De nos jours, il y a des ‘’vérités’’ qui n’en sont pas et qui, malgré tout, s’imposent comme telles. Ce qui prouve que la propagande est efficace et que nombreux intellectuels, de par leurs places éminentes dans la société, obligent à cette lecture. Notamment lorsqu’il s’agit du conflit israélo-arabe. Quel est leur intérêt à imposer une vision erronée ? L’idéologie ? le succès ? la gloire ? la haine du Juif, de la démocratie, de l’état nation, du Judaïsme comme valeur universelle … ? Le temps nous apportera la réponse et les moyens de les remettre à leurs justes places. C'est-à-dire pas bien haut.
On se souvient tous de l’affirmation grotesque de Yasser Arafat assurant que « Jésus était Palestinien ». Nul, à ce moment là, n’a jugé bon de le démentir, estimant, de fait, que le personnage étant grossier « sa vérité » finira par disparaître avec lui. C’était compter sans la ‘’fine fleur’’ intellectuelle de nos démocraties, plus prompt à laisser perdurer un mensonge que de se battre pour la culture qui leur a permis de s’épanouir.
En conséquence, si Jésus était ‘’Palestinien’’ sa mère Marie devait l’être aussi. C’est probablement suite à cette déduction que Christelle GUIBERT, journaliste à Ouest France a, entre autres absurdités, surligné en gras dans son papier intitulé « Naître à Bethléem, un exploit de tous les jours » les dires d’une autochtone : « Si la Vierge Marie était arrivée à ce moment-là, elle aurait subi le même sort que moi. » C'est-à-dire le mur, les barrages, les contrôles… Bref la ‘’malveillance’’, voire la ‘’haine’’ des Israéliens envers les enfants à naître ‘’Palestiniens’’ pour causes de maltraitances de leurs mères.
Il va de soi, que si cette citation à été reprise et publiée par le journal c’est indubitablement parce qu’elle colle parfaitement au ton de l’écrit et à l’objectif recherché. A savoir la victimisation du ‘’Palestinien’’.
La déduction anti-israélienne, qui s’impose forcément à l’esprit suite à la lecture de ce pamphlet, commande à beaucoup de lecteurs l’oubli de leur bagage intellectuel historique et culturel. En revanche, pour ceux qui s’opposent à ce manichéisme simpliste et à la culpabilisation systématique de l’Israélien, il leur suffit d’affirmer, ironiquement, que Marie, ayant été juive et donc israélienne, aurait passé le mur, les barrages ou les contrôles sans aucune difficulté et aurait accouché dans les meilleurs conditions d’un petit Jésus de Nazareth Roi des Juifs si l’on se réfère à l’inscription faite sur toute croix : I N R I.
Cette petite réflexion sur un ‘’détail’’ de l’article démontre combien est gangréné le milieu journalistique. Du journaliste, au rédacteur en chef, sans oublier les correcteurs et les propriétaires, nul n’a vu l’utilité d’une correction ou d’une suppression de cet extrait de l’article mis en ligne le 22 décembre. Personne n’a vu l’erreur de la journaliste car l’air du temps étant anti-israélien nul n’y a vu du mal.
C’est ainsi que se construit l’image néfaste d’Israël. Et c’est par ce biais que s’explique la norme de bruler son drapeau, la violence faite aux Juifs pour cause de soutien à une politique «d’apartheid», les excuses envers les « roquettes artisanales » ou encore les assassinats de « colons ».
Les Journalistes sont en conséquence complices des excès commis à l’encontre d’Israël, de ses citoyens et de ses soutiens. Les juger sera donc, le moment venu, une nécessité vitale pour la défense de nos valeurs.
On se souvient tous de l’affirmation grotesque de Yasser Arafat assurant que « Jésus était Palestinien ». Nul, à ce moment là, n’a jugé bon de le démentir, estimant, de fait, que le personnage étant grossier « sa vérité » finira par disparaître avec lui. C’était compter sans la ‘’fine fleur’’ intellectuelle de nos démocraties, plus prompt à laisser perdurer un mensonge que de se battre pour la culture qui leur a permis de s’épanouir.
En conséquence, si Jésus était ‘’Palestinien’’ sa mère Marie devait l’être aussi. C’est probablement suite à cette déduction que Christelle GUIBERT, journaliste à Ouest France a, entre autres absurdités, surligné en gras dans son papier intitulé « Naître à Bethléem, un exploit de tous les jours » les dires d’une autochtone : « Si la Vierge Marie était arrivée à ce moment-là, elle aurait subi le même sort que moi. » C'est-à-dire le mur, les barrages, les contrôles… Bref la ‘’malveillance’’, voire la ‘’haine’’ des Israéliens envers les enfants à naître ‘’Palestiniens’’ pour causes de maltraitances de leurs mères.
Il va de soi, que si cette citation à été reprise et publiée par le journal c’est indubitablement parce qu’elle colle parfaitement au ton de l’écrit et à l’objectif recherché. A savoir la victimisation du ‘’Palestinien’’.
La déduction anti-israélienne, qui s’impose forcément à l’esprit suite à la lecture de ce pamphlet, commande à beaucoup de lecteurs l’oubli de leur bagage intellectuel historique et culturel. En revanche, pour ceux qui s’opposent à ce manichéisme simpliste et à la culpabilisation systématique de l’Israélien, il leur suffit d’affirmer, ironiquement, que Marie, ayant été juive et donc israélienne, aurait passé le mur, les barrages ou les contrôles sans aucune difficulté et aurait accouché dans les meilleurs conditions d’un petit Jésus de Nazareth Roi des Juifs si l’on se réfère à l’inscription faite sur toute croix : I N R I.
Cette petite réflexion sur un ‘’détail’’ de l’article démontre combien est gangréné le milieu journalistique. Du journaliste, au rédacteur en chef, sans oublier les correcteurs et les propriétaires, nul n’a vu l’utilité d’une correction ou d’une suppression de cet extrait de l’article mis en ligne le 22 décembre. Personne n’a vu l’erreur de la journaliste car l’air du temps étant anti-israélien nul n’y a vu du mal.
C’est ainsi que se construit l’image néfaste d’Israël. Et c’est par ce biais que s’explique la norme de bruler son drapeau, la violence faite aux Juifs pour cause de soutien à une politique «d’apartheid», les excuses envers les « roquettes artisanales » ou encore les assassinats de « colons ».
Les Journalistes sont en conséquence complices des excès commis à l’encontre d’Israël, de ses citoyens et de ses soutiens. Les juger sera donc, le moment venu, une nécessité vitale pour la défense de nos valeurs.
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