L’assemblée générale des Nations unies a adopté, a une écrasante majorité, une résolution exigeant d’Israël de se conformer à l’avis consultatif ( rendu par la Cour internationale de Justice de La Hayes) sur « la barrière de sécurité » construite en Judée et Samarie. Ainsi, seuls 16 pays sur 166, par un vote négatif ou une abstention, ont éveillé leurs consciences et refusé de se compromettre aux côtés du monde arabo-musulman, qui a comme objectif final l’éradication de l’Etat juif par des solutions politiques, militaires et/ou démographiques par le retour de millions ‘’d’apatrides forcés’’ en son sein.
Ce cas de conscience ne s’étendit pas à l’Union Européenne ( berceau des Droits de l’Homme !?!?), qui -sous l’impulsion de la France- vota à l'unisson, suite à l’adjonction d’un paragraphe relatif aux obligations incombant à chaque partie et inscrites dans la « feuille de route » approuvée par le Conseil de sécurité.
Décision qui provoqua en réaction la « déception » du Ministère israélien des Affaires étrangères et son appréciation quant au concours européen à cette résolution (sans caractère contraignant) qui « faisait planer un doute quant à la possibilité de l'Union européenne de faire avancer le processus de paix au Proche-Orient ».
Quant à l’ambassadeur israélien à l’Onu, Dan Gillerman, il remercia « Dieu que le sort d'Israël et du peuple juif ne soient pas décidés dans cette enceinte » et fustigea le « soutien honteux » de l’UE, et particulièrement celui de la France qui s’est félicité -par la voix de son porte-parole du Quai d’Orsay Hervé Ladsous- « de l'adoption de cette résolution, qui illustre l'efficacité du processus de négociation entre Européens ». Le « mur de l’apartheid » aura eu, pour le moins, le mérite de réconcilier la politique internationale européenne et d’éclairer les Israéliens et le peuple juif de la considération française (entre autres) à leur égard.
Considérations d’un pays ‘’donneur de leçons’’ s’illustrant par ses prises de positions contrecarrant fréquemment -voire systématiquement- les intérêts politiques israéliens et détériorant, de la sorte, des relations que Michel Barnier (Ministre des Affaires étrangères ) affirme vouloir cependant préserver « avec l'Etat d'Israël et son peuple, un peuple ami ».
Un ‘’peuple ami’’ qui a observé trop souvent la France chiraquienne soutenir ses pires ennemis et qualifier son Premier ministre -élu selon la stricte observance des lois démocratiques- de ‘’persona non grata’’ depuis son ‘’obstination’’ à vouloir combattre le terrorisme ‘’palestinien’’ par une lutte préventive, l’élimination ciblée de ses responsables ou encore l’assignation de son leader à résidence. ( Actions défensives réduisant, de fait, le nombre de victimes parmi le peuple ‘’palestinien’’).
Qualité de surcroît confirmée, suite à l’appel du 18 juillet dernier d’Ariel Sharon à la communauté juive française à émigrer « immédiatement » pour cause « d’antisémitisme déchaîné » à son encontre. Propos jugés « inacceptables » » par Paris et qui a eu le don de provoquer un « malentendu sérieux » entre les deux pays. «
Après les déclarations de M. Sharon, la France a fait savoir aujourd'hui qu'une éventuelle visite du premier ministre israélien à Paris, pour laquelle aucune date n'avait été fixée, ne serait examinée que lorsque les explications demandées seraient fournies ».
A l’heure de l’écriture de ces lignes, les autorités israéliennes n’ont apporté nulles explications teintés ‘’d’excuses’’ ou de ‘’repentir’’. Ce qui nous permet de jauger tout l’intérêt israélien porté à une telle visite officielle. Il est donc évident que le « malentendu sérieux » diagnostiqué par Michel Barnier n’est rien d’autre qu’un profond DIVORCE entre les autorités des deux pays.
Divorce consommé par la France depuis novembre 1967 et maintenu par les politiques pro-arabes de ses présidents successifs. Le dernier en date ayant assumé l’héritage et durcit la relation franco-israélienne depuis le déclenchement de la « Guerre d’Oslo » par son mépris proclamé à la légitime défense du « peuple ami » et son soutien à la cause arafatienne.
Nul ne peut en conséquence reprocher au « peuple d’élite sûr de lui et dominateur » cette situation conflictuelle, ni son manque d’ardeur à la recherche d’une aide de la France chiraquienne pour gagner la Paix qu’il mérite.
dimanche 25 juillet 2004
lundi 19 juillet 2004
Les ennuis de Shahid
Vous connaissez sans nuls doutes les noms suivants : Etienne Balibar, Pascal Boniface, Monique Chemillier-Gendreau, Jacques Derrida, Gisèle Halimi, Alain Joxe, Marcel-Francis Kahn, Henri Korn , Georges Labica, Gilles Manceron , François Maspero, Maurice Rajfus, Jack Ralite, Bernard Ravenel, Madeleine Rebérioux, Danièle Sallenave, Denis Sieffert et Pierre Vidal-Naquet.
Des noms souvent associés aux ‘’condamnations’’ émises sur Israël, ses habitants, quand ce n’est pas sur le peuple juif dans son ensemble.
Des noms évocateurs d’indignités, tel celui de Gisèle Halimi qui voit en Marwouane Barghouti un « combattant de la liberté » !!! A preuve, les victimes israéliennes qui pour avoir croiser les ‘’martyrs’’ envoyés par ce dernier sont, depuis, libres de toutes les contraintes physiques de ce bas monde.
Ou le nom de Pascal Boniface qui dans le livre, dont il est l’auteur, intitulé « Est il permis de critiquer Israël ? » ( qui s’en prive ? serait on enclin à lui répondre ) a réclamé, et obtenu du PS français, la disqualification d’une nouvelle candidature au parlement européen de l’Eurodéputé sortant François Zimeray qui a tenté, lors de son mandat, de sauver au sein de ce parlement les valeurs du parti de Jean Jaurès et Léon Blum.
Ou encore le nom de Danielle Sallenave qui à travers un point de vue, paru dans le quotidien Le Monde du 4 juin 2002 a attesté, en compagnie d’Edgar Morin et de Sami Naïr, que « « les juifs victimes de l’inhumanité montrent une terrible inhumanité » envers, on s’en doute, le peuple ‘’palestinien’’.
Bref ! Que des noms connus et ‘’illustres’’ qui se retrouvent très fréquemment pour incriminer systématiquement « le gouvernement israélien (qui) annexe et asphyxie les territoires occupés, multiplie les crimes de guerre et tente de détruire l'Autorité palestinienne élue » ou pour lancer des appels aux sympathisants à « aider effectivement la Palestine » et « à concentrer leurs efforts contre ses oppresseurs ».
C’est ainsi, que dans une chronique, parue encore une fois dans leur quotidien attitré Le Monde, ils tentent de mobiliser à nouveau l’opinion publique française contre la « campagne violente et sectaire (qui) vise la déléguée générale de Palestine en France (…) campagne [qui] détourne et risque de dénaturer la lutte pour une paix juste au Proche-Orient. Elle ne peut que porter gravement préjudice à la solidarité plus que jamais nécessaire avec les Palestiniens. Nous demandons qu'elle cesse immédiatement. Nous réaffirmons notre estime et notre admiration pour Leila Shahid ».
On pourrait donc, par habitude, supposer une conspiration israélienne, ou de ses proches, s’il n’était mentionné -dans le corps du texte- que « les insultes », « les attaques personnelles » et « les procès d’intentions » qu’elle endure sont le fruit de « certaines controverses ravivées à l'occasion des élections européennes ».
On recherche donc -dans cette tribune- des noms, des lieus, des dates… des informations nous indiquant les tenants et aboutissants de cette « campagne » calomnieuse envers cette ‘’charmante femme’’ qui inspire autant d’« admiration » … Les illustres signataires de cet appel émouvant ne nous en apprendront pas plus.
Seule notre imagination nous concédera l’hypothèse de mauvaises relations entre les candidats et les soutiens de la liste Euro-palestine ( qui contribua directement à la chute -d’au moins- une Eurodéputée pro-palestinienne ) et la déléguée générale de Palestine en France qui appela, en son temps, à la dissolution de cette tentative de communautarisation.
Et seul notre sens de l’analyse politique nous autorise à certifier toute l’importance de cette crise au sein du ‘’monde pro-palestinien’’ au vu de la publication de cet appel, somme toute ‘’émouvant’’ si nous n’étions heureux de toute discorde qui les affaiblit.
On est donc dans l’expectative impatiente d’un prochain point de vue de ces ‘’admirateurs’’ qui nous confirmera toute la gravité de cette crise.
Voire plus.
dimanche 18 juillet 2004
Bévue ou Subtilité d’Ariel Sharon ?
« Nous avons été informés des déclarations faites aujourd'hui par M. Sharon appelant ‘’ les juifs de France à immigrer en Israël ‘’. Nous avons immédiatement pris contact avec les autorités israéliennes pour leur demander des explications au sujet de ces propos inacceptables ».
Telle a été la déclaration du Porte Parole du Ministère des Affaires Etrangères, suite à l'encouragement adressé aux citoyens Français de confession juive de quitter « immédiatement » ce beau pays des droits de l’homme pour la terre de leurs ancêtres. Appel fait de surcroît devant un parterre d’associations juives américaines placées en première ligne pour la défense des valeurs humaines et le combat contre l’antisémitisme à travers la planète. Ce qui explique, probablement, l’oubli dans le communiqué du titre officiel d’Ariel Sharon et le ton employé envers un pays souverain. A comparer aux égards permanents adressés au « Président » de la Moukataa, cela laisse les démocrates songeurs.
Mais au-delà de cet écart de langage habituel de la diplomatie française, qu’à donc affirmer le Premier ministre israélien qui requière une telle réaction ? Sinon l’inquiétude d’une « montée de l’antisémitisme », formulée notamment et précédemment par la Présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, Simone Veil, et gratifiée de surcroît de son indignation quant au reproche permanent fait à la communauté juive de sa solidarité envers Israël : « Les Juifs français éprouvent un attachement indéfectible à l’égard d'Israël. Nous ne pouvons imaginer qu'Israël ne soit pas ».
Qu’a t-il lancer d’autre sinon le même appel à une « vigilance civique » et au « respect de l’autre » réclamé par le ministre délégué aux Anciens combattants, Hamlaoui Mekachera, lors de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv, où 8.000 juifs -sur les 13.000 rassemblés dans un stade par le régime français alors en place en 1942- ont été envoyés dans les camps de la mort pour y être gazés ?
Absence de ‘’Vigilance’’ et de ‘’respect de l’autre’’ cultivant, voire alimentant, peu à peu mais sûrement la psychose de l’irrémédiable. A savoir l’assassinat du premier Juif en France parce que SOUTIEN INCONDITIONNEL d’Israël.
Pourtant, ces paroles -prononcées par deux personnalités peu suspectes de ‘’Sharonisme’’ et loin de favoriser toute émigration de leurs concitoyens Juifs- n’ont nullement provoquer un quelconque tollé de la part de ces Juifs de salon ( ne représentant qu’eux mêmes) plus prompts à défendre leurs situations enviables que le sort peu envié de leurs coreligionnaires vivant en certaines banlieues du pays presque en tant que ‘’dhimmi’’.
Quant au Crif, il a préféré dénoncer « l’huile jetée sur le feu de façon inacceptable ». Ce qui a le mérite, tout à la fois, de ‘’rassurer’’ le gouvernement français sur ‘’son patriotisme’’ et de confirmer le danger existant et se développant faute de l’application des lois qui assurent pourtant la renommée française de par le monde.
Ariel Sharon a donc constater que le ‘’mal français’’ est bien de retour et, cependant, loin d’être dompté. A t-il eu tort ? Nul, soucieux de la sauvegarde de tout Juif à travers le monde, ne peut le prétendre.
Mais l’intérêt et l’objectif de cette constatation publique est peut être ailleurs. Probablement dans une dénonciation -par la bande- de la politique étrangère de la France, dernier soutien (ou presque) du monde occidental favorable à Yasser Arafat, Président d’une Autorité palestinienne corrompue, moribonde et opposée à toute paix avec Israël.
Il serait déraisonnable de notre part de croire que l’intervention d’Ariel Sharon dans le débat français ne fut pas un acte cohérent de sa part. Par le chaos déclenché dans la bande de Gaza, il entend bien empêcher la France et sa politique pro-arabe d’intervenir à la seule fin de sauver encore une fois le soldat Arafat. Dénoncer, par avance, les méfaits d’une politique systématiquement anti-israélienne sur la communauté juive prévient, à n’en pas douter, des conséquences futures d’un acte irréfléchi perpétuant le conflit.
Chaque jour qui passe signe le deuil d’une famille israélienne. Il est temps que la France en prenne bonne note et ne contribue pas indirectement à ces drames et à leurs importations sur son sol.
Telle a été la déclaration du Porte Parole du Ministère des Affaires Etrangères, suite à l'encouragement adressé aux citoyens Français de confession juive de quitter « immédiatement » ce beau pays des droits de l’homme pour la terre de leurs ancêtres. Appel fait de surcroît devant un parterre d’associations juives américaines placées en première ligne pour la défense des valeurs humaines et le combat contre l’antisémitisme à travers la planète. Ce qui explique, probablement, l’oubli dans le communiqué du titre officiel d’Ariel Sharon et le ton employé envers un pays souverain. A comparer aux égards permanents adressés au « Président » de la Moukataa, cela laisse les démocrates songeurs.
Mais au-delà de cet écart de langage habituel de la diplomatie française, qu’à donc affirmer le Premier ministre israélien qui requière une telle réaction ? Sinon l’inquiétude d’une « montée de l’antisémitisme », formulée notamment et précédemment par la Présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, Simone Veil, et gratifiée de surcroît de son indignation quant au reproche permanent fait à la communauté juive de sa solidarité envers Israël : « Les Juifs français éprouvent un attachement indéfectible à l’égard d'Israël. Nous ne pouvons imaginer qu'Israël ne soit pas ».
Qu’a t-il lancer d’autre sinon le même appel à une « vigilance civique » et au « respect de l’autre » réclamé par le ministre délégué aux Anciens combattants, Hamlaoui Mekachera, lors de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv, où 8.000 juifs -sur les 13.000 rassemblés dans un stade par le régime français alors en place en 1942- ont été envoyés dans les camps de la mort pour y être gazés ?
Absence de ‘’Vigilance’’ et de ‘’respect de l’autre’’ cultivant, voire alimentant, peu à peu mais sûrement la psychose de l’irrémédiable. A savoir l’assassinat du premier Juif en France parce que SOUTIEN INCONDITIONNEL d’Israël.
Pourtant, ces paroles -prononcées par deux personnalités peu suspectes de ‘’Sharonisme’’ et loin de favoriser toute émigration de leurs concitoyens Juifs- n’ont nullement provoquer un quelconque tollé de la part de ces Juifs de salon ( ne représentant qu’eux mêmes) plus prompts à défendre leurs situations enviables que le sort peu envié de leurs coreligionnaires vivant en certaines banlieues du pays presque en tant que ‘’dhimmi’’.
Quant au Crif, il a préféré dénoncer « l’huile jetée sur le feu de façon inacceptable ». Ce qui a le mérite, tout à la fois, de ‘’rassurer’’ le gouvernement français sur ‘’son patriotisme’’ et de confirmer le danger existant et se développant faute de l’application des lois qui assurent pourtant la renommée française de par le monde.
Ariel Sharon a donc constater que le ‘’mal français’’ est bien de retour et, cependant, loin d’être dompté. A t-il eu tort ? Nul, soucieux de la sauvegarde de tout Juif à travers le monde, ne peut le prétendre.
Mais l’intérêt et l’objectif de cette constatation publique est peut être ailleurs. Probablement dans une dénonciation -par la bande- de la politique étrangère de la France, dernier soutien (ou presque) du monde occidental favorable à Yasser Arafat, Président d’une Autorité palestinienne corrompue, moribonde et opposée à toute paix avec Israël.
Il serait déraisonnable de notre part de croire que l’intervention d’Ariel Sharon dans le débat français ne fut pas un acte cohérent de sa part. Par le chaos déclenché dans la bande de Gaza, il entend bien empêcher la France et sa politique pro-arabe d’intervenir à la seule fin de sauver encore une fois le soldat Arafat. Dénoncer, par avance, les méfaits d’une politique systématiquement anti-israélienne sur la communauté juive prévient, à n’en pas douter, des conséquences futures d’un acte irréfléchi perpétuant le conflit.
Chaque jour qui passe signe le deuil d’une famille israélienne. Il est temps que la France en prenne bonne note et ne contribue pas indirectement à ces drames et à leurs importations sur son sol.
samedi 17 juillet 2004
Réalité de la coalition internationale ‘’brun vert rouge’’
La Cour de Justice Internationale de la Hayes s’est affirmée compétente afin de rendre un avis consultatif sur « les conséquences de l'édification du mur qu'Israël, puissance occupante, est en train de construire dans le Territoire palestinien occupé, y compris à l'intérieur et sur le pourtour de Jérusalem-Est ». Ce qui a autorisé Ahmed Quoreï, le Premier ministre de l’AP, à claironner que « Ce jour est un jour historique et cette décision est une décision historique car elle a été rendue par la plus haute cour internationale ». Allégresse qui authentifie, on s’en serait douter, les souhaits des ‘’Palestiniens’’ à se voir reconnaître en droit la ligne d’armistice de 1949 comme frontière de leur futur état et cela sans nulle concession à la paix dans la région.
L'essentiel cependant, reste la prise de conscience individuelle de la valeur exacte de ce ‘’verdict’’ ainsi que le régime légal international sous lequel il fait autorité. Il sera ainsi aisé, à tout à chacun, de saisir le degré de liberté de cette Cour de Justice et, en conséquence, son parti pris.
A lire minutieusement la résolution se saisissant de la CJI -adoptée le 8 décembre 2003 lors de la 23e séance de la dixième session extraordinaire d'urgence de l’assemblée générale de l’Onu- il est insolite d’y voir inscrites des indications prescrivant, de fait, un jugement de culpabilité, donnant ainsi pleine satisfaction au vœu régalien de la majorité onusienne systématiquement anti-israélienne.
En effet ! Nulle loi onusienne et ni accord politique sur le terrain n’ont à ce jour défini le contour exact des frontières internationales d’une ‘’Palestine’’ qui n’a encore jamais eu d’existence nationale. Définir donc la clôture de sécurité comme construite sur « le territoire palestinien occupé » puis recommander que l’Onu, au travers de ses instances, mettent « un terme à la situation illicite découlant de la construction du mur et du régime qui lui est associé » prouve combien est inféodée la CJI à ce régime onusien faisant la part belle à toutes ces dictatures ‘’brunes’’ ayant en horreur la démocratie et les valeurs s’y rattachant et habituées à dicter les sentences des procès en cours.
L’autre ‘’source juridique’’ appuyant la réflexion des quinze juges de La Hayes est la doctrine des ‘’Droits de l’hommisme’’ qui a comme objectifs la victimisation du criminel, la compréhension de ses forfaits abominables, voire la manifestation de son innocence. En conséquence de ces dogmes, le terrorisme ‘’palestinien’’ fut totalement occulté dans l’énoncé du jugement et subséquemment le droit et l’honneur des victimes ont été bafoué, mystifié et lésé.
Les familles des milliers de morts et blessés israéliens (en près de quatre années de « Guerre d’Oslo ») -dans l’attente que JUSTICE et REPARATIONS interviennent- n’auront ,par ce verdict, nulle équité à escompter des tenants d’une loi soumise à une organisation internationale, elle même asservie au régime institutionnel et autoritaire de la loi du plus grand nombre de ses membres, s’apparentant ainsi -là encore- à un régime despotique ‘’brun’’ coloré cette fois-ci de ‘’rouge’’.
Si de plus l’on prend en considération toutes les pressions politiques, économiques, militaires et/ou pétrolières (exercées dans toutes les instances internationales onusiennes et favorisant ce système déplorable ) par les tenants du monde arabo-musulman et de l’islamisme, on ne peut que s'effarer de cette coalition internationale (entre les bruns, les rouges et les verts) violant invariablement les principes mêmes qui ont édifié la charte de cette organisation, et obligeant les démocraties dignes de ce nom à exclure tout esprit munichois en résultant. Esprit qui rappelle les tristes souvenirs des années 30.
L’histoire malheureusement se répétant, la guerre défensive commencée en Afghanistan puis en Irak devra donc se poursuivre au minimum jusqu’à la reddition, ou la chute, des régimes les plus menaçants, a savoir iranien, syrien et saoudien et leur remplacement par un système se rapprochant et développant les valeurs humaines et démocratiques au Moyen Orient.
Israël, quant à lui, s’obligera à la construction complète de cette clôture anti-terroristes -selon les recommandations de la cour suprême du pays- qui se transformera, au fil du temps, en une clôture de séparation physique et totale des deux peuples, intercédant -en cela- à la prise de conscience ‘’palestinienne’’ de la raison et nécessité d’un état d’Israël, état juif, dans des frontières sûres et reconnues comme indiquées dans la résolution 242.
Ainsi, et seulement ainsi, adviendra le temps d’une Organisation des Nations Unies démocratique, se rapprochant des valeurs de sa charte fondatrice et favorisant, de ce fait, l’installation d’une véritable paix en cette région.
L'essentiel cependant, reste la prise de conscience individuelle de la valeur exacte de ce ‘’verdict’’ ainsi que le régime légal international sous lequel il fait autorité. Il sera ainsi aisé, à tout à chacun, de saisir le degré de liberté de cette Cour de Justice et, en conséquence, son parti pris.
A lire minutieusement la résolution se saisissant de la CJI -adoptée le 8 décembre 2003 lors de la 23e séance de la dixième session extraordinaire d'urgence de l’assemblée générale de l’Onu- il est insolite d’y voir inscrites des indications prescrivant, de fait, un jugement de culpabilité, donnant ainsi pleine satisfaction au vœu régalien de la majorité onusienne systématiquement anti-israélienne.
En effet ! Nulle loi onusienne et ni accord politique sur le terrain n’ont à ce jour défini le contour exact des frontières internationales d’une ‘’Palestine’’ qui n’a encore jamais eu d’existence nationale. Définir donc la clôture de sécurité comme construite sur « le territoire palestinien occupé » puis recommander que l’Onu, au travers de ses instances, mettent « un terme à la situation illicite découlant de la construction du mur et du régime qui lui est associé » prouve combien est inféodée la CJI à ce régime onusien faisant la part belle à toutes ces dictatures ‘’brunes’’ ayant en horreur la démocratie et les valeurs s’y rattachant et habituées à dicter les sentences des procès en cours.
L’autre ‘’source juridique’’ appuyant la réflexion des quinze juges de La Hayes est la doctrine des ‘’Droits de l’hommisme’’ qui a comme objectifs la victimisation du criminel, la compréhension de ses forfaits abominables, voire la manifestation de son innocence. En conséquence de ces dogmes, le terrorisme ‘’palestinien’’ fut totalement occulté dans l’énoncé du jugement et subséquemment le droit et l’honneur des victimes ont été bafoué, mystifié et lésé.
Les familles des milliers de morts et blessés israéliens (en près de quatre années de « Guerre d’Oslo ») -dans l’attente que JUSTICE et REPARATIONS interviennent- n’auront ,par ce verdict, nulle équité à escompter des tenants d’une loi soumise à une organisation internationale, elle même asservie au régime institutionnel et autoritaire de la loi du plus grand nombre de ses membres, s’apparentant ainsi -là encore- à un régime despotique ‘’brun’’ coloré cette fois-ci de ‘’rouge’’.
Si de plus l’on prend en considération toutes les pressions politiques, économiques, militaires et/ou pétrolières (exercées dans toutes les instances internationales onusiennes et favorisant ce système déplorable ) par les tenants du monde arabo-musulman et de l’islamisme, on ne peut que s'effarer de cette coalition internationale (entre les bruns, les rouges et les verts) violant invariablement les principes mêmes qui ont édifié la charte de cette organisation, et obligeant les démocraties dignes de ce nom à exclure tout esprit munichois en résultant. Esprit qui rappelle les tristes souvenirs des années 30.
L’histoire malheureusement se répétant, la guerre défensive commencée en Afghanistan puis en Irak devra donc se poursuivre au minimum jusqu’à la reddition, ou la chute, des régimes les plus menaçants, a savoir iranien, syrien et saoudien et leur remplacement par un système se rapprochant et développant les valeurs humaines et démocratiques au Moyen Orient.
Israël, quant à lui, s’obligera à la construction complète de cette clôture anti-terroristes -selon les recommandations de la cour suprême du pays- qui se transformera, au fil du temps, en une clôture de séparation physique et totale des deux peuples, intercédant -en cela- à la prise de conscience ‘’palestinienne’’ de la raison et nécessité d’un état d’Israël, état juif, dans des frontières sûres et reconnues comme indiquées dans la résolution 242.
Ainsi, et seulement ainsi, adviendra le temps d’une Organisation des Nations Unies démocratique, se rapprochant des valeurs de sa charte fondatrice et favorisant, de ce fait, l’installation d’une véritable paix en cette région.
vendredi 16 juillet 2004
Non, il ne regrette rien.
Depuis son bureau élyséen et lors de sa traditionnelle causerie aux Français du 14 juillet, Jacques Chirac n’a pas regretté d’avoir exprimé trop rapidement « son effroi », ni d’avoir demander -à propos du ‘’calvaire’’ de la voyageuse du RER D- « que tout soit mis en oeuvre pour retrouver les auteurs de cet acte honteux afin qu'ils soient jugés et condamnés avec toute la sévérité qui s'impose ». Nul n’aura alors subodoré que le Président de la République ( précédé en cela par son ministre de l’intérieur Dominique de Villepin ) n’ait pas auparavant -et sérieusement- vérifié, examiné et écarté toute hypothèse d’affabulation. Et cependant, « l’acte honteux » s’est révélé n’être qu’une fiction inspirée d’une atmosphère et de faits réels.
Ainsi, au plus haut niveau de l’état, l’éventualité de grossières erreurs politiques s’est confirmée. Ce qui n’a pourtant pas contraint l’occupant du palais élyséen à présenter, tout aussi rapidement, ses plus plates excuses aux communautés meurtries ni à requérir, par ailleurs, que des sanctions soient prises à l’encontre non pas seulement de la mythomane, mais de ceux qui ont abusé et ridiculisé l’autorité de l’état. Sauf à imaginer bien sûr, et cela est fort plausible, qu’il soit le principal fautif de cette montée d’adrénaline nationale.
Il faut avouer, il est vrai, que les erreurs politiques commises sous le ‘’règne’’ présidentiel chiraquien s’avèrent nombreuses. Trop nombreuses pour être toutes citées à nouveau. Ainsi il en a été de la reprise des essais nucléaires, de la dissolution de l’assemblée parlementaire, de la négation de l’antisémitisme en France (jusqu’à une certaine et massive manifestation du 07 avril 2002) ou encore du refus de coopérer à la chute du tyran irakien, l’assassin de centaines de milliers d’individus.
On est donc amené à s’interroger sur la fiabilité de ses sources et de la qualité de ses analyses, voire de ses objectifs inavoués. A l’aune de ces inquiétudes, l’examen à posteriori de ses prises de positions sur le Proche orient est légitime. Notamment sa déclaration sur le perron élyséen, au tout début de la « Guerre d’Oslo », affirmant que « l’on ne répond pas à des jets de pierres par des chars ». Ce qui appela en réponse le commentaire d’Ehud Barak s'ahurissant (déjà) de voir Jacques Chirac « s’informer par le canal médiatique ».
Nul n’est consterné, en conséquences, de le voir poursuivre depuis sur cette voie tracée en l’an 2000 et soutenir, envers et contre tout, Yasser Arafat, « Président légitime et démocratiquement élu » (à vie ?) d’une Autorité palestinienne sur « le déclin », selon le constat dressé par le Coordonnateur de l’ONU au Moyen-Orient Terje Roed-Larsen.
Politique Arafatienne, qui « en dépit des promesses constantes de ses dirigeants, n'a effectué aucun progrès au regard de son obligation majeure : agir immédiatement sur le terrain pour mettre fin à la violence et à la terreur pas plus que pour réformer et réorganiser l'Autorité palestinienne ».
Entraînant en cela « la frustration par les déclarations d'intention non suivies d'effet du côté palestinien ». « Tous ceux qui aspirent à la paix ont exhorté à plusieurs reprises le Président Arafat, en public et en privé, à agir immédiatement de façon à restaurer sa crédibilité déclinante ». « Cet effondrement de l'autorité ne peut être seulement attribué aux incursions et opérations israéliennes dans les villes palestiniennes ». (!?!?)
Que faut il en conclure ? Sinon une détermination tenace de la part du reclus milliardaire de la Moukataa à entretenir le conflit jusqu’à son internationalisation aux seules fins d’éviter toutes contraintes à la signature d’une paix véritable et sincère entre les deux peuples. (Ainsi, il en est des vérités qui finissent finalement par jaillir publiquement du goulot d’étranglement où certains hommes politiques complices ont tenté de les maintenir).
Nul ne peut donc subodorer que Jacques Chirac n’ait pas auparavant -et sérieusement- VERIFIE, EXAMINE, et ECARTE toute hypothèse de duperie arafatienne avant ses prises de positions sur le sujet. Et cependant, cette supercherie palestinienne s’est révélée être catastrophique en nombre de victimes israéliennes. Ce qui n’a pourtant pas obligé le locataire élyséen à présenter des excuses à Israël et exiger des sanctions à l’encontre de ses services qui l’ont ainsi abusé. Sauf à imaginer bien sûr, et cela est fort plausible, qu’il soit le seul à décider dans le ‘’domaine réservé de l’Elysée’’, a savoir les relations internationales. Ce qui confirme les risques d'impairs déjà décelé, isole et nuit gravement à la réputation de la France a travers le monde.
Il est donc vain pour les Israéliens d’espérer du Président Français qu’il soit enfin saisi d’« effroi », regrette ses erreurs et qu’il demande ‘’que tout soit mis en oeuvre pour retrouver l’ auteur de cette duperie honteuse afin qu'il soit jugé et condamné avec toute la sévérité qui s'impose ‘’.
Les regrets sont réservés exclusivement à la France d’en bas.
Ainsi, au plus haut niveau de l’état, l’éventualité de grossières erreurs politiques s’est confirmée. Ce qui n’a pourtant pas contraint l’occupant du palais élyséen à présenter, tout aussi rapidement, ses plus plates excuses aux communautés meurtries ni à requérir, par ailleurs, que des sanctions soient prises à l’encontre non pas seulement de la mythomane, mais de ceux qui ont abusé et ridiculisé l’autorité de l’état. Sauf à imaginer bien sûr, et cela est fort plausible, qu’il soit le principal fautif de cette montée d’adrénaline nationale.
Il faut avouer, il est vrai, que les erreurs politiques commises sous le ‘’règne’’ présidentiel chiraquien s’avèrent nombreuses. Trop nombreuses pour être toutes citées à nouveau. Ainsi il en a été de la reprise des essais nucléaires, de la dissolution de l’assemblée parlementaire, de la négation de l’antisémitisme en France (jusqu’à une certaine et massive manifestation du 07 avril 2002) ou encore du refus de coopérer à la chute du tyran irakien, l’assassin de centaines de milliers d’individus.
On est donc amené à s’interroger sur la fiabilité de ses sources et de la qualité de ses analyses, voire de ses objectifs inavoués. A l’aune de ces inquiétudes, l’examen à posteriori de ses prises de positions sur le Proche orient est légitime. Notamment sa déclaration sur le perron élyséen, au tout début de la « Guerre d’Oslo », affirmant que « l’on ne répond pas à des jets de pierres par des chars ». Ce qui appela en réponse le commentaire d’Ehud Barak s'ahurissant (déjà) de voir Jacques Chirac « s’informer par le canal médiatique ».
Nul n’est consterné, en conséquences, de le voir poursuivre depuis sur cette voie tracée en l’an 2000 et soutenir, envers et contre tout, Yasser Arafat, « Président légitime et démocratiquement élu » (à vie ?) d’une Autorité palestinienne sur « le déclin », selon le constat dressé par le Coordonnateur de l’ONU au Moyen-Orient Terje Roed-Larsen.
Politique Arafatienne, qui « en dépit des promesses constantes de ses dirigeants, n'a effectué aucun progrès au regard de son obligation majeure : agir immédiatement sur le terrain pour mettre fin à la violence et à la terreur pas plus que pour réformer et réorganiser l'Autorité palestinienne ».
Entraînant en cela « la frustration par les déclarations d'intention non suivies d'effet du côté palestinien ». « Tous ceux qui aspirent à la paix ont exhorté à plusieurs reprises le Président Arafat, en public et en privé, à agir immédiatement de façon à restaurer sa crédibilité déclinante ». « Cet effondrement de l'autorité ne peut être seulement attribué aux incursions et opérations israéliennes dans les villes palestiniennes ». (!?!?)
Que faut il en conclure ? Sinon une détermination tenace de la part du reclus milliardaire de la Moukataa à entretenir le conflit jusqu’à son internationalisation aux seules fins d’éviter toutes contraintes à la signature d’une paix véritable et sincère entre les deux peuples. (Ainsi, il en est des vérités qui finissent finalement par jaillir publiquement du goulot d’étranglement où certains hommes politiques complices ont tenté de les maintenir).
Nul ne peut donc subodorer que Jacques Chirac n’ait pas auparavant -et sérieusement- VERIFIE, EXAMINE, et ECARTE toute hypothèse de duperie arafatienne avant ses prises de positions sur le sujet. Et cependant, cette supercherie palestinienne s’est révélée être catastrophique en nombre de victimes israéliennes. Ce qui n’a pourtant pas obligé le locataire élyséen à présenter des excuses à Israël et exiger des sanctions à l’encontre de ses services qui l’ont ainsi abusé. Sauf à imaginer bien sûr, et cela est fort plausible, qu’il soit le seul à décider dans le ‘’domaine réservé de l’Elysée’’, a savoir les relations internationales. Ce qui confirme les risques d'impairs déjà décelé, isole et nuit gravement à la réputation de la France a travers le monde.
Il est donc vain pour les Israéliens d’espérer du Président Français qu’il soit enfin saisi d’« effroi », regrette ses erreurs et qu’il demande ‘’que tout soit mis en oeuvre pour retrouver l’ auteur de cette duperie honteuse afin qu'il soit jugé et condamné avec toute la sévérité qui s'impose ‘’.
Les regrets sont réservés exclusivement à la France d’en bas.
jeudi 1 juillet 2004
Que vive la fin du chiraquisme
Michel Barnier, le Ministre Français des Affaires étrangères (au bon sens ), s'est rendu -contre la volonté du gouvernement israélien- au palais de la Moukata pour une visite diplomatique au ''Président légitime'' du peuple ''palestinien'' -Yasser Arafat-, qu'« il n'est pas très prudent, dans une stratégie de retour à la paix, de vouloir (l') isoler » et le seul « à pouvoir imposer au peuple palestinien des compromis, notamment de nature territoriale » selon Jacques Chirac.
On saisit donc mieux la ''sincère émotion'' du MAE de se « retrouver au cœur des territoires palestiniens (…) pour se rendre compte des conditions dans lesquelles vivent les Palestiniens » et sa requête -lors d'une conférence de presse- de gestes israéliens « consistant à lever le bouclage, cesser la répression, la construction du mur de séparation, les dépossessions et un certain nombre de destructions » car « la paix se construit ensemble et à deux et elle exige des efforts parallèles et réciproques ».
Fort de cette visite, véritable bouée de secours internationale, Nabil Chaath -responsable des relations extérieures de l'Autorité palestinienne- a pu saluer la France comme « un pays fier » qui ne « plie pas au chantage israélien ». Ce qui fera, sans doute, rougir de plaisir tous les chiraquiens pur sucre.
Michel Barnier a aussi exhorté, reconnaissons le, l'Autorité palestinienne à poursuivre les réformes prévues par la « feuille de route » et reconnu que « Beaucoup a été fait (…), notamment des réformes institutionnelles », comme la nomination d'un premier ministre et l'assainissement des comptes publics de l'AP (sic).
Toute chose importante mais, oh ! combien, éloigné de la réalité du terrain et des besoins sécuritaires pouvant assurer la quiétude des Israéliens et, au-delà, celle des ''Palestiniens''. Comme, par exemple, la refonte des services de sûretés de l'AP et la lutte contre les groupes terroristes pourtant inscrite noir sur blanc dans la « carte routière » que la France entend mettre en place afin de sauver le processus de paix (re sic). Exigences naturelles et minimum requis de la part des Israéliens pour envisager sereinement les demandes exprimées par l'envoyé spécial du Président français à Ramallah et ainsi permettre, à brève échéance, l'établissement de deux Etats pour deux peuples.
Est-ce, cependant, l'objectif recherché par le despote de Ramallah ? A considérer la politique de Jacques Chirac on pourrait presque le croire.
On est donc estomaqués par cette persistance française à solliciter un crédit israélien à l'égard de tous ceux qui ne rêvent qu'à l'éradication de ce pays sans exiger au PREALABLE des garanties fiables quant à la fin du terrorisme et son lot de victimes innocentes voulu par le porteur de keffieh, élu démocratiquement certes en 1996 mais jusqu'à ce que mort s'ensuive comme tout dictateur qui se respecte.
Visite diplomatique et constance chiraquienne au lendemain et malgré l'assassinat, dans la ville de Sdérot, d'un enfant de trois ans et de son grand-père -« parce que SIONISTE »- par un missile lancé par un groupuscule refusant toutes concessions israéliennes à la Paix et donc un état juif.
On se prend donc à rêver d'une prise en main total de l'appareil de l'UMP par Nicolas Sarkozy mettant, ainsi, fin à cette politique chiraquienne désastreuse pour les relations internationales de la France. Pays de plus en plus isolé au sein de l'Europe à 25 par cette politique systématiquement égocentrique, contribuant à l'américanophobie ambiante et à son exclusion d'office -par son pro-arabisme outrageant le bon sens de la démocratie et celui des Droits de l'Homme- de toute participation future à un règlement pacifique du conflit israélo-arabe.
Il est donc temps, dans l'intérêt du camp démocratique et des valeurs s'y rattachant, que M. Sarkosy restitue à la France ses lettres de noblesse perdues, il y a presque une dizaine d'années, pour cause de virus chiraquien.
On saisit donc mieux la ''sincère émotion'' du MAE de se « retrouver au cœur des territoires palestiniens (…) pour se rendre compte des conditions dans lesquelles vivent les Palestiniens » et sa requête -lors d'une conférence de presse- de gestes israéliens « consistant à lever le bouclage, cesser la répression, la construction du mur de séparation, les dépossessions et un certain nombre de destructions » car « la paix se construit ensemble et à deux et elle exige des efforts parallèles et réciproques ».
Fort de cette visite, véritable bouée de secours internationale, Nabil Chaath -responsable des relations extérieures de l'Autorité palestinienne- a pu saluer la France comme « un pays fier » qui ne « plie pas au chantage israélien ». Ce qui fera, sans doute, rougir de plaisir tous les chiraquiens pur sucre.
Michel Barnier a aussi exhorté, reconnaissons le, l'Autorité palestinienne à poursuivre les réformes prévues par la « feuille de route » et reconnu que « Beaucoup a été fait (…), notamment des réformes institutionnelles », comme la nomination d'un premier ministre et l'assainissement des comptes publics de l'AP (sic).
Toute chose importante mais, oh ! combien, éloigné de la réalité du terrain et des besoins sécuritaires pouvant assurer la quiétude des Israéliens et, au-delà, celle des ''Palestiniens''. Comme, par exemple, la refonte des services de sûretés de l'AP et la lutte contre les groupes terroristes pourtant inscrite noir sur blanc dans la « carte routière » que la France entend mettre en place afin de sauver le processus de paix (re sic). Exigences naturelles et minimum requis de la part des Israéliens pour envisager sereinement les demandes exprimées par l'envoyé spécial du Président français à Ramallah et ainsi permettre, à brève échéance, l'établissement de deux Etats pour deux peuples.
Est-ce, cependant, l'objectif recherché par le despote de Ramallah ? A considérer la politique de Jacques Chirac on pourrait presque le croire.
On est donc estomaqués par cette persistance française à solliciter un crédit israélien à l'égard de tous ceux qui ne rêvent qu'à l'éradication de ce pays sans exiger au PREALABLE des garanties fiables quant à la fin du terrorisme et son lot de victimes innocentes voulu par le porteur de keffieh, élu démocratiquement certes en 1996 mais jusqu'à ce que mort s'ensuive comme tout dictateur qui se respecte.
Visite diplomatique et constance chiraquienne au lendemain et malgré l'assassinat, dans la ville de Sdérot, d'un enfant de trois ans et de son grand-père -« parce que SIONISTE »- par un missile lancé par un groupuscule refusant toutes concessions israéliennes à la Paix et donc un état juif.
On se prend donc à rêver d'une prise en main total de l'appareil de l'UMP par Nicolas Sarkozy mettant, ainsi, fin à cette politique chiraquienne désastreuse pour les relations internationales de la France. Pays de plus en plus isolé au sein de l'Europe à 25 par cette politique systématiquement égocentrique, contribuant à l'américanophobie ambiante et à son exclusion d'office -par son pro-arabisme outrageant le bon sens de la démocratie et celui des Droits de l'Homme- de toute participation future à un règlement pacifique du conflit israélo-arabe.
Il est donc temps, dans l'intérêt du camp démocratique et des valeurs s'y rattachant, que M. Sarkosy restitue à la France ses lettres de noblesse perdues, il y a presque une dizaine d'années, pour cause de virus chiraquien.