ce montage des chek-point est révélateur du mensonge anti-israélien :"les Palestiniens n'aiment pas leurs enfants, ils préfèrent les voir mourir en "martyrs" explosés de préférence en tuant beaucoup de juifs d'où la nécessité des cheik-point pour controler ces bombes ambulantes". Pour ce qui concerne Solvay, il y a eu des excuses de la direction.
Ils confondent tout...l'uranium désenrichi, c'était cadeau pour les Balkans et l'Irak. Par contre, les missiles à sous-munitions, elles ont été larguées au sud Liban.
Les "mort aux Juifs" scandés dans de récentes manifestations, en présence des principaux dirigeants des partis politiques belges, sans que ceux-ci n’aient estimé devoir s’en désolidariser en témoignent.
Au sein même de l’ULB, des étudiants paradent avec des t-shirts affichant clairement "Boycott Israël", et nous assistons fréquemment à des mises en scène antisionistes sur le campus. La situation est telle que seules les écoles juives et les lieux de cultes juifs doivent être sous protection policière permanente.
Le président de la communauté israélite de Bruxelles, Philippe Markiewicz, tempère : selon lui, il y a malheureusement toujours de nombreux actes antisémites en Belgique et il faut rester très vigilant. Celui-ci doit être combattu comme toute forme de racisme. Je me refuse toutefois à dramatiser la situation.
Face au départ de certains, la décision de rester pour d’autres, le président du Consistoire, Julien Klener, refuse de prendre parti.
Au regard des chiffres de l’Agence juive, le président du Comité de coordination des organisations juives de Belgique (CCOJB), Maurice Sosnowski reconnaît que le nombre de départs de Belgique vers Israël a fortement augmenté l’an dernier, sans avoir de détails toutefois sur les motivations.
Président du CCLJ, Henri Gutman expose sa vision des choses en disant que la Belgique n’est pas devenue un Etat antisémite, le dire signifierait qu’il y a, à tous les niveaux institutionnels, des mesures discriminatoires à l’encontre des Juifs, or il n’y en a aucune. La Belgique est même un des rares pays à avoir une loi qui condamne la parole et l’acte antisémites. Il faut distinguer très clairement la position officielle et celle d’une immense majorité de citoyens solidaires, d’actes antisémites qui sont le fait de certains milieux musulmans extrémistes ou de certains milieux de gauche et d’ONG.
Viviane Teitelbaum, dans son dernier livre, "Salomon, vous êtes Juif ? L'antisémitisme en Belgique du Moyen-Âge à Internet" (éditions Luc Pire, novembre 2008), aborde ce fléau, sur 254 pages.
Pour elle, c'est l'exportation en Belgique du conflit israélo-palestinien qui est à la source des actuels actes anti-Juifs.
Le sociologue français Michel Wieviorka propose lui une analyse toute différente dans "L'antisémitisme est-il de retour ?", un petit ouvrage de 127 pages sorti en septembre dernier chez Larousse.
Extrait de la page 20 : N'est-ce pas offrir aux Juifs un traitement politique particulier que leur reconnaître une spécificité dans le racisme subi, au point qu'ils peuvent disposer d'un terme qui leur est propre ? Ne peut-on pas dire que même victimes, finalement, les Juifs s'en sortent mieux que d'autres, pour qui il n'existe aucun terme, aucun vocabulaire spécifique pour rendre compte de leurs malheurs ? Et jusqu'où peut-on dissocier les Juifs d'autres groupes dans l'action antiraciste, comme si le combat contre l'antisémitisme devait être séparé des autres, car fondamentalement distinct ?
La source de cette question d'antisémitisme peut nous ramener aussi un siècle en arrière.
L'abstention que Jules Destrée prône dans Le Peuple du 29 janvier 1898, en refusant de suivre Zola. Et il l'explique notamment par l'amalgame qu'il fait entre l'antisémitisme etl'anticapitalisme
Jules Destrée, à la suite d'Edmond Picard et de Léon Hennebicq, prend le risque d'être assimilé à la grande partie de la droite catholique qui, depuis longtemps, se déchaîne contre les Juifs, particulièrement La Gazette de Liège, le Journal de Bruxelles et, à Namur, L'Ami de l'Ordre.
L'antisémitisme sous ses divers habits est un mal profond et planétaire. Alors pourquoi chercher des explications concernant l'Europe et à fortiori, la Belgique ...
bonjour, j'aimerai savoir en quoi porter un t-shirt "boycott Israël" est antisémite ! la définition de l'antisémitisme est je cite : "L’antisémitisme (originellement écrit anti-sémitisme) est le nom donné à la discrimination, l'hostilité ou les préjugés à l'encontre des Juifs" le boycott d'Israël est une action effectué à l'encontre du gouvernement Israélien. Et non de son peuple et encore moins de sa religion. Je reste persuadé que vos élites et gouvernements ne cherchent absolument pas la paix. Ce ne sont pas eux qui prennent des bombes sur la tête mais les colons ... Ils ne font que jeter de l'huile sur le feu pour justifier leur projet immobilier et militaire ! C'est une affaire de GROS SOUS et de pouvoir et non de religion ! Arrêtez s'il vous plait d'éviter le débat de façon si nauséabonde pour vos interlocuteurs. De nos jour, soit on est pour les actions Tsahal soit ont est antisémite ... Ou est le juste milieu ?
Je crois qu'il y a une différence sémantique très importante entre boycott et génocide. Et d'ailleurs en 39 c'était tourné envers les pratiquants d'une religion et non un état. De plus les critiques qui étaient formulé à cette époque étaient de type racial et relevaient de la fable(conspiration mondiale, sous humain ...). La colonisation illégal de la Palestine est elle un fait reconnu. Sa justification est pour moi sujet à débat : protection ou expansionnisme ? Enfin il se passe exactement ce que j'avais dis : je ne suis pas d'accord avec vous, je suis directement assimilé a un nazi (le point godwin dans toute sa splendeur). Il y a certes encore pas mal de gens antisémite sur notre planéte (qui sont encore plus visible sur le net), comme des xénophobes, ou des homophobes ... Mais cette planète n'est pas remplie de nazis, et il est trop facile de cataloguer tout les gens qui critiquent le gouvernement israélien dans la case nazi ! La critique c'est quelque chose de sain, pour se remettre en question. La refuser en considérant que ceux qui la formule veulent forcement votre destruction s'apparente plus a de la paranoïa qu'a un raisonnement sain. Vous ne trouvez pas ?
Ceux qui sont pris la main dans le sac tentent toujours une diversion.
Je n'ai parlé que du boycott nazi comparé au votre et vous me répondez ''génocide''.
Que cette comparaison vous déplaise et vous pare du visage nazi je le comprends. Il s'agissait en effet d'un boycott antisémite qui a permis le génocide du peuple juif.
Êtes vous sûr que le votre ne conduira pas au même résultat ? Moi je n'en doute pas.
Il ne tient qu'à vous seul pour que cette comparaison systématique ne s'établisse pas.
Pour ce qui est de la ''colonisation''... Il s'agit d'un faux procès fait à Israël.
Le peuple israélien dans sa très grande majorité est pour la création d'un deuxième état de ''palestine'' aux côtés d'Israël et non pas à sa place. Petit détail qui vous a probablement échappé.
Mais lorsqu'on boycotte on ne peut pas s'ouvrir et s'intéresser à la réalité.
Beau travail du Propagandaministerium à l'oeuvre. Goebbels était moins pueril, mais le théâtre de rue n'est plus ce qu'il était, mon bon monsieur
RépondreSupprimerce montage des chek-point est révélateur du mensonge anti-israélien :"les Palestiniens n'aiment pas leurs enfants, ils préfèrent les voir mourir en "martyrs" explosés de préférence en tuant beaucoup de juifs d'où la nécessité des cheik-point pour controler ces bombes ambulantes".
RépondreSupprimerPour ce qui concerne Solvay, il y a eu des excuses de la direction.
Ils confondent tout...l'uranium désenrichi, c'était cadeau pour les Balkans et l'Irak.
RépondreSupprimerPar contre, les missiles à sous-munitions, elles ont été larguées au sud Liban.
Renouveau ?
RépondreSupprimerL'antisémitisme existe toujours. Tel est le constat qui peut être fait lorsque l'on observe l'actualité.
http://www.antisemitisme.be/
site/index.asp?language=FR
Les "mort aux Juifs" scandés dans de récentes manifestations, en présence des principaux dirigeants des partis politiques belges, sans que ceux-ci n’aient estimé devoir s’en désolidariser en témoignent.
Au sein même de l’ULB, des étudiants paradent avec des t-shirts affichant clairement
"Boycott Israël", et nous assistons fréquemment à des mises en scène antisionistes sur le campus. La situation est telle que seules les écoles juives et les lieux de cultes juifs doivent être sous protection policière permanente.
Le président de la communauté israélite de Bruxelles, Philippe Markiewicz, tempère : selon lui, il y a malheureusement toujours de nombreux actes antisémites en Belgique et il faut rester très vigilant. Celui-ci doit être combattu comme toute forme de racisme. Je me refuse toutefois à dramatiser la situation.
Face au départ de certains, la décision de rester pour d’autres, le président du Consistoire, Julien Klener, refuse de prendre parti.
Au regard des chiffres de l’Agence juive, le président du Comité de coordination des organisations juives de Belgique (CCOJB), Maurice Sosnowski reconnaît que le nombre de départs de Belgique vers Israël a fortement augmenté l’an dernier, sans avoir de détails toutefois sur les motivations.
Président du CCLJ, Henri Gutman expose sa vision des choses en disant que la Belgique n’est pas devenue un Etat antisémite, le dire signifierait qu’il y a, à tous les niveaux institutionnels, des mesures discriminatoires à l’encontre des Juifs, or il n’y en a aucune. La Belgique est même un des rares pays à avoir une loi qui condamne la parole et l’acte antisémites. Il faut distinguer très clairement la position officielle et celle d’une immense majorité de citoyens solidaires, d’actes antisémites qui sont le fait de certains milieux musulmans extrémistes ou de certains milieux de gauche et d’ONG.
Viviane Teitelbaum, dans son dernier livre, "Salomon, vous êtes Juif ? L'antisémitisme en Belgique du Moyen-Âge à Internet" (éditions Luc Pire, novembre 2008), aborde ce fléau, sur 254 pages.
RépondreSupprimerPour elle, c'est l'exportation en Belgique du conflit israélo-palestinien qui est à la source des actuels actes anti-Juifs.
Le sociologue français Michel Wieviorka propose lui une analyse toute différente dans
"L'antisémitisme est-il de retour ?", un petit ouvrage de 127 pages sorti en septembre dernier chez Larousse.
Extrait de la page 20 : N'est-ce pas offrir aux Juifs un traitement politique particulier que leur reconnaître une spécificité dans le racisme subi, au point qu'ils peuvent disposer d'un terme qui leur est propre ? Ne peut-on pas dire que même victimes, finalement, les Juifs s'en sortent mieux que d'autres, pour qui il n'existe aucun terme, aucun vocabulaire spécifique pour rendre compte de leurs malheurs ? Et jusqu'où peut-on dissocier les Juifs d'autres groupes dans l'action antiraciste, comme si le combat contre l'antisémitisme devait être séparé des autres, car fondamentalement distinct ?
La source de cette question d'antisémitisme peut nous ramener aussi un siècle en arrière.
L'abstention que Jules Destrée prône dans Le Peuple du 29 janvier 1898, en refusant de suivre Zola. Et il l'explique notamment par l'amalgame qu'il fait entre l'antisémitisme etl'anticapitalisme
Jules Destrée, à la suite d'Edmond Picard et de Léon Hennebicq, prend le risque d'être assimilé à la grande partie de la droite catholique qui, depuis longtemps, se déchaîne contre les Juifs, particulièrement La Gazette de Liège, le Journal de Bruxelles et, à Namur, L'Ami de l'Ordre.
L'antisémitisme sous ses divers habits est un mal profond et planétaire. Alors pourquoi chercher des explications concernant l'Europe et à fortiori, la Belgique ...
À LIRE :
RépondreSupprimerLa Persécution des Juifs en Belgique (1940-1945)
de Maxime Steinberg
aux Editions Complexe.
bonjour,
RépondreSupprimerj'aimerai savoir en quoi porter un t-shirt "boycott Israël" est antisémite !
la définition de l'antisémitisme est je cite :
"L’antisémitisme (originellement écrit anti-sémitisme) est le nom donné à la discrimination, l'hostilité ou les préjugés à l'encontre des Juifs"
le boycott d'Israël est une action effectué à l'encontre du gouvernement Israélien. Et non de son peuple et encore moins de sa religion. Je reste persuadé que vos élites et gouvernements ne cherchent absolument pas la paix. Ce ne sont pas eux qui prennent des bombes sur la tête mais les colons ...
Ils ne font que jeter de l'huile sur le feu pour justifier leur projet immobilier et militaire !
C'est une affaire de GROS SOUS et de pouvoir et non de religion ! Arrêtez s'il vous plait d'éviter le débat de façon si nauséabonde pour vos interlocuteurs. De nos jour, soit on est pour les actions Tsahal soit ont est antisémite ...
Ou est le juste milieu ?
Mathieu,
RépondreSupprimerLe boycott des juifs dans les années 1939-45 était-il antisémite ?
Le boycott n'était-il pas une action menée contre le lobby juif et non pas contre "le peuple et encore moins contre la religion" ?
Les nazis étaient persuadés que "les élites et gouvernements juifs ne recherchaient absolument pas la paix".
Ils ne faisaient "que jeter de l'huile sur le feu pour justifier leur projet immobilier" et de conquête mondiale.
C'était "une affaire de GROS SOUS et de pouvoir et non de religion".
Bref! Cette pastiche de votre commentaire vous convient-il ?
Je crois qu'il y a une différence sémantique très importante entre boycott et génocide. Et d'ailleurs en 39 c'était tourné envers les pratiquants d'une religion et non un état. De plus les critiques qui étaient formulé à cette époque étaient de type racial et relevaient de la fable(conspiration mondiale, sous humain ...). La colonisation illégal de la Palestine est elle un fait reconnu. Sa justification est pour moi sujet à débat : protection ou expansionnisme ?
RépondreSupprimerEnfin il se passe exactement ce que j'avais dis :
je ne suis pas d'accord avec vous, je suis directement assimilé a un nazi (le point godwin dans toute sa splendeur).
Il y a certes encore pas mal de gens antisémite sur notre planéte (qui sont encore plus visible sur le net), comme des xénophobes, ou des homophobes ...
Mais cette planète n'est pas remplie de nazis, et il est trop facile de cataloguer tout les gens qui critiquent le gouvernement israélien dans la case nazi !
La critique c'est quelque chose de sain, pour se remettre en question. La refuser en considérant que ceux qui la formule veulent forcement votre destruction s'apparente plus a de la paranoïa qu'a un raisonnement sain.
Vous ne trouvez pas ?
Mathieu,
RépondreSupprimerCeux qui sont pris la main dans le sac tentent toujours une diversion.
Je n'ai parlé que du boycott nazi comparé au votre et vous me répondez ''génocide''.
Que cette comparaison vous déplaise et vous pare du visage nazi je le comprends. Il s'agissait en effet d'un boycott antisémite qui a permis le génocide du peuple juif.
Êtes vous sûr que le votre ne conduira pas au même résultat ? Moi je n'en doute pas.
Il ne tient qu'à vous seul pour que cette comparaison systématique ne s'établisse pas.
Pour ce qui est de la ''colonisation''... Il s'agit d'un faux procès fait à Israël.
Le peuple israélien dans sa très grande majorité est pour la création d'un deuxième état de ''palestine'' aux côtés d'Israël et non pas à sa place. Petit détail qui vous a probablement échappé.
Mais lorsqu'on boycotte on ne peut pas s'ouvrir et s'intéresser à la réalité.
Chacun ses choix.