Le quotidien du soir dit de ‘’référence’’ a encore sévit, dans les colonnes de sa rubrique « Opinions », en publiant un point de vue de Shlomo Sand, « professeur d'histoire contemporaine à l'université de Tel-Aviv » et intitulé « Est-on trop indulgent envers Israël ? ». Au vu du titre honorifique de l’auteur, tout un chacun peut donc espérer un enrichissement intellectuel qu’il pourra retirer de la lecture du texte. Et pourtant, sauf à vouloir refaire l’histoire, il ne pourra éviter de remarquer les nombreuses contre-vérités écrites dans ce pamphlet et qui ont permis, de ce fait, sa sélection par le responsable du journal.
Voici une petite sélection de ce que forme l’avis du ‘’professeur’’, et qui plaît tant aux détracteurs de son pays.
« Après le refus historique permanent d'Israël de reconnaître ne serait-ce qu'une part de responsabilité dans l'origine du problème des réfugiés palestiniens en 1948 (…) ».
« Refus historique » ? Quel refus ? Quand ? Par quel gouvernement ou loi ? ‘’L’historien’’ ne nous en dira pas plus. Ni, d’ailleurs, sur la part elle-même des responsabilités réelles israéliennes de ce départ car inexistante.
« (…) (le Hamas) n'a pas pour autant rejeté totalement l'idée d'une reconnaissance mutuelle, laissant même entendre qu'il y serait disposé sous certaines conditions ».
Il semblerait que ‘’l’historien’’ n’a pas lu la charte de l’organisation terroriste ni ne comprend la stratégie des ennemis de son propre pays. Pour un professeur, tout cela fait tâche. Car, comment concevoir qu’Israël consente à souscrire à ces « conditions », sans au préalable exiger la reconnaissance de son existence ?
« L'Etat d'Israël, c'est un fait, n'a jamais reconnu une Palestine dans les frontières de 1967, pas plus qu'il n'a reconnu Al Qods (la partie arabe de Jérusalem) comme capitale de l'Etat palestinien (…) ».
Est il utile de rappeler qu’Israël a accepté la résolution onusienne 181, et donc la création d’un état arabe en la Palestine mandataire avec des frontières de 1948 plus large que celles de 1967 ? Faut il évoquer, encore, la proposition de Moshé Dayan de rendre les territoires conquis en 1967 contre une paix définitive et les trois refus de la ligue arabe réunit à Khartoum?
Bien sûr que non. Sauf à vouloir réduire l’intelligence de ce ‘’professeur’’ à sa juste mesure. C’est à dire à pas grand chose.
« Israël édifie un mur de séparation, non pas sur son territoire, mais sur celui des Palestiniens »
Pourquoi ce mur ? Pourquoi maintenant ? Etait-ce, par hasard, pour protéger les citoyens israéliens des actes barbares du Hamas qui, paraît il, est prêt à reconnaître Israël « sous certaines conditions » ? Par ailleurs, fallait il construire cette clôture de sécurité sur le territoire israélien et, ainsi, accorder une prime aux terroristes ?
« Israël met tout en oeuvre pour annexer la partie orientale de Jérusalem, y compris ses Lieux saints ».
Jérusalem, capitale du seul peuple juif à travers tous les temps devrait donc être la capitale d’un ‘’peuple’’ dont on peine à connaître son histoire récente, tout comme il nous est impossible de trouver une seule citation de cette ville dans le Coran.
Après s’en être pris aux réalités du terrain, Shlomo Sand s’en prend au vœu du peuple juif d’avoir un état régit par ses lois et ses coutumes.
« (…) le parti Notre maison Israël d'Avigdor Liberman, (…) veut exclure des frontières d'Israël les régions peuplées d'Arabes israéliens afin de parvenir à un Etat juif "homogène". Ce parti, qui prône ouvertement une épuration ethnique, jouit désormais d'une pleine légitimité dans la culture politique israélienne »
Ce qui est bon pour les ‘’Palestiniens’’, serait donc moins bon pour les Israéliens ! Ainsi, le fait de rendre tout territoire, avant son évacuation, Judenrein (sans Juifs) est conforme à l’esprit et aux règles installées des ‘’Droits de l’hommistes’’. Mais détourner une frontière afin que des arabo-israéliens deviennent concitoyens de leurs frères dans l’état en devenir n’est rien d’autre qu’« épuration ethnique ». N’est-ce pas là une conception du deux poids et deux mesures ?
« Ehoud Olmert l'a invité à rejoindre son gouvernement, selon le principe que seuls des partis juifs et sionistes peuvent participer à sa coalition. De ce fait, il confirme ce qui est connu de tous : l'Etat d'Israël n'est démocratique que pour ses juifs et juif pour ses Arabes ».
Il y a des Juifs dans les nations arabes et musulmanes qui souhaiteraient que leurs pays soient l’équivalent en droit et démocratie d’Israël à leur égard. Ces quelques Juifs auraient, entre autre, quelques députés décriant le système qui régit leurs vies, des journaux libres et indépendants, des émissions télévisuelles sous-titrées en hébreu ou, encore, le droit d’aller et venir en Israël sans courir le risque d’être emprisonnés à leur retour. Liste non exhaustive, de bien entendu.
On l’aura compris, le ‘’professeur’’ n’est autre qu’un idéologue au service des ennemis d’Israël. Le bon sens, qualité exigée à l’endroit de celui qui a pour charge de former la jeunesse, fait largement défaut dans cette satire du conflit. On ne peut donc s’étonner, que Le Monde retienne cette opinion comme valable.
Tout autre attitude de ce journal de propagande serait preuve de tournant doctrinal. Et, à ce jour, nulle intention de ce genre titille les cerveaux de ses dirigeants.
Voici une petite sélection de ce que forme l’avis du ‘’professeur’’, et qui plaît tant aux détracteurs de son pays.
« Après le refus historique permanent d'Israël de reconnaître ne serait-ce qu'une part de responsabilité dans l'origine du problème des réfugiés palestiniens en 1948 (…) ».
« Refus historique » ? Quel refus ? Quand ? Par quel gouvernement ou loi ? ‘’L’historien’’ ne nous en dira pas plus. Ni, d’ailleurs, sur la part elle-même des responsabilités réelles israéliennes de ce départ car inexistante.
« (…) (le Hamas) n'a pas pour autant rejeté totalement l'idée d'une reconnaissance mutuelle, laissant même entendre qu'il y serait disposé sous certaines conditions ».
Il semblerait que ‘’l’historien’’ n’a pas lu la charte de l’organisation terroriste ni ne comprend la stratégie des ennemis de son propre pays. Pour un professeur, tout cela fait tâche. Car, comment concevoir qu’Israël consente à souscrire à ces « conditions », sans au préalable exiger la reconnaissance de son existence ?
« L'Etat d'Israël, c'est un fait, n'a jamais reconnu une Palestine dans les frontières de 1967, pas plus qu'il n'a reconnu Al Qods (la partie arabe de Jérusalem) comme capitale de l'Etat palestinien (…) ».
Est il utile de rappeler qu’Israël a accepté la résolution onusienne 181, et donc la création d’un état arabe en la Palestine mandataire avec des frontières de 1948 plus large que celles de 1967 ? Faut il évoquer, encore, la proposition de Moshé Dayan de rendre les territoires conquis en 1967 contre une paix définitive et les trois refus de la ligue arabe réunit à Khartoum?
Bien sûr que non. Sauf à vouloir réduire l’intelligence de ce ‘’professeur’’ à sa juste mesure. C’est à dire à pas grand chose.
« Israël édifie un mur de séparation, non pas sur son territoire, mais sur celui des Palestiniens »
Pourquoi ce mur ? Pourquoi maintenant ? Etait-ce, par hasard, pour protéger les citoyens israéliens des actes barbares du Hamas qui, paraît il, est prêt à reconnaître Israël « sous certaines conditions » ? Par ailleurs, fallait il construire cette clôture de sécurité sur le territoire israélien et, ainsi, accorder une prime aux terroristes ?
« Israël met tout en oeuvre pour annexer la partie orientale de Jérusalem, y compris ses Lieux saints ».
Jérusalem, capitale du seul peuple juif à travers tous les temps devrait donc être la capitale d’un ‘’peuple’’ dont on peine à connaître son histoire récente, tout comme il nous est impossible de trouver une seule citation de cette ville dans le Coran.
Après s’en être pris aux réalités du terrain, Shlomo Sand s’en prend au vœu du peuple juif d’avoir un état régit par ses lois et ses coutumes.
« (…) le parti Notre maison Israël d'Avigdor Liberman, (…) veut exclure des frontières d'Israël les régions peuplées d'Arabes israéliens afin de parvenir à un Etat juif "homogène". Ce parti, qui prône ouvertement une épuration ethnique, jouit désormais d'une pleine légitimité dans la culture politique israélienne »
Ce qui est bon pour les ‘’Palestiniens’’, serait donc moins bon pour les Israéliens ! Ainsi, le fait de rendre tout territoire, avant son évacuation, Judenrein (sans Juifs) est conforme à l’esprit et aux règles installées des ‘’Droits de l’hommistes’’. Mais détourner une frontière afin que des arabo-israéliens deviennent concitoyens de leurs frères dans l’état en devenir n’est rien d’autre qu’« épuration ethnique ». N’est-ce pas là une conception du deux poids et deux mesures ?
« Ehoud Olmert l'a invité à rejoindre son gouvernement, selon le principe que seuls des partis juifs et sionistes peuvent participer à sa coalition. De ce fait, il confirme ce qui est connu de tous : l'Etat d'Israël n'est démocratique que pour ses juifs et juif pour ses Arabes ».
Il y a des Juifs dans les nations arabes et musulmanes qui souhaiteraient que leurs pays soient l’équivalent en droit et démocratie d’Israël à leur égard. Ces quelques Juifs auraient, entre autre, quelques députés décriant le système qui régit leurs vies, des journaux libres et indépendants, des émissions télévisuelles sous-titrées en hébreu ou, encore, le droit d’aller et venir en Israël sans courir le risque d’être emprisonnés à leur retour. Liste non exhaustive, de bien entendu.
On l’aura compris, le ‘’professeur’’ n’est autre qu’un idéologue au service des ennemis d’Israël. Le bon sens, qualité exigée à l’endroit de celui qui a pour charge de former la jeunesse, fait largement défaut dans cette satire du conflit. On ne peut donc s’étonner, que Le Monde retienne cette opinion comme valable.
Tout autre attitude de ce journal de propagande serait preuve de tournant doctrinal. Et, à ce jour, nulle intention de ce genre titille les cerveaux de ses dirigeants.
victor le raciste , tu as pris de l article les parties qui t intérresse , et pourquoi ne parles tu pas de la colonisation encouragée et autorisée qui ronge les territoires des palestiniens d années en années que ce tres cher et rare professeur de Tel aviv mentionne?
RépondreSupprimerPour le courageux anomyme ci-dessus, je serais donc un "raciste" pour avoir corriger quelque peu ce ''professeur'' souffrant d'idéologie anti-israélienne.
RépondreSupprimerQuant à la "colonisation encouragée" que j'aurais librement ignoré, elle ne doit sa continuation qu'à l'entêtement de la partie adverse.
En effet, 1948, 1967, 1993 et 2000 sont des dates reconnues de la volonté israélienne de la création d'un état ''palestinien''.
Mais tout cela, l'antisémite ci-dessus le sait déjà.
Victor PEREZ
Super le blog VICTOR
RépondreSupprimerEnfin un site qui decrit ces medias et ces opinions qui mettent Israel et les juifs comme les meaux de toute la terre
MERCI ENCORE VICTOR POUR ECLAIRER CES EUROPEENS ET AUTRES NATIONS AVEUGLES
JEROME