Une chose est certaine ! Les hommes politiques français, tous partis confondus, s’organisent petit à petit afin de constituer une force devant contrer la décision raisonnable de cesser les versements européens aux terroristes du Hamas à la tête de l’Autorité palestinienne. Dans une chronique parue dans Libération et intitulée « Il faut aider les Palestiniens », Lionel Jospin ne souhaite pas rester en marge de ce débat.
Ainsi, après avoir rappeler ce qu’est exactement ce groupe terroriste et totalement reconnu son refus « de se plier à nos préalables », tel un candide, il s’interroge : « Faudrait-il donc aider le nouveau gouvernement palestinien, en dépit de ce qu'il est et au risque de contredire nos valeurs, à cause des conditions de vie très précaires des Palestiniens ? ».
Comme toute analyse où l’on subodore rapidement la réponse, l’ex-candidat à l’Elysée entraîne le lecteur vers une déduction qui se veut in-con-tes-ta-ble : « L'arrêt de l'aide internationale va provoquer très vite d'extrêmes souffrances dans la population palestinienne, déjà si éprouvée, et sans doute un immense désordre dans les territoires (…) Au point que je n'exclus pas que nous soyons amenés, dans l'urgence, à changer une position initiale devenue intenable ». Que les dirigeants européens se le tiennent pour dit, nulle autre alternative n’est envisageable !!!
Et si d’aventure, quelques doutes subsistent entre les deux oreilles de certains lecteurs, ‘’l’évidence’’ sera enfoncée : « Une telle situation serait-elle au moins susceptible d'amener le Hamas à changer ses positions, notamment à l'égard d'Israël ?(…) rien ne permet de l'escompter ».
C’est donc écrit ! L’Union européenne -quel qu’en soit le prix économique et/ou politique- se doit d’aider un ‘’parti’’ qui a comme programme la copie conforme de Mein Kampff. A savoir : « La solution finale de la question juive » en terre de ‘’Palestine’’.
Ne pas considérer cette aide souhaitée exclusivement sous ce regard est, ni plus ni moins, contribuer à l’objectif recherché. Et c’est ce que font ces hommes politiques sous couvert de sentiments ‘’humanistes’’ à l’endroit d’un ‘’peuple palestinien’’ qui a librement et démocratiquement désigné ses dirigeants connus pour leurs positions extrémistes. Oublier ce ‘’détail’’ c’est faire fi abusivement de leur liberté de choix.
Qu’importe, en conséquences, aux Israéliens le devenir de cette population à qui l’on a enseigné que seule l’éradication de l’Etat juif est important ? Pour comparaison, fallait il prendre en compte les souffrances du peuple Allemand lors de la deuxième guerre mondiale et ne pas intervenir sous les prétextes fallacieux de son propre devenir ? Il est vrai, qu’alors, était en jeu autre chose que le seul avenir du peuple juif !
Ne faut il pas plutôt -et toujours par comparaison- réunir une coalition internationale autour du seul objectif avouable : la défaite totale du ‘’palestinisme’’ afin de créer les conditions requises pour une coexistence pacifique des deux peuples ?
Nul homme politique français, ou autre d’ailleurs, n’aura l’envergure de cette ambition pour la Paix.
Quant à celui qui fut abandonné par la communauté juive française à l’élection présidentielle de 2002, il nous aura démontré, par ce texte, combien cette dernière avait vu juste. Notamment lorsqu’il exige du Hamas « qu'il ne détourne pas notre aide de son objet » (sic).
Le sort réservé au député européen socialiste François Zimeray -exclu d’autorité de toute réélection ( par le parti de Lionel Jospin ) pour s’être obstiné à réclamer une enquête sur les fonds attribués à l’AP- nous rappelle combien est risible ce souhait.
Mais il est vrai que le ridicule ne tue plus.
Ainsi, après avoir rappeler ce qu’est exactement ce groupe terroriste et totalement reconnu son refus « de se plier à nos préalables », tel un candide, il s’interroge : « Faudrait-il donc aider le nouveau gouvernement palestinien, en dépit de ce qu'il est et au risque de contredire nos valeurs, à cause des conditions de vie très précaires des Palestiniens ? ».
Comme toute analyse où l’on subodore rapidement la réponse, l’ex-candidat à l’Elysée entraîne le lecteur vers une déduction qui se veut in-con-tes-ta-ble : « L'arrêt de l'aide internationale va provoquer très vite d'extrêmes souffrances dans la population palestinienne, déjà si éprouvée, et sans doute un immense désordre dans les territoires (…) Au point que je n'exclus pas que nous soyons amenés, dans l'urgence, à changer une position initiale devenue intenable ». Que les dirigeants européens se le tiennent pour dit, nulle autre alternative n’est envisageable !!!
Et si d’aventure, quelques doutes subsistent entre les deux oreilles de certains lecteurs, ‘’l’évidence’’ sera enfoncée : « Une telle situation serait-elle au moins susceptible d'amener le Hamas à changer ses positions, notamment à l'égard d'Israël ?(…) rien ne permet de l'escompter ».
C’est donc écrit ! L’Union européenne -quel qu’en soit le prix économique et/ou politique- se doit d’aider un ‘’parti’’ qui a comme programme la copie conforme de Mein Kampff. A savoir : « La solution finale de la question juive » en terre de ‘’Palestine’’.
Ne pas considérer cette aide souhaitée exclusivement sous ce regard est, ni plus ni moins, contribuer à l’objectif recherché. Et c’est ce que font ces hommes politiques sous couvert de sentiments ‘’humanistes’’ à l’endroit d’un ‘’peuple palestinien’’ qui a librement et démocratiquement désigné ses dirigeants connus pour leurs positions extrémistes. Oublier ce ‘’détail’’ c’est faire fi abusivement de leur liberté de choix.
Qu’importe, en conséquences, aux Israéliens le devenir de cette population à qui l’on a enseigné que seule l’éradication de l’Etat juif est important ? Pour comparaison, fallait il prendre en compte les souffrances du peuple Allemand lors de la deuxième guerre mondiale et ne pas intervenir sous les prétextes fallacieux de son propre devenir ? Il est vrai, qu’alors, était en jeu autre chose que le seul avenir du peuple juif !
Ne faut il pas plutôt -et toujours par comparaison- réunir une coalition internationale autour du seul objectif avouable : la défaite totale du ‘’palestinisme’’ afin de créer les conditions requises pour une coexistence pacifique des deux peuples ?
Nul homme politique français, ou autre d’ailleurs, n’aura l’envergure de cette ambition pour la Paix.
Quant à celui qui fut abandonné par la communauté juive française à l’élection présidentielle de 2002, il nous aura démontré, par ce texte, combien cette dernière avait vu juste. Notamment lorsqu’il exige du Hamas « qu'il ne détourne pas notre aide de son objet » (sic).
Le sort réservé au député européen socialiste François Zimeray -exclu d’autorité de toute réélection ( par le parti de Lionel Jospin ) pour s’être obstiné à réclamer une enquête sur les fonds attribués à l’AP- nous rappelle combien est risible ce souhait.
Mais il est vrai que le ridicule ne tue plus.
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