Comme en reflet de l’anniversaire du jour de l’indépendance de l’état d’Israël, les ‘’Palestiniens’’ ont célébré le soixantième anniversaire de leur « jour de Catastrophe (s) », la Nakba dans leur langage. Date du 15 mai 1948 où, de leurs prise de conscience soudaine d’être un peuple (dont le ciment unique est la haine du Juif), ils allèrent de Nakba en Catastrophes ou inversement.
Aussi loin que l’on peut remonter dans le temps, leur première Nakba fut de refuser de créer un réel partenariat avec les pionniers juifs dans les domaines aussi variés que la médecine, la technologique, l’agriculture, l’éducation ou même dans celui des droits de l’homme et, bien sûr, de la femme. A voir leur situation actuelle mais aussi celles de leurs pays frères il est compréhensible de les voir, aujourd’hui, si accablés.
La Nakba suivante, sans que la liste évidemment ne soit exhaustive ou dans l’ordre chronologique, fut celle de collaborer aux diverses tentatives d’éradication de l’état juif et d’être contraints d’assumer leur part d’échecs militaires et d’humiliations totales. Soixante années (et plus) de ce régime cela forge incontestablement un sentiment de haine à l’encontre des Israéliens mais aussi d’impuissance à construire une vie remplie de succès.
Leur troisième Nakba fut celle d’avoir refuser de créer un état sur la partie de terrain attribuée en 1947 par les puissances internationales d’alors. Une Catastrophe qui contraint jusqu’à nos jours une grande partie de ce ‘’peuple’’ à vivre dans des camps de ‘’réfugiés’’, selon les lois hostiles du pays hôte, pour servir de ‘’causes saintes’’ aux pays frères dans leurs objectifs anti-israéliens, antisionistes et antisémites.
Être dirigé par des criminels s’apparente également à une Nakba. Des corrupteurs, des dictateurs, des assassins furent et sont encore leurs dirigeants. Ne pouvoir faire partie de cette ‘’élite’’ corrompt évidemment ceux susceptibles de désirer vivre tout simplement en bon voisins.
Faire l’éloge de l’islamo-fascisme en permanence est une énième Nakba. Une Catastrophe qui voit les mères se réjouir de la mort de leurs fils ; les enseignants inculquer la supériorité raciale et machiste ; les prêtres prédire au mieux la putréfaction des infidèles ; ou encore la ‘’justice’’ condamner tout opposant à cette doctrine. Idéologie qui traine dans son sillage son lot de guerres, de malheurs et de crimes. L’Irak, l’Afghanistan, la ‘’Palestine’’, le Liban, l’Algérie sont symboliques de l’avenir qu’elle promet à ses sympathisants.
D’autres Catastrophes peuvent être énoncées ici. Mais point trop n’en faut.
L’humiliation et l’offense ressenties par les ‘’Palestiniens’’ du succès permanent de l’Etat d’Israël depuis sa renaissance sont les parfaits reflets de la joie des Israéliens à y vivre, y procréer, y construire. Le tout dans l’objectif de servir de modèle ou de phare aux peuples encore démunis de cette force spirituelle qui forge le peuple juif depuis la nuit des temps.
Et cela est probablement la pire des Nakba pour les islamo-fascistes.
Aussi loin que l’on peut remonter dans le temps, leur première Nakba fut de refuser de créer un réel partenariat avec les pionniers juifs dans les domaines aussi variés que la médecine, la technologique, l’agriculture, l’éducation ou même dans celui des droits de l’homme et, bien sûr, de la femme. A voir leur situation actuelle mais aussi celles de leurs pays frères il est compréhensible de les voir, aujourd’hui, si accablés.
La Nakba suivante, sans que la liste évidemment ne soit exhaustive ou dans l’ordre chronologique, fut celle de collaborer aux diverses tentatives d’éradication de l’état juif et d’être contraints d’assumer leur part d’échecs militaires et d’humiliations totales. Soixante années (et plus) de ce régime cela forge incontestablement un sentiment de haine à l’encontre des Israéliens mais aussi d’impuissance à construire une vie remplie de succès.
Leur troisième Nakba fut celle d’avoir refuser de créer un état sur la partie de terrain attribuée en 1947 par les puissances internationales d’alors. Une Catastrophe qui contraint jusqu’à nos jours une grande partie de ce ‘’peuple’’ à vivre dans des camps de ‘’réfugiés’’, selon les lois hostiles du pays hôte, pour servir de ‘’causes saintes’’ aux pays frères dans leurs objectifs anti-israéliens, antisionistes et antisémites.
Être dirigé par des criminels s’apparente également à une Nakba. Des corrupteurs, des dictateurs, des assassins furent et sont encore leurs dirigeants. Ne pouvoir faire partie de cette ‘’élite’’ corrompt évidemment ceux susceptibles de désirer vivre tout simplement en bon voisins.
Faire l’éloge de l’islamo-fascisme en permanence est une énième Nakba. Une Catastrophe qui voit les mères se réjouir de la mort de leurs fils ; les enseignants inculquer la supériorité raciale et machiste ; les prêtres prédire au mieux la putréfaction des infidèles ; ou encore la ‘’justice’’ condamner tout opposant à cette doctrine. Idéologie qui traine dans son sillage son lot de guerres, de malheurs et de crimes. L’Irak, l’Afghanistan, la ‘’Palestine’’, le Liban, l’Algérie sont symboliques de l’avenir qu’elle promet à ses sympathisants.
D’autres Catastrophes peuvent être énoncées ici. Mais point trop n’en faut.
L’humiliation et l’offense ressenties par les ‘’Palestiniens’’ du succès permanent de l’Etat d’Israël depuis sa renaissance sont les parfaits reflets de la joie des Israéliens à y vivre, y procréer, y construire. Le tout dans l’objectif de servir de modèle ou de phare aux peuples encore démunis de cette force spirituelle qui forge le peuple juif depuis la nuit des temps.
Et cela est probablement la pire des Nakba pour les islamo-fascistes.
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