dimanche 11 juillet 2010

Droits individuels contre droits collectifs

D’ici quelques jours, les députés français vont voter une loi interdisant toute « dissimulation du visage dans l'espace public ». Une législation où ne figurera pas le véritable motif d’une telle interdiction, mais qui est, cependant, suffisamment important pour que soit crée, dans le même mouvement, un délit d'atteinte à la dignité de la personne humaine. Tel contraindre « une personne, en raison de son sexe, à se dissimuler le visage ». Un délit passible d'un an de prison et 15.000 euros d'amende et qui interpelle fortement quant à l’absence de cette raison dans le texte !

Si les députés français, de par cette loi, prennent conscience publiquement d’une atteinte aux valeurs occidentales, ils se refusent pour autant à aborder LA question qui imposerait, sans conteste, la prise de lois qui fâcheraient les ‘’territoires perdus’’ européens. A savoir : « L’Islam est-il compatible avec la démocratie ? ».

Poser cette question en terre occidentale équivaut, pour les champions de l’antiracisme tel SOS Racisme ou encore le MRAP, à s’avérer être un islamophobe. D’où la crainte des élus de la République à poser certaines questions au sujet d’une religion qui impose, par la force du nombre de ses adeptes, des us et coutumes d’un autre âge, sinon barbares.

Chacun aura reconnu dans cette loi à venir la volonté d’interdire le voile intégral qui a comme objectif unique la ségrégation entre les hommes et les femmes dans le domaine public. Une coutume musulmane venant d’un autre âge, et pourtant défendue par les organisations des droits de l’homme au nom de la liberté individuelle. Une séparation déjà dans les faits dans certaines piscines, stades municipaux et salles de spectacles.

D’autres coutumes dus à cette religion se propagent tranquillement sur la terre des valeurs universelles, sans pour autant interpeller ceux chargés de défendre la loi en vigueur et les traditions locales. La polygamie, l’excision, le mariage forcé sont pratiqués sans obstacles depuis quelques décennies et rares sont les disciples d’Allah condamnés, quand ils sont pris.

La pratique du rite aussi, dans certains quartiers, est une manifestation ostentatoire du refus de s’intégrer au pays hôte. Ainsi, lors des prières hebdomadaires, des rues entières sont fermées d’autorité pour la tranquillité des croyants, sans que les pouvoirs locaux, régionaux et nationaux n’y voient un quelconque abus. Dénoncer, en revanche, le pas pris par la religion sur la laïcité est se faire désigner automatiquement comme raciste par les gendarmes de la pensée unique.

D’autres us et coutumes de l’Islam, non listés ici mais pratiqués sans encombre en Occident, sont illégaux en regard du mode de vie actuel des pays d’accueils mais y sont tolérés au nom d’une certaine conception des droits de l’homme. Ainsi, subrepticement, s’opposent et s’imposent aux valeurs de Liberté, Egalité et Fraternité les rites d’un Islam intolérant et moyenâgeux qui, si l’on n’y prend garde, importera d’autres usages en vogue actuellement dans les pays musulmans. Des rites que l’on n’ose imaginer voir ‘’s’épanouir’’ un jour dans nos contrées. Telle la lapidation des femmes adultères, la pendaison des homosexuels ou le refus du pouvoir d’apostasier la religion.

Cette lutte révèle en fait une lutte entre les droits de l’individu, réclamés à corps et à cris par les musulmans aux sociétés d’accueils, et l’occident. A trop permettre une liberté individuelle pieuse, cela autorise, de fait, la dislocation des sociétés modernes et laïque et, parallèlement, le germe de communautés où l’individu sera un échelon inexistant. Consentir à ceci c’est accepter la fin des droits de l’individu au profit de collectivités qui se doteront de tribunaux religieux, d’imams comme guides spirituels et de la Shari’a comme loi.

Les idiots utiles que sont les Ongs des droits de l’homme dites ‘’antiracistes’’ seront alors bien en mal d’expliquer leur manque de clairvoyance.

6 commentaires:

  1. Et qu'adviendrait t'il a une personne qui roulerait un cache-nez sur son visage en periode de gel? ou alors un bonnet qui envelopperait la tete laissant deux orifices pour les yeux??(Atteinte au voleurs et aux terroristes du Hamas??).
    yosh

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  2. Coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l'hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes et antisémite, l'islam n'est ni une sagesse , ni une civilisation, ni un mode de vie, c'est un fléau."

    Michel Alain Labet de Bornay islamophobe primaire.

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  3. Gilles-Michel DEHARBE11 juillet 2010 à 20:53

    Afin de pouvoir financer les mosquées sans aucune contrainte, à 100% de coûts, un candidat à l’élection présidentielle française de 2007, candidat très médiatisé de la « droite modérée », dit que certes il y a la séparation de l’Église et de l’État, et que certes la loi interdit à l’État de financer la construction d’églises chrétiennes, mais qu’il faut à présent changer cette loi afin que l’État puisse financer la construction des mosquées ...

    Un autre candidat à l’élection présidentielle française de 2007, qui est depuis des décennies qualifié par les médias « d’extrême droite », a également pris en compte le changement de la structure de la population française. Sur les affiches destinées à sa campagne électorale de 2007, on voit des représentants de personnages types de la société française, dont une personne métissée ou d’origine arabe. La porte parole de ce candidat « d’extrême droite » déclare que ce candidat aux élections présidentielles incarne « la candidature de rassemblement du peuple français débarrassé des spécificités religieuses, ethniques ou même politiques ».

    Il devient mal vu de qualifier certains faits comme étant liés à l’islam car ce « serait discriminatoire », donc on utilise la langue du « politiquement correct » afin de ne pas avoir à dire la vérité. D’ailleurs la même restriction de langage est imposée à l’identification raciale. De sorte que dans le même ordre d’idées, les médias parlent « des jeunes de banlieue » lorsqu’ils évoquent en termes « politiquement corrects » les faits de violence qui deviennent une constante française.

    L’évocation de fait divers de ce genre, montre que si l’islam progresse en France, c’est :

    – parce qu’il n’y rencontre pas de résistance, la laïcité constitue en effet un terreau fertile, propice à la propagation des religions nouvelles en France, et notamment propice à la propagation de l’islam.

    – parce que de nombreux habitants, souvent Européens d’origine, souvent d’ascendance chrétienne, collaborent activement ou passivement avec les musulmans et facilitent leur enracinement en France.

    La première pierre de la mosquée de Créteil a été posée, en début d’octobre 2006, en présence des représentants de la ville et du département.

    La ville a participé au financement de cet édifice religieux musulman.

    La loi de 1905 sur la séparation de l’État et de l’Église n’était pas un obstacle au financement par les contribuables français de l’expansion de l’islam en Europe.

    Quel est le mécanisme qui permet ce financement ?

    C’est un mécanisme très simple, un mécanisme souvent appliqué en France.

    Les musulmans d’une localité créent une association.

    L’association se donne comme objectif la création d’un « Centre culturel et cultuel ».

    L’association demande une subvention à la ville (à la municipalité).

    Comme il y a dans le projet une composante « culturelle », la ville accorde une subvention.

    L’association complète le budget de financement par une part provenant des dons privés, afin de couvrir la partie « cultuelle » du projet.

    L’utilisation du mot « cultuel » à la place de « religieux » est peut-être naïvement censée masquer, par rapport à loi de 1905, la nature religieuse du but principal du projet : le prosélytisme religieux musulman.

    Résultat à Créteil : une structure avec des espaces culturels et de loisirs (salles polyvalentes destinées à des expositions, à des cours ou à des conférences qui pourront faire de la propagande en faveur de l’islam, hammam, bibliothèque, salon de thé - restaurant , espace librairie et espace de vente d’objets d’art et d’artisanat). Ce qui doit « faire de cette mosquée une vitrine, une invitation au dialogue, y compris pour les non-croyants » expliquait un responsable de l’association musulmane en précisant que la partie « cultuelle » – c’est à dire la partie qui forme la mosquée – « est financée à 100 % par la communauté musulmane ».

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  4. Gilles-Michel DEHARBE11 juillet 2010 à 20:57

    Ces mécanismes, où l’argent prélevé par les impôts participe indirectement au financement des mosquées en France, et donc à la propagation de l’islam, sont bien rodés et mis en application aussi bien par les politiques des « grands » partis (qu’on appelle aussi « partis modérés ») de droite comme de gauche.

    Il faut éviter un malentendu : toutes les mosquées construites en France ne sont pas cofinancées par les municipalités ou les conseils régionaux. (ex. Gennevilliers)

    Autre point, les statistiques officielles françaises sur la répartition de la population selon les religions sont obligatoirement fausses : lors des recensements, il est interdit par la loi d’effectuer un classement par religion ou par race.

    Les chiffres officieux, qui sont des estimations obtenues d’après les observations directes sur le terrain, sont peut-être plus fiables que les chiffres officiels.

    Pour être électeur il faut d’abord satisfaire aux conditions de nationalité et d’âge. La naissance sur le sol français permet l’attribution automatique de la nationalité. La loi permet aux immigrés d’obtenir la nationalité après 5 années de séjour en France. Les musulmans en France ont souvent la nationalité française. Les adultes ayant obtenu la nationalité française ne s’inscrivent pas systématiquement sur les listes électorales : c’est une démarche que chaque personne doit faire individuellement.

    Une grosse part des musulmans français sont des enfants qui n’ont pas encore l’âge de voter. Cependant le taux de fécondité des immigrés non-européens et de leurs descendants est très supérieur au taux de fécondité des européens d’origine. En France, il y a à présent beaucoup plus d’enfants d’origine non-européenne ou métissée que d’enfants européens d’origine. Cette affirmation ne provient pas des statistiques officielles, car cela n’est pas possible en France, alors que la loi d’autre pays de l’Union européenne ne l’interdirait pas. Cette observation est rapportée par ceux qui, de par leur profession ont l’occasion de visiter les établissements scolaires variés et qui visuellement sont capables de distinguer. Les enfants d’origine non-européenne, musulmans plus de 9 fois sur 10, en atteignant progressivement la majorité civile et le droit de vote, deviendront la majorité des électeurs français d’ici 10 à 15 ans. On comprend pourquoi en France, les élus de ceux que les médias appellent « les grands partis » ou « les partis modérés » de droite comme de gauche, qui avant tout travaillent pour se maintenir au pouvoir, soignent de plus en plus l’électorat musulman.

    La question du soutien officiel tacite à la progression de l’islam ne concerne pas que les municipalités avec la construction des moquées. Le domaine de l’enseignement public français aussi cède progressivement sous la poussée de l’islam qui s’impose dans les programmes (présentation favorable de l’islam) mais aussi dans la manière d’être et dans la mentalité des écoliers et lycéens. Des changements que les activistes musulmans ont obtenus dans les habitudes internes des établissements scolaires français. Déjà en 2004, dans son rapport au ministre de l’éducation nationale, Jean-Pierre Obin mentionne « ces collégiens et lycéens qui refusent, parfois massivement, de s’identifier comme « Français » et ont pris comme héros les partisans de la guerre à outrance contre le monde occidental. ».

    Le rapport Obin sur les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires sur le site de l’Education Nationale peut être téléchargé ici :

    ftp://trf.education.gouv.fr/pub/
    edutel/syst/igen/rapports/
    rapport_obin.pdf

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  5. Concernant le voile dit « islamique », ce dernier n'est pas coranique. Il n'existe pas de voile coranique, dixit le père du roi du Maroc actuel et la reine de Jordanie.
    La burka non plus et n'est obligatoire que dans les pays des émirats arabes. En chercher l'origine serait intéressant. Elle est aussi obligatoire en Afghanistan, mais on peut presque le comprendre, les talibans n'étant pas tendre avec celles qui ne la porte pas.
    L'excision non plus n'est pas coranique mais tribale. Elle est pratiquée autant dans certaines régions musulmanes que chrétiennes voire païennes.
    Maintenant, on peut être musulman sans être islamiste, islamiste sans être intégriste et enfin, intégriste sans être terroriste.
    Il est clair que dans notre société laïque, il est interdit d'avancer masqué. Hormis les fêtes dites païennes comme le Carnaval ou encore Halloween. Ce qui vient à condamner les femmes qui portent la burka à rester chez elles ou encore, d'acheter des petits chapeaux modes à voilettes, mode rétro qui a encore bien du charme.
    Mais que dire des petits séjours de ces femmes qui viennent dépenser quantité de pétro-dollars dans nos grandes villes, une aubaine pour certains commerces??
    Je pense que si le choix de la jeune fille musulmane est de porter un foulard ou le nijab (je ne sais pas si ça s'écrit comme ça), cela ne me gêne pas si c'est son choix. Cela peut être considéré aussi comme un accessoire vestimentaire. Si c'est une obligation, cela est différent!
    Pour ce qui est de l'excision, je la condamne fermement et je trouve que les personnes qui la pratiquent sur une adolescente doivent être fortement et fermement condamnées. Cela est une atteinte à l'intégrité physique et psychologique d'un être humain. Là, les OG (et non ONG) doivent continuer à lutter contre cette pratique.
    Et pour finir, bien que je sois quand même assez large dans mes idées, je suis tout autant voire plus, dubitative quand je vois les jeunes et moins jeunes femmes se promener en ville avec un short à ras la chatte et un T-shirt décolleté et ample. Je serais moins choquée de voir quelqu'un se promener carrément en bikini ou à poil, mais les deux dernière options sont interdites en ville.

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  6. il y a pas à débatre. on a mi assez longtemp depuis 1905 a viré les curé des afaires publics, c est pas pour se faire avoir par des imam, des rabin, des bonze ou n'import quel superstition ou nationalisme religieu.

    le probleme c est pa que l islam c est le retour des religieu dan la politique et la vie publique. sarkozi qui fait des signe de croix ou se déguise en juif lor d'intervention public est un signe d encourageage envoye a tous ces religieu extreme.

    religion = vie privée. si on veux eviter les pogrom, saint barthelemi et autre joyeuse action du genre, que toute les religion reste une croyance personnel.

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