Le billet du jour de Pierre Marcelle, intitulé « Les armes des Palestiniens » ne détonne pas de tous les précédents. Comme tous les autres il contient LA vérité de l’auteur. Suite à leurs lectures, nul ne peut plus ignorer la véritable raison quant à la situation financière catastrophique du quotidien qui l’emploie. La publication incessante de textes orientés, prenant le lecteur pour plus idiot qu’il n’est, est sans doute la raison du départ d’une grande partie du lectorat de Libération vers d’autres sources d’informations. Ce qui ne peut réellement déplaire à tout individu soucieux de la déontologie du métier. Dans le cas de ce quotidien, il ne faut donc pas s’étonner de le voir remplir, de plus en plus, le rôle de papier d’emballage pour les étals des marchés de France, ou de papier de toilette pour les WC publics et mal entretenus. Voire, disparaître définitivement des kiosques.
Dans le corps du texte, Pierre Marcelle écrit : « (…) depuis neuf mois qu'Israël évacua Gaza comme un dompteur referme la porte de la cage (…) ». Image forte ne pouvant que conduire à mépriser le peuple israélien prenant, sans doute, ‘’plaisir à humilier ’’. Un journaliste, digne de ce nom, aurait rajouté -en respect pour ses lecteurs et afin de leur permettre une vue d’ensemble- la porte de sortie vers l’Egypte.
Pas Pierre Marcelle obnubilé par son mépris d’Israël.
Plus bas, ce scribouillard compare la situation de la jeune Houda Ghalya « vivante icône », « 10 ans, titubant dans le sable auprès des cadavres de sa famille, sur la plage d'Al-Soudania » tués par « un obus israélien (mais sur le Net de toutes les hypothèses déjà contesté) », et le « canonisé martyre » du carrefour de Nétzarim Mohammed Al-Dura, 12 ans, mort le 30 septembre 2000 par « une balle israélienne (mais cinq ans après toujours contestée) ».
Quel journaliste honnête aurait osé ce parallèle sans, auparavant, vérifier ses sources ? A l’aube du sixième anniversaire de la diffusion de la mise en scène du « Carrefour de Netzarim », aucune enquête sérieuse de la part de ce propagandiste ne vient étayer l’affirmation de Charles Enderlin ou balayer l’incertitude émise par Arlette Chabot -directrice de la direction de France 2- quant à l’origine du tir. Sans parler, évidemment, de tous ceux ayant visionné le film et garantissant, à la suite, la mise en scène du caméraman ‘’palestinien’’.
Affirmation, donc, gratuite de ce journaleux, bien incapable de prouver ses affirmations. Quant à attribuer définitivement le « massacre » de la plage d’Al-Soudania, à un « obus israélien », le ‘’journaliste’’ qu’il prétend être n’a pas eu besoin d’attendre le résultat de l’enquête pour être assurer de la responsabilité totale des Forces de Défense Israéliennes de ce nouveau massacre de ‘’Palestiniens’’ par des ‘’Palestiniens’’. Une enquête, certes, de Tsahal, mais ne demandant qu’à être démentie ou confirmée. Ce qui est hors de portée intellectuelle de ce faiseur d’opinions négatives à l’encontre d’Israël et de ses soutiens.
Nul n’a besoin d’une longue investigation pour s’apercevoir que pour Pierre Marcelle, mais aussi ses collègues de travail, Israël -comme le Juif il y a peu- est forcément responsable, forcément coupable, forcément condamnable. Et tant pis, si quelque Juifs, ou soutiens de leur cause, démontent au fil du temps -immanquablement et point par point- les accusations faites sur mesures. Ces derniers n’étant pas lecteurs payants de Libération, et n’abusant pas de la Justice, le quotidien a peu, voire rien, à craindre.
Un qualificatif nomme, sans se tromper, l’attitude tenue par Pierre Marcelle. Lors d’accusations mensongères, systématiques et répétées, l’antisémitisme n’est plus un doute. D’autant plus, lorsqu’en conclusion de son pamphlet salissant Israël, il affirme : « (…) les armes que constituent ces images choquent, ceux-là qui s'en indignent devraient bien s'aviser que les Palestiniens n'en ont pas d'autres ».
Pierre Marcelle, lui, a la plume. Il s’en sert et en abuse en faveur d’un combat nauséeux.
Dans le corps du texte, Pierre Marcelle écrit : « (…) depuis neuf mois qu'Israël évacua Gaza comme un dompteur referme la porte de la cage (…) ». Image forte ne pouvant que conduire à mépriser le peuple israélien prenant, sans doute, ‘’plaisir à humilier ’’. Un journaliste, digne de ce nom, aurait rajouté -en respect pour ses lecteurs et afin de leur permettre une vue d’ensemble- la porte de sortie vers l’Egypte.
Pas Pierre Marcelle obnubilé par son mépris d’Israël.
Plus bas, ce scribouillard compare la situation de la jeune Houda Ghalya « vivante icône », « 10 ans, titubant dans le sable auprès des cadavres de sa famille, sur la plage d'Al-Soudania » tués par « un obus israélien (mais sur le Net de toutes les hypothèses déjà contesté) », et le « canonisé martyre » du carrefour de Nétzarim Mohammed Al-Dura, 12 ans, mort le 30 septembre 2000 par « une balle israélienne (mais cinq ans après toujours contestée) ».
Quel journaliste honnête aurait osé ce parallèle sans, auparavant, vérifier ses sources ? A l’aube du sixième anniversaire de la diffusion de la mise en scène du « Carrefour de Netzarim », aucune enquête sérieuse de la part de ce propagandiste ne vient étayer l’affirmation de Charles Enderlin ou balayer l’incertitude émise par Arlette Chabot -directrice de la direction de France 2- quant à l’origine du tir. Sans parler, évidemment, de tous ceux ayant visionné le film et garantissant, à la suite, la mise en scène du caméraman ‘’palestinien’’.
Affirmation, donc, gratuite de ce journaleux, bien incapable de prouver ses affirmations. Quant à attribuer définitivement le « massacre » de la plage d’Al-Soudania, à un « obus israélien », le ‘’journaliste’’ qu’il prétend être n’a pas eu besoin d’attendre le résultat de l’enquête pour être assurer de la responsabilité totale des Forces de Défense Israéliennes de ce nouveau massacre de ‘’Palestiniens’’ par des ‘’Palestiniens’’. Une enquête, certes, de Tsahal, mais ne demandant qu’à être démentie ou confirmée. Ce qui est hors de portée intellectuelle de ce faiseur d’opinions négatives à l’encontre d’Israël et de ses soutiens.
Nul n’a besoin d’une longue investigation pour s’apercevoir que pour Pierre Marcelle, mais aussi ses collègues de travail, Israël -comme le Juif il y a peu- est forcément responsable, forcément coupable, forcément condamnable. Et tant pis, si quelque Juifs, ou soutiens de leur cause, démontent au fil du temps -immanquablement et point par point- les accusations faites sur mesures. Ces derniers n’étant pas lecteurs payants de Libération, et n’abusant pas de la Justice, le quotidien a peu, voire rien, à craindre.
Un qualificatif nomme, sans se tromper, l’attitude tenue par Pierre Marcelle. Lors d’accusations mensongères, systématiques et répétées, l’antisémitisme n’est plus un doute. D’autant plus, lorsqu’en conclusion de son pamphlet salissant Israël, il affirme : « (…) les armes que constituent ces images choquent, ceux-là qui s'en indignent devraient bien s'aviser que les Palestiniens n'en ont pas d'autres ».
Pierre Marcelle, lui, a la plume. Il s’en sert et en abuse en faveur d’un combat nauséeux.
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