De nos jours, de nombreux ‘’apôtres de la paix à tout prix’’ affirment qu’il faut discuter avec le Hamas. C’est, disent ils, en parlant que l’on mènera ses dirigeants à la table de négociation. Pour négocier quoi ? Ces adeptes du pacifisme n’osent aborder véritablement le sujet et laisse à l’avenir le soin d’y répondre. Négocier, les Israéliens y sont prêts depuis la renaissance de leur pays. L’Egypte et la Jordanie sont les preuves de leur volonté de Paix. Mais pour cela, il faut être deux.
Dans les années 80, d’autres pacifistes, voire les mêmes, appelèrent Israël à négocier avec l’Olp de Yasser Arafat. C’est, dirent-ils alors, en parlant avec les responsables (sic) de l’Organisation de Libération de la Palestine qu’adviendra la Paix en cette région et qu’Israël sera en sécurité. Le Premier ministre d’alors, Itzhak Rabin (z ‘’l), secondé par Shimon Pérès, y crut et signa en 1993 les « accords d’Oslo ». Le peuple israélien, en remerciement, eut ‘’l’honneur’’ d’être le sujet de prédilection des attentats suicides perpétrés dans les bus, les marchés, les centres commerciaux, les restaurants, les discothèques ou salles de réceptions familiales. Liste non exhaustive des lieux de meurtres d’Israéliens. Attentats revendiqués principalement, évidemment, par les oppositions au Fatah, parti du Président de l’Olp Yasser Arafat.
« Discuter de paix comme si le terrorisme n’existait pas, et combattre le terrorisme comme s’il n’y avait pas de négociations de paix » était la devise d’alors du gouvernement. « Des territoires contre la paix » était également l’espoir d’une normalisation définitive de la situation d’Israël dans un environnement hostile. L’échec des discussions de Camp David en l’an 2000 permirent aux Israéliens ‘’d’hériter’’ d’une « intifada des mosquées » qui amena de très nombreux citoyens à soutenir le gouvernement d’Ariel Sharon lors du retrait unilatéral de la bande de Gaza afin de se débarrasser au mieux du problème. Un territoire qui fut conquis ‘’démocratiquement’’ par l’opposition au parti du Président ‘’palestinien’’ Abou Mazen, successeur de feu Yasser Arafat, et transformé en base arrière d’une haine tenace envers le Judaïsme, le Sionisme et Israël.
Le bilan de ces quinze années de négociations directes ou indirectes, avec des individus n’ayant pas comme base minimum le respect humain, fut pour Israël plusieurs centaines d’assassinats de ses enfants, plusieurs milliers de blessés et une propagande internationale frôlant souvent l’antisémitisme mais certainement l’anti-israélisme. C’est à dire le droit du peuple juif à son auto-détermination.
A la lecture de ce bilan, faut-il discuter avec le Hamas, principale composante de l’opposition aux négociations de paix avec Israël ? Et quand bien même les négociations s’enclencheront elles, les concessions israéliennes octroyées alors suffiront elles à calmer l’ardeur de l’opposition au Hamas ? Ou faudra t-il alors, suite aux suggestions des ‘’pacifistes’’ de tout bord, pensant au ‘’bien d’Israël’’ et à sa sécurité, discuter avec le Djihad islamique, le FPLP, le FDLP, ou autres organisations réclamant leurs parts du gâteau israélien ? Et pourquoi pas avec, à nouveau, le Fatah qui, dépossédé de la gloire des négociations, retournera à sa mission première, l’éradication d’Israël ?
Tel le Président colombien Uribe, Israël se doit de retrouver l’esprit d’Entebbe et refuser toute discussion. Tout au moins jusqu’à ce qu’un leader ‘’palestinien’’ (ou arabe) parle au nom de tous les siens et accepte le droit d’Israël à vivre dans des frontières sûres et reconnues, avec Jérusalem comme capitale et dans l’entière identité qui est la sienne. Toute autre approche du conflit mènera les Israéliens à compter leurs morts, panser leurs blessés et à subir l’opprobre internationale du « politiquement correct ».
Dans les années 80, d’autres pacifistes, voire les mêmes, appelèrent Israël à négocier avec l’Olp de Yasser Arafat. C’est, dirent-ils alors, en parlant avec les responsables (sic) de l’Organisation de Libération de la Palestine qu’adviendra la Paix en cette région et qu’Israël sera en sécurité. Le Premier ministre d’alors, Itzhak Rabin (z ‘’l), secondé par Shimon Pérès, y crut et signa en 1993 les « accords d’Oslo ». Le peuple israélien, en remerciement, eut ‘’l’honneur’’ d’être le sujet de prédilection des attentats suicides perpétrés dans les bus, les marchés, les centres commerciaux, les restaurants, les discothèques ou salles de réceptions familiales. Liste non exhaustive des lieux de meurtres d’Israéliens. Attentats revendiqués principalement, évidemment, par les oppositions au Fatah, parti du Président de l’Olp Yasser Arafat.
« Discuter de paix comme si le terrorisme n’existait pas, et combattre le terrorisme comme s’il n’y avait pas de négociations de paix » était la devise d’alors du gouvernement. « Des territoires contre la paix » était également l’espoir d’une normalisation définitive de la situation d’Israël dans un environnement hostile. L’échec des discussions de Camp David en l’an 2000 permirent aux Israéliens ‘’d’hériter’’ d’une « intifada des mosquées » qui amena de très nombreux citoyens à soutenir le gouvernement d’Ariel Sharon lors du retrait unilatéral de la bande de Gaza afin de se débarrasser au mieux du problème. Un territoire qui fut conquis ‘’démocratiquement’’ par l’opposition au parti du Président ‘’palestinien’’ Abou Mazen, successeur de feu Yasser Arafat, et transformé en base arrière d’une haine tenace envers le Judaïsme, le Sionisme et Israël.
Le bilan de ces quinze années de négociations directes ou indirectes, avec des individus n’ayant pas comme base minimum le respect humain, fut pour Israël plusieurs centaines d’assassinats de ses enfants, plusieurs milliers de blessés et une propagande internationale frôlant souvent l’antisémitisme mais certainement l’anti-israélisme. C’est à dire le droit du peuple juif à son auto-détermination.
A la lecture de ce bilan, faut-il discuter avec le Hamas, principale composante de l’opposition aux négociations de paix avec Israël ? Et quand bien même les négociations s’enclencheront elles, les concessions israéliennes octroyées alors suffiront elles à calmer l’ardeur de l’opposition au Hamas ? Ou faudra t-il alors, suite aux suggestions des ‘’pacifistes’’ de tout bord, pensant au ‘’bien d’Israël’’ et à sa sécurité, discuter avec le Djihad islamique, le FPLP, le FDLP, ou autres organisations réclamant leurs parts du gâteau israélien ? Et pourquoi pas avec, à nouveau, le Fatah qui, dépossédé de la gloire des négociations, retournera à sa mission première, l’éradication d’Israël ?
Tel le Président colombien Uribe, Israël se doit de retrouver l’esprit d’Entebbe et refuser toute discussion. Tout au moins jusqu’à ce qu’un leader ‘’palestinien’’ (ou arabe) parle au nom de tous les siens et accepte le droit d’Israël à vivre dans des frontières sûres et reconnues, avec Jérusalem comme capitale et dans l’entière identité qui est la sienne. Toute autre approche du conflit mènera les Israéliens à compter leurs morts, panser leurs blessés et à subir l’opprobre internationale du « politiquement correct ».
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