Qu’on le nomme « Libération » comme les journalistes y œuvrant, ou qu’on le qualifie « quotidien de propagande » comme ses détracteurs, les articles qu’on y trouvent jettent à coup sûr « une ombre symbolique qui rappelle de manière sinistre d’autres temps où des groupes humains ont été confinés après avoir été déplacés de chez eux en raison de leur race »...
C’est avec ces mots et surtout cet esprit que Patrick Sabatier nous livre son éditorial intitulé « Ombre » ayant pour sujet la « clôture antiterroriste » ou selon sa préférence « mur de l'apartheid ». Ainsi, ce mini dossier (sic) composé de quelques papiers et peu travaillé nous donne le ton et nous apprend -outre que tous les ‘’murs’’ à l’instar des « murailles de Jéricho ou de chine, les murs de Berlin, les lignes Maginot et autres monuments érigés à la peur de l’autre se sont toujours avérés, à la longue, des protections illusoires »- que la construction du « mur » transformera Israël en « forteresse assiégée » et pourra l’entraîner « dans l’engrenage de la purification ethnique contre des «ennemis de l'intérieur» présents à l'intérieur du mur ».
Seule une presse de caniveau, ou comparable aux œuvres du ministère allemand de propagande de triste mémoire, peut ignorer toute l’efficacité de la clôture antiterroriste autour de Gaza et soupçonner le peuple israélien d’idées aussi nauséabondes. Le passé de cette jeune nation et l’histoire près de six fois millénaire du peuple juif sont là pour les contredire.
Il semblerait que le quotidien de Serge July se rapproche de plus en plus d’une certaine ‘’gauche socialisante’’ ayant comme objectif « une paix juste et durable au Proche-Orient » mais sans Israël ou alors ‘’palestinisé’’. L’article (re sic) de Christophe Ayad « La paix fait le mur à Jérusalem » totalement à charge contre Ariel Sharon apporte sa contribution à ce soupçon.
Outre que le Premier ministre y est suspecté ‘’d’annexion de territoires’’ et « de dessiner les cartes d'une paix à sa convenance », il est formellement identifié comme responsable de « l’escalade engagée ».
Quel gouvernant responsable aurait patienté plus d’une année entière (février 2001 à avril 2002) meurtrie par des dizaines de démocides pour engager son armée dans une action d’éradication totale des infrastructures des groupes se réclamant de l’objectif final d’élimination physique de l’état d’Israël ?
Aucun de bon sens.
Quelques intentions prêtées fabriquent, pour cette presse, une culpabilité israélienne authentifiée. A l’instar des nazis face à la révolte des juifs du ghetto de Varsovie, les journaleux de Libé ne veulent pas voir les Israéliens dans une posture d’autodéfense. Leur indiquer qu’une majorité différente pourra discuter de paix, abattre cette clôture et rendre des territoires disputés c’est les rétablir dans leurs qualités de scribouillards.
Qualité que nous confirme, si cela était nécessaire, Jean-Luc Allouche par le titre de son article (re re sic) « Bienvenue au ghetto d'Abou Dis : Aux portes de Jérusalem, les habitants d'Abou Dis redoutent de manquer de tout à cause du mur ».
A croire ce canard boiteux, tels les Juifs des années 40, les ‘’Palestiniens emprisonnés’’ devront vivre d’excipients et de trafics en tout genre avant d’être cheminés vers … vers où au fait ?
Mais est-ce le cas ?
-Quel ‘’Palestinien’’ ne peux circuler librement en dehors de tous ces ‘’ghettos’’ ?
-Quel ‘’Palestinien’’ ne peux se rendre librement à l’étranger ?
-Quel ‘’Palestinien’’ ne peux circuler en Israël pour se rendre à son travail lui redonnant ainsi une dignité humaine ?
-Quel ‘’Palestinien’’ ne peux discuter avec un journaliste et lui raconter ses ‘’privations’’ ?
-Quel ‘’Palestinien’’ ne peux porter plainte et avoir gain de cause ?
-etc.
Par ce mini-dossier à charge anti-israélienne, les Israéliens, leur gouvernement démocratiquement élu et au-delà le peuple juif sont NAZIFIES.
La seule question qui vaille d’être posée après lecture de ce dossier d’accusation envers Israël, son peuple et la diaspora, concerne la date de parution de ce dossier : le 27 Janvier, date anniversaire de la LIBERATION du CAMP D’EXTERMINATION D’AUCHWITZ.
Est-ce pour faire contrepoids aux cérémonies organisées à travers la planète et en souvenir des millions de victimes de l’ANTISEMITISME ?
Je n’ai à ce propos, aucun doute.
mercredi 28 janvier 2004
dimanche 25 janvier 2004
Justice internationale et Israël
Le 23 février prochain, le ‘’procès contre l’entité sioniste’’ débutera. La Cour de Justice Internationale de La Haye devra dire, suite aux débats, si Israël est dans ‘’l’illégalité’’ pour ce qui concerne le tracé de la clôture anti-terroriste.
Ainsi, pour ce faire, elle a autorisé la Ligue des Etats arabes et l’Organisation de la Conférence Islamique à participer à la procédure, tant en déposant un mémoire écrit (avant le 31janvier) qu'en participant éventuellement, à la phase orale, qui s'ouvrira le 23 février.
Intervenants autorisés qui, avouons le, prêtent le flanc aux soupçons d’iniquités de la part de la CJI, d’autant plus que l’un des juges est égyptien et a participé près de neuf années consécutives, comme représentant de son pays à l’Onu, aux résolutions anti-israéliennes.
Cet état de fait incite donc le gouvernement d’Ariel Sharon à plaider l’incompétence de la cour que certaines parties cherchent à politiser aux détriments de la Justice, de l’esprit de la loi et bien évidemment d’Israël. De très faibles espoirs demeurent quant à un verdict honnête et à une confiance renouvelée dans les institutions internationales. Plus de trois années de « Guerre d’Oslo » et de campagnes médiatiques mensongères ont définitivement détruit le crédit israélien dans ces ‘’machins’’ onusiens.
Comment prétendre, après ce constat amer, à l’espérance de procès équitables pour tout autre litige à venir ?
Projetons nous un moment dans un avenir où, qu’à D… ne plaise, Yossi Beilin, Amram Mitzna et Abraham Burg ( celui qui, au contraire de ses ‘’partenaires palestiniens’’ de Genève, ne retrouve plus le Sionisme de l’état d’Israël) obtiennent démocratiquement de la part de leurs concitoyens les rênes du pouvoir.
Leur première tâche sera donc de convertir leur « Initiative de Genève » en ‘’Plan de Paix’’ en l’officialisant avec faste sous les lustres d’une capitale étrangère quelconque et avec la bénédiction de Yasser Arafat qui, ainsi, verrait son dessein emprunter le bon chemin pour une ‘’Grande Palestine’’ du Jourdain à la mer et du Liban à l’Egypte.
Pour concevoir le plan arafatien, il suffit d’analyser -dans ce climat international anti-israélien- les accords signés entre Yossi Beilin et Yasser Abed Rabo (ministre de l’information [propagande ?] de l’AP durant les 30 mois de négociation) décrits, entre autre, dans l’article 7 et concernant le droit au retour des ‘’réfugiés palestiniens’’ et surtout de leurs descendances (sic).
« Les Parties reconnaissent que la Résolution 194 de l’Assemblée Générale des Nations-Unies, la Résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations-Unies et l’initiative de paix arabe (Article 2.ii.) concernant les droits des réfugiés palestiniens, représentent la base de la solution au problème des réfugiés, et conviennent que ces droits sont réalisés dans l'Article 7 de cet Accord »
« La solution à la question du lieu de résidence permanent des réfugiés sera liée à un choix du réfugié, fait en toute connaissance de cause, selon les options et les modèles exposés dans cet Accord. Les réfugiés pourront choisir entre les options de lieu de résidence permanent suivantes :
(…)
iv) L’État d’Israël, conformément à la clause (c) ci-après
(…)
c) L'option (iv) sera laissée à la discrétion souveraine d’Israël et sera conforme aux chiffres qu’Israël soumettra à la Commission internationale. Ces chiffres exprimeront le nombre de réfugiés palestiniens qu’Israël accepte. Israël prendra comme base la moyenne des chiffres soumis par les différents pays tiers à la Commission internationale. »
En conséquences, il est donc loisible à tout à chacun de comprendre que par ces accords, la résolution 194 -qui n’a à ce jour nulle force légale- deviendrait mécaniquement LOI pour la partie israélienne et légitimerait, officialiserait, la revendication de la partie adverse du DROIT au RETOUR.
Il est vrai, par ailleurs, que la clause c (ci-dessus) indique une pleine souveraineté d’Israël (re sic) quant au chiffre de réfugiés acceptés en son sein, basé cependant sur une moyenne transmise par des pays tiers ????
Que celui qui a comprit se lève. Bien heureux celui qui peut, d’ors et déjà, avancer un chiffre précis à l’instar de Yossi Beilin. Cette formule alambiquée élucide néanmoins formellement un seul point : Israël se DEVRA d’accepter un certain nombre de ‘’réfugiés palestiniens’’ emplis assurément de haine anti-juive et d’esprit revanchard prêt à continuer le combat.
L’option ZERO est donc exclue. (Moi, qui avait cru comprendre que le ‘’partenaire palestinien’’(re re sic) renonçait à toutes exigences en la matière, et que la ‘’Palestine’’ nouvellement crée leur servirait de pays !!!)
Il est donc certain qu’il y aura mésententes sur l’appréciation juridique des termes du ‘’traité de PAIX’’ (re re re sic).
A l’aune du procès qui se dessine à La Haye, peut on raisonnablement alors envisager un tribunal international intègre départageant ce nouveau litige entre les deux états que sont Israël et la ‘’Palestine’’ ?
Un prétoire qui éviterait à la ‘’Palestine’’, nouvellement constituée, de saisir le prétexte du refus israélien évident du nombre exigé pour s’allier à nouveau au « monde arabe » afin de continuer son combat ?
Une cour de Justice qui préviendrait le risque de guerre civile en Israël et préserverait ainsi un pays pour assurer une sécurité pour le peuple juif ?
Qui pourra le garantir ? Qui pourra alors nous prémunir d’un déferlement de plusieurs centaines de milliers de ‘’réfugiés’’ accompagné de pressions diplomatiques, de boycotts économiques voire d’une intervention armée internationale ?
L’arène internationale où le commerce prime et les relations imposées par le grand nombre « d’arabo-musulmans » ?
L’ONU qui exhiberait à tout propos la signature israélienne, apposée sur le ‘’traité de paix’’, accompagnée de résolutions anti-israélienne ?
B.H.L. qui voit en cette ‘’Initiative de Genève’’ un bon plan ?
Alain Finkielkrault qui, malgré toutes ses réserves, la soutien en paraphant une pétition qui a réuni en près de 40 jours à peine 2000 signatures ?
Ou encore, sans que la liste soit exhaustive, Théo Klein que l’on appelle maître de par l’exercice de son ex-profession et non par la profondeur de ses analyses géopolitiques ?
Après avoir reconnue la prédominance de l’Islam sur le Mont du Temple, une juste rémunération aux pays accueillants les ‘’réfugiés’’ ou encore (pour l’exemple) agréer la mise sous tutelle internationale d’Israël, il est évident que seule l’EXCLUSION politique à vie des négociateurs de cette triste initiative est garante de la préservation des droits israéliens et du caractère Juif d’Israël.
Tout autre choix à leur encontre favoriserait le plan arafatien.
Ainsi, pour ce faire, elle a autorisé la Ligue des Etats arabes et l’Organisation de la Conférence Islamique à participer à la procédure, tant en déposant un mémoire écrit (avant le 31janvier) qu'en participant éventuellement, à la phase orale, qui s'ouvrira le 23 février.
Intervenants autorisés qui, avouons le, prêtent le flanc aux soupçons d’iniquités de la part de la CJI, d’autant plus que l’un des juges est égyptien et a participé près de neuf années consécutives, comme représentant de son pays à l’Onu, aux résolutions anti-israéliennes.
Cet état de fait incite donc le gouvernement d’Ariel Sharon à plaider l’incompétence de la cour que certaines parties cherchent à politiser aux détriments de la Justice, de l’esprit de la loi et bien évidemment d’Israël. De très faibles espoirs demeurent quant à un verdict honnête et à une confiance renouvelée dans les institutions internationales. Plus de trois années de « Guerre d’Oslo » et de campagnes médiatiques mensongères ont définitivement détruit le crédit israélien dans ces ‘’machins’’ onusiens.
Comment prétendre, après ce constat amer, à l’espérance de procès équitables pour tout autre litige à venir ?
Projetons nous un moment dans un avenir où, qu’à D… ne plaise, Yossi Beilin, Amram Mitzna et Abraham Burg ( celui qui, au contraire de ses ‘’partenaires palestiniens’’ de Genève, ne retrouve plus le Sionisme de l’état d’Israël) obtiennent démocratiquement de la part de leurs concitoyens les rênes du pouvoir.
Leur première tâche sera donc de convertir leur « Initiative de Genève » en ‘’Plan de Paix’’ en l’officialisant avec faste sous les lustres d’une capitale étrangère quelconque et avec la bénédiction de Yasser Arafat qui, ainsi, verrait son dessein emprunter le bon chemin pour une ‘’Grande Palestine’’ du Jourdain à la mer et du Liban à l’Egypte.
Pour concevoir le plan arafatien, il suffit d’analyser -dans ce climat international anti-israélien- les accords signés entre Yossi Beilin et Yasser Abed Rabo (ministre de l’information [propagande ?] de l’AP durant les 30 mois de négociation) décrits, entre autre, dans l’article 7 et concernant le droit au retour des ‘’réfugiés palestiniens’’ et surtout de leurs descendances (sic).
« Les Parties reconnaissent que la Résolution 194 de l’Assemblée Générale des Nations-Unies, la Résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations-Unies et l’initiative de paix arabe (Article 2.ii.) concernant les droits des réfugiés palestiniens, représentent la base de la solution au problème des réfugiés, et conviennent que ces droits sont réalisés dans l'Article 7 de cet Accord »
« La solution à la question du lieu de résidence permanent des réfugiés sera liée à un choix du réfugié, fait en toute connaissance de cause, selon les options et les modèles exposés dans cet Accord. Les réfugiés pourront choisir entre les options de lieu de résidence permanent suivantes :
(…)
iv) L’État d’Israël, conformément à la clause (c) ci-après
(…)
c) L'option (iv) sera laissée à la discrétion souveraine d’Israël et sera conforme aux chiffres qu’Israël soumettra à la Commission internationale. Ces chiffres exprimeront le nombre de réfugiés palestiniens qu’Israël accepte. Israël prendra comme base la moyenne des chiffres soumis par les différents pays tiers à la Commission internationale. »
En conséquences, il est donc loisible à tout à chacun de comprendre que par ces accords, la résolution 194 -qui n’a à ce jour nulle force légale- deviendrait mécaniquement LOI pour la partie israélienne et légitimerait, officialiserait, la revendication de la partie adverse du DROIT au RETOUR.
Il est vrai, par ailleurs, que la clause c (ci-dessus) indique une pleine souveraineté d’Israël (re sic) quant au chiffre de réfugiés acceptés en son sein, basé cependant sur une moyenne transmise par des pays tiers ????
Que celui qui a comprit se lève. Bien heureux celui qui peut, d’ors et déjà, avancer un chiffre précis à l’instar de Yossi Beilin. Cette formule alambiquée élucide néanmoins formellement un seul point : Israël se DEVRA d’accepter un certain nombre de ‘’réfugiés palestiniens’’ emplis assurément de haine anti-juive et d’esprit revanchard prêt à continuer le combat.
L’option ZERO est donc exclue. (Moi, qui avait cru comprendre que le ‘’partenaire palestinien’’(re re sic) renonçait à toutes exigences en la matière, et que la ‘’Palestine’’ nouvellement crée leur servirait de pays !!!)
Il est donc certain qu’il y aura mésententes sur l’appréciation juridique des termes du ‘’traité de PAIX’’ (re re re sic).
A l’aune du procès qui se dessine à La Haye, peut on raisonnablement alors envisager un tribunal international intègre départageant ce nouveau litige entre les deux états que sont Israël et la ‘’Palestine’’ ?
Un prétoire qui éviterait à la ‘’Palestine’’, nouvellement constituée, de saisir le prétexte du refus israélien évident du nombre exigé pour s’allier à nouveau au « monde arabe » afin de continuer son combat ?
Une cour de Justice qui préviendrait le risque de guerre civile en Israël et préserverait ainsi un pays pour assurer une sécurité pour le peuple juif ?
Qui pourra le garantir ? Qui pourra alors nous prémunir d’un déferlement de plusieurs centaines de milliers de ‘’réfugiés’’ accompagné de pressions diplomatiques, de boycotts économiques voire d’une intervention armée internationale ?
L’arène internationale où le commerce prime et les relations imposées par le grand nombre « d’arabo-musulmans » ?
L’ONU qui exhiberait à tout propos la signature israélienne, apposée sur le ‘’traité de paix’’, accompagnée de résolutions anti-israélienne ?
B.H.L. qui voit en cette ‘’Initiative de Genève’’ un bon plan ?
Alain Finkielkrault qui, malgré toutes ses réserves, la soutien en paraphant une pétition qui a réuni en près de 40 jours à peine 2000 signatures ?
Ou encore, sans que la liste soit exhaustive, Théo Klein que l’on appelle maître de par l’exercice de son ex-profession et non par la profondeur de ses analyses géopolitiques ?
Après avoir reconnue la prédominance de l’Islam sur le Mont du Temple, une juste rémunération aux pays accueillants les ‘’réfugiés’’ ou encore (pour l’exemple) agréer la mise sous tutelle internationale d’Israël, il est évident que seule l’EXCLUSION politique à vie des négociateurs de cette triste initiative est garante de la préservation des droits israéliens et du caractère Juif d’Israël.
Tout autre choix à leur encontre favoriserait le plan arafatien.
jeudi 22 janvier 2004
Quelle époque affligeante !
A plus d’un titre, il est légitime aujourd’hui de s’interroger sur l’évolution du monde actuel et sur son mode de fonctionnement.
Ainsi, il est des inversions de valeurs (toujours recherchées dans un but inavouable) qui déconcertent les plus ouverts d’entre nous qui, pourtant, installons en pointe de nos combats la démocratie et les Droits de l’Homme. De tous les HOMMES. ‘’Palestiniens’’ compris.
Prenez par exemple le MRAP. Cette association a comme préoccupation première le combat contre le « racisme et l’amitié entre les peuples ». Ce qui est très louable.
Ainsi les accusations et plaintes pleuvent de sa part, rapidement et très facilement , lorsqu’il s’agit de dénoncer tous les anti-arabes, anti-musulmans ou encore anti-noirs.
Mais pour ce qui est de défendre les JUIFS, une très longue réflexion est nécessaire avant toute action du secrétaire général du MRAP.
En effet ! Le 17 janvier, Mohamed Latrèche -président du Parti des Musulmans de France (PMF)- lors de la manifestation contre le projet de loi sur la laïcité, a tenu des déclarations publiques violemment antisémites, antisionistes et négationnistes. Propos qui ont encouragé le Crif et la Licra a demandé la dissolution de ce parti extrémiste musulman et le procureur de la république de Paris a ouvrir une enquête.
Pour ce qui est du MRAP, à ce jour (soit 5 jours après la manifestation), nulle dénonciation, condamnation ou plainte ne sont annoncées. Le site de l’Ong en est vierge et Mouloud Aounit muet.
Par cette association, le Juif est plutôt stigmatisé en tant qu’anti-extrémistes de gauche ou musulman, ce qui est pour le moins surprenant.
N’avons nous pas été, journalistes de Guysen, diffamés en Juillet 2003 dans un rapport (sic) de cette Ong comme « extrémistes juifs » ayant des accointances avec l’extrémisme de droite (re sic), pour causes de dénonciations du traitement réservé à la communauté juive en diaspora -et principalement en France- de la part d’une frange de la communauté « arabo-musulmane », secondée par des pseudos progressistes comme le MRAP ???
Autre valeur abusée.
L’ambassadeur Israélien en Suède Zvi Mazal a, de rage, lancé un projecteur dans, ce que certains appellent, une « œuvre artistique » intitulée « Blanche neige et la folie de la vérité ». Cette ‘’Blanche neige’’ n’étant pas pour l’occasion celle du conte connue, mais la terroriste ayant commit un CRIME CONTRE L’HUMANITE ôtant la vie à 22 personnes déjeunant paisiblement dans le restaurant israélien « Maxime » de Haïfa.
Ainsi, au nom de la liberté d’expression suédoise, encenser une meurtrière de JUIFS est admis. Voire même encouragé. Pour promouvoir une conférence internationale sur la prévention de génocides, s’ouvrant sous peu à Stockholm, une affiche géante, représentant le portrait de la''blanche neige'' palestinienne, est apposée dans le métro de cette ville.
Que pèsent réellement les sentiments des proches des victimes israéliennes assassinées et ceux des blessés et/ou infirmes à vie, face à la liberté d’expression suédoise ?
A vrai dire, pas grand chose devant l’intérêt économique de la Suède et de l’Europe.
L’inversion genevoise.
Selon le président iranien Khatami, aucune chance de paix avec Israël n’est possible tant que « le Premier ministre Ariel Sharon et ses partisans extrémistes resteraient au pouvoir ». Pour cet homme religieux (sic) les fauteurs de guerre sont donc localisés et à contrario les partisans de la paix.
Il en est de même pour tous les thuriféraires de « l’Initiative de Genève ». Ainsi, selon un chroniqueur anti-Sharon de la fréquence juive française (il n’est pas le seul), ceux qui n’acceptent pas cet accord sont forcément, incontestablement, ceux qui prônent le « grand Israël » (re sic) quitte à perpétuer le conflit.
Quid des sondages qui font état d’un taux de plus de 70% d’Israéliens en accord avec la création de la « Palestine » état viable et indépendant, mais n’acceptant pas pour autant cette initiative comme dénouement du conflit ?
Faut il y voir tout simplement la condamnation de la méthode de négociation, de la recherche systématique d’appuis étrangers et non israéliens ou encore des conditions à la paix insupportables pour la partie israélienne ?
Faut il y entrevoir également un respect quant aux règles démocratiques et une recherche d’un partenaire authentique et non imaginaire ?
Cette analyse réductrice, mais calculée, affirme haut et fort que le partenaire ‘’palestinien’’ existe. D’après Yossi Beilin, les négociations ont abouties après 30 mois de discussions avec Yasser Abed Rabo, alors -rappelons le- MINISTRE de l’information (de la propagande ?) de l’Autorité Palestinienne entièrement contrôlée par Yasser Arafat.
Il est donc correct de certifier que le PARTENAIRE de Yossi Beilin n’est autre que celui qui a refusé, à ce jour, toutes paix. J’ai nommé le reclus de Ramallah.
Est il POSSIBLE de le croire à nouveau ??? Peu, parmi les Israéliens ou leurs soutiens, le conçoivent. A preuve, le peu de signatures en faveur d’une pétition soutenant « l’Initiative de Genève » et l’annulation -pour cause de mauvaise météo ( !?!?)- de la manifestation prévue le 24 janvier à Tel-Aviv. Un échec public signifierait, en effet, la fin politique officielle des négociateurs, déjà programmée par l’électeur israélien.
Il est, comme on le voit, des inversions qui tentent de bafouer les valeurs démocratiques et les Droits de l’Homme. Ces trois exemples sont une bonne démonstration de la triste époque que nous vivons.
A nous de courber l’échine et de tenir jusqu’aux jours meilleurs.
Ainsi, il est des inversions de valeurs (toujours recherchées dans un but inavouable) qui déconcertent les plus ouverts d’entre nous qui, pourtant, installons en pointe de nos combats la démocratie et les Droits de l’Homme. De tous les HOMMES. ‘’Palestiniens’’ compris.
Prenez par exemple le MRAP. Cette association a comme préoccupation première le combat contre le « racisme et l’amitié entre les peuples ». Ce qui est très louable.
Ainsi les accusations et plaintes pleuvent de sa part, rapidement et très facilement , lorsqu’il s’agit de dénoncer tous les anti-arabes, anti-musulmans ou encore anti-noirs.
Mais pour ce qui est de défendre les JUIFS, une très longue réflexion est nécessaire avant toute action du secrétaire général du MRAP.
En effet ! Le 17 janvier, Mohamed Latrèche -président du Parti des Musulmans de France (PMF)- lors de la manifestation contre le projet de loi sur la laïcité, a tenu des déclarations publiques violemment antisémites, antisionistes et négationnistes. Propos qui ont encouragé le Crif et la Licra a demandé la dissolution de ce parti extrémiste musulman et le procureur de la république de Paris a ouvrir une enquête.
Pour ce qui est du MRAP, à ce jour (soit 5 jours après la manifestation), nulle dénonciation, condamnation ou plainte ne sont annoncées. Le site de l’Ong en est vierge et Mouloud Aounit muet.
Par cette association, le Juif est plutôt stigmatisé en tant qu’anti-extrémistes de gauche ou musulman, ce qui est pour le moins surprenant.
N’avons nous pas été, journalistes de Guysen, diffamés en Juillet 2003 dans un rapport (sic) de cette Ong comme « extrémistes juifs » ayant des accointances avec l’extrémisme de droite (re sic), pour causes de dénonciations du traitement réservé à la communauté juive en diaspora -et principalement en France- de la part d’une frange de la communauté « arabo-musulmane », secondée par des pseudos progressistes comme le MRAP ???
Autre valeur abusée.
L’ambassadeur Israélien en Suède Zvi Mazal a, de rage, lancé un projecteur dans, ce que certains appellent, une « œuvre artistique » intitulée « Blanche neige et la folie de la vérité ». Cette ‘’Blanche neige’’ n’étant pas pour l’occasion celle du conte connue, mais la terroriste ayant commit un CRIME CONTRE L’HUMANITE ôtant la vie à 22 personnes déjeunant paisiblement dans le restaurant israélien « Maxime » de Haïfa.
Ainsi, au nom de la liberté d’expression suédoise, encenser une meurtrière de JUIFS est admis. Voire même encouragé. Pour promouvoir une conférence internationale sur la prévention de génocides, s’ouvrant sous peu à Stockholm, une affiche géante, représentant le portrait de la''blanche neige'' palestinienne, est apposée dans le métro de cette ville.
Que pèsent réellement les sentiments des proches des victimes israéliennes assassinées et ceux des blessés et/ou infirmes à vie, face à la liberté d’expression suédoise ?
A vrai dire, pas grand chose devant l’intérêt économique de la Suède et de l’Europe.
L’inversion genevoise.
Selon le président iranien Khatami, aucune chance de paix avec Israël n’est possible tant que « le Premier ministre Ariel Sharon et ses partisans extrémistes resteraient au pouvoir ». Pour cet homme religieux (sic) les fauteurs de guerre sont donc localisés et à contrario les partisans de la paix.
Il en est de même pour tous les thuriféraires de « l’Initiative de Genève ». Ainsi, selon un chroniqueur anti-Sharon de la fréquence juive française (il n’est pas le seul), ceux qui n’acceptent pas cet accord sont forcément, incontestablement, ceux qui prônent le « grand Israël » (re sic) quitte à perpétuer le conflit.
Quid des sondages qui font état d’un taux de plus de 70% d’Israéliens en accord avec la création de la « Palestine » état viable et indépendant, mais n’acceptant pas pour autant cette initiative comme dénouement du conflit ?
Faut il y voir tout simplement la condamnation de la méthode de négociation, de la recherche systématique d’appuis étrangers et non israéliens ou encore des conditions à la paix insupportables pour la partie israélienne ?
Faut il y entrevoir également un respect quant aux règles démocratiques et une recherche d’un partenaire authentique et non imaginaire ?
Cette analyse réductrice, mais calculée, affirme haut et fort que le partenaire ‘’palestinien’’ existe. D’après Yossi Beilin, les négociations ont abouties après 30 mois de discussions avec Yasser Abed Rabo, alors -rappelons le- MINISTRE de l’information (de la propagande ?) de l’Autorité Palestinienne entièrement contrôlée par Yasser Arafat.
Il est donc correct de certifier que le PARTENAIRE de Yossi Beilin n’est autre que celui qui a refusé, à ce jour, toutes paix. J’ai nommé le reclus de Ramallah.
Est il POSSIBLE de le croire à nouveau ??? Peu, parmi les Israéliens ou leurs soutiens, le conçoivent. A preuve, le peu de signatures en faveur d’une pétition soutenant « l’Initiative de Genève » et l’annulation -pour cause de mauvaise météo ( !?!?)- de la manifestation prévue le 24 janvier à Tel-Aviv. Un échec public signifierait, en effet, la fin politique officielle des négociateurs, déjà programmée par l’électeur israélien.
Il est, comme on le voit, des inversions qui tentent de bafouer les valeurs démocratiques et les Droits de l’Homme. Ces trois exemples sont une bonne démonstration de la triste époque que nous vivons.
A nous de courber l’échine et de tenir jusqu’aux jours meilleurs.
mardi 20 janvier 2004
Un constat , deux mesures.
Il est des circonstances, où se questionner quant à la valeur de la loi et de son respect est fondamental. D’autant plus, lorsque les prérogatives premières d’un gouvernement responsable doit être la quiétude morale et la sécurité physique de ses concitoyens au-delà de toutes considérations politiques et/ou électorales.
L’Assemblée générale onusienne, réunie en tribunal, ayant d’ors et déjà condamné Israël pour la construction de la clôture anti-TERRORISTES -par sa demande biaisée à la Cour de Justice Internationale de la Haye-, est il nécessaire que les autorités israéliennes se prêtent à cette parodie, dont tout à chacun connaît par avance l’épilogue ?
Est il opportun de céder à cette mascarade ‘’juridique’’ -ou aux pressions des « amis » comme à celles de tous ceux qui observent cette clôture comme une conclusion catastrophique à leur « Guerre d’Oslo » et à leur tentative permanente d’éradication d’Israël- et de soumettre l’intérêt sécuritaire du pays (par un changement du tracé) entre des mains peu amènes, ou de reconnaître de facto la ligne d’armistice de 1949 comme frontière sans négociations préalables ?
Est il propice de se prêter à ce simulacre, sachant que la Ligue Arabe est devenu par la bonne volonté de la CJI partie civile ? (Ce qui a au moins le mérite de reconnaître officiellement ( voire juridiquement ?) que le conflit proche oriental est un conflit israélo-monde arabo-musulman et non un conflit territorial).
Il semblerait que les autorités israéliennes s’y refusent.
Le Conseil interministériel de défense nationale envisagent en conséquence de dénier à la CJI, lors de la procédure, toute compétence pour juger de cette question éminemment politique et non pénale, et la commission des lois de la Knesset, quant à elle, se réunira pour débattre des retombées néfastes et prévisibles induites par le procès à charge et la condamnation attendue.
Ainsi, la politisation de la Cour de Justice internationale à des fins idéologiques aura servi -en tout premier lieu- à la dévalorisation, de la loi, tant recherchée par la « nation islamiste ».
Recherche implicitement reconnue par le ministre français des Affaires étrangères Dominique de Villepin, à travers son discours sur « le choc des civilisations» lors de la séance d’ouverture du Forum euro-méditerranée à l’Unesco le 17 janvier.
« Depuis le 11 septembre, nous sommes entrés dans l'âge du terrorisme de masse.(…) le terrorisme sait instrumentaliser les problématiques locales et amalgamer les ressentiments. Il cherche à enclencher une spirale d'agressions et de représailles qui échapperait à tout contrôle. (…) Car ce qui est visé avant tout, c'est l'esprit de respect et de tolérance, la volonté de dialogue, le souci de réforme et de modernisation, où qu'ils se trouvent. (…) ».
Bien que constat de la situation mondiale, cette description -qu’aucun démocrate digne de ce nom ne peut contester- retrace EGALEMENT (n’en déplaise au ministre) et parfaitement la stratégie ainsi que l’objectif de l’Autorité palestinienne et de ses affidés, et éclaire en conséquences l’exigence sécuritaire des Israéliens.
« Face à l'exaltation du sacrifice, l'usage de la force ne constitue pas un rempart. La puissance matérielle bute sur des données immatérielles ; elle ne saurait devenir un outil usuel de règlement des problèmes et doit rester un ultime recours(…) Toute la question aujourd'hui, c'est comment éradiquer un ennemi sans visage sans créer les conditions de sa multiplication, comment trancher la tête de l'hydre sans qu'elle repousse (…)».
Poser les questions, c’est déjà y répondre, dit l’adage.
Réponses que Dominique de Villepin, pourtant fort de son brillant bilan, se garde d’apporter à ce conflit, sauf à préconiser l’éternel dialogue avec une Autorité palestinienne atteinte de surdité à ce propos, et à appeler la communauté internationale à nouveau à « dissiper la conviction qu'il existe, au niveau international, deux poids et deux mesures ».
Ainsi, la démocratie israélienne est réduite une nouvelle fois, sur une estrade internationale, au niveau des dictatures de la région et exhortée à céder à leurs exigences, par la contrainte des pays « amis » si nécessaire.
Réponses, pourtant, qu’Israël tente de mettre en place par l’édification d’une clôture anti-TERRORISTES qui, de fait, séparera les adversaires, apaisera la situation et provoquera les conditions indispensables à une « solution politique, prévoyant la création d'un état indépendant et viable pour répondre aux inspirations légitimes du peuple palestinien ».
Réponses qui ne contentent point cette « nation islamiste » (adepte de la fin de la civilisation occidentale) et donc leur dévoués dhimmis.
Il est une évidence ! Tant que les démocraties n’oseront pas, à l’instar des USA et dans une moindre mesure Israël, écrire les réponses adéquates aux constats établis, cette « nation islamiste » progressera dans ses exigences.
Il est à craindre que nous assisterons encore longtemps à toutes ces sortes de caricatures, qu’elles soient ministérielles ( par des discours emplis de principes dénués de tout réalisme) ou judiciaires ( par les procès en chaîne à l’encontre des seules démocraties).
Une clôture de salubrité mentale est donc nécessaire contre ce double langage. Quitte à subir un autre procès inéquitable à la CIJ de la Haye.
L’Assemblée générale onusienne, réunie en tribunal, ayant d’ors et déjà condamné Israël pour la construction de la clôture anti-TERRORISTES -par sa demande biaisée à la Cour de Justice Internationale de la Haye-, est il nécessaire que les autorités israéliennes se prêtent à cette parodie, dont tout à chacun connaît par avance l’épilogue ?
Est il opportun de céder à cette mascarade ‘’juridique’’ -ou aux pressions des « amis » comme à celles de tous ceux qui observent cette clôture comme une conclusion catastrophique à leur « Guerre d’Oslo » et à leur tentative permanente d’éradication d’Israël- et de soumettre l’intérêt sécuritaire du pays (par un changement du tracé) entre des mains peu amènes, ou de reconnaître de facto la ligne d’armistice de 1949 comme frontière sans négociations préalables ?
Est il propice de se prêter à ce simulacre, sachant que la Ligue Arabe est devenu par la bonne volonté de la CJI partie civile ? (Ce qui a au moins le mérite de reconnaître officiellement ( voire juridiquement ?) que le conflit proche oriental est un conflit israélo-monde arabo-musulman et non un conflit territorial).
Il semblerait que les autorités israéliennes s’y refusent.
Le Conseil interministériel de défense nationale envisagent en conséquence de dénier à la CJI, lors de la procédure, toute compétence pour juger de cette question éminemment politique et non pénale, et la commission des lois de la Knesset, quant à elle, se réunira pour débattre des retombées néfastes et prévisibles induites par le procès à charge et la condamnation attendue.
Ainsi, la politisation de la Cour de Justice internationale à des fins idéologiques aura servi -en tout premier lieu- à la dévalorisation, de la loi, tant recherchée par la « nation islamiste ».
Recherche implicitement reconnue par le ministre français des Affaires étrangères Dominique de Villepin, à travers son discours sur « le choc des civilisations» lors de la séance d’ouverture du Forum euro-méditerranée à l’Unesco le 17 janvier.
« Depuis le 11 septembre, nous sommes entrés dans l'âge du terrorisme de masse.(…) le terrorisme sait instrumentaliser les problématiques locales et amalgamer les ressentiments. Il cherche à enclencher une spirale d'agressions et de représailles qui échapperait à tout contrôle. (…) Car ce qui est visé avant tout, c'est l'esprit de respect et de tolérance, la volonté de dialogue, le souci de réforme et de modernisation, où qu'ils se trouvent. (…) ».
Bien que constat de la situation mondiale, cette description -qu’aucun démocrate digne de ce nom ne peut contester- retrace EGALEMENT (n’en déplaise au ministre) et parfaitement la stratégie ainsi que l’objectif de l’Autorité palestinienne et de ses affidés, et éclaire en conséquences l’exigence sécuritaire des Israéliens.
« Face à l'exaltation du sacrifice, l'usage de la force ne constitue pas un rempart. La puissance matérielle bute sur des données immatérielles ; elle ne saurait devenir un outil usuel de règlement des problèmes et doit rester un ultime recours(…) Toute la question aujourd'hui, c'est comment éradiquer un ennemi sans visage sans créer les conditions de sa multiplication, comment trancher la tête de l'hydre sans qu'elle repousse (…)».
Poser les questions, c’est déjà y répondre, dit l’adage.
Réponses que Dominique de Villepin, pourtant fort de son brillant bilan, se garde d’apporter à ce conflit, sauf à préconiser l’éternel dialogue avec une Autorité palestinienne atteinte de surdité à ce propos, et à appeler la communauté internationale à nouveau à « dissiper la conviction qu'il existe, au niveau international, deux poids et deux mesures ».
Ainsi, la démocratie israélienne est réduite une nouvelle fois, sur une estrade internationale, au niveau des dictatures de la région et exhortée à céder à leurs exigences, par la contrainte des pays « amis » si nécessaire.
Réponses, pourtant, qu’Israël tente de mettre en place par l’édification d’une clôture anti-TERRORISTES qui, de fait, séparera les adversaires, apaisera la situation et provoquera les conditions indispensables à une « solution politique, prévoyant la création d'un état indépendant et viable pour répondre aux inspirations légitimes du peuple palestinien ».
Réponses qui ne contentent point cette « nation islamiste » (adepte de la fin de la civilisation occidentale) et donc leur dévoués dhimmis.
Il est une évidence ! Tant que les démocraties n’oseront pas, à l’instar des USA et dans une moindre mesure Israël, écrire les réponses adéquates aux constats établis, cette « nation islamiste » progressera dans ses exigences.
Il est à craindre que nous assisterons encore longtemps à toutes ces sortes de caricatures, qu’elles soient ministérielles ( par des discours emplis de principes dénués de tout réalisme) ou judiciaires ( par les procès en chaîne à l’encontre des seules démocraties).
Une clôture de salubrité mentale est donc nécessaire contre ce double langage. Quitte à subir un autre procès inéquitable à la CIJ de la Haye.
jeudi 15 janvier 2004
Brève réflexion du 15 janvier
Le 14 Janvier, la porte-parole adjointe du Quai d'Orsay a fait une déclaration au sujet des deux attentats terroristes ayant ôté la vie à cinq Israéliens et blessé plusieurs autres.
« La France condamne les deux attentats terroristes perpétrés hier soir en Cisjordanie, près de Ramallah, et ce matin au point de contrôle d'Erez, qui ont entraîné la mort de cinq citoyens israéliens et fait une douzaine de blessés. Nous présentons nos condoléances aux autorités israéliennes et, à travers elles, aux familles et aux proches des victimes ».
Jusque là, rien à redire.
« Le terrorisme est inacceptable et injustifiable. Il ne fait qu'éloigner la solution du conflit. La France appelle l'Autorité palestinienne, conformément à ses engagements dans le cadre de la Feuille de Route, à poursuivre les coupables de ces actes et à tout mettre en oeuvre pour mettre un terme à l'usage de la violence et du terrorisme par l'ensemble des mouvements palestiniens ».
George W. Bush n’aurait pas dit mieux. Peut on alors croire, que l’accueil chaleureux d’une quarantaine de journalistes israéliens par les plus hautes autorités de l’état est réellement le prélude à un correctif de l’approche française du conflit proche-oriental ?
Il faut lire la suite pour concevoir la perfidie.
« Les autorités françaises appellent également Israël à faire preuve de retenue et à maintenir son engagement dans la mise en oeuvre de la Feuille de Route ».
Ben voyons. Quel est donc le seuil de victimes israéliennes qui autorisera la France à ne plus commettre autant d’illogismes ?
Est ce à dire, est-ce à comprendre que le sang de Juifs qui coulent pour cause de haine, d’antisémitisme et autre obscurantisme ne doit pas réclamer JUSTICE ?
D’autant plus lorsque le peuple israélien est accusé, par le Premier ministre ‘’palestinien’’ -authentique vassal d’Arafat-, de porter l’entière responsabilité de ces actes criminels pour cause de « poursuite de la politique israélienne de construction de la barrière de sécurité, la destruction d'habitations et les incursions dans des villes palestiniennes [qui] renforcent le cycle de la violence ».
D’autant plus lorsque l’on apprend que cette RAGE anti-israélienne a été portée par une femme de 22 ans, mère d'une fille de 3 ans et d'un bébé d'un an et demi. Quelle est cette fureur qui lui a fait privilégié l’AVERSION des israéliens à l’EDUCATION de ses deux enfants en bas âge ?
D’autant plus lorsqu’une cassette d’adieu lui fait dire d’outre tombe qu’elle a « toujours rêvé de transformer mon [son] corps en une multitude d'éclats mortifères ».
D’autant plus lorsque le ministre ‘’palestinien’’ des Affaires étrangères, Nabil Shaath, affirme que « L'Autorité palestinienne est capable d'arrêter les attentats anti-israéliens mais elle ne le fera que lorsque Israël cessera ses agressions ».
Selon la première chaîne de télévision israélienne, le gouvernement envisagerait de reprendre les éliminations ciblées contre les dirigeants du Hamas.
Qui pourra me convaincre que la meilleure façon d’arriver à la Paix dans cette région n’est pas d’appuyer sur le bouton de largage du missile ?
Sûrement pas les autorités françaises qui témoigneront encore une fois de l’extrémisme d’Ariel Sharon et de la capacité de certains autres à trouver des ‘’partenaires’’ au sein de l’Autorité Palestinienne.
Seul Arafat rit encore de cette bonne blague.
« La France condamne les deux attentats terroristes perpétrés hier soir en Cisjordanie, près de Ramallah, et ce matin au point de contrôle d'Erez, qui ont entraîné la mort de cinq citoyens israéliens et fait une douzaine de blessés. Nous présentons nos condoléances aux autorités israéliennes et, à travers elles, aux familles et aux proches des victimes ».
Jusque là, rien à redire.
« Le terrorisme est inacceptable et injustifiable. Il ne fait qu'éloigner la solution du conflit. La France appelle l'Autorité palestinienne, conformément à ses engagements dans le cadre de la Feuille de Route, à poursuivre les coupables de ces actes et à tout mettre en oeuvre pour mettre un terme à l'usage de la violence et du terrorisme par l'ensemble des mouvements palestiniens ».
George W. Bush n’aurait pas dit mieux. Peut on alors croire, que l’accueil chaleureux d’une quarantaine de journalistes israéliens par les plus hautes autorités de l’état est réellement le prélude à un correctif de l’approche française du conflit proche-oriental ?
Il faut lire la suite pour concevoir la perfidie.
« Les autorités françaises appellent également Israël à faire preuve de retenue et à maintenir son engagement dans la mise en oeuvre de la Feuille de Route ».
Ben voyons. Quel est donc le seuil de victimes israéliennes qui autorisera la France à ne plus commettre autant d’illogismes ?
Est ce à dire, est-ce à comprendre que le sang de Juifs qui coulent pour cause de haine, d’antisémitisme et autre obscurantisme ne doit pas réclamer JUSTICE ?
D’autant plus lorsque le peuple israélien est accusé, par le Premier ministre ‘’palestinien’’ -authentique vassal d’Arafat-, de porter l’entière responsabilité de ces actes criminels pour cause de « poursuite de la politique israélienne de construction de la barrière de sécurité, la destruction d'habitations et les incursions dans des villes palestiniennes [qui] renforcent le cycle de la violence ».
D’autant plus lorsque l’on apprend que cette RAGE anti-israélienne a été portée par une femme de 22 ans, mère d'une fille de 3 ans et d'un bébé d'un an et demi. Quelle est cette fureur qui lui a fait privilégié l’AVERSION des israéliens à l’EDUCATION de ses deux enfants en bas âge ?
D’autant plus lorsqu’une cassette d’adieu lui fait dire d’outre tombe qu’elle a « toujours rêvé de transformer mon [son] corps en une multitude d'éclats mortifères ».
D’autant plus lorsque le ministre ‘’palestinien’’ des Affaires étrangères, Nabil Shaath, affirme que « L'Autorité palestinienne est capable d'arrêter les attentats anti-israéliens mais elle ne le fera que lorsque Israël cessera ses agressions ».
Selon la première chaîne de télévision israélienne, le gouvernement envisagerait de reprendre les éliminations ciblées contre les dirigeants du Hamas.
Qui pourra me convaincre que la meilleure façon d’arriver à la Paix dans cette région n’est pas d’appuyer sur le bouton de largage du missile ?
Sûrement pas les autorités françaises qui témoigneront encore une fois de l’extrémisme d’Ariel Sharon et de la capacité de certains autres à trouver des ‘’partenaires’’ au sein de l’Autorité Palestinienne.
Seul Arafat rit encore de cette bonne blague.
mardi 13 janvier 2004
Le bilan du bilan de R.S.F.
Que c’est affreux la guerre. D’autant plus, quand elle est racontée avec moult détails et personnifiée. Le rapport annuel 2003 de l’ONG Reporters Sans Frontières « Israël et les territoires occupés » nous relate SA version sur la relation des journalistes avec Tsahal. Il est clair qu’elle n’a rien d’idyllique selon l’association. Bien au contraire.
Pour situer l’environnement, RSF trace dès le prélude de son rapport la chronologie des évènements depuis septembre 2000 : « …le soulèvement palestinien, la répression israélienne et les attentats kamikazes palestiniens ont fait plus de 2 850 victimes pour trois quarts palestiniennes.». Ne doutant pas un instant (ou presque) de la ‘’probité professionnelle’’ des journalistes, et notamment de ceux qui ont rédigé ce bilan, il est donc dérisoire de tenter la contradiction de la relation de cause à effet qu’induit la formulation citée : la « répression israélienne » A MOTIVE les « attentats kamikazes palestiniens » et non pas le contraire.
Si après ceci vous n’avez pas vouer encore Israël aux gémonies, c’est que vous n’avez rien compris à LEUR conflit.
‘’Leur’’ conflit qui impose FORCEMENT la responsabilité israélienne dans ‘’l’assassinat’’ de trois journalistes et les blessures de huit autres alors « qu’ils couvraient l'actualité dans les Territoires occupés ». Sans préjuger, il va de soi, des incarcérations ‘’ARBITRAIRES’’, des interpellations ‘’ABUSIVES’’, pressions et/ou entraves ‘’ILLEGALES’’ il va de soi.
Avant de détailler les malheurs des journalistes, notons encore la conscience de RSF lorsqu’il communique sur la démission du ‘’parti modéré’’ (le parti travailliste) du gouvernement en octobre 2002 et l’alliance qui s’ensuivit avec la droite ULTRA NATIONALISTE. Comme pour mieux exprimer, à posteriori, à qui ne le comprendrait pas encore, l’entière responsabilité de ce gouvernement (d’extrême droite ?) dans ce conflit et dans les malheurs de la presse, accrus -mais était il important de le spécifier ?- par l’intention gouvernemental de la bâillonner, voire de l’éduquer à l’école sharonienne.
On peut donc en déduire, toujours selon ces journaleux si scrupuleux, que le parti Shinouï -par sa présence au gouvernement depuis le départ des travaillistes- est devenu un parti ultra nationaliste et la presse israélienne aux ordres de Sharon.
Avec une analyse pareille, qui peut prétendre à l’avenir informer avec IM PAR TIA LI TE ?
Ainsi, les journalistes Internationaux, ‘’Palestiniens’’, voire Israéliens, ont ‘’payé’’, de différentes façons, leurs tributs à l’information. Dans l’année 2002, trois d’entre eux furent tués, et comme chacun le sait, ou se doit de le savoir, l’unique responsable de leur mort est formellement identifié par les ‘’témoignages’’ recueillis par RSF.
Raffaele Ciriello, photographe du quotidien italien Corriere della Sera, accompagnant « un groupe de Palestiniens armés » est tué à Ramallah « lorsqu'un blindé israélien, situé à cent cinquante mètres, a soudainement ouvert le feu à l'arme automatique ».
Tout est dit par l’adverbe soudainement. La SURPRISE a toujours réussi à Tsahal.
Imad Abu Zahra, 35ans et photographe free-lance, meurt suite à ses blessures selon une enquête menée sur le terrain et concluant- que « des blindés israéliens ouvrent le feu, sans avertissement, et sans qu'un quelconque danger le justifie. Selon plusieurs témoins, il n'y avait aucun affrontement à ce moment ». No COMMENT.
Issam Hamza Tillawi, 32 ans, journaliste et présentateur de la radio La Voix de la Palestine, est tué par balle lors d’un reportage dans une manifestation pro-Arafat. « D'après les témoins, des soldats israéliens ont alors tiré des gaz lacrymogènes. Le journaliste s'est mis à courir et a été touché par une balle provenant d'un sniper israélien posté en haut d'un immeuble ». Le directeur de l’hôpital de Ramallah « a confirmé que Issam Hamza Tillawi avait été atteint par une balle à l'arrière du crâne ».
Ce qui est la preuve irréfutable de la NATIONALITE du sniper.
Hormis ces trois ‘’assassinats ?’’, Tsahal en a blessé huit autres selon l’ONG.
Sagui Bashan, journaliste de la deuxième chaîne de télévision israélienne exige de la part des militaires surveillant le barrage de Netzarim qu’ils prouvent, par un ordre écrit d'un officier supérieur, leur affirmation que l’endroit est un ‘’territoire militaire fermé’’, ou qu’il le laisse passer. Tout journaliste qui ‘’se respecte’’ vous dira que les soldats sont aussi des ‘’MENTEURS’’ et que la règle est de désobéir aux consignes de sécurité. Pas d’écrit, donc pas d’ordre. Ce qui a autorisé le journaliste à braver l’interdiction et à être blessé à l’épaule par des éclats de balles, ISRAELIENNES il va de soi.
Le journaliste suivant préfère rester anonyme. Bien qu’il affirme son doute quant à sa blessure par balle ou par un éclat d’obus. Le doute quant au ‘’CRIMINEL’’ par contre est exclu.
Carlos Handal, de la télévision égyptienne Nile TV, est grièvement blessé à la gorge alors qu'il filme, depuis son mini-van (…). Plusieurs balles provenant d'un sniper israélien ont traversé le pare-brise du véhicule marqué "Presse" ». Nulle précision sur le sujet filmé. Se peut il être autre chose qu’un documentaire sur la vie des animaux de cette région ? Comme, par exemple, un affrontement armés avec des terrori…, pardon des ‘’activistes’’ palestiniens ?
Anthony Shahid, journaliste américain du quotidien Boston Globe et blessé à l’épaule, « déclare ne pas connaître la provenance du tir mais précise que l'endroit était alors entouré de chars et de soldats israéliens ». L’essentiel pour un journaliste digne de ce nom est la PRECISION.
Iyad Hamad, journaliste palestinien travaillant pour Associated Press Television Network, est blessé alors qu'il prend des photos, à quelques mètres des blindés, d'une manifestation de pacifistes à Beit Jala. Un soldat tire en direction du sol pour faire partir les journalistes. Iyad Hamad est touché à la jambe droite alors qu'il rebrousse chemin ». Ah ! ces journalistes qui troublent les manifestations de PACIFISTES.
Madjadi Banoura, de la chaîne de télévision Al-Jazira, est légèrement blessé par des éclats de verre alors qu'il filme depuis la terrasse d'un hôtel à Bethléem. Des snipers israéliens auraient vraisemblablement tiré sur cet hôtel, connu pour héberger de nombreux journalistes ». Il est plus que VRAISEMBLABLE que l’association RSF a diligenté une étude VRAISEMBLABLEMENT sérieuse sur les causes supposés de violences israéliennes à l’encontre de journalistes aux dessus de tout soupçon de partialité.
Jérôme Marcantetti, cameraman de la chaîne de télévision française LCI, est blessé par les tirs d'un soldat israélien alors qu'il fait demi-tour, comme un soldat vient de le lui ordonner. Un éclat de balle pénètre profondément dans la cuisse du journaliste ».
Amar Awad, cameraman travaillant pour Reuters, filme le check point de Qalandia, entre Ramallah et Jérusalem. Soudain, un soldat tire plusieurs balles en direction du sol, dont les éclats blessent le journaliste ».
Pour RSF, quant aux deux derniers journalistes blessés, nulles raisons n’ont justifié ces tirs. Sauf bien sûr la violence militaire du pays ‘’colonisateur’’ qui n’est pas dit mais déduit par le lecteur peu au fait de l’honneur de TSAHAL.
Je vous fait grâce d’une explication sur les incarcérations ‘’abusives’’ et autres entraves ‘’illégales’’ décelées sur le terrain par RSF en pleine période de ‘’Guerre d’Oslo’’.
Il est une constante dans l’idéologie des ONGs, et particulièrement celle en cause. Les ‘’Palestiniens’’ sont les VICTIMES et ne peuvent donc commettre d’actes répréhensibles.
Il est cependant une EVIDENCE dans cet inventaire à charge. Nulle preuve formelle n’a pu étayer ces différentes accusations à l’encontre de Tsahal.
Bref ! Un rapport qui transforme un inculpé en accusé sans passer par la case ‘’procès EQUITABLE’’.
Loin de conclure, à l’instar de RSF, que les ‘’Palestiniens’’ SONT les uniques coupables et les Israéliens des anges, il est certain que l’information aurait gagné à une objectivité et une impartialité de Reporters Sans Frontières.
Ce qui doit être la préoccupation première de tout journaliste digne de ce nom.
Mais chez RSF, y a t-il des Journalistes ?
Pour situer l’environnement, RSF trace dès le prélude de son rapport la chronologie des évènements depuis septembre 2000 : « …le soulèvement palestinien, la répression israélienne et les attentats kamikazes palestiniens ont fait plus de 2 850 victimes pour trois quarts palestiniennes.». Ne doutant pas un instant (ou presque) de la ‘’probité professionnelle’’ des journalistes, et notamment de ceux qui ont rédigé ce bilan, il est donc dérisoire de tenter la contradiction de la relation de cause à effet qu’induit la formulation citée : la « répression israélienne » A MOTIVE les « attentats kamikazes palestiniens » et non pas le contraire.
Si après ceci vous n’avez pas vouer encore Israël aux gémonies, c’est que vous n’avez rien compris à LEUR conflit.
‘’Leur’’ conflit qui impose FORCEMENT la responsabilité israélienne dans ‘’l’assassinat’’ de trois journalistes et les blessures de huit autres alors « qu’ils couvraient l'actualité dans les Territoires occupés ». Sans préjuger, il va de soi, des incarcérations ‘’ARBITRAIRES’’, des interpellations ‘’ABUSIVES’’, pressions et/ou entraves ‘’ILLEGALES’’ il va de soi.
Avant de détailler les malheurs des journalistes, notons encore la conscience de RSF lorsqu’il communique sur la démission du ‘’parti modéré’’ (le parti travailliste) du gouvernement en octobre 2002 et l’alliance qui s’ensuivit avec la droite ULTRA NATIONALISTE. Comme pour mieux exprimer, à posteriori, à qui ne le comprendrait pas encore, l’entière responsabilité de ce gouvernement (d’extrême droite ?) dans ce conflit et dans les malheurs de la presse, accrus -mais était il important de le spécifier ?- par l’intention gouvernemental de la bâillonner, voire de l’éduquer à l’école sharonienne.
On peut donc en déduire, toujours selon ces journaleux si scrupuleux, que le parti Shinouï -par sa présence au gouvernement depuis le départ des travaillistes- est devenu un parti ultra nationaliste et la presse israélienne aux ordres de Sharon.
Avec une analyse pareille, qui peut prétendre à l’avenir informer avec IM PAR TIA LI TE ?
Ainsi, les journalistes Internationaux, ‘’Palestiniens’’, voire Israéliens, ont ‘’payé’’, de différentes façons, leurs tributs à l’information. Dans l’année 2002, trois d’entre eux furent tués, et comme chacun le sait, ou se doit de le savoir, l’unique responsable de leur mort est formellement identifié par les ‘’témoignages’’ recueillis par RSF.
Raffaele Ciriello, photographe du quotidien italien Corriere della Sera, accompagnant « un groupe de Palestiniens armés » est tué à Ramallah « lorsqu'un blindé israélien, situé à cent cinquante mètres, a soudainement ouvert le feu à l'arme automatique ».
Tout est dit par l’adverbe soudainement. La SURPRISE a toujours réussi à Tsahal.
Imad Abu Zahra, 35ans et photographe free-lance, meurt suite à ses blessures selon une enquête menée sur le terrain et concluant- que « des blindés israéliens ouvrent le feu, sans avertissement, et sans qu'un quelconque danger le justifie. Selon plusieurs témoins, il n'y avait aucun affrontement à ce moment ». No COMMENT.
Issam Hamza Tillawi, 32 ans, journaliste et présentateur de la radio La Voix de la Palestine, est tué par balle lors d’un reportage dans une manifestation pro-Arafat. « D'après les témoins, des soldats israéliens ont alors tiré des gaz lacrymogènes. Le journaliste s'est mis à courir et a été touché par une balle provenant d'un sniper israélien posté en haut d'un immeuble ». Le directeur de l’hôpital de Ramallah « a confirmé que Issam Hamza Tillawi avait été atteint par une balle à l'arrière du crâne ».
Ce qui est la preuve irréfutable de la NATIONALITE du sniper.
Hormis ces trois ‘’assassinats ?’’, Tsahal en a blessé huit autres selon l’ONG.
Sagui Bashan, journaliste de la deuxième chaîne de télévision israélienne exige de la part des militaires surveillant le barrage de Netzarim qu’ils prouvent, par un ordre écrit d'un officier supérieur, leur affirmation que l’endroit est un ‘’territoire militaire fermé’’, ou qu’il le laisse passer. Tout journaliste qui ‘’se respecte’’ vous dira que les soldats sont aussi des ‘’MENTEURS’’ et que la règle est de désobéir aux consignes de sécurité. Pas d’écrit, donc pas d’ordre. Ce qui a autorisé le journaliste à braver l’interdiction et à être blessé à l’épaule par des éclats de balles, ISRAELIENNES il va de soi.
Le journaliste suivant préfère rester anonyme. Bien qu’il affirme son doute quant à sa blessure par balle ou par un éclat d’obus. Le doute quant au ‘’CRIMINEL’’ par contre est exclu.
Carlos Handal, de la télévision égyptienne Nile TV, est grièvement blessé à la gorge alors qu'il filme, depuis son mini-van (…). Plusieurs balles provenant d'un sniper israélien ont traversé le pare-brise du véhicule marqué "Presse" ». Nulle précision sur le sujet filmé. Se peut il être autre chose qu’un documentaire sur la vie des animaux de cette région ? Comme, par exemple, un affrontement armés avec des terrori…, pardon des ‘’activistes’’ palestiniens ?
Anthony Shahid, journaliste américain du quotidien Boston Globe et blessé à l’épaule, « déclare ne pas connaître la provenance du tir mais précise que l'endroit était alors entouré de chars et de soldats israéliens ». L’essentiel pour un journaliste digne de ce nom est la PRECISION.
Iyad Hamad, journaliste palestinien travaillant pour Associated Press Television Network, est blessé alors qu'il prend des photos, à quelques mètres des blindés, d'une manifestation de pacifistes à Beit Jala. Un soldat tire en direction du sol pour faire partir les journalistes. Iyad Hamad est touché à la jambe droite alors qu'il rebrousse chemin ». Ah ! ces journalistes qui troublent les manifestations de PACIFISTES.
Madjadi Banoura, de la chaîne de télévision Al-Jazira, est légèrement blessé par des éclats de verre alors qu'il filme depuis la terrasse d'un hôtel à Bethléem. Des snipers israéliens auraient vraisemblablement tiré sur cet hôtel, connu pour héberger de nombreux journalistes ». Il est plus que VRAISEMBLABLE que l’association RSF a diligenté une étude VRAISEMBLABLEMENT sérieuse sur les causes supposés de violences israéliennes à l’encontre de journalistes aux dessus de tout soupçon de partialité.
Jérôme Marcantetti, cameraman de la chaîne de télévision française LCI, est blessé par les tirs d'un soldat israélien alors qu'il fait demi-tour, comme un soldat vient de le lui ordonner. Un éclat de balle pénètre profondément dans la cuisse du journaliste ».
Amar Awad, cameraman travaillant pour Reuters, filme le check point de Qalandia, entre Ramallah et Jérusalem. Soudain, un soldat tire plusieurs balles en direction du sol, dont les éclats blessent le journaliste ».
Pour RSF, quant aux deux derniers journalistes blessés, nulles raisons n’ont justifié ces tirs. Sauf bien sûr la violence militaire du pays ‘’colonisateur’’ qui n’est pas dit mais déduit par le lecteur peu au fait de l’honneur de TSAHAL.
Je vous fait grâce d’une explication sur les incarcérations ‘’abusives’’ et autres entraves ‘’illégales’’ décelées sur le terrain par RSF en pleine période de ‘’Guerre d’Oslo’’.
Il est une constante dans l’idéologie des ONGs, et particulièrement celle en cause. Les ‘’Palestiniens’’ sont les VICTIMES et ne peuvent donc commettre d’actes répréhensibles.
Il est cependant une EVIDENCE dans cet inventaire à charge. Nulle preuve formelle n’a pu étayer ces différentes accusations à l’encontre de Tsahal.
Bref ! Un rapport qui transforme un inculpé en accusé sans passer par la case ‘’procès EQUITABLE’’.
Loin de conclure, à l’instar de RSF, que les ‘’Palestiniens’’ SONT les uniques coupables et les Israéliens des anges, il est certain que l’information aurait gagné à une objectivité et une impartialité de Reporters Sans Frontières.
Ce qui doit être la préoccupation première de tout journaliste digne de ce nom.
Mais chez RSF, y a t-il des Journalistes ?
dimanche 11 janvier 2004
Dieudonné, le SYMPTÔME français
Tout le monde, du moins francophone, connaît M’balla M’balla dit Dieudonné. Non pas pour la qualité de ses œuvres artistiques mais plutôt pour ses dérapages saturés d’anti-israélisme et d’antisémitisme, véritable « hostilité envers les Juifs » dixit le dictionnaire.
M’balla M’balla avait, on s’en souvient, accordé un interview à un quotidien lyonnais -en pleine période de régénération du ‘’nouvel antisémitisme français’’ initié par la ‘’Guerre d’Oslo’’- affirmant que « la religion d’Abraham était la première escroquerie au monde parce que première religion ».
Ainsi, il est aisé de comprendre, que tout adepte du Judaïsme est en conséquence un ESCROC pour avoir, on le suppose, contribuer -par son éthique et la loi juive- à la base morale des sociétés démocratiques. Apport assurément insupportable pour tous ceux qui ont la nostalgie d’une autre société ou époque.
L’hostilité envers les Juifs, révélée par ces propos, témoignait déjà de la HAINE qui le démangeait.
Après moult autres glissements dont la liste serait laborieuse à dresser, Dieudonné -lors de l ‘émission ‘’On ne peut pas plaire à tout le monde’’ de Marc-Olivier Fogiel sur France 3- apparu aux téléspectateurs déguisé en Juif orthodoxe appelant les « jeunes des cités à se convertir, à se ressaisir et à rejoindre l’axe du bien, l’axe américano-sioniste » et terminant sa diatribe d’un ‘’IsraHeil’’ parodiant le salut nazi .
Quelle peut être la réaction naturelle d’un survivant des camps de la Choa -ou d’un de ses parent vivant en Israël (pour ne parler que de ceux là)- apprenant, contre toute attente, qu’il vit sous un ‘’régime hitlérien’’ -que tout être sain mentalement condamne- et que ses proches servant dans Tsahal, collaborent finalement à un ‘’calque’’ de l’armée allemande de triste mémoire ?
Quelles peuvent être leurs réponses lorsqu’ils s’aperçoivent que ce ‘’comique’’ ne peut apporter la moindre preuve de ses allusions accusatrices, exprimées sur un média national français ?
Là encore, l’hostilité envers les Juifs est évidente et l’accusation d’ANTISEMITISME, à son encontre, motivée.
Mais au-delà du cas Dieudonné, il est sain de se questionner sur la responsabilité morale des différents médias français, car il est fort probable que M’Balla M’Balla n’ait jamais fait le voyage d’Israël et/ou des ‘’territoires disputés’’ pour constater de visu la situation réelle et en faire une étude recevable.
• Parmi de très nombreux exemples, qui ne se souvient pas encore aujourd’hui du grief ‘’d’espionite aiguë’’ israélienne en territoire US, découverte par Le Monde et Sylvain Cypel, qui se révéla être une diffamation ? Affirmation qui rapporta depuis au journaliste le grade de rédacteur en chef adjoint du quotidien.
• Ou encore de l'accusation de viol des ‘’Palestiniennes’’ par la soldatesque israélienne de Sara Daniel et du Nouvel Obs ?
• Qui ne se remémore pas également l'imputation d’infanticide à l’encontre du peuple juif, finalement ‘’prouvée par la mort du petit Mohamed Al-Dura’’ et filmé en direct (si si) par le caméraman de l’envoyé permanent très spécial de France 2 Charles Enderlin. Reportage mondialement diffusé et qui valu à notre valeureux ‘’Scoopy’’ une reconnaissance planétaire.
Sans lister toutes les ignominies médiatiques (mais aussi politiques), est il alors impensable qu’un individu moyen français, non au fait de la réalité du conflit, et subissant ce matraquage permanent anti-israélien, ne finisse à l’instar de Dieudonné par « se torcher le cul avec le drapeau israélien » ?
Cela deviendrait presque compréhensible si ce n’était affligeant pour l’intellect.
Peut-on alors concevoir que de nouvelles lignes éditoriales se contentant de décrire, après vérification, la stricte réalité du conflit mettront un terme à tous ces dérapages ?
Et bien non ! Le MRAP, association anti-raciste (si si), a décidé de soutenir ‘’l’artiste’’ -qui a tant fait pour ‘’l’hostilité envers les Juifs’’- alors qu’il avait porté plainte contre le peu qu’avait écrit Oriana Fallaci dans son livre contre les islamistes et leur islam obscurantiste.
La spirale infernale, ainsi auto-alimentée, augure le pire pour la communauté juive française. Il est évident que seuls les autorités françaises ont, par le bras de la justice, les moyens d’y mettre un terme. Au-delà d’une condamnation pécuniaire, il est urgent qu’une peine de prison ferme, suffisamment importante, envers une ‘’célébrité’’ (pourquoi pas Dieudonné), serve d’exemple à tous les apprentis nazis. Mais vont elles reconnaître le symptôme qui les ronge et soigner cette maladie qui a, dans l’histoire récente, laissé de nombreuses traces en Europe ?
Rien n’est moins sûr.
Dans ce cas, la communauté juive n’aura le choix que de se rapprocher du peuple israélien, authentique garant des valeurs des Droits de l’Homme ou, précédant l’éclosion de la maladie, de s’éloigner, voire de quitter le pays qu’elle avait considéré comme sien : la France.
M’balla M’balla avait, on s’en souvient, accordé un interview à un quotidien lyonnais -en pleine période de régénération du ‘’nouvel antisémitisme français’’ initié par la ‘’Guerre d’Oslo’’- affirmant que « la religion d’Abraham était la première escroquerie au monde parce que première religion ».
Ainsi, il est aisé de comprendre, que tout adepte du Judaïsme est en conséquence un ESCROC pour avoir, on le suppose, contribuer -par son éthique et la loi juive- à la base morale des sociétés démocratiques. Apport assurément insupportable pour tous ceux qui ont la nostalgie d’une autre société ou époque.
L’hostilité envers les Juifs, révélée par ces propos, témoignait déjà de la HAINE qui le démangeait.
Après moult autres glissements dont la liste serait laborieuse à dresser, Dieudonné -lors de l ‘émission ‘’On ne peut pas plaire à tout le monde’’ de Marc-Olivier Fogiel sur France 3- apparu aux téléspectateurs déguisé en Juif orthodoxe appelant les « jeunes des cités à se convertir, à se ressaisir et à rejoindre l’axe du bien, l’axe américano-sioniste » et terminant sa diatribe d’un ‘’IsraHeil’’ parodiant le salut nazi .
Quelle peut être la réaction naturelle d’un survivant des camps de la Choa -ou d’un de ses parent vivant en Israël (pour ne parler que de ceux là)- apprenant, contre toute attente, qu’il vit sous un ‘’régime hitlérien’’ -que tout être sain mentalement condamne- et que ses proches servant dans Tsahal, collaborent finalement à un ‘’calque’’ de l’armée allemande de triste mémoire ?
Quelles peuvent être leurs réponses lorsqu’ils s’aperçoivent que ce ‘’comique’’ ne peut apporter la moindre preuve de ses allusions accusatrices, exprimées sur un média national français ?
Là encore, l’hostilité envers les Juifs est évidente et l’accusation d’ANTISEMITISME, à son encontre, motivée.
Mais au-delà du cas Dieudonné, il est sain de se questionner sur la responsabilité morale des différents médias français, car il est fort probable que M’Balla M’Balla n’ait jamais fait le voyage d’Israël et/ou des ‘’territoires disputés’’ pour constater de visu la situation réelle et en faire une étude recevable.
• Parmi de très nombreux exemples, qui ne se souvient pas encore aujourd’hui du grief ‘’d’espionite aiguë’’ israélienne en territoire US, découverte par Le Monde et Sylvain Cypel, qui se révéla être une diffamation ? Affirmation qui rapporta depuis au journaliste le grade de rédacteur en chef adjoint du quotidien.
• Ou encore de l'accusation de viol des ‘’Palestiniennes’’ par la soldatesque israélienne de Sara Daniel et du Nouvel Obs ?
• Qui ne se remémore pas également l'imputation d’infanticide à l’encontre du peuple juif, finalement ‘’prouvée par la mort du petit Mohamed Al-Dura’’ et filmé en direct (si si) par le caméraman de l’envoyé permanent très spécial de France 2 Charles Enderlin. Reportage mondialement diffusé et qui valu à notre valeureux ‘’Scoopy’’ une reconnaissance planétaire.
Sans lister toutes les ignominies médiatiques (mais aussi politiques), est il alors impensable qu’un individu moyen français, non au fait de la réalité du conflit, et subissant ce matraquage permanent anti-israélien, ne finisse à l’instar de Dieudonné par « se torcher le cul avec le drapeau israélien » ?
Cela deviendrait presque compréhensible si ce n’était affligeant pour l’intellect.
Peut-on alors concevoir que de nouvelles lignes éditoriales se contentant de décrire, après vérification, la stricte réalité du conflit mettront un terme à tous ces dérapages ?
Et bien non ! Le MRAP, association anti-raciste (si si), a décidé de soutenir ‘’l’artiste’’ -qui a tant fait pour ‘’l’hostilité envers les Juifs’’- alors qu’il avait porté plainte contre le peu qu’avait écrit Oriana Fallaci dans son livre contre les islamistes et leur islam obscurantiste.
La spirale infernale, ainsi auto-alimentée, augure le pire pour la communauté juive française. Il est évident que seuls les autorités françaises ont, par le bras de la justice, les moyens d’y mettre un terme. Au-delà d’une condamnation pécuniaire, il est urgent qu’une peine de prison ferme, suffisamment importante, envers une ‘’célébrité’’ (pourquoi pas Dieudonné), serve d’exemple à tous les apprentis nazis. Mais vont elles reconnaître le symptôme qui les ronge et soigner cette maladie qui a, dans l’histoire récente, laissé de nombreuses traces en Europe ?
Rien n’est moins sûr.
Dans ce cas, la communauté juive n’aura le choix que de se rapprocher du peuple israélien, authentique garant des valeurs des Droits de l’Homme ou, précédant l’éclosion de la maladie, de s’éloigner, voire de quitter le pays qu’elle avait considéré comme sien : la France.
jeudi 8 janvier 2004
L’avenir de Beilin, Burg et Mitzna.
Les négociateurs israéliens, de ce qu’on appelle dorénavant « l’Initiative de Genève », organisent le 24 Janvier prochain en Israël -ce qu’ils espèrent être- une manifestation de masse.
Il est plus que probable, que nous y retrouverons des arabes israéliens, quelques « pacifistes étrangers » délaissant pour un moment la lutte contre l’édification de la « clôture de protection contre les islamikazes » et également des Israéliens, principaux concernés par la paix.
Des Israéliens persuadés que la concrétisation d’une paix, véritable pleine et entière, s’acquière forcément par :
• -L’abandon définitif du « Mont du Temple »
• -Le retour incontestable d’une certaine quantité de ‘’réfugiés palestiniens’’ au sein même d’Israël,
• -La mise sous tutelle de leur pays par le « Groupe d’Application et de Vérification » -garant de l’accord entre les parties- comprenant les USA, l’Europe, la Russie, l’ONU ainsi que d’autres pays à choisir entre les quelques 190 nations votant presque par ‘’habitude’’ des condamnations ou des résolutions anti-israéliennes,
• -Et, sans que cette liste soit exhaustive, par une ‘’compensation’’ israélienne aux pays hébergeant les ‘’Palestiniens’’ (et leurs descendances) devenus ‘’réfugiés’’ en 1948 puis 1967 par ‘’l’expulsion de leur terre’’ due au refus obtus de ces mêmes nations à admettre la création de l’état d’Israël.
Quel en sera donc leur nombre, véritable indicateur du devenir de ce traité ?
Si l’on en croit le dernier sondage, près de 35% d’Israéliens y seraient d’ors et déjà favorable. Ce qui devrait se traduire le 24 Janvier par un nombre record de manifestants, digne de figurer dans les annales de l’histoire israélienne.
Mais là n’est pourtant pas l’essentiel.
Selon les dires de Yossi Beilin, d’Abraham Burg ou encore d’Amram Mitzna, Israël a -depuis la proclamation internationale faite depuis Genève- un PARTENAIRE.
Il serait donc conséquent d’apercevoir ce 24 Janvier le pendant palestinien. A savoir, une manifestation dans les rues de Gaza, de Ramallah, de Djenine ou encore de Naplouse.
Manifestation d’autant plus envisageable, que S. Nusseibeh et A. Ayallon -les auteurs d’un autre plan « La voix du peuple »- annoncent fièrement le nombre de 100.000 Palestiniens (et 150.000 Israéliens) signataires de leur programme. Preuve, à les croire, de l’existence d’un potentiel palestinien en faveur d’un état d’Israël à caractère JUIF.
Il est donc vital, pour la survie des politiciens israéliens précités et pour « l’Initiative de Genève », que Yasser Abed Rabbo et ses collègues prouvent, quitte à mettre leur vie en danger en déplaisant à leur mentor Yasser Arafat, que leurs signatures au bas de « l’Initiative de Genève » comptent et que les Israéliens possèdent pour l'avenir de véritables PARTENAIRES.
L’organisation de cette manifestation et le nombre de participant interviendront énormément dans la prise de conscience israélienne du nouveau ‘’état d’esprit palestinien’’.
Une nouvelle fois, la Paix -de Genève ou d’ailleurs- est entièrement entre leurs mains.
Mais les Israéliens en ont l’habitude.
Il est plus que probable, que nous y retrouverons des arabes israéliens, quelques « pacifistes étrangers » délaissant pour un moment la lutte contre l’édification de la « clôture de protection contre les islamikazes » et également des Israéliens, principaux concernés par la paix.
Des Israéliens persuadés que la concrétisation d’une paix, véritable pleine et entière, s’acquière forcément par :
• -L’abandon définitif du « Mont du Temple »
• -Le retour incontestable d’une certaine quantité de ‘’réfugiés palestiniens’’ au sein même d’Israël,
• -La mise sous tutelle de leur pays par le « Groupe d’Application et de Vérification » -garant de l’accord entre les parties- comprenant les USA, l’Europe, la Russie, l’ONU ainsi que d’autres pays à choisir entre les quelques 190 nations votant presque par ‘’habitude’’ des condamnations ou des résolutions anti-israéliennes,
• -Et, sans que cette liste soit exhaustive, par une ‘’compensation’’ israélienne aux pays hébergeant les ‘’Palestiniens’’ (et leurs descendances) devenus ‘’réfugiés’’ en 1948 puis 1967 par ‘’l’expulsion de leur terre’’ due au refus obtus de ces mêmes nations à admettre la création de l’état d’Israël.
Quel en sera donc leur nombre, véritable indicateur du devenir de ce traité ?
Si l’on en croit le dernier sondage, près de 35% d’Israéliens y seraient d’ors et déjà favorable. Ce qui devrait se traduire le 24 Janvier par un nombre record de manifestants, digne de figurer dans les annales de l’histoire israélienne.
Mais là n’est pourtant pas l’essentiel.
Selon les dires de Yossi Beilin, d’Abraham Burg ou encore d’Amram Mitzna, Israël a -depuis la proclamation internationale faite depuis Genève- un PARTENAIRE.
Il serait donc conséquent d’apercevoir ce 24 Janvier le pendant palestinien. A savoir, une manifestation dans les rues de Gaza, de Ramallah, de Djenine ou encore de Naplouse.
Manifestation d’autant plus envisageable, que S. Nusseibeh et A. Ayallon -les auteurs d’un autre plan « La voix du peuple »- annoncent fièrement le nombre de 100.000 Palestiniens (et 150.000 Israéliens) signataires de leur programme. Preuve, à les croire, de l’existence d’un potentiel palestinien en faveur d’un état d’Israël à caractère JUIF.
Il est donc vital, pour la survie des politiciens israéliens précités et pour « l’Initiative de Genève », que Yasser Abed Rabbo et ses collègues prouvent, quitte à mettre leur vie en danger en déplaisant à leur mentor Yasser Arafat, que leurs signatures au bas de « l’Initiative de Genève » comptent et que les Israéliens possèdent pour l'avenir de véritables PARTENAIRES.
L’organisation de cette manifestation et le nombre de participant interviendront énormément dans la prise de conscience israélienne du nouveau ‘’état d’esprit palestinien’’.
Une nouvelle fois, la Paix -de Genève ou d’ailleurs- est entièrement entre leurs mains.
Mais les Israéliens en ont l’habitude.
mardi 6 janvier 2004
La ‘’Route’’ d’Ariel Sharon
Lundi soir, au Palais de la culture de Tel-aviv, le Premier ministre Ariel Sharon a réaffirmé dans un discours -lors de la convention du parti Likoud et devant près de 3.000 membres- son soutien au plan international « la carte routière » seul, selon lui, susceptible de conduire à la paix et à la sécurité.
Tout en appelant l’Autorité Palestinienne à procéder à des réformes démocratiques et à mettre fin au terrorisme et aux incitations à la violence, il énonça sous les applaudissements de ses partisans et les slogans assassins de ses adversaires politiques -minoritaires au sein du parti- qu’Israël « remplira tous ses engagements et permettra la création d’un Etat palestinien ».
Il se vérifie donc de ce fait, que le Likoud -parti politique dont l’idéologie a toujours été le ‘’Grand Israël’’- en vient à admettre l’évidence d’une séparation d’avec les ‘’Palestiniens’’ et la création de leur état, la ‘’Palestine’’ comme le souhaite la très grande majorité du peuple israélien.
Ce qui demande à terme, le démantèlement d’un grand nombre de localités juives implantées dans les ‘’territoires disputés’’ et l’expulsion de leurs habitants qui « devront, comme tous les citoyens de ce pays, respecter la loi et obéir au gouvernement ainsi qu’aux forces de sécurité ».
Ainsi, tel que défini par la « carte routière », les directives à la charge d’Israël de la phase 1 sont en passe de se réaliser, ou tout au moins empruntent la voie et Ariel Sharon, sauf à se désavouer et porter atteinte au crédit de sa parole (ou être démis, ce qui paraît encore moins probable) ne peut plus faire marche arrière.
Israël s’apprête à avoir sous peu un nouveau voisin.
Qu’en est il de la partie adverse ?
Nabil Abou Roudeina, principal conseiller du reclus de Ramallah Yasser Arafat, dans une première réaction palestinienne à l’allocution d’Ariel Sharon a rejeté « l'idée d'un Etat palestinien aux frontières temporaires, et a exigé la stricte application de la ‘’feuille de route’’, ainsi que celle des résolutions de l'ONU exigeant le retrait des territoires occupés depuis juin 1967».
Il semblerait donc, par cette approche de l’Autorité palestinienne, que les frontières soient d’ors et déjà connus ainsi que la superficie de l’état de ‘’Palestine’’ en devenir, bien qu’aucun accord n’ait jamais été signé sur les limites géographiques et que nulle résolution onusienne exige la restitution de la TOTALITE des territoires occupés suite à la guerre des six jours.
Seule l’exigence d’une « stricte application de la ‘’feuille de route’’ » réclamée à cor et à cri par tous les ‘’dignitaires palestiniens’’ rejoint la position actuelle du gouvernement israélien et laisse entendre que les ‘’Palestiniens’’ sont sur le chemin d’une concrétisation de leurs obligations de cette même phase 1.
Qu’en est il réellement ?
Ont ils déclaré « clairement la cessation des actes de violence et de terrorisme », fait des « efforts visibles » pour empêcher toutes actions d’individus et de groupes « qui préparent et lancent de violentes attaques contre des Israéliens en quelque lieu que ce soit et en vue de les arrêter », reconstitué et recentré les services de sécurités de l'Autorité palestinienne, démantelé « l'infrastructure et les moyens des terroristes », et obligé les Etats arabes, partenaires dans ce combat anti-israélien, a cessé tout financement et soutien à « des groupes qui encouragent et qui commettent des actes de violence et de terrorisme » ?
Bien sûr que non.
Ainsi, faute d’aménager la paix à deux, main dans la main, Israël se prépare -par nécessité- a se déconnecté « physiquement et psychologiquement des Palestiniens jusqu'à ce qu'ils trouvent leur voie ».
Le plan de désengagement unilatéral, proclamé par Ariel Sharon, est en conséquence en passe de se matérialiser et à contraindre les ‘’Palestiniens’’ à se retrouver face à eux mêmes, sans autres armes que le dialogue et la reconnaissance d’Israël, état Juif.
Ainsi, dans quelques années et après que les ardeurs meurtrières d’une grande partie de ce peuple se soient éteintes faute de succès, une négociation s’engagera de facto et amènera une PAIX définitive.
On comprend mieux maintenant, l’obstination des ‘’responsables palestiniens’’ à requérir la démolition de la clôture de sécurité, véritable danger à leurs desseins
Tout en appelant l’Autorité Palestinienne à procéder à des réformes démocratiques et à mettre fin au terrorisme et aux incitations à la violence, il énonça sous les applaudissements de ses partisans et les slogans assassins de ses adversaires politiques -minoritaires au sein du parti- qu’Israël « remplira tous ses engagements et permettra la création d’un Etat palestinien ».
Il se vérifie donc de ce fait, que le Likoud -parti politique dont l’idéologie a toujours été le ‘’Grand Israël’’- en vient à admettre l’évidence d’une séparation d’avec les ‘’Palestiniens’’ et la création de leur état, la ‘’Palestine’’ comme le souhaite la très grande majorité du peuple israélien.
Ce qui demande à terme, le démantèlement d’un grand nombre de localités juives implantées dans les ‘’territoires disputés’’ et l’expulsion de leurs habitants qui « devront, comme tous les citoyens de ce pays, respecter la loi et obéir au gouvernement ainsi qu’aux forces de sécurité ».
Ainsi, tel que défini par la « carte routière », les directives à la charge d’Israël de la phase 1 sont en passe de se réaliser, ou tout au moins empruntent la voie et Ariel Sharon, sauf à se désavouer et porter atteinte au crédit de sa parole (ou être démis, ce qui paraît encore moins probable) ne peut plus faire marche arrière.
Israël s’apprête à avoir sous peu un nouveau voisin.
Qu’en est il de la partie adverse ?
Nabil Abou Roudeina, principal conseiller du reclus de Ramallah Yasser Arafat, dans une première réaction palestinienne à l’allocution d’Ariel Sharon a rejeté « l'idée d'un Etat palestinien aux frontières temporaires, et a exigé la stricte application de la ‘’feuille de route’’, ainsi que celle des résolutions de l'ONU exigeant le retrait des territoires occupés depuis juin 1967».
Il semblerait donc, par cette approche de l’Autorité palestinienne, que les frontières soient d’ors et déjà connus ainsi que la superficie de l’état de ‘’Palestine’’ en devenir, bien qu’aucun accord n’ait jamais été signé sur les limites géographiques et que nulle résolution onusienne exige la restitution de la TOTALITE des territoires occupés suite à la guerre des six jours.
Seule l’exigence d’une « stricte application de la ‘’feuille de route’’ » réclamée à cor et à cri par tous les ‘’dignitaires palestiniens’’ rejoint la position actuelle du gouvernement israélien et laisse entendre que les ‘’Palestiniens’’ sont sur le chemin d’une concrétisation de leurs obligations de cette même phase 1.
Qu’en est il réellement ?
Ont ils déclaré « clairement la cessation des actes de violence et de terrorisme », fait des « efforts visibles » pour empêcher toutes actions d’individus et de groupes « qui préparent et lancent de violentes attaques contre des Israéliens en quelque lieu que ce soit et en vue de les arrêter », reconstitué et recentré les services de sécurités de l'Autorité palestinienne, démantelé « l'infrastructure et les moyens des terroristes », et obligé les Etats arabes, partenaires dans ce combat anti-israélien, a cessé tout financement et soutien à « des groupes qui encouragent et qui commettent des actes de violence et de terrorisme » ?
Bien sûr que non.
Ainsi, faute d’aménager la paix à deux, main dans la main, Israël se prépare -par nécessité- a se déconnecté « physiquement et psychologiquement des Palestiniens jusqu'à ce qu'ils trouvent leur voie ».
Le plan de désengagement unilatéral, proclamé par Ariel Sharon, est en conséquence en passe de se matérialiser et à contraindre les ‘’Palestiniens’’ à se retrouver face à eux mêmes, sans autres armes que le dialogue et la reconnaissance d’Israël, état Juif.
Ainsi, dans quelques années et après que les ardeurs meurtrières d’une grande partie de ce peuple se soient éteintes faute de succès, une négociation s’engagera de facto et amènera une PAIX définitive.
On comprend mieux maintenant, l’obstination des ‘’responsables palestiniens’’ à requérir la démolition de la clôture de sécurité, véritable danger à leurs desseins