Lors d’un énième article paru dans Libération et intitulé « La pente savonneuse de l’antisémitisme», cet universitaire (professeur de sciences politiques à l'université Bar-Ilan de Tel-Aviv) condamne ces « intellectuels ayant pignon sur rue pour qui l'antisionisme et l'anti-israélianisme ne révéleraient jamais, non, jamais, une once d'antisémitisme ». Il s’agit, vous l’aurez compris du landerneau parisien.
Sur les accusations portées à l’encontre de ce « petit groupe influent » dont « les efforts pervers commencent à porter leurs fruits » onze « vérités premières » sont décrites qui, espère t-il, éviteront à d’autres d’être « tentés de les suivre sur leur pente savonneuse ». Onze vérités qui dévoilent parfaitement l’antisémitisme caché de cette ‘’association de malfaiteurs’’ si souvent décriée dans nos pages.
Il y a pourtant une vérité qu’Ilan GREILSAMMER aurait dû méditer « (vérité N°6) Il y a antisémitisme quand on considère que les seuls «bons» Juifs israéliens, ceux que l'on est prêt à inviter et à fréquenter, et à faire parler sur les campus, sont les Juifs anti-israéliens dont la seule occupation est de dire du mal de leur peuple et de leur pays ».
Le professeur dénoncerait il, par cette vérité première, ‘’l’antisémitisme’’ du quotidien Libération par ses publications répétitives en son sein ? Serait il ce « bon juif israélien fréquentable », à charge pour lui de taper sur ses concitoyens et en premier lieu sur le gouvernement librement et démocratiquement choisi par les urnes par deux fois et par une très très large adhésion de la population ? A lire la première partie de son pamphlet, nul doute ne résiste au reproche de complicité volontaire.
Comme pour mieux faire passer la dénonciation d’antisémitisme dans un journal qui n’a plus à prouver sa partialité, et voire plus, Ilan GREILSAMMER offre à nos détracteurs une louche de haine envers ces « cercles intégristes, conservateurs et nationalistes » que sont les « sbires de Sharon, Netanyahou (et) Mofaz » indubitablement en faveur de la « stratégie absurde à l'égard des Palestiniens, pour leur complaisance à l'égard des colonies, pour l'argent déversé sur les routes de contournement, (et) pour la politique économique incohérente ou la politique sociale désastreuse ».
Ainsi sont déconsidérés les juifs de la diaspora qui refusent la ‘’fin de la parenthèse israélienne’’ tout en souhaitant l’avènement de l’état de Palestine AUX CÔTES d’Israël. Pour comprendre la position du gouvernement d’Ariel Sharon -qui hérita de cette situation - mais aussi que la ‘’paix d’Oslo’’ fut en fait une GUERRE qui ne dit pas son nom, les soutiens d’Israël sont condamnés et livrés à ce cercle parisien avec permis de haïr.
Ilan GREILSAMMER aurait dû en tant qu’intellectuel et par la lecture de ses onze vérités premières, réaliser que la situation actuelle au Proche Orient est la conséquence des actes du monde arabe, en particulier des palestiniens, et de leur refus de l’existence de l’état d’Israël (vérité N°1), de la négation des liens historiques du peuple juif avec cette terre (vérité N°2), de l’antisémitisme de tous les groupes terroristes et des pays arabes (vérité N°3), de l’éducation haineuse à l’encontre des juifs (vérité N°4), du détournement du passé malheureux du peuple juif (vérité N°5) et de la situation catastrophique et intentionnelle des ‘’réfugiés’’ palestiniens (vérité N°9).
Situation énergiquement aggravée également par leurs soutiens à travers la planète et par leur dénonciation d’un soi-disant lobby sioniste (vérité N°7), par la culpabilité permanente d’Israël en tous les maux de cette terre (vérité N°8 et N°10) et par l’oubli volontaire de ses droits en tant qu’état (vérité N°11).
En conséquence Ilan GREILSAMMER aurait dû s’apercevoir qu’il contribue, par sa participation journalistique, au développement de cet antisémitisme qu’il combat, tout comme Avraham Burg ou encore Zeev Sternel et leur analyse sur ‘’la fin du sionisme’’ qui permet également au microcosme d’extrême gauche israélien de se croire vivant.
Pour être réaliste et réclamer la reconnaissance sans condition de l’état d’Israël et son droit à l’existence en tant qu’état juif, la grande majorité de la diaspora est insultée et dépourvue de droit légitime de soutenir démocratiquement un gouvernement élu qui agit selon la légalité et l’humanité du judaïsme. Cette majorité qui approuve encore et toujours le droit du peuple palestinien de disposer de lui même, malgré 850 morts et plusieurs milliers de victimes, et qui écartera Ariel Sharon, Netanyahou et Mofaz si nécessaire pour permettre au moment opportun cette réalisation de paix ; (encore faut il que la gauche élue à ce moment ait comme priorité la défense d’Israël et non l’occupation de se fouetter l’esprit pour cause de haine de soi).
A la veille du nouvel an, c’est le vœu le plus cher de ces « sbires intégristes, nationalistes et conservateurs » (dont énormément sont de gauche), ainsi que celui de la prise de conscience par ces hommes dit ‘’de gauche’’ de la haine qu’ils véhiculent à travers leurs articles et des verges qu’ils tendent aux ennemis d’Israël.
Une année sans prose de ces intellectuels ? C’est ce que l’on peut se souhaiter.
Bonne année M. GREILSAMMER
Sur les accusations portées à l’encontre de ce « petit groupe influent » dont « les efforts pervers commencent à porter leurs fruits » onze « vérités premières » sont décrites qui, espère t-il, éviteront à d’autres d’être « tentés de les suivre sur leur pente savonneuse ». Onze vérités qui dévoilent parfaitement l’antisémitisme caché de cette ‘’association de malfaiteurs’’ si souvent décriée dans nos pages.
Il y a pourtant une vérité qu’Ilan GREILSAMMER aurait dû méditer « (vérité N°6) Il y a antisémitisme quand on considère que les seuls «bons» Juifs israéliens, ceux que l'on est prêt à inviter et à fréquenter, et à faire parler sur les campus, sont les Juifs anti-israéliens dont la seule occupation est de dire du mal de leur peuple et de leur pays ».
Le professeur dénoncerait il, par cette vérité première, ‘’l’antisémitisme’’ du quotidien Libération par ses publications répétitives en son sein ? Serait il ce « bon juif israélien fréquentable », à charge pour lui de taper sur ses concitoyens et en premier lieu sur le gouvernement librement et démocratiquement choisi par les urnes par deux fois et par une très très large adhésion de la population ? A lire la première partie de son pamphlet, nul doute ne résiste au reproche de complicité volontaire.
Comme pour mieux faire passer la dénonciation d’antisémitisme dans un journal qui n’a plus à prouver sa partialité, et voire plus, Ilan GREILSAMMER offre à nos détracteurs une louche de haine envers ces « cercles intégristes, conservateurs et nationalistes » que sont les « sbires de Sharon, Netanyahou (et) Mofaz » indubitablement en faveur de la « stratégie absurde à l'égard des Palestiniens, pour leur complaisance à l'égard des colonies, pour l'argent déversé sur les routes de contournement, (et) pour la politique économique incohérente ou la politique sociale désastreuse ».
Ainsi sont déconsidérés les juifs de la diaspora qui refusent la ‘’fin de la parenthèse israélienne’’ tout en souhaitant l’avènement de l’état de Palestine AUX CÔTES d’Israël. Pour comprendre la position du gouvernement d’Ariel Sharon -qui hérita de cette situation - mais aussi que la ‘’paix d’Oslo’’ fut en fait une GUERRE qui ne dit pas son nom, les soutiens d’Israël sont condamnés et livrés à ce cercle parisien avec permis de haïr.
Ilan GREILSAMMER aurait dû en tant qu’intellectuel et par la lecture de ses onze vérités premières, réaliser que la situation actuelle au Proche Orient est la conséquence des actes du monde arabe, en particulier des palestiniens, et de leur refus de l’existence de l’état d’Israël (vérité N°1), de la négation des liens historiques du peuple juif avec cette terre (vérité N°2), de l’antisémitisme de tous les groupes terroristes et des pays arabes (vérité N°3), de l’éducation haineuse à l’encontre des juifs (vérité N°4), du détournement du passé malheureux du peuple juif (vérité N°5) et de la situation catastrophique et intentionnelle des ‘’réfugiés’’ palestiniens (vérité N°9).
Situation énergiquement aggravée également par leurs soutiens à travers la planète et par leur dénonciation d’un soi-disant lobby sioniste (vérité N°7), par la culpabilité permanente d’Israël en tous les maux de cette terre (vérité N°8 et N°10) et par l’oubli volontaire de ses droits en tant qu’état (vérité N°11).
En conséquence Ilan GREILSAMMER aurait dû s’apercevoir qu’il contribue, par sa participation journalistique, au développement de cet antisémitisme qu’il combat, tout comme Avraham Burg ou encore Zeev Sternel et leur analyse sur ‘’la fin du sionisme’’ qui permet également au microcosme d’extrême gauche israélien de se croire vivant.
Pour être réaliste et réclamer la reconnaissance sans condition de l’état d’Israël et son droit à l’existence en tant qu’état juif, la grande majorité de la diaspora est insultée et dépourvue de droit légitime de soutenir démocratiquement un gouvernement élu qui agit selon la légalité et l’humanité du judaïsme. Cette majorité qui approuve encore et toujours le droit du peuple palestinien de disposer de lui même, malgré 850 morts et plusieurs milliers de victimes, et qui écartera Ariel Sharon, Netanyahou et Mofaz si nécessaire pour permettre au moment opportun cette réalisation de paix ; (encore faut il que la gauche élue à ce moment ait comme priorité la défense d’Israël et non l’occupation de se fouetter l’esprit pour cause de haine de soi).
A la veille du nouvel an, c’est le vœu le plus cher de ces « sbires intégristes, nationalistes et conservateurs » (dont énormément sont de gauche), ainsi que celui de la prise de conscience par ces hommes dit ‘’de gauche’’ de la haine qu’ils véhiculent à travers leurs articles et des verges qu’ils tendent aux ennemis d’Israël.
Une année sans prose de ces intellectuels ? C’est ce que l’on peut se souhaiter.
Bonne année M. GREILSAMMER
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