samedi 21 février 2015

De quel côté êtes-vous ?




La Licra attaquée par Pascal Boniface et ses pairs

La Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (Licra) a obtenu un renouvellement de son partenariat avec le Ministère de l’Education nationale français pour trois ans. Coopération incluant une formation des enseignants ainsi qu’une intervention dans les écoles. 

Au moment où cette association a édité il y a quelques mois un livre dénommé « 100 mots pour se comprendre contre le racisme et l’antisémitisme », cette convention met un peu de baume au cœur des démocrates et laisse croire à une réelle volonté politique de combattre, enfin, l’antisémitisme croissant.



C’était sans compter sur les islamogauchistes tel Pascal Boniface, ceux de l’UJFP (L’Union Juive Française pour la Paix), ou encore de l’AFPS (L’Association France Palestine Solidarité) et leur haine tenace de l’Etat d’Israël !

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Ces antisionistes de mauvais renoms se font un souci d’encre au sujet de cette collaboration et de la promotion de l’ouvrage qui serait « un très mauvais coup porté à la laïcité, au ‘’vivre ensemble’’ et à la lutte contre le racisme dans notre pays ».

Rien de moins ! ‘’Analyse’’ effectuée après la lecture des réalités vérifiées et vérifiables rapportées par la Licra et donc ramenant le narratif mensonger et antisémite dominant dans la population à sa juste mesure. Pas bien haut !

A parcourir, par exemple, le point de vue de Pascal Boniface sur cette alliance intitulé « La Licra, son livre contre le racisme et l’antisémitisme : un prêche partial pro-israélien » l’objectif de cette ‘’inquiétude’’ devient tout de suite plus claire ! Le livre de la Licra étant une grosse pierre dans leur jardin antisioniste, il leur faut démolir ce livre, voire pousser à l’annulation de l’accord passé.

C’est ainsi que, d’entrée, le Directeur de l’Iris assure que « La volonté de donner un visage positif d’Israël est nette ». 

Quelle horreur ! Israël et positif associés ?  Im pos sible !

La preuve : « Des élèves qui auraient fait un peu d’histoire pourraient s’interroger sur qui fut à l’origine de guerres en 1956, 1967 et 1982. ». Chacun devant comprendre semble t-il, par ces trois dates énoncées, l’esprit belliqueux de ce petit pays déclarant des guerres à qui ne lui plaît pas !

Mais ceux qui, effectivement, ont étudié ces trois guerres ne peuvent que mépriser une telle interrogation ! A bien lire entre les lignes, chacun comprendra que le citoyen israélien aurait dû accepter l’étranglement économique égyptien (1956), l’invasion du pays par quatre armées voisines (1967) et renoncer à ce que les habitants du nord vivent en paix et non plus sous les missiles libanais (1982) !

Dans l’option contraire, il est automatiquement fauteur de guerre ! A n’en pas douter, Pascal Boniface aime le Juif soumis ou mort ! Le Juif s’y refusant, il ne peut donc être po si tif.

Autres citations de sa prose propagandiste :

« aucun mot sur l’occupation, les check points, la répression ou la colonisation, pour ne pas parler du blocus de Gaza ». Notons qu’il ne réclame pas non plus l’écriture dans le livre des raisons légales et logiques ayant mené à cette situation. 

Cette carence dans l’objectif évident de rendre l’image du Juif toujours plus négative !

S’il mentionne que dans le livre est écrit « Quant au racisme, s’il existe hélas autant en Israël que dans d’autres pays, celui-ci tombe sous le coup de la Loi (p.94) » il assure aussitôt que : « C’est oublier un peu rapidement les multiples déclarations de l’extrême-droite israélienne ou les manifestations où l'on crie "mort aux Arabes" ».

En quoi ces agissements, tombant effectivement sous la loi israélienne, peignent tout un pays ? Les multiples déclarations d’une certaine gauche et les manifestations où l’on crie « mort aux Juifs » décrivent-elles la France en un pays antisémite ? Bien sûr que non !

On continue :

« Mais rien sur les attentats des extrémistes juifs pour faire partir les Britanniques avant la création d’Israël ». Extrémistes pour extrémistes, les résistants à l’Allemagne nazie des ‘’extrémistes’’ ? Les Algériens ayant fait déguerpir les Français…des ‘’extrémistes’’ ? Assurément non ! Mais pour une certaine gauche antisémite, les Juifs s’en étant pris pourtant exclusivement à l’armée britannique ont été des « extrémistes » !

Gageons que leurs descendants le sont et le resteront ad vitam aeternam encore à ses yeux !

Dans le paragraphe concernant ‘’les énormes oublis’’ du livre, il s’indigne que le terme « réfugiés »,  musulmans cela va de soi, n’apparaît pas. 

Qu’aurait-on pu rajouter si ce n’est que la situation de ces personnes est due, tout simplement, à la guerre déclenchée en 1948 par leurs frères pour éradiquer l’idée même d’un état pour le peuple juif ? 

En ce qui concerne, en revanche, les réfugiés juifs de cette même guerre, le rappel et l’ajout du nettoyage ethnique effectué par l’armée jordanienne à la mode hitlérienne en Judée et en Samarie ne sont cependant pas réclamés par Pascal Boniface.

Après s’en être pris à la positivité du livre à l’égard de l’Etat d’Israël, Pascal Boniface s’interroge quant à savoir si l’un des rédacteurs, Robert Redeker, « est réellement bien placé pour participer à un outil pédagogique de lutte contre le racisme » lui qui a écrit, dans Le Figaro du 19 septembre 2006 : « "Le Coran est un livre d’inouïe violence" ; l'islam est "une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine" ; Mahomet est "un chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame" » ?

On cherche encore ce qui est faux dans cette prose !? Ce procureur systématiquement antisioniste ne le dira point faute, bien sûr, de preuves contraires ! Mais cependant, n’étant pas à une contradiction prés, il assurera dans le même paragraphe que « Les menaces reçues par Redeker sont inadmissibles. Chacun doit exprimer sa solidarité pour dénoncer de telles menaces »… qui viennent, ne l’oublions pas, d’adeptes de cette religion.

mardi 17 février 2015

Benjamin Netanyahou, nœud gordien pour l’Europe

Depuis près d’une quinzaine d’années les Juifs européens peuvent très difficilement affirmer qu’ils sont encore des citoyens à part entière. Leurs inquiétudes allant de la négation absolue d’un antisémitisme d’origine musulmane, par les autorités publiques les médias ou encore les ongs, jusqu’aux meurtres d’individus pour la simple raison de leur judaïté, ceux-ci s’interrogent dorénavant quant à un départ définitif de ce continent. 

Il est vrai que vivre la peur au ventre de prendre la direction de Jérusalem allongé entre quatre planches n’a rien pour enchanter ! Tant qu’à faire, plutôt partir vers l’Etat d’Israël debout, en famille, joie et projets d’avenir pleins le cœur !

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C’est certainement le choix qu’auraient fait Yoav Hattab, Yohan Cohen, Philippe Braham et François-Michel Saada (z’’l) s’ils avaient eu cette option en janvier dernier lorsqu’ils se trouvaient dans la supérette Hyper Cacher de la porte de Vincennes à Paris.

Pour compenser la carence à assurer la protection due à chaque citoyen et surtout étouffer leur complicité indirecte dans l’accroissement de la nouvelle judéopathie musulmane à travers l’Europe, les autorités publiques françaises ont organisé une marche nationale le onze janvier à laquelle étaient conviés tous les dirigeants des pays démocrates, voire pas tel le Qatar, l’Algérie et les Emirats arabes unis

Un seul a été prié de ne pas s’y rendre, Benjamin Netanyahou, Premier ministre de l’Etat d’Israël, pays renaissant de ses cendres en 1948 dans l’objectif d’être le refuge du peuple juif.

Devant l’entêtement de celui-ci à marcher, entre autres, en mémoire de ces quatre Juifs, le Président français a cru devoir inviter Mahmoud Abbas, président à vie de l’Autorité palestinienne, entité qui célèbre l’assassinat d’israéliens en indemnisant les familles de ceux qui se font attraper ou en nommant des rues, squares et stades au nom des terroristes.

Mahmoud Abbas souriant lors de la manifestation du 11/01/2015

Comment imaginer alors que François Hollande, fort de ces ‘’menus’’ détails, ne puisse pas spéculer qu’un mois plus tard la Synagogue de Copenhague soit prise pour cible par Omar Hamid El-Hussein, un musulman d’origine…‘’palestinienne’’ ?

dimanche 15 février 2015

Edwy Plenel, régisseur autoproclamé de la ‘’conscience’’ publique

Le fondateur du site d’extrême gauche Médiapart a été l’invité de l’émission C à vous de France 5  pour parler de Soumission le nouveau livre de Michel Houellebecq

A voir la mine déconfite et la rage d’Edwy Plenel chacun comprendra qu’apercevoir l’auteur de ce livre à grand succès dans les médias, notamment publics, n’est pas pour lui plaire. Michel Houellebecq étant, selon ses dires, un ‘’raciste antimusulman’’ les médias devraient lui être interdits.

Le jour malheureux où l’extrême gauche sera au pouvoir c’est un aller simple au camp de rééducation qu’il recevra !


Il en sera de même pour les journalistes qui « sans aucune conscience » laissent dire, tel un ‘’vulgaire’’ Alain Finkielkraut, que « l’Islam est un problème de civilisation ». 

Une opinion « islamophobe » dixit ce ‘’directeur de conscience’’ qui refuse que l’on traite du manque d’intégration de l’Islam à la civilisation occidentale.

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« Je suis journaliste (…) la définition de notre métier c’est de s’occuper d’information d’intérêt public qui sont des faits sur le présent pour faire comprendre le présent » assure t-il !

Gageons que si le sujet du livre était…au hasard…Israël…il aurait eu la ‘’conscience’’ de laisser de côté les faits pour poursuivre la désinformation qui caractérise si bien le média en ligne qu’il dirige. Ceci aux fins d’installer un peu plus, dans l’esprit du téléspectateur, son ‘’œuvre’’ antisioniste si mortelle pour tant de citoyens de confession juive.

Ce n’est donc pas pour rien que Michel Houellebecq, très averti sur le conflit israélo-arabe, assure que « des gens comme Besancenot ou Plenel, enfin ceux qui ont développé cette construction aberrante qu’est l’islamogauchisme » ont « désigné Israël comme ennemi ».

Le ‘’comique’’ de la situation se trouve cependant ailleurs. Dans la citation qu’il fait, dans l’émission, de « l’article dix-huit de la déclaration universelle des droits de l’homme qui nous fonde nous journalistes car nous sommes au service de la démocratie : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, ce droit implique la liberté de changer de religion (…) »   

On aurait tant aimé que la liberté de changer de religion ou d’apostasier l’Islam, jusqu’à ce jour puni de mort dans les pays musulmans, soit, au moins, agréée par l’Islam de France. Edwy Plenel n’en fera pas même un tout petit cheval de bataille au nom de cette ‘’démocratie’’ qu’il dit défendre !

vendredi 13 février 2015

Eyal Arad : "Tuer Bibi"

Eyal Arad est un israélien qui, à l'écouter, ne cherche que le bien de l'Etat d'Israël. Pour ce faire, il organise une campagne publique anti-Bibi qui, à ses yeux, est « mauvais pour Israël ».

Le seul hic est que son ''soutien'' à ce pays n’est rien d’autre qu’une affaire personnelle. Une haine qui remonte à la fin des années 80.

La vidéo ci-dessous est un reportage effectué par Aroutz 10.

Quelques phrases si gentiment prononcées par Eyal Arad :

« Je veux le descendre totalement »

« Venez qu’on le tue »

« Cela devient maintenant le sport national. On hait Bibi ».



mercredi 11 février 2015

Le ‘’pro-israélisme’’ de Charles Enderlin et de J Street contre Netanyahou

Nul n’ignore plus les idées politiques de Charles Enderlin censé, selon la déontologie de la profession, informer objectivement les téléspectateurs de France 2 sur le conflit israélo-arabe. Un penchant net à gauche, évidemment camouflé au plus grand nombre. Une sympathie pro-‘’palestinienne’’ qui pousse de plus en plus d’individus vers le rejet de l’Etat d’Israël et de ses soutiens juifs.

De fait, un ‘’journaliste’’ israélien, vivant en ce pays et qui se refuse à comprendre le bon sens menant ses concitoyens.

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Dans un texte au titre désabusé « Les Israéliens veulent Netanyahou » il reprend à son compte, entre autres fadaises, ce qu’a écrit il y a peu Rogel Alpher dans Haaretz, auteur par ailleurs d’une chronique symptomatique de cette gauche fétide assurant qu’« Israël est ma maison, mais je ne peux plus vivre ici ».

Tout un programme !

« Une majorité d’israéliens, écrit Alpher, glorifie son armée, vénère la mémoire de l’Holocauste, soutient la poursuite de la colonisation, s’oppose – pour une raison ou une autre - à un accord avec les Palestiniens, et favorise le renforcement de l’identité nationale religieuse de l’état ».

Quelle est donc cette raison non explicitée mais si gênante pour l’idéologie qui mène ces deux ‘’journalistes’’ engagés ? Simplement l’exigence d’une totale capitulation israélienne !

A savoir, un retour aux « frontières de 1967, Jérusalem capitale de la Palestine, et une juste solution pour les descendants des réfugiés au sein de l’état du peuple juif ». Sans oublier le nettoyage ethnique des Juifs « colons » de la Judée et de la Samarie et la prise de risque sécuritaire suite au retrait de Tsahal des frontières avec la Jordanie.

De quoi sérieusement inquiéter les Israéliens désireux, quant à eux, de poursuivre leur vie en tant que Juifs dans le pays de leurs ancêtres et installer la droite aux commandes pour longtemps ! Constat épouvantant sérieusement les tenants de cette gauche capitularde et désireuse du pouvoir.

Une gauche dans laquelle se trouve pareillement J Street, association américaine se présentant comme ‘’pro-israélienne’’.

Là encore, tout un programme !

Cette Ong a lancé une pétition « Je suis un Juif. Bibi ne parle pas pour moi » visant à sensibiliser l'opposition au discours du Premier ministre Benjamin Netanyahu au Congrès le 3 mars prochain. Une protestation faite en raison que le Premier ministre israélien n’a « aucun mandat pour parler au nom des Juifs des États-Unis ».


Elle aurait réuni, à ce jour, vingt mille signatures.

Ce qui est très peu pour prétendre pétitionner au nom des cinq millions de Juifs américains ! Mais aussi de tous les autres Juifs des autres diasporas soucieux de l’avenir de l’Etat d’Israël, conscients de l’animosité de Barak Obama et de la dangerosité de l’accord prévu avec l’Iran sur ses centrales nucléaires.

Tout cela serait bien risible si Jeremy Ben-Ami, Président de cette association, n’avait écrit il y a peu une lettre destinée aux membres du Congrès us. Une missive réclamant « pour le bien de la relation israélo-américaine que le Premier ministre Netanyahu reporte son prochain discours au Congrès après les élections israéliennes ».

A lire cette missive, la seule objection à la visite « est la possibilité que le discours sera utilisé pour faire avancer la campagne de Netanyahu. Comme le clip vidéo ci-joint le montre clairement, c’est exactement ce qui est arrivé à la dernière élection israélienne il ya deux ans lorsque le Likoud de Netanyahu a utilisé son discours au Congrès 2012 comme base pour une campagne publicitaire ».

mardi 10 février 2015

Dame censure loge chez Times of Israël

La naissance d'un nouveau média est toujours un espoir pour ceux qui veulent transmettre ou expliquer leurs idées. Quand Times Of Israël, version française, sollicita certains d'entre nous et en accepta d'autres, il ne fit pas exception à la règle.


La mise à disposition d'une plateforme de blogging, par définition la forme la plus libre d'expression, par ce média, nous fit croire qu'il serait possible de communiquer et de diffuser par ce canal nos idées au plus grand nombre.

Toute la panoplie des nobles sentiments de circonstances constitua un florilège de principes qui se voulaient immuables mais qui, très rapidement, s'avérèrent foulés du pied.

Ainsi, l'indispensable équité dans la mise en avant du panel des bloggeurs fut dès le départ un vœu plein de piété tant furent systématiquement mis en avant les auteurs et articles répondant à l'idéologie du diffuseur. Mais alors pourquoi se prévaloir d'une diversité d'opinion si ce n'est pas pour aller au bout de cette démarche ?

Que penser de l'évolution de la plateforme quand, au début, la représentativité de toutes les idées fut plus ou moins respectée et que très vite on vit s'installer un "éditorialement correct" pétri de morale enfantine et de poncifs immatures, flattant l'égo souvent déplacé des matons du site ?

Ce qui est le comble pour un bloggeur dont la raison d'être est d'être impertinent !

Le pire se produisit quand la censure, la vraie, s'installa par le biais d'une validation des textes. Cette validation pouvant s'accompagner d'une censure réelle de propos entiers dénaturant la réflexion de l'auteur. Allant parfois jusqu’au refus de publication sur simple allégation d’un amalgame entre « Islam » et « terrorisme », voire sans qu'aucune vulgarité ou diffamation ne le justifie, mais juste par le fait du prince ou de la princesse.

Or il est bon de rappeler qu'un bloggeur n'est pas un journaliste, que la démarche d'un média mettant a disposition une plate forme de blogging a un objet mercantile, la création de trafic internet, et que la contrepartie pour ce média de cette source de revenu est la plus totale liberté laissée a ceux qui ne demandent pas de contrepartie financière.

En censurant nos propos et en nous soumettant à une ligne éditoriale qui n'est pas la nôtre, le Times Of Israel a rompu le pacte nécessaire qui dicte les règles du blogging, et a établi un lien pervers où les bloggeurs ne sont plus tout a fait bloggeur et pas du tout journalistes.

Or si nous sommes bloggeurs nous devons jouir de la plus parfaite liberté d'écriture, au moins dans le fonds du sujet, et nous jouerons notre rôle avec notre enthousiasme et nos idées, si nous devons être soumis à une censure ou à une ligne éditoriale alors nous devenons des journalistes qui doivent être rémunérés pour leur travail !

C'est pour avoir oublié cela que le Times Of Israel transforme une idée de liberté en pensée unique, où le politiquement correct autoproclamé sert de morale universelle au service d'une idéologie.

S'il est des notions que l'on peut galvauder à loisir ou tordre par intérêt, la liberté de pensée d'un auteur n'est pas négociable et nous ne négocierons pas. 

Allez au bout de votre démarche et assumez-en les vraies raisons. Ne prétendez pas défendre ce que vous n'êtes manifestement plus. Avouez-vous au service d'une idéologie et sélectionnez alors vos bloggeurs en conséquence au lieu de vous draper dans une illusion de pluralisme que vous ne respectez pas.

Nous attendons, en conséquence, l’expulsion de votre plateforme des bloggeurs libres et impertinents qui ne vous ont pas encore quitté afin de mieux illustrer notre propos.

Nous appelons aussi tous les bloggeurs de Times of Israel à prendre conscience de ce qui est en train de se jouer et de prendre leurs responsabilités.

Sacha KRIVITZKY, Jean-Pierre LLEDO,  Lucien OULAHBIB, Serge SALFATI, Victor PEREZ

dimanche 8 février 2015

L’antisémitisme avéré de l’islamogauchisme

La gauche, au sens large du terme, n’a plus à prouver son penchant envers l’Islam. Une sympathie que chacun trouve aisément dans quasiment chaque média, Ong et/ou politique. Pour une partie grandissante de cet islamogauchisme, sa générosité envers l’antisémitisme n’est plus, non plus, à démontrer. 

Pour le moins, pour ceux qui savent lire entre les lignes.

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Il est vrai que cette haine est encore juridiquement punissable et mal vue par l’opinion. Quelques faux-semblants sont donc, pour le moment, encore nécessaires jusqu’à ce qu’elle se répande à en devenir naturelle !

Dans une tribune diffusée par le journal à la collaboration exemplaire Libération, et intitulée « France Télévisions - Sodastream : un partenariat qui doit cesser », les signataires écrivent entre autres choses : « Sodastream (…) projette de transférer cette usine en 2015 dans le Néguev, sur des terres volées aux Bédouins de cette région, qui y vivent depuis le VII siècle ».

Sous le sous-titre « LES BÉDOUINS MENACÉS », ils assurent encore que « Quotidiennement attaqués, expulsés de leurs terres ancestrales et victimes de nombreuses discriminations, ces derniers sont de plus en plus menacés par la politique israélienne de judaïsation du Néguev, qui impose leur transfert et leur sédentarisation forcés. Le village d’Al Araqib dans le Néguev, détruit 80 fois par l’armée israélienne, illustre tristement cette politique dirigée contre les Palestiniens du Néguev

Rien de moins ! Des accusations devant contester toute propriété juive et rejeter le droit régalien de l’Etat du peuple juif souverain d’aménager son territoire selon ses besoins.  

« Terres volées aux Bédouins » ? Dérobées à l’individu ou au groupe en tant qu’ethnie ? 

Ces nomades par excellence n’ayant aucun titre de propriété personnel à faire valoir, ce serait donc uniquement à la tribu bédouine, éparpillée au-delà même des frontières de l’Etat d’Israël, qu’il faudrait, pour que la ‘’justice’’ islamogauchiste soit rendue, réattribuer le Neguev !

Chacun imagine donc facilement que, dès lors la ‘’Paix’’ advenue, ce nouveau grief servira l’antisémitisme perdurant. La dénonciation de ‘’l’abus d’une Judaïsation de cette région’’, se situant pourtant au sein des frontières admises de l’Etat d’Israël, finement évoquée ici confirmant la condamnation de cette possession israélienne !

Ceux qui pousseront la curiosité à lire ou à relire la résolution 181 créant un état avec toutes ses prérogatives et de surcroît juif comprendront aisément la haine de l’Etat d’Israël que porte cet appel à France Télévisions.

Mais celle-ci va beaucoup plus loin !

Elle est dans la question que tous les signataires de cette tribune, ainsi que leur sympathisants, ne se poseront jamais : A savoir, quelle et où se trouve la terre du peuple juif ?

Une interrogation qui indiffère totalement les auteurs de cet appel à France Télévisions.

jeudi 5 février 2015

L’alliance entre la gauche et l’Islam, une triste réalité !

Si l’on cherche des affinités et des accointances entre une certaine gauche et l’Islam on en trouvera aisément dans l’interview qu’a donnée le journaliste Dominique Vidal à OummaTv. L’idéologie trouvant toutes les excuses à cette foi et à ses adeptes fleurie dans toute sa splendeur dans les réponses de celui qui se dit « ne pas être Charlie ». 

Malgré les circonvolutions de ses explications chacun comprendra que pour ce propagandiste la liberté d’expression a des limites et que chacun se doit à une « éthique de responsabilité ». 

Dès lors que celle-ci touche à l’Islam bien sûr ! D’ailleurs, on cherchera en vain cette moralité dès lors que les propos aborderont dans le même entretien, par exemple, l’Etat d’Israël et ses institutions !

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Pour le journaliste du Monde Diplomatique il n’y aurait en France que « quelques dizaines de jeunes dits djihadistes ». 

Chacun est, bien sûr, censé lui donner crédit de ces affirmations, sa profession l’obligeant à une déontologie. Comme vérifier ses sources et ne pas prendre parti.

Des impératifs qui ont fait long feu !

Sur BFMTV le trois février dernier le juge antiterroriste Marc Trévidic a assuré qu’il y a « des opérations antiterroristes toutes les semaines ces derniers temps », mais « nous n'avons pas assez d'enquêteurs ». « On a repéré tellement de djihadistes qu’on n’a pas assez d’officiers de police judiciaire pour les arrêter ! »


L’un des deux est donc un menteur. Chacun jugera !

A la question « la radicalisation des jeunes djihadistes est-elle attisée par les interventions étrangères au Proche-Orient. » Dominique Vidal soutient que « c’est exact » mais il faut y rajouter deux autres facteurs : ‘’le poids et la profondeur du bilan du colonialisme ainsi que l’apartheid social en France’’.

Des facteurs qui interrogent quant à son honnêteté intellectuelle !
  
Chacun s’étonnera en conséquence que l’Algérie soit, près de cinquante-trois années après son indépendance, toujours l’exemple par excellence de la démonstration de l’échec d’un ‘’colonialisme’’ occidental passé, cela malgré la richesse pétrolifère de ses terres. 

D’autres pays, auparavant sous domination étrangère et sans richesse dans le sol, auraient pu être cités, démontrant de la sorte le peu d’intérêt à accorder à cette excuse. L’Etat d’Israël en est un ! Sa pleine réussite en est le parfait contre-exemple. Modèle qui confirme que la radicalisation de certains musulmans est due par une certaine lecture du Coran et de ses coutumes et non pas par la faute, encore et toujours, de l’occident.

‘’L’apartheid social’ a aussi son côté comique. Tout quidam se questionnera quant aux raisons qui ont vu toutes les autres communautés vivant en France, sans exception, ne pas se radicaliser à l’instar des musulmans ? Facteur qui n’a donc d’autre objectif que l’excuse et qui permettra évidemment d’autre méfaits, aussitôt ‘’justifiés’’ là encore par cette doctrine fétide !

Le troisième élément déclencheur de la radicalisation serait les interventions militaires des occidentaux dans le monde musulman, lorsque ce ne sont pas ses absences. 

Une communauté musulmane française qui regarde « Les deux cents mille morts en Syrie sans que la communauté internationale ne bouge le petit doigt », qui subit « les horreurs de Daesh (…) » et qui voit « en Palestine à Gaza cet été l’armée israélienne commettre des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité extrêmement graves ».

Si l’on comprend que le peuple juif, au vu de son petit nombre, ne se soit pas radicalisé après les meurtres de Juifs parce que Juifs, l’on saisit mal le calme de l’immense monde chrétien au vu des milliers de meurtres, de viols, de pillages et d’expulsions de ses membres par les tenants d’un Islam barbare ?

Que pourrait expliquer cette différence d’attitudes si ce n’est, là encore, une certaine lecture de l’Islam permettant cette radicalisation ?

mardi 3 février 2015

Sophie Aram et l’Islam

Sophie Aram est une comédienne. Il suffit, pour s’en persuader, de la voir vivre ses chroniques. Mimiques, sourires, froncement des sourcils appuient le sujet du jour choisi. Dans l’émission ‘’Spécial Islam’’ du Petit Journal de Canal + elle a souhaité répondre à Philippe Tesson qui a affirmé sur Europe 1 que les terroristes « sont musulmans » car se revendiquant de l’Islam

Ce qui lui a, aussitôt, valu la suppression de sa chronique hebdomadaire dans Le Point et désagrément qui n’arrivera pas à Sophie Aram sur France Inter car totalement respectueuse du politiquement correct !

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Un alignement qui l’oblige à énoncer dès le début de son texte que ‘’ces musulmans’’ sont pour elle « certaines personnes se revendiquant de l’Islam ».

Sauf à être stupide, n’est-ce pas déjà faire ainsi l’amalgame entre cette religion et les terroristes ? N’est-ce pas, de la sorte, valider le fait que cette confession autorise une lecture assassine ? Philippe Tesson a-t-il dit autre chose ? 

Qui d’autre que les ‘’alignés’’ a compris qu’il parlait alors de TOUS les musulmans ?

A trop vouloir innocenter LES musulmans, ce politiquement correct interdit toute correction préventive et installe les musulmans ‘’modérés’’ dans une position très inconfortable.

Une situation qui, intellectuellement, juxtapose à chaque fois les terroristes se revendiquant de cette religion de ‘’paix, d’amour et de tolérance’’ aux chrétiens « qui mènent des actions violentes contre le droit à l’avortement » et aux Juifs « ayant craché sur une fillette de huit ans au prétexte que sa jupe n’était pas assez longue ».

Des actions et des crachats qui n’ont à ce jour coûté aucune vie, bien au contraire de ceux qui, selon Sophie Aram également, se revendiquent de l’Islam !

Un énième abus de langage que la chroniqueuse assume et qui l’autorise à garantir au public qui l’écoute béatement que ces derniers ne représentent qu’une « minorité d’activistes violents ».

Une minorité qu’elle n’ose, évidemment, chiffrer mais que chaque quidam, un tantinet matheux, évaluera à quelques millions d’individus ayant une certaine lecture de cette religion. 

Ce qui fait beaucoup !

Une quantité qui ne doit pas, sauf à prendre le risque d’être catalogué comme « raciste » et poursuivi au tribunal du politiquement correct, permettre au simple quidam inquiet d’exiger que les dérives de l’Islam et de ses adeptes ‘’s’en revendiquant’’ soient condamnées et rejetées par la majorité musulmane ‘’modérée’’ !

Le meilleur de sa chronique fut atteint lorsqu’elle pensa très fort à tous les croyants, musulmans notamment, pour qui « la religion est un choix qui n’engage qu’eux-mêmes, un choix intime, (…des croyants) qui respectent le droit de croire ou non, de pratiquer ou non, le droit de chacun d’aimer qui il veut, voire de l’épouser et ce indépendamment de sa préférence sexuelle ».

Exit donc les condamnations de l’apostasie, du mariage libre, ou encore de la liberté sexuelle que prévoit la sharia !