Celui qui aime ne compte pas nous dit l’adage. L’inverse est aussi vrai. Celui qui hait ne chipote pas ce qui peut nuire à sa cible. Michel Bôle-Richard journaliste au quotidien Le Monde nous en fait une démonstration parfaite dans un article consacré à la sécheresse en Israël. Le titre à lui tout seul est un chef d’œuvre dans le genre : « La crise de l'eau s'accentue en Israël et frappe durement les Palestiniens ». Chacun aurait pu penser que les Israéliens, aussi, en pâtissent. Mais la lecture de ce pamphlet nous démontre que non.
L’inconvénient pour ces derniers serait, à la rigueur, un « Israël (qui) deviendra jaune et (dans lequel) il faudra apprendre à nager dans des piscines vides ». Ce qui sous entend l’image actuelle d’un Israël verdoyant et saturé de piscine. En somme, rien de trop grave comparé à la situation des ‘’Palestiniens’’ qui, nous dit et fait dire le correspondant du Monde, ‘’ meurent de soif ’’ et « veulent que leur eau leur soit rendue ». Une eau, évidemment, soutirée par ‘’l’occupant’’ aux seules fins de ses propres plaisirs.
D’ailleurs, nous confirme le tintin en reportage, « Les Israéliens consomment 3,5 fois plus d'eau que les Palestiniens ». Une assertion qui laisse son lecteur discerner un gaspillage, et ignore que la population israélienne est approximativement le double et que les produits consommés en Judée, Samarie et Gaza sont fabriqués, pour la plupart, par l’industrie israélienne, consommatrice d’eau comme chaque usine de par le monde. Ce qui réduit très fortement le coefficient indiqué.
Appelée en renfort de la satire, « l’ONG B'Tselem, organisation israélienne de défense des droits de l'homme, (qui) lance un cri d'alarme » car « 20 % de la population de Cisjordanie n'est pas connectée au réseau ». Chaque lecteur est en droit, par cette affirmation, de se demander à quoi sert l’Autorité palestinienne !!! Quant à l’Ong, connue pour sa mobilisation arbitraire, sa réaction est témoignage, forcément, d’une situation préoccupante… pour Bôle-Richard.
A preuve, lorsqu’il consent dans sa pige à l’explication d’Ayman Rabie, responsable de l'ONG Palestinian Hydrology Group, qui affirme « que les colons font ce qu'ils veulent, qu'ils ont de l'eau 24 heures sur 24 et qu'il suffit de se promener en Cisjordanie pour voir le contraste entre les colonies vertes et les villages palestiniens arides ». Pour les inventeurs d’un système d’irrigation goutte par goutte et les gestionnaires d’un patrimoine forestier plus riche en fin d’année qu’à son début (sauf quand le Hezbollah le détruit par ses missiles) cette différence s’explique surtout par le manque d’éducation à l’écologie et de volonté de paix de la part des ‘’Palestiniens’’.
Le reste de l’article est à l’avenant. Même objectif : salir l’israélien aux fins de le transformer en un être écœurant à satiété, infréquentable et condamnable à souhait.
Reste à Michel Bôle-Richard le soin de trouver d’autres sujets qui contenteront ses employeurs. A ce sujet, nul soucis à se faire.
L’inconvénient pour ces derniers serait, à la rigueur, un « Israël (qui) deviendra jaune et (dans lequel) il faudra apprendre à nager dans des piscines vides ». Ce qui sous entend l’image actuelle d’un Israël verdoyant et saturé de piscine. En somme, rien de trop grave comparé à la situation des ‘’Palestiniens’’ qui, nous dit et fait dire le correspondant du Monde, ‘’ meurent de soif ’’ et « veulent que leur eau leur soit rendue ». Une eau, évidemment, soutirée par ‘’l’occupant’’ aux seules fins de ses propres plaisirs.
D’ailleurs, nous confirme le tintin en reportage, « Les Israéliens consomment 3,5 fois plus d'eau que les Palestiniens ». Une assertion qui laisse son lecteur discerner un gaspillage, et ignore que la population israélienne est approximativement le double et que les produits consommés en Judée, Samarie et Gaza sont fabriqués, pour la plupart, par l’industrie israélienne, consommatrice d’eau comme chaque usine de par le monde. Ce qui réduit très fortement le coefficient indiqué.
Appelée en renfort de la satire, « l’ONG B'Tselem, organisation israélienne de défense des droits de l'homme, (qui) lance un cri d'alarme » car « 20 % de la population de Cisjordanie n'est pas connectée au réseau ». Chaque lecteur est en droit, par cette affirmation, de se demander à quoi sert l’Autorité palestinienne !!! Quant à l’Ong, connue pour sa mobilisation arbitraire, sa réaction est témoignage, forcément, d’une situation préoccupante… pour Bôle-Richard.
A preuve, lorsqu’il consent dans sa pige à l’explication d’Ayman Rabie, responsable de l'ONG Palestinian Hydrology Group, qui affirme « que les colons font ce qu'ils veulent, qu'ils ont de l'eau 24 heures sur 24 et qu'il suffit de se promener en Cisjordanie pour voir le contraste entre les colonies vertes et les villages palestiniens arides ». Pour les inventeurs d’un système d’irrigation goutte par goutte et les gestionnaires d’un patrimoine forestier plus riche en fin d’année qu’à son début (sauf quand le Hezbollah le détruit par ses missiles) cette différence s’explique surtout par le manque d’éducation à l’écologie et de volonté de paix de la part des ‘’Palestiniens’’.
Le reste de l’article est à l’avenant. Même objectif : salir l’israélien aux fins de le transformer en un être écœurant à satiété, infréquentable et condamnable à souhait.
Reste à Michel Bôle-Richard le soin de trouver d’autres sujets qui contenteront ses employeurs. A ce sujet, nul soucis à se faire.
Merci pour ce blog intelligent
RépondreSupprimerles médias français sont exclusivement à gauche et presque tjs pro-tiersmondiste. "les pauvres petits Palestiniens ne sont pas raccordés au réseau de distribution" et jamais il est dit, les Palestiens manquent d'armes.
RépondreSupprimerTous ces états terrorsites n'ont jamais de liquidité pour les écoles, les hopitaux, la formation, l'agriculture.... et la gestion de l'eau mais à 38 ans je n'ai jamais entendu dire que le hamas (le parti de dieu avec une kalashnikov comme emblème!!!) était à cours de munitions.
Mais chut, les méchants sur terre se nomment USA,Israël et Occident.
Merci pour vos Articles.