Dans un point de vue publié dans Le Monde, intitulé « Chesnot, Malbrunot et les autres », Robert Ménard et Pierre Veilletet, respectivement Secrétaire général et Président de Reporters sans frontières, lancent un appel à sauver les deux journalistes français : « Non parce que notre pays a refusé de participer à la guerre déclenchée par les Etats-Unis. Il faut les sauver parce qu'ils sont journalistes et, à ce titre, de simples civils protégés par des conventions qui - en théorie bien sûr - encadrent le droit de la guerre. parce qu'ils sont des témoins et rien d'autre ».
Notre compassion sincère nous oblige à une solidarité sans failles à cet appel. Tant bien même qu’ils ne seraient pas ‘’témoins’’, mais seulement chauffeurs, policiers, enseignants, ou tout simplement femmes bénévoles italiennes secourant -de leurs faibles moyens- le peuple irakien puisqu’ils « n'ont pas à être pris pour cible par quelque belligérant que ce soit. Ils ne sont pas comptables de la position de leur pays ».
On ne peut que se joindre à ce bon sens, et à ce titre, « L'urgence est de les ramener vivants à la maison .Cela fait maintenant plus d'un mois que nos trois amis sont aux mains de l'Armée islamique en Irak. Et autant de jours que les diplomates français multiplient les initiatives pour qu'ils rentrent sains et saufs ».
C’est après cette introduction de ce ‘’cri de douleur’’ corporatiste, que notre solidarité sans failles, vis à vis des deux civils otages, se lézarde quelque peu. En effet ! Nos deux auteurs dirigeants de RSF ( association ayant placé il y a quelque temps, dans un classement international, l’Autorité palestinienne devant Israël pour le respect de la liberté de la presse [sic] ) en viennent à valider les méthodes diplomatiques de cette Chiraquie que toute conscience logique et démocratique ne peut saisir : « (…) Paris n'a pas hésité à solliciter le concours de groupes extrémistes susceptibles de peser sur les ravisseurs. C'est de bonne guerre, si l'on ose dire : il n'y a sûrement aucune autre façon de les sortir de là. Jacques Chirac a eu raison ».
Tous honneurs jetés aux orties et hontes bues, les voici justifiant l’injustifiable. Sans douter que les journalistes seront vraisemblablement relâché sain et sauf d’ici peu, il est temps pour nous -simples citoyens- d’envisager d’évaluer le coût des dettes chiraquiennes ainsi contractées par cet esprit munichois.
Qu’elles seront elles ? Quelles pourront être les doléances du Hezbollah, du Hamas, du Djihad islamique, des Frères musulmans ou autres autorités d’un islamisme que le bon sens occidental ( laïque ou non ) rejette ? Quelles qu’elles soient, on peut appréhender d’ors et déjà que la France ne soit contrainte de céder sur ses valeurs et principes qui ont permit à son peuple de se construire.
Faut-il, en conséquence, en accepter l’augure ? Doit on permettre, pour sauvegarder la vie d’individus qui connaissaient les risques du métier et les avantages pécuniaires personnels qu’ils en tireraient, que les Français soient -à leur tour- pris en otages ?
Faut-il également, que la planète entière s’arrête de tourner comme ces ‘’petits reporters’’ le laissent entendre ? « (…) on est en droit de s'interroger : l'offensive lancée par les forces irakiennes et américaines contre les places fortes de la rébellion sunnite, au moment même où les négociations avec les ravisseurs étaient sur le point d'aboutir, n'a pas facilité les choses (…) ».
Imaginez, après avoir lu ce paragraphe totalement caractéristique d’une idéologie certaine, un Irak livré totalement aux nazislamistes pour l’unique raison que les forces de la coalition et irakiennes seront tenues d’attendre la libération des deux Français avant de parfaire l'indépendance démocratique de ce pays. Combien d’appels, alors, les deux scribouillards de RSF rédigeront ils dans le quotidien de ‘’référence’’ Le Monde, et a qui imputeront ils la responsabilité du retard des libérations concernant les nouveaux otages ?
Tout résultera, on peut raisonnablement le spéculer, de la nationalité et du métier des nouvelles victimes.
Comme dépendra -si l’on en croit ces irresponsables de RSF- l’avenir de l’information en Irak du sort de Georges Malbrunot, et Christian Chesnot : « S'il devait leur arriver malheur, (…cela serait ndlr.) la possibilité même d'informer en Irak qui pourrait disparaître. Et qui ferait alors les frais de ce huis clos ? Les Irakiens eux-mêmes, restant seuls face à ceux qui, de part et d'autre, veulent leur imposer un avenir dont ils sont aujourd'hui encore exclus. (…) ».
Appréhension hypocrite, leur permettant simplement de légitimer leur anti-américanisme primaire par une équivalence trompeuse des valeurs de l’obscurantisme prônées par les islamistes internationaux avec celles de la démocratie US, seule garante pourtant de la pérennité de notre système européen.
« Sans information, osera-t-on encore parler d'exporter le droit et la démocratie dans une des régions du monde les plus hermétiques à ces valeurs ? ».
Il serait bon, auparavant, de conserver les acquis de nos sociétés occidentales. Mais pour cela, il est évident qu’il est inutile d’attendre de leur part, pour le moment, une quelconque assistance.
lundi 27 septembre 2004
jeudi 23 septembre 2004
Tirons la chasse !
Je ne peux m’empêcher de partager avec vous le verbiage d’un individu au crâne rasé se proclamant « écrivain » -donc supposé intellectuel- et affirmant porter sur lui, en guise de ‘’porte bonheur’’, une médaille à l’effigie d’Oussama Ben Laden.
Celui là même qui appelle à la guerre contre les incroyants a sa conception personnelle de l’humanité, tout comme d’Adolphe Hitler le fit -en son temps-contre ceux ne s'accommodant pas de son modèle aryen.
Verbiage tenu lors d’une émission télévisuelle sur l’antisémitisme, intitulée « Complément d’ Enquête », lors d’un sujet consacré à un spectacle actuel, qui n’aurait guère dépareillé de ceux qui se jouaient -alors- dans les caves de Berlin dans les années trente, avant la prise de pouvoir par les nazis. Vous avez, je n’en doute pas, reconnu le triste spectacle de Dieudonné intitulé « Mes excuses ».
Verbiage retranscrit ci-dessous mot pour mot et accompagné par les commentaires d’une voix off ( VO ) qui confirme que le sens n’a en rien été altéré par le montage du reportage, dans une volonté de présentation biaisée.
VO : « Il ( Dieudonné ndlr ) est aussi le porte parole de certains intellectuels dont il s’inspire. Parmi eux, un ancien du parti communiste qui se définit comme écrivain libertaire : Alain Soral. Son ami Dieudonné a été censuré, nous dit il, car les médias seraient manipulés par les partisans d’Israël ».
Alain Soral (AS): « On cherche, un, à obtenir de la part des gens qui sont dans les médias un soutien inconditionnel à Israël ; la formation qualifiante pour exister dans les médias aujourd’hui c’est d’être sioniste. Si t’es anti-sioniste, si t’es judéocritique, ou quoique se soit, tu dégages. C’est clair ! Le ménage est fait. C’est clair ! Si tu veux vérifier par ailleurs hein… D’ailleurs tout le monde le sait. Je veux dire les mecs, c’est pour ça qu’ils ne bougent pas sur le sujet, parce qu’ils disent ‘’ comment je vais manger demain’’ tu vois. C’est comme ça qu’ils distribuent le boulot tu vois ».
VO : « Le LOBBY sioniste ! un argument classique des ANTISEMITES. Tout comme d’ailleurs, ‘’l’incapacité’’ des Juifs à se remettre en cause ».
AS : « Quand avec un Français, Juif Sioniste, tu commences à dire qu’ il y a peut être des problèmes qui viennent de chez vous. Vous avez peut être fait quelques erreurs. Ce n’est pas systématiquement la faute de l’autre, totalement, si personne ne peut vous blairer partout où vous mettez les pieds. Parce qu’en gros c’est à peu près ça leur histoire tu vois. Ca fait quand même 2500 ans, où chaque fois où ils mettent les pieds quelque part, au bout de cinquante ans ils se font dérouiller. Il faut se dire, c’est bizarre ! C’est que tout le monde a toujours tort sauf eux. Le mec, ( le Juif sioniste ndlr.) il se met à aboyer, à hurler, à devenir dingue tu vois. Tu ne peux pas dialoguer. C’est à dire, je pense, c’est qu’il y a une psychopathologie, tu vois, du judaïsme sionisme qui confine à la maladie mentale… ».
VO : « Des convictions violentes, que l’on retrouve dans le spectacle de l’humoriste ( Dieudonné ndlr.). A mots choisis, bien entendu. Par exemple, il ne parle jamais de Juifs, mais de Sionistes (…) ».
Il est inutile, on en conviendra aisément, de répondre à ces accusations haineuses qui mêlent -selon un schéma devenu classique- les arguments du « Protocole des sages de Sion » avec la responsabilité juive quant à l’antisémitisme ambiant.
Cette retranscription d’une banale conversation tenue par cet écrivain ex-communiste face à une caméra de France 2, prouve -si besoin était- la proximité d’idées entre les politiques rouges, brunes et vertes, tout comme elle démontre le double langage utilisé lors de son débat avec Maître Gilles-William Goldnadel, dès que l’on aborde le sujet de l’antisémitisme de front.
AS : « (…) Je pense que les juifs actuellement sont en danger, qu’il n’y pas encore de véritables actes antisémites mais que la France revient silencieusement à son antisémitisme des années 30 parce que la plupart des Français moyens pensent que les Juifs contrôlent la France empêchant un Dieudonné ou un Soral de s’exprimer ou un Mel Gibson de faire un film sur le Christ !».
Brève lucidité ou, plus simplement, peur de s’exposer face à un membre de l’association « Avocats sans Frontières » ?Mes confrères Schlomoh Brodowicz et Claude Bensoussan appelaient, dans leurs récents articles, à tirer la chasse sur cette idéologie nauséeuse.
Soyons solidaires. Tirons fort. Très fort.
Celui là même qui appelle à la guerre contre les incroyants a sa conception personnelle de l’humanité, tout comme d’Adolphe Hitler le fit -en son temps-contre ceux ne s'accommodant pas de son modèle aryen.
Verbiage tenu lors d’une émission télévisuelle sur l’antisémitisme, intitulée « Complément d’ Enquête », lors d’un sujet consacré à un spectacle actuel, qui n’aurait guère dépareillé de ceux qui se jouaient -alors- dans les caves de Berlin dans les années trente, avant la prise de pouvoir par les nazis. Vous avez, je n’en doute pas, reconnu le triste spectacle de Dieudonné intitulé « Mes excuses ».
Verbiage retranscrit ci-dessous mot pour mot et accompagné par les commentaires d’une voix off ( VO ) qui confirme que le sens n’a en rien été altéré par le montage du reportage, dans une volonté de présentation biaisée.
VO : « Il ( Dieudonné ndlr ) est aussi le porte parole de certains intellectuels dont il s’inspire. Parmi eux, un ancien du parti communiste qui se définit comme écrivain libertaire : Alain Soral. Son ami Dieudonné a été censuré, nous dit il, car les médias seraient manipulés par les partisans d’Israël ».
Alain Soral (AS): « On cherche, un, à obtenir de la part des gens qui sont dans les médias un soutien inconditionnel à Israël ; la formation qualifiante pour exister dans les médias aujourd’hui c’est d’être sioniste. Si t’es anti-sioniste, si t’es judéocritique, ou quoique se soit, tu dégages. C’est clair ! Le ménage est fait. C’est clair ! Si tu veux vérifier par ailleurs hein… D’ailleurs tout le monde le sait. Je veux dire les mecs, c’est pour ça qu’ils ne bougent pas sur le sujet, parce qu’ils disent ‘’ comment je vais manger demain’’ tu vois. C’est comme ça qu’ils distribuent le boulot tu vois ».
VO : « Le LOBBY sioniste ! un argument classique des ANTISEMITES. Tout comme d’ailleurs, ‘’l’incapacité’’ des Juifs à se remettre en cause ».
AS : « Quand avec un Français, Juif Sioniste, tu commences à dire qu’ il y a peut être des problèmes qui viennent de chez vous. Vous avez peut être fait quelques erreurs. Ce n’est pas systématiquement la faute de l’autre, totalement, si personne ne peut vous blairer partout où vous mettez les pieds. Parce qu’en gros c’est à peu près ça leur histoire tu vois. Ca fait quand même 2500 ans, où chaque fois où ils mettent les pieds quelque part, au bout de cinquante ans ils se font dérouiller. Il faut se dire, c’est bizarre ! C’est que tout le monde a toujours tort sauf eux. Le mec, ( le Juif sioniste ndlr.) il se met à aboyer, à hurler, à devenir dingue tu vois. Tu ne peux pas dialoguer. C’est à dire, je pense, c’est qu’il y a une psychopathologie, tu vois, du judaïsme sionisme qui confine à la maladie mentale… ».
VO : « Des convictions violentes, que l’on retrouve dans le spectacle de l’humoriste ( Dieudonné ndlr.). A mots choisis, bien entendu. Par exemple, il ne parle jamais de Juifs, mais de Sionistes (…) ».
Il est inutile, on en conviendra aisément, de répondre à ces accusations haineuses qui mêlent -selon un schéma devenu classique- les arguments du « Protocole des sages de Sion » avec la responsabilité juive quant à l’antisémitisme ambiant.
Cette retranscription d’une banale conversation tenue par cet écrivain ex-communiste face à une caméra de France 2, prouve -si besoin était- la proximité d’idées entre les politiques rouges, brunes et vertes, tout comme elle démontre le double langage utilisé lors de son débat avec Maître Gilles-William Goldnadel, dès que l’on aborde le sujet de l’antisémitisme de front.
AS : « (…) Je pense que les juifs actuellement sont en danger, qu’il n’y pas encore de véritables actes antisémites mais que la France revient silencieusement à son antisémitisme des années 30 parce que la plupart des Français moyens pensent que les Juifs contrôlent la France empêchant un Dieudonné ou un Soral de s’exprimer ou un Mel Gibson de faire un film sur le Christ !».
Brève lucidité ou, plus simplement, peur de s’exposer face à un membre de l’association « Avocats sans Frontières » ?Mes confrères Schlomoh Brodowicz et Claude Bensoussan appelaient, dans leurs récents articles, à tirer la chasse sur cette idéologie nauséeuse.
Soyons solidaires. Tirons fort. Très fort.
mardi 21 septembre 2004
Médaille en chocolat contre éthique israélienne
Tout prix international, quel qu’il soit, est conçu dans l’objectif d’encourager les candidats potentiels dans leur domaine de prédilection, et dans celui de primer les meilleurs d’entre eux. La renommée acquise par cette soudaine popularité, mais aussi le pactole s’y rattachant, font que l’enjeu est loin d’être négligeable pour les lauréats.
Ce concours est en conséquence, pour nos sociétés occidentales, un stimulant qui a contribué à leur progression dans leurs quêtes d’un monde de progrès, voire d’un monde où l’inhumanité en serait banni et la PAIX régnerait en maître absolu.
Dans cet esprit ( il faut le supposer !?!? ) Yoko Ono -la femme du chanteur assassiné John Lennon- a créé son prix le « biennal LennonOno prize » en mémoire de son défunt mari, et a fait savoir qu’elle le remettait cette année au technicien nucléaire israélien Mordechaï Vanunu.
On est donc en droit, suite à ce choix abscons et pour la préservation de nos facultés mentales, de se questionner quant au labeur consacré par ce ‘’lauréat’’ à la recherche de la Paix universelle. Qu’a t-il fait en ce sens, qui lui permit de concourir à ce prix et permettre ainsi à la somme de 50.000 $ de tomber dans son escarcelle ?
Rien ! Ou suffisamment, si l’on considère que la divulgation des secrets de fabrications de l’usine qui l’employait, contre salaire évidemment, n’ont pas à être dissimulés à la curiosité des ‘’concurrents’’ et peuvent être cédés contre quelques avantages pécuniaires personnels.
Beaucoup, si l’on note que cette usine dépend de l’état et travaille, entre autre, dans le domaine militaire. Enormément, si l’on constate que ce domaine concerne le nucléaire, et que la centrale située à Dimona est en Israël, ce pays excommunié par tous les ‘’pacifistes’’ de la planète pour cause de refus d’adopter l’hymne international « Peace and love » au détriment de toute logique sécuritaire.
Travail ‘’conséquent’’ et secrets divulgués qui, pour avoir mené à une peine de prison de 18 années, ont conduit le ‘’lauréat’’ à se faire remarquer par l’artiste japonaise Yoko Ono, « qui craint que son champion ne soit assassiné ( elle sait de quoi elle parle [selon l’AFP ndlr] ) et espère qu’il pourra venir en personne, récupérer son prix le mois prochain à New York ».
En attendant cet hypothétique voyage le récompensant de ‘’ses efforts méritants’’(sic) en faveur de la PAIX mondiale, l’espion israélien fut approché, par ailleurs, par la direction du festival de films documentaires consacrés aux « Droits de l’Homme » à Glasgow, afin de poursuivre par téléphone devant un public local ‘’son combat’’ contre l’Etat d’Israël. Plus d’une bonne dizaine de minutes lui furent nécessaires afin d’y affirmer -en toute liberté- qu’« Israël est un pays dangereux (…) qui ne veut pas la paix et ne veut pas trouver de solution pacifique au problème palestinien ». (re sic).
Ce qui démontre, tout au moins, que le ‘’lauréat’’ Mordéchaï Vanunu n’est pas, lui, en péril, ce qui devrait -de fait- rassurer toutes ces ‘’ONGs ‘’pétries par les droits des hommes….. hormis, bien sûr, ceux des Israéliens refusant leur diktat.
Il est de ces institutions se prétendant ‘’morales’’ qui, pour pouvoir accréditer les dires d’un homme qualifié de traître à sa patrie ( qualification que les lois en vigueur dans les pays démocratiques dignes de ce nom ne démentent pas ), n’hésitent pas à pervertir l’esprit noble et philanthropique de cette recherche de progrès en faveur de l’humanité entière, en esprit partisan pourchassant la moindre opportunité de nuire à ces valeurs et distribuant, pour cela, des médailles qui ne s’avèrent être faites, après examen minutieux, que de cacao rance empoisonnant tout le système.
Les ‘’lauréats’’ et ‘’orateurs’’ de ces entreprises de déstabilisation de nos sociétés ont donc, a contrario, un effet repoussoir bénéfique sur tout individu épris de la démocratie et des valeurs des Droits de l’Homme.
Le fait qu’Israël ne sera pas ‘’médaillé’’ ( entre autres ) pour sa ‘’clôture de sécurité’’ ou pour ses ‘’éliminations ciblés’’ de terroristes ( qui ont pour unique but la préservation de la vie -qu’elle soit israélienne ou ‘’palestinienne’’-) est la preuve que les valeurs humaines portées par le Judaïsme se portent très bien.
Par contre, à la première médaille en chocolat attribuée à Israël -et seulement en cette circonstance- il nous faudra, alors, nous soucier rapidement de son devenir démocratique et de son éthique.
Ce concours est en conséquence, pour nos sociétés occidentales, un stimulant qui a contribué à leur progression dans leurs quêtes d’un monde de progrès, voire d’un monde où l’inhumanité en serait banni et la PAIX régnerait en maître absolu.
Dans cet esprit ( il faut le supposer !?!? ) Yoko Ono -la femme du chanteur assassiné John Lennon- a créé son prix le « biennal LennonOno prize » en mémoire de son défunt mari, et a fait savoir qu’elle le remettait cette année au technicien nucléaire israélien Mordechaï Vanunu.
On est donc en droit, suite à ce choix abscons et pour la préservation de nos facultés mentales, de se questionner quant au labeur consacré par ce ‘’lauréat’’ à la recherche de la Paix universelle. Qu’a t-il fait en ce sens, qui lui permit de concourir à ce prix et permettre ainsi à la somme de 50.000 $ de tomber dans son escarcelle ?
Rien ! Ou suffisamment, si l’on considère que la divulgation des secrets de fabrications de l’usine qui l’employait, contre salaire évidemment, n’ont pas à être dissimulés à la curiosité des ‘’concurrents’’ et peuvent être cédés contre quelques avantages pécuniaires personnels.
Beaucoup, si l’on note que cette usine dépend de l’état et travaille, entre autre, dans le domaine militaire. Enormément, si l’on constate que ce domaine concerne le nucléaire, et que la centrale située à Dimona est en Israël, ce pays excommunié par tous les ‘’pacifistes’’ de la planète pour cause de refus d’adopter l’hymne international « Peace and love » au détriment de toute logique sécuritaire.
Travail ‘’conséquent’’ et secrets divulgués qui, pour avoir mené à une peine de prison de 18 années, ont conduit le ‘’lauréat’’ à se faire remarquer par l’artiste japonaise Yoko Ono, « qui craint que son champion ne soit assassiné ( elle sait de quoi elle parle [selon l’AFP ndlr] ) et espère qu’il pourra venir en personne, récupérer son prix le mois prochain à New York ».
En attendant cet hypothétique voyage le récompensant de ‘’ses efforts méritants’’(sic) en faveur de la PAIX mondiale, l’espion israélien fut approché, par ailleurs, par la direction du festival de films documentaires consacrés aux « Droits de l’Homme » à Glasgow, afin de poursuivre par téléphone devant un public local ‘’son combat’’ contre l’Etat d’Israël. Plus d’une bonne dizaine de minutes lui furent nécessaires afin d’y affirmer -en toute liberté- qu’« Israël est un pays dangereux (…) qui ne veut pas la paix et ne veut pas trouver de solution pacifique au problème palestinien ». (re sic).
Ce qui démontre, tout au moins, que le ‘’lauréat’’ Mordéchaï Vanunu n’est pas, lui, en péril, ce qui devrait -de fait- rassurer toutes ces ‘’ONGs ‘’pétries par les droits des hommes….. hormis, bien sûr, ceux des Israéliens refusant leur diktat.
Il est de ces institutions se prétendant ‘’morales’’ qui, pour pouvoir accréditer les dires d’un homme qualifié de traître à sa patrie ( qualification que les lois en vigueur dans les pays démocratiques dignes de ce nom ne démentent pas ), n’hésitent pas à pervertir l’esprit noble et philanthropique de cette recherche de progrès en faveur de l’humanité entière, en esprit partisan pourchassant la moindre opportunité de nuire à ces valeurs et distribuant, pour cela, des médailles qui ne s’avèrent être faites, après examen minutieux, que de cacao rance empoisonnant tout le système.
Les ‘’lauréats’’ et ‘’orateurs’’ de ces entreprises de déstabilisation de nos sociétés ont donc, a contrario, un effet repoussoir bénéfique sur tout individu épris de la démocratie et des valeurs des Droits de l’Homme.
Le fait qu’Israël ne sera pas ‘’médaillé’’ ( entre autres ) pour sa ‘’clôture de sécurité’’ ou pour ses ‘’éliminations ciblés’’ de terroristes ( qui ont pour unique but la préservation de la vie -qu’elle soit israélienne ou ‘’palestinienne’’-) est la preuve que les valeurs humaines portées par le Judaïsme se portent très bien.
Par contre, à la première médaille en chocolat attribuée à Israël -et seulement en cette circonstance- il nous faudra, alors, nous soucier rapidement de son devenir démocratique et de son éthique.
mardi 14 septembre 2004
Bilan 5764 satisfaisant
En cette fin d’année du calendrier hébraïque ou les bilans se dressent, et à l’approche de la date anniversaire du déclenchement de « la Guerre d’Oslo » le 27 septembre prochain, il est une certitude quant au gain de cet affrontement meurtrier. Israël a gagné face à l’armée de terroristes du ‘’général’’ Arafat par KO.
Nul, parmi les plus antagonistes d’Israël( et du peuple juif ), ne peut nous dénier cette victoire. Victoire cependant au goût amer, dû aux milliers de morts et de blessés israéliens, qui obscurcit notre joie et nous appelle encore à une grande prudence pour l’avenir.
Toutefois, il est néanmoins un autre succès, tout aussi glorieux, mais qui passe totalement inaperçu. Celui qui voit la défaite de l’idéologie internationale anti-israélienne -qui regroupe les bruns, les rouges et les verts (que ces derniers soient écologiques (sic) ou islamistes)- dont l’objectif final n’est autre que l’affaiblissement d’Israël (voire sa capitulation ), son isolement planétaire et/ou la rupture de ses liens avec les différentes communautés juives de diaspora.
Faut il -pour s’en convaincre et ne se limiter qu’à la ‘’Chiraquie’’- se souvenir des échecs des faits abjects de ces idéologues, notamment ceux de cet ‘’expert’’ dénommé Pascal Boniface instruisant les Juifs de France -fiers de leur double allégeance- du risque d’antisémitisme encouru par leur soutien inconditionnel à Israël ? de son allégation attestant que ce pays avait sa place dans l’axe du mal décrié par George W. Bush ? ou encore de son interrogation désespérée : « Est il permis de critiquer Israël » ?
Est il nécessaire de rappeler également tous les éditoriaux ou programmes de ces médias tricolore, que certains sympathisants de l’existence indiscutable d’Israël en tant qu’état juif surnomment « l’Immonde, Collaboration, l’Observateur borgne, Franz zwei ou encore Arte-ung », affirmant sans l’ombre d’un doute que la guerre israélo-arabe est un conflit de colonisation sans cependant entraîner nulle adhésion de masse à cette vision ?
Est il indispensable, pour authentifier ce succès, de se remémorer à nouveau les différentes cabales créées et développées artificiellement aux seules fins de nuire à l’honorabilité et la moralité du peuple israélien, et au-delà du peuple juif ? Complots réunissant de ‘’braves’’ ONGs, mais aussi des médias aux ordres du Quai d’Orsay ou tenus par des idéologues en mal de combat ‘’nobles‘’à leurs causes, fourvoyant -par cela- les préceptes qui régissent la vie démocratique de nos pays occidentaux.
Faut il aussi retranscrire la liste des noms de ces Français de confession israélite comme ils se déterminent, ‘’collaborant’’( souvent à leur insu mais toujours serviles à leurs maîtres ) à cette idéologie nauséabonde qui refuse aux israéliens ce qu’elle accorde sans contestations aux ‘’Palestiniens’’ ? Ces Français juifs qui, au fil du temps pour avoir trop discréditer notre camp, se font oublier espérant ainsi se faire pardonner.
A quoi bon finalement se martyriser à nouveau les méninges !
A considérer la situation d’Israël à l’aune de la nouvelle année 5765, il est plus qu’avéré que ce pays n’est pas isolé diplomatiquement, ni boycotté économiquement ni sa survie menacée militairement ; qu’il se situe toujours à la pointe du progrès dans les domaines aussi variés que médical, technologique, scientifique ou militaire ; ou que la démocratie de ce pays s’est renforcée, démontrant ainsi sa force spirituelle et son unité face à l’adversité.
Toutes ces évidences sont autant de preuves de l’échec incontestable de la conspiration de ce monde arabo-musulman, et de ses amis de circonstances.
En cette fin de l’année 5764 et au su de ce bilan assez satisfaisant et réjouissant pour le peuple d’Israël -en sa terre sainte ou en diaspora- il ne reste qu’à souhaiter pour la nouvelle année 5765 un cru meilleur encore, si ce n’est tout simplement la PAIX tant attendu par ce peuple mille fois meurtri par l’hostilité nourri à son égard au fil des siècles.
Que la PAIX couvre enfin la terre d’Israël comme le miel recouvrira la pomme en cette soirée de Roch ha Chana.
CHANA TOVA ou METOUKA lé kol AM ISRAËL. ( Bonne et douce année à tout le peuple d’Israël )
jeudi 9 septembre 2004
La troisième guerre mondiale
Le drame de la prise d’otages à Beslan en Ossétie du Nord a vu les ‘’bonnes consciences’’ européennes, et notamment françaises, mélanger -encore et toujours- les genres et adjoindre, ainsi, la honte à la douleur.
L’hystérie anti-russe, qui a suivi cette tragédie, a confirmer tout le mal qui atteint ces ‘’intellectuels’’ qui pervertissent la raison au profit de leur cause idéologique. Tel Michel Tubiana, président de la LDH, liant la responsabilité de ce carnage au conflit en Tchétchènie et qualifiant, de ce fait, Vladimir Poutine de « criminel de guerre ».
Ainsi, par cette inversion des valeurs fondamentales de nos sociétés, les islamistes preneurs d’otages ont eu cette immense satisfaction de se voir dépeindre comme des « résistants » à l’armée d’occupation russe, malgré leur triste fait d’arme dans cette école. On ne peut, en conséquence, qu’être consterné lorsque l’on découvre le témoignage du docteur Leonid Rochal, négociateur dans cette crise.
« Je leur ai dit (…) que j'étais prêt à venir tout de suite dans l'école voir s'il y avait des blessés, des malades, apporter des médicaments. Ils ont dit non à tout. Ils ont précisé : ‘’Si vous vous approchez à moins de 30 m, on tirera’’ ». « (…) les terroristes ne m'ont jamais laissé entrer dans l'école. Quand je leur ai demandé pourquoi ils ne voulaient pas que j'apporte de la nourriture aux otages, ils m'ont répondu que tous avaient décrété une grève de la faim ». (…) « ‘’Si vous ne respectez pas ce qu'on vous demande, on tuera des otages’’. C'est d'ailleurs ce qu'ils ont fait en assassinant 21 hommes, qu'ils ont jetés par la fenêtre. Honnêtement, ce ne sont pas des êtres humains mais des sauvages ». (…) « Une fois, ils m'ont passé la directrice de l'école au téléphone. Elle m'a dit : ‘’Aidez-nous, arrêtez de dire à la télévision qu'il y a 300 otages. Nous sommes beaucoup plus. Sinon, ils vont continuer à nous abattre ’’. Les otages étaient très mal, sans eau, sans nourriture, sans médicaments. Les terroristes se sont montrés très durs, grossiers, méprisants avec les otages, humiliants avec les femmes ».
Après cette description qui inspire dégoût et colère à tout être respectueux des Droits de l’Homme, le pédiatre négociateur en vient à l'aberrant, à l’inimaginable, à ce qui sépare l’être humain de l’animal ou l’être civilisé du barbare. Chaque mot suivant, décrivant le carnage, sont à soupeser afin de concevoir l’extrême bestialité de ces fauves.
« Quand il y a eu les premières explosions, les enfants ont essayé de fuir l'école. Les preneurs d'otages ont commencé à tirer sur eux. A l'hôpital, un petit garçon m'a raconté qu'une fillette a tenté de courir comme lui. Elle a été abattue et son corps est resté accroché au rebord de la fenêtre ».
Il est aisé, ainsi, de concevoir les souffrances de ces enfants, comme il est possible d’imaginer celles d’autres victimes de par le monde, provoquées par cet lecture immonde de l’islam qui -pour cause de prosélytisme- condamne les infidèles, au mieux, à mourir ou, au pire, à expier le restant de leur vie ‘’leurs fautes’’ par la souffrance physique et/ou la perte d’un parent proche. Douleurs agrémentées, de surcroît, par les condamnations en provenance de ce ‘’monde intellectuel’’, adepte d’une perversion de toutes les raisons, devenant -par ce fait- complice de ces nazislamistes et servant leur cause qu’il croit commune à la sienne.
Il est donc judicieux de s’interroger, comme Léonid Rochal, sur cette inversion des valeurs et de s’inquiéter de nos lendemains. « Que faire ? Cette question est posée au monde civilisé dans son ensemble. Au sein du commando de Beslan, plusieurs noms étaient à consonance arabe, ce qui semble confirmer le lien avec le terrorisme international. Nous sommes en présence d'une troisième guerre mondiale non déclarée. L'humanité doit la gagner ».
Les USA ainsi qu’Israël ont relevé ce défi. La Russie les a rejoint. Quant aux autres parties de ce monde civilisé, il leur faudra auparavant guérir le mal qui les affaiblit de jour en jour en jetant, sans appel et définitivement, aux oubliettes cette doctrine victimaire ainsi que ses maîtres.
L’hystérie anti-russe, qui a suivi cette tragédie, a confirmer tout le mal qui atteint ces ‘’intellectuels’’ qui pervertissent la raison au profit de leur cause idéologique. Tel Michel Tubiana, président de la LDH, liant la responsabilité de ce carnage au conflit en Tchétchènie et qualifiant, de ce fait, Vladimir Poutine de « criminel de guerre ».
Ainsi, par cette inversion des valeurs fondamentales de nos sociétés, les islamistes preneurs d’otages ont eu cette immense satisfaction de se voir dépeindre comme des « résistants » à l’armée d’occupation russe, malgré leur triste fait d’arme dans cette école. On ne peut, en conséquence, qu’être consterné lorsque l’on découvre le témoignage du docteur Leonid Rochal, négociateur dans cette crise.
« Je leur ai dit (…) que j'étais prêt à venir tout de suite dans l'école voir s'il y avait des blessés, des malades, apporter des médicaments. Ils ont dit non à tout. Ils ont précisé : ‘’Si vous vous approchez à moins de 30 m, on tirera’’ ». « (…) les terroristes ne m'ont jamais laissé entrer dans l'école. Quand je leur ai demandé pourquoi ils ne voulaient pas que j'apporte de la nourriture aux otages, ils m'ont répondu que tous avaient décrété une grève de la faim ». (…) « ‘’Si vous ne respectez pas ce qu'on vous demande, on tuera des otages’’. C'est d'ailleurs ce qu'ils ont fait en assassinant 21 hommes, qu'ils ont jetés par la fenêtre. Honnêtement, ce ne sont pas des êtres humains mais des sauvages ». (…) « Une fois, ils m'ont passé la directrice de l'école au téléphone. Elle m'a dit : ‘’Aidez-nous, arrêtez de dire à la télévision qu'il y a 300 otages. Nous sommes beaucoup plus. Sinon, ils vont continuer à nous abattre ’’. Les otages étaient très mal, sans eau, sans nourriture, sans médicaments. Les terroristes se sont montrés très durs, grossiers, méprisants avec les otages, humiliants avec les femmes ».
Après cette description qui inspire dégoût et colère à tout être respectueux des Droits de l’Homme, le pédiatre négociateur en vient à l'aberrant, à l’inimaginable, à ce qui sépare l’être humain de l’animal ou l’être civilisé du barbare. Chaque mot suivant, décrivant le carnage, sont à soupeser afin de concevoir l’extrême bestialité de ces fauves.
« Quand il y a eu les premières explosions, les enfants ont essayé de fuir l'école. Les preneurs d'otages ont commencé à tirer sur eux. A l'hôpital, un petit garçon m'a raconté qu'une fillette a tenté de courir comme lui. Elle a été abattue et son corps est resté accroché au rebord de la fenêtre ».
Il est aisé, ainsi, de concevoir les souffrances de ces enfants, comme il est possible d’imaginer celles d’autres victimes de par le monde, provoquées par cet lecture immonde de l’islam qui -pour cause de prosélytisme- condamne les infidèles, au mieux, à mourir ou, au pire, à expier le restant de leur vie ‘’leurs fautes’’ par la souffrance physique et/ou la perte d’un parent proche. Douleurs agrémentées, de surcroît, par les condamnations en provenance de ce ‘’monde intellectuel’’, adepte d’une perversion de toutes les raisons, devenant -par ce fait- complice de ces nazislamistes et servant leur cause qu’il croit commune à la sienne.
Il est donc judicieux de s’interroger, comme Léonid Rochal, sur cette inversion des valeurs et de s’inquiéter de nos lendemains. « Que faire ? Cette question est posée au monde civilisé dans son ensemble. Au sein du commando de Beslan, plusieurs noms étaient à consonance arabe, ce qui semble confirmer le lien avec le terrorisme international. Nous sommes en présence d'une troisième guerre mondiale non déclarée. L'humanité doit la gagner ».
Les USA ainsi qu’Israël ont relevé ce défi. La Russie les a rejoint. Quant aux autres parties de ce monde civilisé, il leur faudra auparavant guérir le mal qui les affaiblit de jour en jour en jetant, sans appel et définitivement, aux oubliettes cette doctrine victimaire ainsi que ses maîtres.
dimanche 5 septembre 2004
La maladie de la France
« Les otages Français sont en bonne santé, sont bien traités et seront libérés incessamment sous peu (…) Prochainement (…) Voire bientôt… » C’est ce que nous martèlent, en substance, depuis plusieurs jours le Ministère des Affaires étrangères ainsi que Dominique de Villepin, le Ministre de l’Intérieur et des Cultes de la « Chiraquie ».
Ces assertions d’une issue heureuse de l’enlèvement, reprises par tous les médias nationaux, sont pourtant fortement démenties ce week-end par le retour de Michel Barnier à Paris. Peut on y voir ici un signe annonciateur de l’échec de la « politique pro-arabe » de la France quant à la protection de ses ressortissants traversant la planète arabo-musulmane ? C’est la question qui s’impose au moment où sont écrites ces lignes.
Echec, tout relatif pour l’instant, qui ne s’analyse cependant pas par le manque d’ardeur du Ministre des Affaires étrangères à l’exécution de toutes les révérences diplomatiques nécessaires en Egypte, en Jordanie ou au Qatar !!! Ou par faute d’avoir affirmer, sur Al-Jazira (le média des terroristes qui se respectent), être « très touché (…), comme le président Chirac est touché en ce moment, par cette unanimité de toutes les personnalités du monde arabe et musulman qui s'expriment dans ce sens pour dire leur incompréhension devant cet enlèvement. La France a depuis très longtemps une politique constante et le président de la République y tient beaucoup » !!!
Ni par manque du constat de ce ministre, que ce même média s’est fait « l'écho très objectivement des appels dans les pays arabes et musulmans qui expliquent ce que fait la France depuis très longtemps en Irak ou en Palestine pour la dignité, la liberté et la souveraineté des peuples » !!!
Bref ! Toutes ces ‘’politesses’’, finalement, pour un résultat qui se révèle être bien médiocre, et que ne laissait guère présager la bonne entente entre la « Chiraquie » et toutes les composantes de ce monde arabo-musulman. Résultat insatisfaisant, que Bertrand Coq -envoyé (très très) spécial en Irak du média aux ordres France 2 - explique ( le plus sérieusement ) par l’appréhension des ‘’ravisseurs’’ de tomber (lors de la libération des otages) nez à nez sur un barrage iraquien ou, pire, sur l’armée US !?!?
Ce qui autorise, en conséquences, les téléspectateurs manipulés par cette « Chiraquerie » à faire retomber, d’ors et déjà, la responsabilité de l’assassinat éventuel des deux journalistes sur les ‘’OCCUPANTS’’ Yankees et sur le gouvernement intérimaire irakien à la solde de ces derniers. ( Ce que n’hésite pas à faire déjà le quotidien saoudien Al-watan par un éditorial titré : « A qui profite le crime ? ». La réponse étant, cela va de soi, « aux Sionistes et aux Américains ». Interprétation de l’enlèvement que l’on retrouvera, sans nul doute d’ici peu, dans les cercles américanophobes et antisiomites du monde occidental, dit civilisé ).
Téléspectateur manipulé donc, mais aussi par ailleurs électeur légitimé -par le point de vue de l’écrivain Tahar Ben Jelloun publié par le quotidien Le Monde ( média au service de la politique du Quai d’Orsay ) et intitulé « Votons tous le 2 novembre !» - à sanctionner George W. Bush.
« Et si, le 2 novembre prochain, en même temps que des millions d'Américains, tous les peuples du monde se rendaient aux urnes pour voter ? (…) Selon que le président actuel sera battu ou réélu, le destin de centaines de milliers de familles en Irak, en Palestine, en Israël, dans tout le Moyen-Orient, au Maghreb et en Afrique, en Amérique latine et dans bien d'autres contrées, s'en trouvera changé. (…)Les Irakiens ainsi que les Palestiniens auraient toute légitimité à participer à ce vote. (…) il va falloir que les nations civilisées s'unissent pour réparer les immenses dégâts causés par une puissance qui s'est appuyée sur le mensonge et l'illégalité pour donner un semblant de justification à sa politique. (…) Ceux qui se réjouiraient de la réélection de George W. Bush sont les gens d'Al-Qaida - ils l'ont déclaré - parce qu'il est celui dont la politique correspond le mieux à leur stratégie. (…) Quant aux Palestiniens (…) ils vivent les horreurs de l'occupation israélienne, laquelle est bénie et encouragée par l'équipe Bush. Jamais leur sort n'avait été aussi catastrophique que depuis l'arrivée de Sharon et de Bush au pouvoir. (…) si les dirigeants de par le monde acceptaient d'organiser ce vote symbolique le 2 novembre prochain. Ce serait comme une volonté d'indépendance et de résistance face à un hégémonisme qui avance enrobé de quelques valeurs religieuses, de certains préjugés et de quelques prétextes ».
Chronique insidieuse comprenant allégations, mensonges et omissions se disputant le privilège de lobotomiser un peu plus, si possible, le lecteur Français.
Politique chiraquienne donc, mais aussi lignes éditoriales des médias nationaux, ‘’experts’’ et autres ‘’intellectuels’’ confirmant en cela, à ceux qui en doutaient encore, ce mal qui ronge profondément la France prénommé la « Chiraquie ». Ce régime qui cautionne le non sens au détriment des valeurs des démocrates qui ont fait la République et la patrie des Droits de l’Homme.
Et si, ( par inadvertance sait on jamais ) ce vote symbolique était organisé par ce ‘’camp de la paix’’, parions alors que ceux qui refusent la main mise de cette « Chiraquie » se mobiliseraient afin de se compter, puis démontrer que la défense de la démocratie contre la pensée unique a de très nombreux supporters, grossissant -de fait- le rang de ce ‘’camp de la guerre’’ prêt -lorsque nécessaire- à se défendre à nouveau -si l’on en croit les derniers sondages- sous l’autorité du Président américain George W. Bush dès le 03 novembre prochain.
Ce qui est de très bonne augure pour la fabrication de l’antidote dont la France a besoin.
Ces assertions d’une issue heureuse de l’enlèvement, reprises par tous les médias nationaux, sont pourtant fortement démenties ce week-end par le retour de Michel Barnier à Paris. Peut on y voir ici un signe annonciateur de l’échec de la « politique pro-arabe » de la France quant à la protection de ses ressortissants traversant la planète arabo-musulmane ? C’est la question qui s’impose au moment où sont écrites ces lignes.
Echec, tout relatif pour l’instant, qui ne s’analyse cependant pas par le manque d’ardeur du Ministre des Affaires étrangères à l’exécution de toutes les révérences diplomatiques nécessaires en Egypte, en Jordanie ou au Qatar !!! Ou par faute d’avoir affirmer, sur Al-Jazira (le média des terroristes qui se respectent), être « très touché (…), comme le président Chirac est touché en ce moment, par cette unanimité de toutes les personnalités du monde arabe et musulman qui s'expriment dans ce sens pour dire leur incompréhension devant cet enlèvement. La France a depuis très longtemps une politique constante et le président de la République y tient beaucoup » !!!
Ni par manque du constat de ce ministre, que ce même média s’est fait « l'écho très objectivement des appels dans les pays arabes et musulmans qui expliquent ce que fait la France depuis très longtemps en Irak ou en Palestine pour la dignité, la liberté et la souveraineté des peuples » !!!
Bref ! Toutes ces ‘’politesses’’, finalement, pour un résultat qui se révèle être bien médiocre, et que ne laissait guère présager la bonne entente entre la « Chiraquie » et toutes les composantes de ce monde arabo-musulman. Résultat insatisfaisant, que Bertrand Coq -envoyé (très très) spécial en Irak du média aux ordres France 2 - explique ( le plus sérieusement ) par l’appréhension des ‘’ravisseurs’’ de tomber (lors de la libération des otages) nez à nez sur un barrage iraquien ou, pire, sur l’armée US !?!?
Ce qui autorise, en conséquences, les téléspectateurs manipulés par cette « Chiraquerie » à faire retomber, d’ors et déjà, la responsabilité de l’assassinat éventuel des deux journalistes sur les ‘’OCCUPANTS’’ Yankees et sur le gouvernement intérimaire irakien à la solde de ces derniers. ( Ce que n’hésite pas à faire déjà le quotidien saoudien Al-watan par un éditorial titré : « A qui profite le crime ? ». La réponse étant, cela va de soi, « aux Sionistes et aux Américains ». Interprétation de l’enlèvement que l’on retrouvera, sans nul doute d’ici peu, dans les cercles américanophobes et antisiomites du monde occidental, dit civilisé ).
Téléspectateur manipulé donc, mais aussi par ailleurs électeur légitimé -par le point de vue de l’écrivain Tahar Ben Jelloun publié par le quotidien Le Monde ( média au service de la politique du Quai d’Orsay ) et intitulé « Votons tous le 2 novembre !» - à sanctionner George W. Bush.
« Et si, le 2 novembre prochain, en même temps que des millions d'Américains, tous les peuples du monde se rendaient aux urnes pour voter ? (…) Selon que le président actuel sera battu ou réélu, le destin de centaines de milliers de familles en Irak, en Palestine, en Israël, dans tout le Moyen-Orient, au Maghreb et en Afrique, en Amérique latine et dans bien d'autres contrées, s'en trouvera changé. (…)Les Irakiens ainsi que les Palestiniens auraient toute légitimité à participer à ce vote. (…) il va falloir que les nations civilisées s'unissent pour réparer les immenses dégâts causés par une puissance qui s'est appuyée sur le mensonge et l'illégalité pour donner un semblant de justification à sa politique. (…) Ceux qui se réjouiraient de la réélection de George W. Bush sont les gens d'Al-Qaida - ils l'ont déclaré - parce qu'il est celui dont la politique correspond le mieux à leur stratégie. (…) Quant aux Palestiniens (…) ils vivent les horreurs de l'occupation israélienne, laquelle est bénie et encouragée par l'équipe Bush. Jamais leur sort n'avait été aussi catastrophique que depuis l'arrivée de Sharon et de Bush au pouvoir. (…) si les dirigeants de par le monde acceptaient d'organiser ce vote symbolique le 2 novembre prochain. Ce serait comme une volonté d'indépendance et de résistance face à un hégémonisme qui avance enrobé de quelques valeurs religieuses, de certains préjugés et de quelques prétextes ».
Chronique insidieuse comprenant allégations, mensonges et omissions se disputant le privilège de lobotomiser un peu plus, si possible, le lecteur Français.
Politique chiraquienne donc, mais aussi lignes éditoriales des médias nationaux, ‘’experts’’ et autres ‘’intellectuels’’ confirmant en cela, à ceux qui en doutaient encore, ce mal qui ronge profondément la France prénommé la « Chiraquie ». Ce régime qui cautionne le non sens au détriment des valeurs des démocrates qui ont fait la République et la patrie des Droits de l’Homme.
Et si, ( par inadvertance sait on jamais ) ce vote symbolique était organisé par ce ‘’camp de la paix’’, parions alors que ceux qui refusent la main mise de cette « Chiraquie » se mobiliseraient afin de se compter, puis démontrer que la défense de la démocratie contre la pensée unique a de très nombreux supporters, grossissant -de fait- le rang de ce ‘’camp de la guerre’’ prêt -lorsque nécessaire- à se défendre à nouveau -si l’on en croit les derniers sondages- sous l’autorité du Président américain George W. Bush dès le 03 novembre prochain.
Ce qui est de très bonne augure pour la fabrication de l’antidote dont la France a besoin.
mercredi 1 septembre 2004
Où est notre France ?
Les ardents défenseurs Français des valeurs de la République, et au delà, des valeurs des Droits Universels de l’Homme et du système démocratique ont, depuis ces derniers jours, des réels soucis à se faire quant à la pérennité de cette France qu’ils aiment et souhaitent voir prospérer et se développer.
En effet ! De par sa « politique arabe » de ces dernières années, la France chiraquienne a démontré un intérêt réel et constant pour un monde qui a comme modèle ce que tout démocrate rejette sans ambages : le régime dictatorial, qu’il soit monarchique ou présidentiel, soumis -de plus- à une interprétation particulière de l’Islam, digne de l’histoire européenne de la chrétienté au Moyen âge.
L’enlèvement en Irak des deux journalistes Français par des ‘’soldats’’ à la solde de l’islamisme, a permis à toute la planète -mais surtout au monde occidental- de mesurer toute l’estime portée en retour de cette « politique arabe » par ces régimes en place, et qui a accru le sentiment de honte dans le cœur des véritables démocrates, Français et autres.
Qu’il soit ici exprimé, avant toute analyse et sans aucune arrière pensée, l’espoir que ces deux otages français soient libérés sains et saufs et le plus rapidement possible. Mais qu’il nous soit aussi autorisé de nous questionner sur l’action diplomatique des dirigeants de cette « Chiraquie », dont tôt ou tard il leur faudra s’expliquer, voire en rendre compte.
Comment, tout d’abord, considérer l’intervention télévisuelle de Jacques Chirac (à destination des ravisseurs) en faveur de ces deux hommes, où il fut dit que « TOUT sera fait pour obtenir leurs libérations », alors que bien d’autres européens, notamment Italiens, eurent auparavant la gorge tranchée par des nazislamistes sans que cela l’oblige à intervenir publiquement ou à expédier son ministre des Affaires étrangères activer les relations de la « Chiraquie » pour que cesse définitivement cette barbarie islamiste ?
Comment ensuite commenter le départ, toute affaire cessante, de Michel Barnier pour le Proche-orient, puis sa rencontre en Egypte, entre autre, avec Ahmed Quoreï, Premier ministre fantoche d’une Autorité palestinienne responsable -le même jour- d’un carnage à Beer-shev’a ayant coûté la vie à plusieurs civils Israéliens, coupables -paraît il- de la ‘’colonisation’’ d’un territoire ‘’appartenant’’ à ce monde qui fascine tant les autorités chiraquiennes ?
Comment encore décrire les soutiens et louanges unanimes envers cette ‘’Chiraquie’’ favorable à la « cause islamique », en provenance du Hamas, du Djihad islamique, du Hezbollah, des Frères musulmans et autres ‘’associations caritatives’’ crées en faveur de tous les déshérités que les régimes despotiques arabo-musulmans fabriquent, puis utilisent pour leurs fins politiques, singulièrement contre le camp occidental dont la France est sensée appartenir ?
Comment certifier subséquemment que la France, parée de tels ‘’alliés’’ si peu soucieux de nos valeurs et principes, est véritablement et totalement une partie intégrante du monde occidental et peut en conséquence prétendre participer à la pacification de conflits régionaux, alors que ses ‘’amis’’ du Proche et Moyen-orient sont soit parties prenantes ou soutiens de la partie adverse ? Nul pays occidental en guerre n’aura donc intérêt à la voir s’immiscer dans le règlement du conflit qui l’occupe.
Il est donc évident que la priorité de la « Chiraquie » n’est pas la défense de notre civilisation, mais plutôt la recherche d’un sauf-conduit assurant SA tranquillité et une certaine prospérité pour ses habitants. A court ou moyen terme cela peut s’avérer être lucratif.
A long terme, il faudra payer l’addition. Elle risque, alors, d’être considérable pour la France, celle que l'on aime et qui fait honneur aux démocrates
En effet ! De par sa « politique arabe » de ces dernières années, la France chiraquienne a démontré un intérêt réel et constant pour un monde qui a comme modèle ce que tout démocrate rejette sans ambages : le régime dictatorial, qu’il soit monarchique ou présidentiel, soumis -de plus- à une interprétation particulière de l’Islam, digne de l’histoire européenne de la chrétienté au Moyen âge.
L’enlèvement en Irak des deux journalistes Français par des ‘’soldats’’ à la solde de l’islamisme, a permis à toute la planète -mais surtout au monde occidental- de mesurer toute l’estime portée en retour de cette « politique arabe » par ces régimes en place, et qui a accru le sentiment de honte dans le cœur des véritables démocrates, Français et autres.
Qu’il soit ici exprimé, avant toute analyse et sans aucune arrière pensée, l’espoir que ces deux otages français soient libérés sains et saufs et le plus rapidement possible. Mais qu’il nous soit aussi autorisé de nous questionner sur l’action diplomatique des dirigeants de cette « Chiraquie », dont tôt ou tard il leur faudra s’expliquer, voire en rendre compte.
Comment, tout d’abord, considérer l’intervention télévisuelle de Jacques Chirac (à destination des ravisseurs) en faveur de ces deux hommes, où il fut dit que « TOUT sera fait pour obtenir leurs libérations », alors que bien d’autres européens, notamment Italiens, eurent auparavant la gorge tranchée par des nazislamistes sans que cela l’oblige à intervenir publiquement ou à expédier son ministre des Affaires étrangères activer les relations de la « Chiraquie » pour que cesse définitivement cette barbarie islamiste ?
Comment ensuite commenter le départ, toute affaire cessante, de Michel Barnier pour le Proche-orient, puis sa rencontre en Egypte, entre autre, avec Ahmed Quoreï, Premier ministre fantoche d’une Autorité palestinienne responsable -le même jour- d’un carnage à Beer-shev’a ayant coûté la vie à plusieurs civils Israéliens, coupables -paraît il- de la ‘’colonisation’’ d’un territoire ‘’appartenant’’ à ce monde qui fascine tant les autorités chiraquiennes ?
Comment encore décrire les soutiens et louanges unanimes envers cette ‘’Chiraquie’’ favorable à la « cause islamique », en provenance du Hamas, du Djihad islamique, du Hezbollah, des Frères musulmans et autres ‘’associations caritatives’’ crées en faveur de tous les déshérités que les régimes despotiques arabo-musulmans fabriquent, puis utilisent pour leurs fins politiques, singulièrement contre le camp occidental dont la France est sensée appartenir ?
Comment certifier subséquemment que la France, parée de tels ‘’alliés’’ si peu soucieux de nos valeurs et principes, est véritablement et totalement une partie intégrante du monde occidental et peut en conséquence prétendre participer à la pacification de conflits régionaux, alors que ses ‘’amis’’ du Proche et Moyen-orient sont soit parties prenantes ou soutiens de la partie adverse ? Nul pays occidental en guerre n’aura donc intérêt à la voir s’immiscer dans le règlement du conflit qui l’occupe.
Il est donc évident que la priorité de la « Chiraquie » n’est pas la défense de notre civilisation, mais plutôt la recherche d’un sauf-conduit assurant SA tranquillité et une certaine prospérité pour ses habitants. A court ou moyen terme cela peut s’avérer être lucratif.
A long terme, il faudra payer l’addition. Elle risque, alors, d’être considérable pour la France, celle que l'on aime et qui fait honneur aux démocrates