Quelques faits consternant de nos derniers jours. Barak Obama, lors de son discours devant la 64éme assemblée générale de l’Onu, concernant le conflit proche-oriental, a affirmé que « Nous devons tous prendre des risques pour la paix… et toutes les parties doivent agir avec un sentiment d'urgence. Il est temps d'aller de l'avant ... ».
Pour bien démontrer l’urgence de la situation, le Président US a rappelé dans ses propos l’enfant de Sdérot ‘’apeuré de mourir d’une roquette artisanale ’’ et l’enfant ‘’palestinien’’ de Gaza ‘’assoiffé et sans pays ’’. Une juxtaposition qui conduirait presque l’inculte à imaginer que l’enfant ‘’altéré’’ l’est pour cause d’embargo de la part d’un pays barbare et que les missiles seraient des représailles à ce fait.
De tel amalgame douteux éloigne la réalisation d’une Paix juste et durable tant espérée.
Après le discours du Président américain, vint celui tant ‘’attendu’’ du Président iranien. Devant les violences verbales haineuses et coutumières de ce dernier, les Européens, selon la Présidence française, ont débattu par le truchement de leurs ambassadeurs ‘’pour savoir quel est le mot qui pourrait déclencher leurs départs’’ de la salle de l’assemblée générale de l’Onu. Il est patent que le mot ne sera pas celui de Paix. Quoi qu’il en soit, Mahmoud Ahmadinejad en rigolera jusqu’à ses prochaines palabres dans une quelconque instance internationale, faute d’être poursuivi judiciairement pour incitation à la haine raciale.
Dans l’attente, l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) a assuré mardi 22 septembre par la voix de son chef Ali Akbar Salehi que « Nos scientifiques ont fabriqué une nouvelle génération de centrifugeuses et des cascades de 10 centrifugeuses. Chacune sont actuellement à l'essai ».
Selon ce dernier, ces nouvelles centrifugeuses sont en mesure de multiplier par « plus de cinq » la capacité iranienne à enrichir de l'uranium. Si cela multiplie, bien évidemment, par autant le risque pris par la Paix, les puissances du monde occidental en sont encore, après tant d’années, à discuter, entre elles, d’éventuelles sanctions à l’encontre de l’Iran, au nom bien compris de leurs intérêts respectifs, en lieu et place d’une action armée internationale.
Par ailleurs. Le ministre de la culture égyptienne Farouk Hosni, bien que donné favori au poste de Secrétaire général de l’Unesco a été battu par l’ancienne diplomate bulgare Irina Bokova. Bonne nouvelle dans ce monde de brutes.
Il aurait été scandaleux, en effet, d’y voir s’y installer un individu assurant vouloir brûler lui-même les livres d’auteurs israéliens, invitant des négationnistes à venir s’exprimer en Egypte, coopérant -selon ses propres dires- dans les années 70 avec les services de renseignements de son pays contre les étudiants égyptiens, ou facilitant l’exfiltration des terroristes impliqués dans le détournement du paquebot italien Achille Lauro et l’assassinant de deux otages, dont un paraplégique américain jeté par-dessus bord avec sa chaise roulante.
Farouk Hosni restera, quoiqu’il en soit, Ministre de la Culture de l’Egypte. Quant aux ‘’intellectuels’’ égyptiens, ils imputent la défaite de leur ministre à l’œuvre du « lobby juif ».
La Paix régionale a encore fait un grand pas dans le mauvais sens.
Tous ces faits affligeants, ainsi que d’autres aussi nombreux que variés, font prendre à la Paix une mauvaise direction. Gageons, sans grand risque, qu’Israël et le peuple juif corrigeront le tir, quitte à déplaire au politiquement correct soumis au cartel du pétrole, des pétrodollars et des banlieues perdues du monde occidental.
Pour bien démontrer l’urgence de la situation, le Président US a rappelé dans ses propos l’enfant de Sdérot ‘’apeuré de mourir d’une roquette artisanale ’’ et l’enfant ‘’palestinien’’ de Gaza ‘’assoiffé et sans pays ’’. Une juxtaposition qui conduirait presque l’inculte à imaginer que l’enfant ‘’altéré’’ l’est pour cause d’embargo de la part d’un pays barbare et que les missiles seraient des représailles à ce fait.
De tel amalgame douteux éloigne la réalisation d’une Paix juste et durable tant espérée.
Après le discours du Président américain, vint celui tant ‘’attendu’’ du Président iranien. Devant les violences verbales haineuses et coutumières de ce dernier, les Européens, selon la Présidence française, ont débattu par le truchement de leurs ambassadeurs ‘’pour savoir quel est le mot qui pourrait déclencher leurs départs’’ de la salle de l’assemblée générale de l’Onu. Il est patent que le mot ne sera pas celui de Paix. Quoi qu’il en soit, Mahmoud Ahmadinejad en rigolera jusqu’à ses prochaines palabres dans une quelconque instance internationale, faute d’être poursuivi judiciairement pour incitation à la haine raciale.
Dans l’attente, l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) a assuré mardi 22 septembre par la voix de son chef Ali Akbar Salehi que « Nos scientifiques ont fabriqué une nouvelle génération de centrifugeuses et des cascades de 10 centrifugeuses. Chacune sont actuellement à l'essai ».
Selon ce dernier, ces nouvelles centrifugeuses sont en mesure de multiplier par « plus de cinq » la capacité iranienne à enrichir de l'uranium. Si cela multiplie, bien évidemment, par autant le risque pris par la Paix, les puissances du monde occidental en sont encore, après tant d’années, à discuter, entre elles, d’éventuelles sanctions à l’encontre de l’Iran, au nom bien compris de leurs intérêts respectifs, en lieu et place d’une action armée internationale.
Par ailleurs. Le ministre de la culture égyptienne Farouk Hosni, bien que donné favori au poste de Secrétaire général de l’Unesco a été battu par l’ancienne diplomate bulgare Irina Bokova. Bonne nouvelle dans ce monde de brutes.
Il aurait été scandaleux, en effet, d’y voir s’y installer un individu assurant vouloir brûler lui-même les livres d’auteurs israéliens, invitant des négationnistes à venir s’exprimer en Egypte, coopérant -selon ses propres dires- dans les années 70 avec les services de renseignements de son pays contre les étudiants égyptiens, ou facilitant l’exfiltration des terroristes impliqués dans le détournement du paquebot italien Achille Lauro et l’assassinant de deux otages, dont un paraplégique américain jeté par-dessus bord avec sa chaise roulante.
Farouk Hosni restera, quoiqu’il en soit, Ministre de la Culture de l’Egypte. Quant aux ‘’intellectuels’’ égyptiens, ils imputent la défaite de leur ministre à l’œuvre du « lobby juif ».
La Paix régionale a encore fait un grand pas dans le mauvais sens.
Tous ces faits affligeants, ainsi que d’autres aussi nombreux que variés, font prendre à la Paix une mauvaise direction. Gageons, sans grand risque, qu’Israël et le peuple juif corrigeront le tir, quitte à déplaire au politiquement correct soumis au cartel du pétrole, des pétrodollars et des banlieues perdues du monde occidental.
@Victor
RépondreSupprimerCet Ahmadinejad devrait être reçu comme Hirohito à Londres. Les Londoniens lui ont reçu le dos tourné en un silence assourdissant.
Un geste à copier à l'ONU ou autre organisations mondiales.
@Bob,
RépondreSupprimerA mon avis, il ne devrait pas être reçu du tout mais enfermé dans un asile pour cause de danger public.
Bonjour Victor, vous dites lobby ? Eh bien oui, j'en suis fier d'en avoir fait partie et contre l'Ho..ni égyptien et cotre l'honni Hitler iranien.
RépondreSupprimerPierre,
RépondreSupprimerRien de déshonorant à faire parti du lobby juif. Ce qui est à vomir est l'affirmation que la non élection de Hosni Farouk est dû à ce lobby. C'est dire ainsi la main mise sur les gouvernements votants.
A les croire, nul ne réflechi ou n'a de valeurs à défendre hormis les Juifs.
Shalom Victor,
RépondreSupprimerJ’étais un peu pressé ce matin et après avoir lu votre article j’ai tenais à vous dire bonjour avec deux mots vite fait. Je ne vous apprends rien sur l’histoire de la lobby juive, ils l’ont dit et tellement répété depuis la nuit de temps que n’importe ce qui se passe c’est toujours à cause de ça. Donc laissons les s’en étonner, ils n’imaginent même pas combien cette lobby est grande au point d’en comprendre une bonne partie de l’humanité, avec des juifs dedans mais pas seulement et pas non plus touts, au moins pour dire de non à un de ces honnis. Mais revenons aux choses plus sérieuses. « Nous devons prendre le risque de la paix… » nous dit Obama. D’abord à quelles conditions et avec qui ? C’est toute la question, diriez vous. Personnellement je commencerais par deux problèmes et vous verrez que le mot paix s’arrête tout de suite. One, Jérusalem (pour vous renseigner enlevez la virgule). Il n’est pas négociable, point à la ligne. Deux, Gaza reste une bande de terroristes islamistes qui malgré la correction n’a en rien changé et au contraire ils continuent à passer à l’acte au même temps que s’enrichir en armes et en argent donnés à profusion par les islamistes, sans compter les aides gracieusement élargies par l’Europe en les prélevant de nos poches. Est-ce pour la paix, le diriez vous encore, Monsieur le Président ? Les problèmes de sécurité ne sont pas résolus pour en parler de paix. Et comment les seraient-ils si le fils du grand mufti, l’héritier d’Hitler en terre arabe leur demande de patienter le temps que les nouvelles centrifugeuses commencent à tourner. Plutôt que de paix, malheureusement préparons nous à …je veux pas l’écrire car, cher Victor, je souhaite à nous tous Gmar Hatima Tova
Pierre
@Pierre,
RépondreSupprimerNe l'écrivons donc pas, mais souhaitons nous une bonne année, meilleure que les précédentes.
Nous en aurons bien besoin.