« Le Palais des congrès a annulé la réservation de salle faite par l'ABSI Keren Or (Association du bien-être du soldat israélien) suite à des menaces d'organisations. Les profits du Gala, qui était prévu ce lundi 8 mars 2004, devaient servir à l'attribution de bourses d'études aux soldats de Tsahal en fin de service militaire ».
Par l’intimidation et le chantage, quelques ONGs ‘’islamo-progressistes’’ -à but ‘’de terrorisme intellectuel’’- ont obtenu la suppression du droit démocratique de se réunir à l’occasion d’un gala, qui n’avait comme péché que le soutien à un pays et à son armée de défense.
Pour éviter toute autre déconvenue de ce genre avec d’éventuels propriétaires de salles retenues, la direction de l’association caritative donnera l’adresse définitive du gala (si il y a lieu) au dernier moment.
Les spectateurs sont donc priés de rester à l’écoute.
C’est ainsi, que les valeurs républicaines s’érodent jour après jour.
Après s’être senti contraint de cacher ses étoiles de David et ses kippot, barricader ses écoles et synagogues par des grilles et des caméras, voici le Juif Français astreint de dissimuler ses lieux de rendez-vous, voire de les annuler.
LIBERTE ??? EGALITE ??? FRATERNITE ??? dîtes vous ?
Au moment où sont écris ces lignes, nulles interventions politiques -quelles soient municipales, départementales, régionales ou nationales- n’ont condamné cette nouvelle privation de liberté. Par ce mutisme sidérant, il est, d’ors et déjà, loisible de concevoir pour l’avenir les éventuels obstacles dressés à l’encontre de toute réunion privée qui heurtera les idées politiques, religieuses voire culturelles de tout à chacun.
D’aucuns s’empresseront de nous renvoyer aux comportements de nos propres extrémistes.
Sans excuser, ni justifier un tant soi peu ces actions imbéciles à l’égard de nos ‘’adversaires’’, il est judicieux tout de même d’analyser leurs finalités.
Eyal Sivan, qui a vu effectivement le nombre de projection de son film, « Route 181, fragments d'un voyage en Palestine-Israël » lors du 26e Festival du Cinéma du Réel à Paris, réduit à une seule suite à une opposition importante, apercevra toutefois son unique séance précédée d’un message sensibilisant « le public sur les dangers de tout point de vue unilatéral » et confirmant le « parti pris (du film ndlr.) hostile à l'existence d'Israël et qui peut nourrir l'antisémitisme ».
Ce qui atteste, à posteriori, l’idéologie de la chaîne télévisuelle publique ARTE par la diffusion de ce film sur son écran, la justification de cette contestation et son bon droit.
Dieudonné, quant à lui, s’est vu contraint de saisir les tribunaux en référé afin de contrecarrer les décisions de plusieurs municipalités et propriétaires de salles, en France comme à l’étranger, d’interdire ses représentations suite à l’accusation d’antisémitisme dont il devra répondre pénalement.
Ainsi, pour mémoire, rappelons nous son ‘’sketch comique’’ qui le vit déguisé à France 3 en juif orthodoxe criant « Isra…Heil » et gommant, en cela, la qualité de victimes aux juifs, Israéliens ou non, en leur attribuant les signes de leurs propres bourreaux.
Les survivants de la Shoa, leurs descendants et les victimes des démocides ‘’palestiniens’’ ont dû apprécier.
Puis, vinrent les déclarations politiques non exhaustives où il apparaît que les Juifs sont des « négriers reconvertis dans la banque », qu'Israël -dont « il se torche le cul avec son drapeau »- a « financé l'apartheid et ses projets de solution finale » et qu’il est victime d’un complot « Je ne suis qu'un pauvre nègre. On me lynche, on me frappe ».
« Les propos de Dieudonné sont antisémites » a assuré le Maire de Paris Bertrand Delanoë. Ces paroles et la saisine du tribunal correctionnel le 02 avril réaffirme, là encore, le bon droit à la censure de ce triste bonhomme.
L’ABSI Keren Or, quant à elle, n’a rien de tout cela à se reprocher. Rien d’autre d’ailleurs.
Sauf à collecter des fonds pour une distribution de bourses aux soldats de Tsahal en fin de service militaire.
Soldats ‘’coupables’’ strictement par l’assertion mensongère et continuelle des pires abominations. ’Horreurs’’ savamment distillées dans les médias nationaux, tant publiques que privés, sans pour autant qu’ils autorisent, selon les règles démocratiques à tout débat, les droits de réponse adéquats.
Qu’en est il réellement ?
L’agence de presse AFP (Agence France Palestine pour certains) peu soupçonné de sympathie israélienne nous délivre, dépêche après dépêche, le nombre de « personnes tuées depuis le début de l’Intifada fin septembre 2000 ».
Ainsi nous apprenons que le nombre de ‘’Palestiniens tués’’ est, à ce jour, de 2850 en 41 mois. Pour atteindre ce chiffre les ‘’enquêteurs’’, Dupond et Dupond, ont additionné les ‘’accidentés du travail’’, les ‘’palestiniens’’ armés, les auteurs de démocides, les ‘’collaborateurs’’ d’Israël exécutés par leurs ‘’frères’’, les ‘’assassinats ciblés’’… ne manquent plus que les accidentés de la route, mais il est vrai qu’Israël en a, par ses barrages, fortement réduit le nombre.
Il est donc avéré que les ‘’dégâts collatéraux’’ de Tsahal sont, de fait, peu élevés et que les accusations à son encontre ne sont nullement justifiées, sauf à servir l’antisémitisme et la haine des valeurs occidentales.
Objectifs atteints doucettement mais sûrement. Ainsi, si le but immédiat est d’empêcher un gala, à terme d’autres desseins sont visés.
Pour être las d’aviser les autorités françaises du danger encouru, je me contenterais cette fois-ci de rappeler simplement que les Juifs de diaspora ont, cette fois ci, un pays où se réfugier. ISRAËL.
Avec pour fierté d’y être défendus par l’armée la plus MORALE de ce triste monde.
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