennement répété par
les peuples voisins, voire plus
éloignés, de ‘’libérer la Palestine de la mer au Jourdain’’ des mains Sionistes.
Un droit des sociétés préservant,
de fait, l’individu juif du triste sort qui lui serait réservé dans le cas d’un
basculement de la majorité due par l’application stricte de la charte des Droit
de l’homme. Une charte qui autoriserait de facto l’exclusion de l’homme juif du
droit élémentaire, basique d’avoir un état à son désir et le condamnerait à
redevenir apatride pour être redevenu une minorité souffre-douleur dans un
énième état musulman.
Cette opposition entre ces deux
droits n’est pas nouvelle. On la rencontre dès lors que la société pense
pluriel. Par la bande, elle nuit quelque peu à l’individu.
C’est ainsi que la liberté d’expression
des médias est limitée dès lors que le sujet concerne la sécurité nationale. Une
censure militaire admise et jamais contestée par les Journalistes car
comprenant parfaitement cette nécessité.
Autre exemple. De très nombreux
réfugiés africains violent la frontière égypto-israélienne et tentent de trouver
un nouveau refuge en s’établissant, sans autorisation, en Israël. Outre
que le gouvernement a décidé la construction d’une barrière, il construit des
camps où ces réfugiés économiques trouveront tout le nécessaire à une vie
décente le temps que leurs retours dans les pays d’origines soient organisés. Parallèlement,
une loi a été votée permettant la condamnation des employeurs à une peine de
prison et/ou à une lourde amende.
Les droits de la société sont
donc, là encore, opposables à ceux de l’individu car ne pouvant prétendre faire
le bonheur de tous.
Philosophie incomprise ailleurs
et principalement en Europe, région menée par le politiquement correct
imposé par des Ongs fétides, des partis politiques et une Commission
Européenne oublieux de l’intérêt général.
Le soit-disant regroupement familliale, n'est en fait qu' un envahissement en "douceur" avec l'aide des ONG finançaient par UE, pour amener à la destrction d'ISRAEL par l'intérieur. Pourquoi le regroupement ne se fait dans l'autre sens? Maxime
RépondreSupprimerMille bravos, que les "droit de l'hommiste" d'Eurabia prenent exemple...mais pour celà il faut du courage...qualité de plus en plus inexistante au sein de la moribonde UE.
RépondreSupprimerDouvdevan