Quel est le juif Français qui ne se souvient pas de la “lettre à un ami israélien” de Pascal Boniface - publiée au mois d’Août 2001dans Le Monde - qui adjurait la communauté juive française de blâmer la politique israélienne ou à subir l’inconséquence de son choix !
De ce fait, ce grand stratège socialiste imputait d’avance la responsabilité de la judéophobie à ses victimes et, ce faisant, révélait à ses amis de parti la ligne politique à suivre pour mobiliser les électeurs et garantir l’élection du candidat Lionel Jospin à la présidentielle à venir.
Prétendant qui, en tant que Premier Ministre, n’a pas tardé à stigmatiser le communautarisme et minorer les actes antisémites, ce qui lui a valu la perte de presque 2% de votants pro-israélien, d'un second tour et d'une charge prestigieuse.
N’ayant pas “tout compris” sur les causes de cet échec, François Hollande (premier secrétaire du PS) perpétuant cette stratégie, a très peu hésité- pour délégitimer les USA lors d’un débat sans vote à l’assemblée parlementaire relatif à l’Irak - à utiliser l’expression “deux poids deux mesures” à propos de leur politique à l’égard d’Israël.
L’actif de cette gauche socialisante étant encore “un peu court“, la section locale du parti socialiste de Rouen annonce de son coté, son intention de réclamer l’exclusion de François Zimeray, Président de la communauté d’agglomération et député européen qui, par force de volonté, finit par trouver les 157 signatures nécessaires à la création d’une commission d’enquête sur les fonds européens alloués à l’Autorité Palestinienne, et que le pouvoir Bruxellois a préféré négliger.
Ce n’est cependant pas sur ce motif que la section PS départementale s’est positionnée, mais sur la condamnation, par l’élu rouennais, de l’éducation à la haine du juif et de l’israélien au moyen de livres scolaires palestiniens financés par l’aide européenne.
Face à cette gauche qui n’hésite plus à fusionner antisionisme et antisémitisme, la droite UMP de Jacques Chirac - hormis quelques exceptions notables comme Alain Madelin - savoure la gloire retrouvée de la France, aux dépens des liens historiques et amicales avec les États Unis d’Amérique, et approuve la politique de reddition - communément appelé politique pro-arabe - aux dépens des valeurs de la démocratie Française.
Les charades expliquant que le Président de la république sera le prochain dirigeant de la ligue arabe illustre parfaitement le succès de la diplomatie française inaugurée par De Gaule.
Le grand et le petit Satan ( les USA et Israël ) condamnés presque unanimement par la classe politique française, les électeurs habituellement attachés à ces nations ne se retrouvent plus dans les idées défendues en leur pays.
Si les juifs Français, à une majorité écrasante, ne voteront jamais pour un parti d’extrême droite, leur abstention aura comme effet balancier, en s’ajoutant aux autres électeurs dépités mais sans scrupules, l’accroissement du score du Front National.
Il est à redouter, que les idées défendues par l’establishment actuel, ne permettent en fin de compte, la prise du pouvoir par cet élément extrémiste.
Si cette politique ne change pas rapidement, ni rétablit un équilibre entre toutes les composantes de la société Française, il est à craindre que les juifs de ce pays se retrouvent - indirectement - sans droit de vote.
Il ne leur restera plus qu’à se poser la question de leur place et de leur devenir en ce pays.
De ce fait, ce grand stratège socialiste imputait d’avance la responsabilité de la judéophobie à ses victimes et, ce faisant, révélait à ses amis de parti la ligne politique à suivre pour mobiliser les électeurs et garantir l’élection du candidat Lionel Jospin à la présidentielle à venir.
Prétendant qui, en tant que Premier Ministre, n’a pas tardé à stigmatiser le communautarisme et minorer les actes antisémites, ce qui lui a valu la perte de presque 2% de votants pro-israélien, d'un second tour et d'une charge prestigieuse.
N’ayant pas “tout compris” sur les causes de cet échec, François Hollande (premier secrétaire du PS) perpétuant cette stratégie, a très peu hésité- pour délégitimer les USA lors d’un débat sans vote à l’assemblée parlementaire relatif à l’Irak - à utiliser l’expression “deux poids deux mesures” à propos de leur politique à l’égard d’Israël.
L’actif de cette gauche socialisante étant encore “un peu court“, la section locale du parti socialiste de Rouen annonce de son coté, son intention de réclamer l’exclusion de François Zimeray, Président de la communauté d’agglomération et député européen qui, par force de volonté, finit par trouver les 157 signatures nécessaires à la création d’une commission d’enquête sur les fonds européens alloués à l’Autorité Palestinienne, et que le pouvoir Bruxellois a préféré négliger.
Ce n’est cependant pas sur ce motif que la section PS départementale s’est positionnée, mais sur la condamnation, par l’élu rouennais, de l’éducation à la haine du juif et de l’israélien au moyen de livres scolaires palestiniens financés par l’aide européenne.
Face à cette gauche qui n’hésite plus à fusionner antisionisme et antisémitisme, la droite UMP de Jacques Chirac - hormis quelques exceptions notables comme Alain Madelin - savoure la gloire retrouvée de la France, aux dépens des liens historiques et amicales avec les États Unis d’Amérique, et approuve la politique de reddition - communément appelé politique pro-arabe - aux dépens des valeurs de la démocratie Française.
Les charades expliquant que le Président de la république sera le prochain dirigeant de la ligue arabe illustre parfaitement le succès de la diplomatie française inaugurée par De Gaule.
Le grand et le petit Satan ( les USA et Israël ) condamnés presque unanimement par la classe politique française, les électeurs habituellement attachés à ces nations ne se retrouvent plus dans les idées défendues en leur pays.
Si les juifs Français, à une majorité écrasante, ne voteront jamais pour un parti d’extrême droite, leur abstention aura comme effet balancier, en s’ajoutant aux autres électeurs dépités mais sans scrupules, l’accroissement du score du Front National.
Il est à redouter, que les idées défendues par l’establishment actuel, ne permettent en fin de compte, la prise du pouvoir par cet élément extrémiste.
Si cette politique ne change pas rapidement, ni rétablit un équilibre entre toutes les composantes de la société Française, il est à craindre que les juifs de ce pays se retrouvent - indirectement - sans droit de vote.
Il ne leur restera plus qu’à se poser la question de leur place et de leur devenir en ce pays.
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